LE LONG DE MES SIX CORDES ....Beaucoup d'idées musicales sont nées du "fond" de ma guitare.En voici quelques unes dans ce blog.
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très belle voix
Par Anonyme, le 25.02.2025
très belle reprise patrick. j'adore ta voix. bravo !
Par Chantal , le 23.02.2025
coucou.petit passage du mardi.trop bien ton blog http://vinyles -33-45.centerb log.net
Par vinyles-33-45, le 09.04.2024
joli http://vinyles -33-45.centerb log.net
Par koukla, le 21.02.2023
trop beau http://vinyles -33-45.centerb log.net
Par koukla, le 21.02.2023
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Date de création : 28.01.2009
Dernière mise à jour :
08.03.2021
328 articles
Je présente ici des chansons écrites et composées et qui ne demandent éventuellement qu'à être interprétées.
Bonne écoute ! (voici le premier titre:) "Tu es comme une fée"
(déposeé SACEM: Tous les textes , mélodies présentes sur ce site sont propriété de leurs auteurs, compositeurs . Extrait :art. L. 335-2 du code de la Propriété Intellectuelle : Toute édition d'écrits (...) imprimée ou gravée en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit.(voir consulter SACEM dans la liste des liens à gauche)
ou cliquer sur le lien suivant: https://repertoire.sacem.fr/resultats?filters=parties&query=moltaldo#searchBtn
C'est comme un rêve de vivre avec toi:
Les jours se lèvent éclairés de joie.
Plus de grisaille à ma météo:
J'ai le moral pointé sur le beau
Tell's ces fusées et engin spatial,
Tu m'as mené jusqu'à ton étoile.
Plus de train-train sur cette planète
Quand tes chemins mett'nt mon coeuren fête
Tu es comme une fée qui a d'un coup tout changé
Le courant de ma vie ... Tu es mon doubl', ma moitié
Et ce trouble à calmer mes envies.
Sur ton nuage, c'est le nirvana;
Pas un orage tonnant son fracas.
Un grand soleil chaud nous illumine;
S'il m'émerveille c'est qu'il a ta mine.
Je suis "aux anges" dans ce paradis;
Il s'y mélange nos êtres ravis.
Pas de vertige à ce stad' suprême
Mais le prodige d'aimer comme on s'aime.
Tu es comme une fée qui a d'un coup tout changé
Le courant de ma vie .... Tu es mon doubl', ma moitié
Et ce trouble à calmer ...mes envies.
Auteur: Gérard Salert
http://salertchansons.centerblog.net
Compositeur et interprète: Patrick MOLTALDO
On a des peurs , on a des doutes
Pour trouver l’bonheur , pour choisir sa route
On se sent « seul » , au moment où
L’ « tiroir » en deuil , on est sans l’sou ! …
On redoute les épreuves , les obstacles, même l’Amour !
Alors qu’l’on a « peau neuve » , qu’il nous reste de beaux jours …
Et on déprime encore et on se plaint plus fort
Alors que nos faiblesses , sont propres à notr’ jeunesse
C’est vrai qu’la vie n’est pas toute rosecrois-moi :
Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …
Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois
Y’a défaut , y’a débat même là …
Pendant qu’on doute , pendant qu’on pleure
D’autres font « route » , fondent leur Bonheur .
Ils ont d’la « tune » , des « biens » matériels,
Une grande fortune , héritage paternel …
Et ils goûtent même au luxe , aux bateaux dans leur port …
S’prennent pour un « dioscure pollux* » ; mais redoutent la mort .
Certes ils ont le « pouvoir » , un grand nom pour la gloire ,
Mais dans leur tiroirs caisse ; Aucun brin de sagesse …
Car la vie n’est pas toute rosecrois-moi :
Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …
Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois
Y’a défaut , y’a débat même là …
Mon enfant toi , quand tu s’ras « roi »
Pauvre ou « pantin » , : quelque soit ta faim :
Dis-toi pourtant ou soit conscient
Qu’dans l’intelligence … Y’a « d’ l’indulgence ! »…
Et que la vérité , sera l’honnêteté.
Et puis que rien ne blesse , quand on la sagesse
On peut « craindre » parfois , mais si on a la foi
On gardera l’allégresse ; nos « lettres de noblesse » …
C’est vrai qu’la vie n’est pas toute rosecrois-moi :
Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …
Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois
Y’a défaut , y’a débat même là …
* :Pollux est un Dieu Grec dans la mythologie, ...il était , avec son frère Castor , considéré comme un "Dioscure" : qui veut dire "fils de dieu" , en locurence le fils de Zeus ...
texte ; Jacqueline Labeyrie Musique / Moltaldo patrick
Est-ce que t’as eu raison
Est-ce que tes doutes , tes questions
T’ont fait choisir la bonne route
Où n’ont fait qu’assurer tes doutes et tes chagrins
Est-ce que de c’la tu es certain ?:
de fréquenter le bon chemin
Qui te mènera où tu veux ?
te rassurer sur ton destin
Et surtout « qui » te rendra plus heureux ?
Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache Ce qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , « roule ! »
Vers ta destinée , celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite (longue) et monotone
marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix
N’écoute pas les autres
conseillers , bons apôtres
Qui ont toujours peur de demain
qui t’ barreront l’ chemin . pense à ton avenir
Bats-toi et garde le sourire
Demain il ne sera plus l’heure
Accroche toi à ton bonheur
Construit ta voie , et tes desseins …
et fais qu’ ton avenir soit plus serein …
Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , roules !
Vers ta destinée celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite et monotone
marche dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix
Est-ce que t’as eu raison
Est-ce que tes doutes , tes questions
T’ont fait choisir la bonne route ?
Où n’ont fait qu’assurer tes doutes et tes chagrins
Est-ce que de c’la tu es certain ?:
de fréquenter le bon chemin
Qui te mènera où tu veux ?
te rassurer sur ton destin
Et surtout « qui » te rendra plus heureux ?
Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache Ce qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , « roule ! »
Vers ta destinée , celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite, et monotone
marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix
Loin de la famille et loin des « prêtres voisins » , loin de toutes les filles des tables et de notre pain ,
Pas loin de la ville et à portée de la main , posé comme une île sur l’océan du destin …
Au bout de la route où terminent les lumières , où le soir on écoute le vent chaud sur la terre ;
Au dessus des brumes et des oiseaux blancs d’la mer , loin des autoroutes mais pas des chemins de fer ...
Ref : « Se trouve un village , un petit pont et une fontaine ,
quelques siècles d’age trahissent ses murs et sa chapelle .
Aux détours des sentiers , on peut y voir son clocher ,
le vert de ses pâturages , tous les moutons et le berger … »
Quand vient la saison , quand on cueille la lavande , on peut voir les mules et les charrettes qui attendent
P’r charger les parfums des corso-fleuris d’été , prétexte légitime pour pouvoir y monter .
On y va le soir ou le Dimanche matin , la veille de noël on emprunte son chemin ,
Quand nos vies se perdent comme l’espoir du naufragé , on lève la tête pour regarder le sommet ...
Ref : « Où se trouve un village , un petit puit et une forêt ,
quelques siècles d’age trahissent son lierre et ses pavés .
Aux détours des sentiers on peut sentir le laurier
Courir dans l’ champs de blé , s’allonger à l’ombre des cyprès … »
Si t’as la force d’affronter tes chagrins ; si ta compagne te tire d’touts les pétrins ;
Si tu réussi là où les autres luttent en vain ; si t’as une voiture et que ton poste te soutien ;
Loin des autoroutes , pas des chemins de fer ; effort de volonté mais pas solitaire ;
T’auras pas besoin d’la mer et les oiseaux ; de touts les endroits , les places et les plateaux ...
Ref : « … Où se trouve un village , un petit pont et une fontaine ,
quelques siècles d’age trahissent ses murs et sa chapelle .
Aux détours des sentiers , on peut y voir son clocher
le vert de ses pâturages , tous les moutons et le berger … »
Des larmes plein les yeux , le fusil dans les mains
Et les pieds dans les creux , la tranchée creusée à la force des mains …
Les hommes attendent le « feu » , l’ordre qui fera pâlir
Pour l’assaut « généreux » en vies humaines ; le sang qui va s’engloutir
Dans la terre humide de pluie et tu vois , toi ...que ces enfants ne « veulent pas » ! …
« Aux Armes citoyens ! brandissez bien vos armes , vos lames ,
Et visez prés du cœur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Votre dette est l’honneur! »
Pas question d’drapeau blanc ; pas d’instant de trêve , de répits
On lev’ra pas le camp tant que les ennemis n’auront déguerpis
On nous a parlé de bravoure , d’allure téméraire :
Qu’il nous faut quitter « l’amour » pour défendre mieux nos terres , de nos tranchées.
Le souffle s’accélère sous le casque serré ;
Et sous la jugulaire les dents claquent et les gorges , elles sont nouées …
Et l’assaut est donné ….Et les yeux pleins de larmes
J’avance , avec comme cris aux cœurs …:
« Aux Armes , aux armes citoyens brandissez bien vos armes , vos lames
Faites gouter la terreur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Votre dette est l’honneur! »
"Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras.
Égorger vos fils, et vos compagnes!
Alors « Aux armes citoyens , aiguisez bien vos armes , vos lames
Faites gouter la terreur
« Aux Armes , aux armes citoyens ! brandissez bien vos armes !, vos lames !
Et visez prés du cœur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Faites gouter la terreur !... »
« Aux Armes , aux armes citoyens ! brandissez bien vos armes !, vos lames !
Votre dette est l’honneur! »
Votre regard qui la juge
Et pour elle c’est comme un déluge
Mais qu’a t elle de plus ou de moins ?
Pour qu’ vous la laissiez dans un coin ?
Peut-être quelques kilos en trop ?
Est-t’elle pour autant méprisable .?
Je vous vois comploter dans son dos
Pour vous elle est infréquentable
Toujours porter un jugement
Tout ça est bien dans l’air du temps
Mais certain’ment qu’ vous oubliez
Qu’les autres aussi vous ont jugés
Peut-être la couleur de sa peau
Vous fait fuir - hâlée un peu trop ?
Si vot’ cœur est couleur de pierre
Il n’y a pas de quoi être fier
Peut-être sa vie qui, différente
Simple et pas du tout luxuriante
Vous empêche d’avoir confiance ?
Vous la jugez « sans importance »
Toujours porter un jugement
Tout ça est bien dans l’air du temps
Mais certain’ment qu’vous oubliez
Qu’les autres aussi vous ont jugés
elle ne va pas changer sa vie
elle ne va pas changer de peau
elle fera ce qu’elle a envie
peut être gardera t elle ses kilos ?
Je sais bien que vous la tolérez
Bien plus que vous n’ pouvez l’aimer
Mais au fond c’est bien vous que je plains
elle va continuer son chemin
Toujours porter un jugement
Tout ça c’est bien dans l’air du temps
Mais certain’ment qu’ vous oubliez
Qu’les autres aussi vous ont jugés
1 Des Catalans au Roucas Blanc 2 Sur le beau du vallon d'Oriol
Vous en aurez pour votre argent Le Prophète a tenu parole :
Quand Endoume cache en secret La plage de sable, l'aubaine
L'anse de la fausse monnaie. Incite à ce que l'on se baigne.
Le vallon des auffes sans corde Pas besoin de joindre Rio
Est aussi charmant, je l'accorde Ou de rêver à des "Palm Beach"
Et de ces maisons de pêcheurs Avec les plages du Prado
S'exhale un fumet bien meilleur. Qu'on aperçoit de la corniche.
Refrain Sur la corniche de Marseille
On découvre mille merveilles
Et tous ceux qui vivent ici
Peuvent se croire au paradis ?
3 De Pointe-Rouge aux Bains des Dames 4 Susgiton, Sormiou, Luminy,
A Callellongue, l'on se pâme : Tous les randonneurs sont ravis
Montredon, Samena, Les Goudes Dans les calanques de calcaire
C'est un décor trés "very good. Du massif de Marseilleveyre.
Tiboulen, Maïre, Jarre et Riou Illuminée d'un clair de lune,
Sont les pendants, les beaux bijoux La mer est un plateau d'argent
De la côte échancrée de criques Piqué de quelques tâches brunes
Formant un cadre magnifique. Que sont les îles sous le vent.
Refrain Dans les calanques de Marseille
On découvre mille merveilles
Et tous ceux qui vivent ici
Peuvent se croire au paradis ?
Jeune femme qui avance au bord d’la route, dans tes états d’âmes, tes doutes …
Tu marcheras dans le brouillard des ports, une simple laine sur ton corps …
Dans ton histoire que des défaites, et aucune chance d’être libre
Et par la cause de ta faiblesse, « ils » t’ont plongés dans l’agonie …
Vivre enfin, survivre, sur les trottoirs, comme du bétail, livrée aux bars,…
à tous ces fauves !
Tu pleurais sur ton sort et tes valises ; priait au porche d’une église, espérant vivre mieux …
Tu recevras quelques pièces données , grâce à un peu « d’humanité » …
Tu te coucheras sur quelques feuilles de papiers, essayant de rêver pour oublier …
Et tu viendras frapper au seuil de nos portes ,on tentera de t’aider, faire que tu t’en sortes
Toi qui loin de ton pays , de ta famille rompue ;
De ta source , tes racines , a tout perdu !
Sans aucun toit que celui de ta coiffure ;: pauvre de toi femme ! , créature ! …
Les matins sans cafés, sans toiture juste sous une bâche dans une voiture ... cassée , abandonnée ...
Et Tu chercheras dans les couloirs des ports qu’on te donne « hospitalité »
Et tu pourras peut être un jour toi dans un bord t’embarquer en liberté …..
Et tu tendras les voiles à bord d’un grand bateau
Tu laisseras le mistral te souffler dans le dos
Et tu mettras le cap vers de nouvelles terres
En noyant le passé dans la mer
Jeune femme qui avance vers la gloire
D’effacer ta souffrance, ta peur
Prends ta revanche sur " ton océan d’histoire" !
Jeune femme: la mer deviendra ton bonheur
Jeune femme quittant les terres et les douleurs
Jeune femme la mer deviendra ton bonheur
Jeune femme quittant les terres et ses douleurs
Depuis la nuit dernière , j’y ai encore rêver
Depuis le soir d’y hier , je n’y fait que penser
Elle est venu d’ailleurs , elle m’a ensorcelé
Elle a troublé mon cœur , oui elle m’a inspiré
Je me souviens encore de sa silhouette, de son corps
Et tout était magique , elle était magnifique
Ses yeux bleus … le blond de ses cheveux
Son visage ….. L’Amour l’a rendait si sage …
Ref : ( bis) Instant de tendresse c’était une formule magique
Instant de caresse ce fut de la folie
Quand on s’est retrouvé ; là on s’est tout avoué
Et on s’est bien juré de ne plus se quitter
Elle n’avait plus le choix , elle était faite pour moi
Je n’avais plus le droit , non de la décevoir
Ref : ( bis) Instant de tendresse c’était une formule magique
Instant de caresse ce fut de la folie
Elle est venu d’ailleurs , elle m’a ensorcelé
Elle a troublé mon cœur , oui elle m’a inspiré
Ses yeux bleus… le blond de ses cheveux
Son visage .. L’Amour l’a rendait si sage …
Ref : ( bis) Instant de tendresse c’est une formule magique
Instant de caresse ce fut de la folie
Il n’a que de la crainte pour ses ennemis ,
de l’espoir pour ceux qui ne l’ont pas suivis ,
Une phrase de tendresse pour ceux qui sont assis :
« Fer de lance » de cœurs ouverts pour la vie …
À sa place que j’envie , je veux être étranger ;
m’éloigner de ce trône , de responsabilités ,
Comme un grade critiqué que l’on aime convoité ;
Réussite acquise en qu’elle simplicité ?..
Ref : Rappelant nos élans pour nous canaliser ,
acceptant nos talents comme des « forts piolets » ;
Le sommet à atteindre , c’est notre identité ;
La descente : le retour pour tout recommencer …
Dans sa voix j’ai entendus déjà ce que je sais :
Aucunes plaintes , l’impression qu’il veut nous éclairer ;
Mais c’est lui le « Larousse » qui veut et qui nous conduit
vers des définitions que l’on peut oublier
. Et le soir parfois , j’ose pas imaginer
que le temps passe , que tout seul il nage dans l’ennuie ,
Que seule notre « errance guider » c’est son métier :
Sur qu’il fait pas comme nous mais c’est un homme aussi …
Ref : Le seul impact à sa vue est fait pour simplifier ,
les kilomètres parcourus sont pour enchevêtrer ,
L’dévouement qui est la somme de touts comptes
rendus pour arriver au sommet et recueillir son dût .
Le regard fait l’impact de c’qui est cible au touché
et rien n’est le hasard si c’n’est que pour se rassurer ,
Que l’on trouve pas étrange que l’on soit épauler ,
Par un homme sans femme qui n’est qu’un homme aussi
; Par un homme dévoué et pour tout le monde « ami »...
Et moi de mon domaine je le regarde passer ,
me pose des questions à propos de « promesses »
, Comparant la valeur des pas où il va marcher ,
mais à ma place y’a son cœur et toutes ses richesses ;
Les mêmes pensées que lui car c’est un homme aussi ;
Les mêmes rêves que lui car il est « homme » aussi ...
Ref : La couleur de sa robe est pour le distinguer
comme la lune dans la nuit est faite pour nous rappeler
, Qu’on a les pieds sur terre et qu’il faut convoiter ,
l’Amour est la Lumière qui nous est destiné
. Il connaît les chemins qui mènent au paradis ,
les idées et les guerres des fous qui nous dévient :
Pas l’arbitre sur terre , lui se tient en replie :
Sa seule « arme » c’est lui car c’est un homme aussi …
Sa seule « arme » c’est lui car il est « homme » aussi ...