LE LONG DE MES SIX CORDES ....
Beaucoup d'idées musicales sont nées du "fond" de ma guitare.En voici quelques unes dans ce blog.

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Date de création : 28.01.2009
Dernière mise à jour : 08.03.2021
328 articles


....TEXTES, POÉSIE, CHANSONS FRANÇAISES ....

Publié le 01/01/2009 à 01:01 par moltaldocompo Tags : blog chanson bienvenue merci centerblog vie bonne roman coeur sur art aimer extrait
....TEXTES, POÉSIE, CHANSONS FRANÇAISES ....

 

 

 Je présente ici des chansons écrites et composées et qui ne demandent éventuellement qu'à être interprétées. 
Bonne écoute !     (voici le premier titre:)
  "Tu es comme une fée"

(déposeé SACEM: Tous les textes , mélodies présentes sur ce site sont propriété de leurs auteurs, compositeurs . Extrait :art. L. 335-2 du code de la Propriété Intellectuelle : Toute édition d'écrits (...) imprimée ou gravée en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon ; et toute contrefaçon est un délit.(voir consulter SACEM dans la liste des liens à gauche) 

ou cliquer sur le lien suivant: https://repertoire.sacem.fr/resultats?filters=parties&query=moltaldo#searchBtn

 

                                         

 

C'est comme un rêve de vivre avec toi:
Les jours se lèvent  éclairés de joie.
Plus de grisaille à ma météo:
J'ai le moral  pointé sur le beau

  

Tell's ces fusées et engin spatial,
Tu m'as mené  jusqu'à ton étoile.
Plus de train-train sur cette planète
Quand tes chemins mett'nt mon coeur
en fête

  

Tu es comme une fée qui a d'un coup tout changé
Le courant de ma vie ... Tu es mon doubl', ma moitié
Et ce trouble à calmer  mes envies.

  

Sur ton nuage, c'est le nirvana;
Pas un orage  tonnant son fracas.
Un grand soleil  chaud nous illumine;
S'il m'émerveille c'est qu'il a ta mine.

 


Je suis "aux anges"  dans ce paradis;
Il s'y mélange  nos êtres ravis.
Pas de vertige à ce stad'  suprême
Mais le prodige  d'aimer comme on s'aime.

 

 

Tu es comme une fée qui a d'un coup tout changé
Le courant de ma vie .... Tu es mon doubl', ma moitié
Et ce trouble à calmer  ...mes envies.

 

Auteur: Gérard Salert 
http://salertchansons.centerblog.net
Compositeur et interprète: Patrick MOLTALDO



Y'a des Hauts , Y'a des Bas , Y'a des cas !

Publié le 30/01/2009 à 03:00 par moltaldocompo Tags : image centerblog obstacles gif vie moi mort rose dieu enfant pouvoir
Y'a des Hauts , Y'a des Bas , Y'a des cas !

                     

 

On a des peurs , on a des doutes

Pour trouver l’bonheur , pour choisir sa route

On se sent « seul » , au moment où

L’ « tiroir » en deuil , on est sans l’sou ! …

 

On redoute les épreuves , les obstacles, même l’Amour !

Alors qu’l’on a « peau neuve » , qu’il nous  reste de beaux jours …

Et on déprime encore et on se plaint plus fort

Alors que nos faiblesses , sont propres à notr’ jeunesse 

 

C’est vrai qu’la vie n’est pas toute rosecrois-moi :

Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …

Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois

Y’a défaut  , y’a débat même là …

 

                                   la vie

 

Pendant qu’on doute , pendant qu’on pleure

D’autres font « route » , fondent leur Bonheur .

Ils ont d’la « tune » , des « biens » matériels,

Une grande fortune , héritage paternel …

 

Et ils goûtent même au luxe , aux bateaux dans leur port …

S’prennent pour un « dioscure  pollux* » ; mais redoutent la mort .

Certes ils ont le « pouvoir » , un grand nom pour la gloire ,

Mais dans leur tiroirs caisse ; Aucun brin de sagesse  

 

 

Car la vie n’est pas toute rosecrois-moi :

Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …

Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois

Y’a défaut , y’a débat même là …

 

Mon enfant toi , quand tu s’ras « roi »

Pauvre ou « pantin » , :  quelque soit ta faim :

Dis-toi pourtant ou soit conscient

Qu’dans l’intelligence  … Y’a « d’ l’indulgence ! »…

 

Et que la vérité , sera l’honnêteté.

Et puis que rien ne blesse , quand on la sagesse

On peut « craindre » parfois , mais si on a la foi

On gardera l’allégresse ;  nos « lettres de noblesse » …

 

C’est vrai qu’la vie n’est pas toute rosecrois-moi :

Y’a des hauts , y’a des bas , y’a des cas …

Et l’amour n’est pas l’ « pot au rose » je conçois

Y’a défaut , y’a débat même là …

 

 

                      

 

 

* :Pollux est un Dieu Grec dans la mythologie, ...il était , avec son frère Castor , considéré comme un "Dioscure" : qui veut dire "fils de dieu" , en locurence le fils de Zeus ...

 

 



MARCHE !! ( Clip Odette Simard)

Publié le 30/01/2009 à 03:00 par moltaldocompo Tags : demain sur vie bonne prix heureux place texte sourire musique

      texte ; Jacqueline Labeyrie    Musique / Moltaldo patrick          

 

Est-ce que t’as eu raison
Est-ce que tes doutes , tes questions
T’ont fait choisir la bonne route
Où n’ont fait qu’assurer tes doutes et tes chagrins
Est-ce que de c’la tu es certain ?:
de fréquenter le bon chemin
Qui te mènera où tu veux ?
te rassurer sur ton destin
Et surtout « qui » te rendra plus heureux ?

Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache Ce qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , « roule ! »
Vers ta destinée , celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite (longue) et monotone
marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix

N’écoute pas les autres
conseillers , bons apôtres
Qui ont toujours peur de demain
qui t’ barreront l’ chemin . pense à ton avenir
Bats-toi et garde le sourire
Demain il ne sera plus l’heure
Accroche toi à ton bonheur
Construit ta voie , et tes desseins …
et fais qu’ ton avenir soit plus serein …

Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , roules !
Vers ta destinée celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite et monotone
marche dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix


Est-ce que t’as eu raison
Est-ce que tes doutes , tes questions
T’ont fait choisir la bonne route ?
Où n’ont fait qu’assurer tes doutes et tes chagrins
Est-ce que de c’la tu es certain ?:
de fréquenter le bon chemin
Qui te mènera où tu veux ?
te rassurer sur ton destin
Et surtout « qui » te rendra plus heureux ?


Alors marche ! Dans le sens de ta vie
Détache Ce qui te retient sans relâche
Personne ne prendra ta place , « roule ! »
Vers ta destinée , celle qui te chamboule
Ouvre les yeux et abandonne
La route étroite, et monotone
marche ! Dans le sens de ta vie
Détache c’qui te retient sans relâche à tout prix



UN VILLAGE (1994)

Publié le 30/01/2009 à 03:00 par moltaldocompo Tags : sur pouvoir voiture oiseaux mer
UN VILLAGE (1994)

         

Loin de la famille et loin des « prêtres voisins » , loin de toutes les filles des tables et de notre pain ,
Pas loin de la ville et à portée de la main , posé comme une île sur l’océan du destin …
Au bout de la route où terminent les lumières , où le soir on écoute le vent chaud sur la terre ;
Au dessus des brumes et des oiseaux blancs d’la mer , loin des autoroutes mais pas des chemins de fer ...

Ref : « Se trouve un village , un petit pont et une fontaine ,
quelques siècles d’age trahissent ses murs et sa chapelle .
Aux détours des sentiers , on peut y voir son clocher ,
le vert de ses pâturages , tous les moutons et le berger … »

Quand vient la saison , quand on cueille la lavande , on peut voir les mules et les charrettes qui attendent
P’r charger les parfums des corso-fleuris d’été , prétexte légitime pour pouvoir y monter .
On y va le soir ou le Dimanche matin , la veille de noël on emprunte son chemin ,
Quand nos vies se perdent comme l’espoir du naufragé , on lève la tête pour regarder le sommet ...

Ref : « Où se trouve un village , un petit puit et une forêt ,
quelques siècles d’age trahissent son lierre et ses pavés .
Aux détours des sentiers on peut sentir le laurier
Courir dans l’ champs de blé , s’allonger à l’ombre des cyprès … »

Si t’as la force d’affronter tes chagrins ; si ta compagne te tire d’touts les pétrins ;
Si tu réussi là où les autres luttent en vain ; si t’as une voiture et que ton poste te soutien ;
Loin des autoroutes , pas des chemins de fer ; effort de volonté mais pas solitaire ;
T’auras pas besoin d’la mer et les oiseaux ; de touts les endroits , les places et les plateaux ...

Ref : « … Où se trouve un village , un petit pont et une fontaine ,
quelques siècles d’age trahissent ses murs et sa chapelle .
Aux détours des sentiers , on peut y voir son clocher
le vert de ses pâturages , tous les moutons et le berger … »

 



VOTRE DETTE EST L'HONNEUR

Publié le 30/01/2009 à 03:01 par moltaldocompo Tags : 1918 enfants 1914 fusil lame tranchée guerre
VOTRE DETTE EST L'HONNEUR

     

 

               

 

Des larmes plein les yeux , le fusil dans les mains
Et les pieds dans les creux , la tranchée creusée à la force des mains …
Les hommes attendent le « feu » , l’ordre qui fera pâlir
Pour l’assaut « généreux » en vies humaines ; le sang qui va s’engloutir
Dans la terre humide de pluie et tu vois , toi ...que ces enfants ne « veulent pas » ! …

« Aux Armes citoyens ! brandissez bien vos armes , vos lames ,
Et visez prés du cœur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Votre dette est l’honneur! »

Pas question d’drapeau blanc ; pas d’instant de trêve , de répits
On lev’ra pas le camp tant que les ennemis n’auront déguerpis
On nous a parlé de bravoure , d’allure téméraire :
Qu’il nous faut quitter « l’amour » pour défendre mieux nos terres , de nos tranchées.

Le souffle s’accélère sous le casque serré ;
Et sous la jugulaire les dents claquent et les gorges , elles sont nouées …
Et l’assaut est donné ….Et les yeux pleins de larmes
J’avance , avec comme cris aux cœurs …:

« Aux Armes , aux armes citoyens brandissez bien vos armes , vos lames
Faites gouter la terreur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Votre dette est l’honneur! »

"Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras.
Égorger vos fils, et vos compagnes!
Alors « Aux armes citoyens , aiguisez bien vos armes , vos lames
Faites gouter la terreur

« Aux Armes , aux armes citoyens ! brandissez bien vos armes !, vos lames !
Et visez prés du cœur !... »
« Aux armes , aux armes citoyens ! Essuyez donc vos larmes , vos lames :
Faites gouter la terreur !... »
« Aux Armes , aux armes citoyens ! brandissez bien vos armes !, vos lames !
Votre dette est l’honneur! »

 



PEUT-ÊTRE ? (Labeyrie/ Simard)

Publié le 30/01/2009 à 03:01 par moltaldocompo Tags : texte musique center vie fond
PEUT-ÊTRE ? (Labeyrie/ Simard)

 

 

Votre regard qui la juge

Et pour elle c’est comme un déluge

Mais qu’a t elle de plus ou de moins ?

Pour qu’ vous la laissiez dans un coin ?

 

Peut-être quelques kilos en trop ?

Est-t’elle pour autant méprisable .?

Je vous vois comploter dans son dos

Pour vous elle est infréquentable

 

Toujours porter un jugement

Tout ça est bien dans l’air du temps

Mais certain’ment qu’ vous oubliez

Qu’les autres aussi vous ont jugés

 

Peut-être la couleur de sa peau

Vous fait fuir - hâlée un peu trop ?

Si vot’ cœur est couleur de pierre

Il n’y a pas de quoi être fier

 

Peut-être sa vie qui, différente

Simple et pas du tout luxuriante

Vous empêche d’avoir confiance ?

Vous la jugez « sans importance »

 

Toujours porter un jugement

Tout ça est bien dans l’air du temps

Mais certain’ment qu’vous oubliez

Qu’les autres aussi vous ont jugés

 

elle ne va pas changer sa vie

elle ne va pas changer de peau

elle fera ce qu’elle a envie

peut être gardera t elle ses kilos ?

 

Je sais bien que vous la tolérez

Bien plus que vous n’ pouvez l’aimer

Mais au fond c’est bien vous que je plains

elle va continuer son chemin

 

Toujours porter un jugement

Tout ça c’est bien dans l’air du temps

Mais certain’ment qu’ vous oubliez

Qu’les autres aussi vous ont jugés

 



De la Corniche aux calanques de Marseille

Publié le 30/01/2009 à 03:02 par moltaldocompo Tags : texte sport roman mer sur photos argent cadre rouge concours
De la Corniche aux calanques de Marseille

 

              

 

 

 1 Des Catalans au Roucas Blanc                 2 Sur le beau du vallon d'Oriol      

 Vous en aurez pour votre argent                  Le Prophète a tenu parole :            

Quand Endoume cache en secret                       La plage de sable, l'aubaine         

 L'anse de la fausse monnaie.                            Incite à ce que l'on se baigne.  

 Le vallon des auffes sans corde                        Pas besoin de joindre Rio              

 Est aussi charmant, je l'accorde                        Ou de rêver à des "Palm Beach"  

  Et de ces maisons de pêcheurs                        Avec les plages du Prado            

  S'exhale un fumet bien meilleur.                       Qu'on aperçoit de la corniche.

                                              

  

 Refrain   Sur la corniche de Marseille                                       

 On découvre mille merveilles              

   Et tous ceux qui vivent ici   

 Peuvent se croire au paradis ?

  

                     

3 De Pointe-Rouge aux Bains des Dames         4 Susgiton, Sormiou, Luminy, 

 A Callellongue, l'on se pâme :                              Tous les randonneurs sont ravis    

 Montredon, Samena, Les Goudes                           Dans les calanques de calcaire     

 C'est un décor trés "very good.                              Du massif de Marseilleveyre.       

   Tiboulen, Maïre, Jarre et Riou                             Illuminée d'un clair de lune,         

 Sont les pendants, les beaux bijoux                         La mer est un plateau d'argent    

  De la côte échancrée de criques                          Piqué de quelques tâches brunes  

 Formant un cadre magnifique.                               Que sont les îles sous le vent.  

  

                                                                                                    

                              Refrain        Dans les calanques de Marseille            

                                                  On découvre mille merveilles                     

                                                  Et tous ceux qui vivent ici   

                                                   Peuvent se croire au paradis ?  

 
   Ci-dessous :
La chanson version Acoustique !

           



La mer deviendra ton bonheur

Publié le 30/01/2009 à 03:03 par moltaldocompo Tags : histoire femme sur roman jeune mer voiture
La mer deviendra ton bonheur

 

Jeune femme qui avance au bord d’la route, dans tes états d’âmes, tes doutes …
Tu marcheras dans le brouillard des ports, une simple laine sur ton corps …
Dans ton histoire que des défaites, et aucune chance d’être libre
Et par la cause de ta faiblesse, « ils » t’ont plongés dans l’agonie …

Vivre enfin, survivre, sur les trottoirs, comme du bétail,  livrée  aux bars,…
à tous ces fauves !
Tu pleurais sur ton sort et tes valises ; priait au porche d’une église, espérant vivre mieux …
Tu recevras quelques pièces données , grâce à un peu « d’humanité » …
Tu te coucheras sur quelques feuilles de papiers, essayant de rêver pour oublier …

Et tu viendras frapper au seuil de nos portes ,on  tentera de t’aider, faire que tu t’en sortes
Toi qui loin de ton pays , de  ta famille rompue ;
De ta source , tes racines ,  a tout perdu !

Sans aucun toit que celui de ta coiffure ;:  pauvre de toi femme ! ,  créature ! …
Les matins sans cafés, sans toiture  juste sous une bâche dans une voiture ... cassée , abandonnée ...
Et Tu chercheras dans  les couloirs   des ports         qu’on te donne « hospitalité »
Et tu pourras peut être un jour toi dans un    bord     t’embarquer     en liberté  …..


Et tu tendras les voiles à bord d’un grand bateau
Tu laisseras  le mistral te souffler  dans le dos 
Et tu mettras le cap vers de nouvelles terres
En noyant  le  passé dans la mer
Jeune femme qui avance vers la gloire
D’effacer  ta  souffrance,   ta  peur
Prends ta revanche sur " ton océan d’histoire" !
Jeune femme:  la mer deviendra ton bonheur
Jeune femme quittant les terres et les douleurs
Jeune femme la mer deviendra ton bonheur
Jeune femme quittant les terres et ses douleurs

 

 



FORMULE MAGIQUE (1996)

Publié le 30/01/2009 à 03:03 par moltaldocompo Tags : moi nuit
FORMULE MAGIQUE (1996)

 

             

 

Depuis la nuit dernière ,   j’y ai  encore  rêver

Depuis le soir d’y hier , je n’y fait que penser

Elle est venu d’ailleurs , elle m’a ensorcelé

Elle a troublé mon cœur , oui elle m’a inspiré

 

Je me souviens encore de sa silhouette, de son corps

Et tout était magique , elle était magnifique

Ses yeux bleus … le blond de ses cheveux

Son visage ….. L’Amour l’a rendait si sage  …

 

Ref : ( bis)    Instant de tendresse c’était une formule magique

                      Instant de caresse ce fut de la folie

                     

Quand on s’est retrouvé ;  là on s’est tout avoué

Et on s’est bien juré de ne plus se quitter

Elle n’avait plus le choix , elle était faite pour moi

Je n’avais plus le droit , non de la décevoir

 

Ref : ( bis)    Instant de tendresse c’était une formule magique

                      Instant de caresse ce fut de la folie

 

Elle est venu d’ailleurs , elle m’a ensorcelé

Elle a troublé mon cœur , oui elle m’a inspiré

Ses yeux bleus… le blond de ses cheveux

Son visage .. L’Amour l’a rendait si sage  …

 

Ref : ( bis)    Instant de tendresse c’est une formule magique

                      Instant de caresse ce fut de la folie



C'EST UN HOMME AUSSI !

Publié le 30/01/2009 à 03:04 par moltaldocompo Tags : tendresse vie moi monde homme femme sur nuit pensées aime place
C'EST UN HOMME AUSSI !

         

     

 

Il n’a que de la crainte pour ses ennemis ,
de l’espoir pour ceux qui ne l’ont pas suivis ,
Une phrase de tendresse pour ceux qui sont assis :
« Fer de lance » de cœurs ouverts pour la vie …
À sa place que j’envie , je veux être étranger ;
m’éloigner de ce trône , de responsabilités ,
Comme un grade critiqué que l’on aime convoité ;
Réussite acquise en qu’elle simplicité ?..

 

Ref : Rappelant nos élans pour nous canaliser ,
acceptant nos talents comme des « forts piolets » ;
Le sommet à atteindre , c’est notre identité ;
La descente : le retour pour tout recommencer …

 

Dans sa voix j’ai entendus déjà ce que je sais :
Aucunes plaintes , l’impression qu’il veut nous éclairer ;
Mais c’est lui le « Larousse » qui veut et qui nous conduit
vers des définitions que l’on peut oublier

 

. Et le soir parfois , j’ose pas imaginer
que le temps passe , que tout seul il nage dans l’ennuie ,
Que seule notre « errance guider » c’est son métier :
Sur qu’il fait pas comme nous mais c’est un homme aussi …

 

Ref : Le seul impact à sa vue est fait pour simplifier ,
les kilomètres parcourus sont pour enchevêtrer ,
L’dévouement qui est la somme de touts comptes
rendus pour arriver au sommet et recueillir son dût .

 

Le regard fait l’impact de c’qui est cible au touché
et rien n’est le hasard si c’n’est que pour se rassurer ,
Que l’on trouve pas étrange que l’on soit épauler ,
Par un homme sans femme qui n’est qu’un homme aussi
; Par un homme dévoué et pour tout le monde « ami »...

 

Et moi de mon domaine je le regarde passer ,
me pose des questions à propos de « promesses »
, Comparant la valeur des pas où il va marcher ,
mais à ma place y’a son cœur et toutes ses richesses ;
Les mêmes pensées que lui car c’est un homme aussi ;
Les mêmes rêves que lui car il est « homme » aussi ...

 

Ref : La couleur de sa robe est pour le distinguer
comme la lune dans la nuit est faite pour nous rappeler
, Qu’on a les pieds sur terre et qu’il faut convoiter ,
l’Amour est la Lumière qui nous est destiné

 

. Il connaît les chemins qui mènent au paradis ,
les idées et les guerres des fous qui nous dévient :
Pas l’arbitre sur terre , lui se tient en replie :
Sa seule « arme » c’est lui car c’est un homme aussi …
Sa seule « arme » c’est lui car il est « homme » aussi ...

 



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