Nom du blog :
ancpm
Description du blog :
Blog de l'Association Nationale des Cadres de la Police Municipale, Chefs de Services et Directeurs
Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
10.02.2010
Dernière mise à jour :
18.05.2020
>> Toutes les rubriques <<
· Actualités PM / PN / GN (358)
· Dossiers spécifiques (54)
· Efficacité personnelle (214)
· FPT (537)
· Gens du voyage (72)
· La filière (191)
· La PM dans la presse (119)
· Management (63)
· Nos disparus (44)
· Prévention délinquance (618)
· Questions / Réponses officielles (766)
· Règlementation (305)
· Statut (451)
· Vidéoprotection (84)
· Vie de l'ANCPM (90)
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or ancpm
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· Concours et examens Police 2012
· MAÎTRE-CHIEN DE LA POLICE MUNICIPALE
· Examen professionnel de chef de service de police municipale
· Réglementation du stationnement des caravanes
· La PM : nouveau débouché pour les ADS ?
· Transfert des pouvoirs de police au président de l'EPCI
· Voirie : plaques de rue, apposition, réglementation
· Vigilance autour des bâtiments publics
· FPT : objectif de 20 % de femmes dirigeantes
· Donner la mort à un chien et état de nécessité
· Bienvenue
· Détachement au sein sa collectivité
· Sécurité routière. Installation miroirs : réglementation
· Nombre de policiers tués stable
· Déneigement des trottoirs
· Vacances moyenne montagne 66
· expertpublic.fr
· Vacances près de Bergerac (24)
· Location saisonnière bassin d'Arcachon
actualité ag ancpm animaux annonce argent art article assemblée générale aurélie bande blog
Derniers commentairesvenant d'apprendre en ce jour de 10 juillet le decés de fabrice j'adresse à toute la famille mes condoléances
Par Anonyme, le 09.07.2018
au vu de la grande différence et des non moins grandes contraintes de ce cadre d'emploi par rapport aux autres
Par FRANCOIS Claude, le 22.06.2017
je trouve cette réponse du ministre de l'intérieur complètement à côté de la plaque,car la demande concerne le
Par FRANCOIS, le 19.01.2017
effectivement les moyens pour les policiers municipaux sont minimes, en plus de plus en plus de mairie embauch
Par RIVER, le 06.01.2017
sont quand même pas gonflés les maires ... ce ne sont pas eux qui passent leur temps à expliquer en long en la
Par J Générator, le 11.10.2016
Après cette crise, nombreuses et nombreux seront celles et ceux qui, individuellement et/ou en équipe, auront besoin d'accompagnement.
Raymond MALLIA, après plus de 30 ans passés dans la filière depuis le grade de gardien stagiaire jusqu'au poste de directeur de la tranquillité, a suivi une formation de coach professionnel.
Aujourd'hui coach professionnel diplômé RNCP (Registre National des Certifications Professionnelles), il vous propose un accompagnement spécialisé pour devenir une meilleure version de vous-même ou transformer votre service en équipe gagnante, dans tous les domaines.
N'hésitez pas à le contacter pour de plus amples renseignements ou évoquer vos besoins ou vos inquiétudes.
Sa carrière, son parcours en Police Municipale, font certainement de lui l'un des mieux placés pour accompagner votre service vers sa meilleure version.
Selonle Conseil d’Etat, une simple attestation fournie par un adjoint au maire et prenant la forme d’un formulaire-type relatif à une demande de pension d’invalidité ne permet pas d’établir l’impossibilité pour la commune de reclasser son agent.
Après une mise en disponibilité pour convenances personnelles de cinq ans, un agent municipal d’entretien a sollicité sa réintégration et a été placé par le maire en disponibilité d’office « en attente de poste ». S’il a été reclassé dans le grade d’agent territorial des services techniques, il ne s’est vu proposer un emploi par la ville que sept années plus tard. Après avoir refusé ce poste, l’agent a alors demandé à la ville de l’indemniser du préjudice qu’il estimait avoir subi du fait de cette absence de reclassement durant toute cette période.
Face au refus de la commune, il a saisi le juge administratif qui en première instance comme en appel à rejeter sa demande de condamner la ville à lui verser une somme de 150 000 euros en réparation de ce préjudice. Il s’est alors pourvu en cassation devant le Conseil d’Etat qui vient de se prononcer.
Le Conseil d’Etat a tout d’abord relevé que pour établir l’impossibilité de reclasser son agent, la commune s’est contentée de fournir une simple attestation de l’un de ses adjoints au maire qui certifiait qu’il lui était impossible de trouver à l’intéressé un poste adapté ou un emploi de reclassement permettant à ce dernier de continuer son activité dans des conditions compatibles avec son état de santé. Ensuite, la Haute juridiction a indiqué que cette attestation consistait en réalité en un formulaire-type relatif à une demande de pension d’invalidité de l’agent et ne pouvait en aucun cas permettre d’établir l’impossibilité pour la commune de reclasser l’agent.
Aussi, le Conseil d’Etat considère qu’en appel le juge ne pouvait s’appuyer sur ce document pour rejeter l’argumentation de l’agent et renvoie l’affaire devant la cour d’appel compétente afin qu’elle soit jugée au fond sur ce point.
Alors que le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, dresse un premier bilan positif de la police de sécurité du quotidien (PSQ), les élus locaux, qui en attendent beaucoup, se disent perplexes et déplorent qu'ils ne soient pas davantage pris en compte.
En pleine crise des gilets jaunes, le premier anniversaire de la police de sécurité du quotidien (PSQ) aurait pu passer inaperçu. Un an jour pour jour après son lancement, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a profité d’un déplacement à Dreux, le 9 janvier, pour en faire un bilan positif.
Mesure phare du programme électoral d’Emmanuel Macron, et mantra affiché de l’ex-patron de la place Beauvau, Gérard Collomb, c’est le premier bilan officiel de cette réforme structurelle de la police, souvent comparée à celle de la police de proximité du début des années 2000.
Annonce de nouveaux « quartiers de reconquête républicaine »
Police « de contact et de protection », « sur mesure » et davantage présente sur la voie publique, la PSQ a tout d’abord bénéficié de nouveaux moyens financiers, matériels et humains, a souligné le ministre, se félicitant au passage du « retour de la République dans les quartiers » à travers les 15 quartiers de reconquête républicaine (QRR) mis en place en 2018.
Ce sont à chaque fois « entre 10 et 30 personnels supplémentaires qui ont été créés » a-t-il insisté, afin de lutter contre les trafics de drogue, des armes et la prostitution.
« Des avancées ont eu lieu, a-t-il résumé. La remontée en puissance du ministère de l’Intérieur se poursuit. Les moyens arrivent. Les commissariats et les gendarmeries se rénovent. Des effectifs nouveaux affluent et donnent un second souffle à la vocation de protéger. » Et de s’engager désormais à mettre fin aux tâches indues et mettre en œuvre la réforme de la procédure pénale, qui arrive au Parlement au printemps, ainsi que le continuum de sécurité préconisé par le rapport des députés Jean-Michel Fauvergue et Alice Thourot, qui vise à « raffermir la coopération entre l’Etat, les collectivités locales, les polices municipales, les associations et les acteurs de la sécurité privée ».
Seule annonce dans son discours : la mise en place de 17 quartiers de reconquête républicaine (QRR) qui viendront se rajouter aux 15 déjà dans les tuyaux. Ce sont donc 32 QRR qui seront mis en place cette année.
Si le bilan affiché par le ministre est resté généraliste, ne mentionnant aucun résultat précis, les élus locaux, qui attendent beaucoup de cette PSQ, ont réagi avec perplexité.
Dans un communiqué, le maire (LR) de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, qui est également co-président de la commission sécurité de France Urbaine, a déploré « les effets d’annonce du gouvernement », pointant l’absence de précisions « sur les moyens humains et les outils d’accompagnement (…) alors que je crains un report de charges des missions de la police nationale vers les polices municipales ». Autre grief avancé : « le manque de considération vis-à-vis des élus locaux (…) qui mènent au quotidien, sur le terrain et au contact des habitants, la bataille de la tranquillité publique ».
« Si on leur annonce des effectifs supplémentaires, on ne les informe pas sur la manière dont ils seront déployés, s’il s’agit réellement d’un renforcement d’effectif ou s’ils compensent des effectifs sur le départ », renchérit le Forum français pour la sécurité urbaine, qui plaide pour une meilleure concertation avec les élus locaux et « davantage de co-production ».
« Au sein des collectivités locales, de nombreuses pratiques à valoriser et à généraliser existent », souligne ce réseau de villes, qui réunit une centaine de membres, de droite comme de gauche. Et d’appeler à un « partenariat pour la mise en œuvre du suivi et de l’évaluation de la PSQ » avec la mise en place d’indicateurs déterminés ensemble et la création attendue du « Lab’PSQ » attendu depuis l’été 2018.
Dans son communiqué, le FFSU indique que la thématique de la « police comme acteur de la prévention » sera l’un des chapitres du livre blanc des Assises de la sécurité des territoires qu’il remettra en juin 2019 en vue d’une remise à plat de la loi du 5 mars 2007 sur la prévention de la délinquance.
Références
Source : lagazettedescommunes.com
Les agents sont attachés à la revalorisation de leur indemnité d’administration et de technicité (IAT).
Un hasard du calendrier. Ce mardi 5 février, l'appel à la grève lancé par les organisations syndicales de plusieurs corps de métiers et des Gilets jaunes, pour protester contre les mesures gouvernementales, touche l'ensemble de l'Hexagone. Le débrayage des policiers municipaux de Perpignan colle avec ce temps fort de la vie sociale.
Devant leurs locaux de l'avenue du Docteur Torreilles, entre 13 h 45 et 14 h 44 "et pas au-delà, pour exercer notre droit de grève sans être imputés de notre salaire", 70 agents de la police municipale de la capitale roussillonnaise se sont rassemblés, "unis" insistent-ils, et ont protesté contre leurs conditions de travail. Ceux en service se sont désarmés, ceux qui ne travaillaient pas sont restés en civil.
"D'après le code de la sécurité intérieure, nos priorités sont de faire appliquer les arrêtés du maire et veiller à la salubrité publique, explique un agent. Et non d'assurer des missions proches de celles de la police nationale comme maintenir l'ordre pendant des mouvements sociaux ou déloger les dealers." En outre, les policiers municipaux de Perpignan protestent contre le gel de leur indemnité d'administration et de technicité (IAT) : ils réclament un indice à 8, et non plus à 3 comme actuellement.
Chantal Bruzi, adjointe à la sécurité publique, réagit : "Je réorganise en profondeur en ce moment la police municipale avec l'aide des syndicats. Je suis toujours à l'écoute de nos agents. Je leur avais dit qu'en 2019, l'IAT devrait passer à 4. Mais j'ai pris acte de cette nouvelle demande. Cela mérite des calculs : il en va des impôts des Perpignanais. Que les agents de la police municipale le sachent : je resterai avec le maire Jean-Marc Pujol à leurs côtés. Mon bureau leur est ouvert."
La maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a annoncé vendredi la création en 2020 d'une police municipale armée de matraques, suscitant le trouble dans l'aile gauche de sa majorité qui a dénoncé un revirement sans concertation.
Sous réserve de l'accord de l'État pour maintenir les effectifs de police nationale dans les commissariats de la capitale, la future force comptera 3.400 policiers municipaux équipés de matraques "Tonfa", une arme "non létale" mais considérée comme dangereuse, de gaz lacrymogène et de gilets tactiques pour faire respecter, selon les mots de la mairie, les "règles du quotidien".
Au journal Le Parisien qui lui rappelait son opposition antérieure à une police municipale, Anne Hidalgo a répondu que la situation avait "évolué".
Après six mois d'études et un audit, Mme Hidalgo écrira en février au ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, pour le saisir de son projet. La mairie souhaite "la signature d'un contrat avec l'État" pour encadrer la mesure et s'assurer qu'"il n'y aura pas moins de policiers dans les commissariats" en contrepartie.
"Policiers de la préfecture de police et policiers municipaux n'auront pas les mêmes missions. Il y aura une complémentarité entre eux mais pas de substitution", assure la Ville de Paris, qui prévoit un budget de 2 millions d'euros en masse salariale, et 1.5 million pour l'achat d'équipements en 2019.
- "Elle s'est mise hors du cadre de la majorité" -
L'aile gauche de la majorité municipale parisienne a aussitôt dénoncé une décision prise alors qu'elle ne figurait pas dans le "contrat de mandature".
"La maire a pris sa décision seule hors du cadre de la majorité. Elle s'est mise hors du cadre de la majorité", a réagi auprès de l'AFP Nicolas Bonnet Oulaldj, chef de file des élus PCF et Front de gauche au Conseil de Paris.
Sur le fond, les communistes, une composante indispensable à la majorité de Mme Hidalgo avec leurs 13 élus, estiment que l'annonce faite vendredi "ne remplacera jamais ce qui fait partie de nos obligations et le c?ur d'une politique de gauche, c'est-à-dire la prévention, la médiation, l'éducation et la protection des mineurs".
Les élus de ce groupe et ceux de Générations et du groupe écologiste ont quitté, en signe de protestation, une réunion organisée par le premier adjoint et l'adjointe chargée de la sécurité. Ils ont également décliné ensuite une rencontre avec Mme Hidalgo.
"C'est à (Anne Hidalgo) de faire fonctionner sa majorité jusqu'à la fin. On ne peut pas avoir une majorité avec un coup de force permanent", a déclaré à l'AFP David Belliard, chef de file des Verts d'EELV au Conseil de Paris.
Le député de centre-droit "Macron-compatible" Pierre-Yves Bournazel, candidat à la mairie dans un an et favorable à une police municipale, a lui aussi fait mine de s'étonner d'une annonce "qui en vient à surprendre sa propre majorité", et a réclamé que la décision soit soumise au vote du Conseil de Paris.
Pour le groupe municipal LREM, qui prône une police municipale "d'arrondissement", Mme Hidalgo se contente de "renommer sa brigade de lutte contre les incivilités". Celle-ci compte actuellement 3.200 agents, et se verra adjoindre 200 nouveaux membres.
Le maire LR du XVe Philippe Goujon déplore "un ersatz de police municipale", soulignant que son groupe demande "une police armée avec des pouvoirs renforcés" qui puisse avoir accès à des fichiers de police, comme ceux des objets volés ou des personnes recherchés.
Selon les derniers chiffres communiqués par la préfecture de police, il y a eu moins de braquages mais plus de violences physiques en 2016 à Paris et ses départements limitrophes (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine).
Source : portail.free.fr
Ce qui est sûr, c’est qu’ils génèrent chez nous énervement, impatience, déception, colère ou impuissance. Ou…est-ce possible que cela ne soit pas vraiment leur faute que l’on se sente mal ainsi ? Ne serait-ce pas chez nous que le problème se situe ? Ou plutôt, en nous-mêmes ?
ExempleImaginez… Votre journée vient à peine de commencer et vous avez un agenda bien rempli. Hier, vous avez travaillé tard pour vous préparer à ces entretiens de fonctionnement fixés aujourd’hui avec vos collaborateurs. Vous avez envie de les mener, car vous êtes en phase avec votre équipe. Vous êtes prêt à démarrer le premier entretien lorsque le téléphone sonne. Vous pensez encore « Vais-je décrocher … ou non ? » Comme vous êtes consciencieux, vous le faites.
Le directeur des ventes vous demande que cette offre, qui aurait dû être envoyée il y a deux jours au client, soit remise aujourd’hui avant le lunch. « Oui, désolé, nous le savions depuis hier matin déjà, mais l’Italie est venue entretemps, et donc nous avons oublié de vous la transmettre. Assurez-vous que les spécifications techniques soient en ligne avec l’ISO 14001. Et vérifiez à la fin l’effet sur la clause juridique, s’il vous plait, car nous ne voulons pas bruler nos cartes. Nous attendons après, alors dépêchez-vous ! »
Une requête déraisonnable ? Oui. Des raisons pour jurer, crier, hurler ? Oui encore.
Votre réaction ?Au fond de vous, que ressentez-vous ? Incrédulité, irritation, frustration, déception, voire colère… Votre corps s’y met lui aussi : votre rythme cardiaque s’accélère, vos narines s’élargissent, vous avez les muscles qui se raidissent aux épaules et au cou. Toutes des réactions automatiques à une expérience désagréable.
Et c’est précisément dans ces réactions que se trouve la clé de l’approche adéquate pour gérer des collègues difficiles ou des événements imprévus. Tous les jours, vous êtes confronté à des choses qui échappent à votre contrôle, mais ce que vous pouvez changer, ce sont vos réactions à ces événements indésirables.
Offrez-vous un ‘check-in’ mentalAppliquez ces 10 étapes autant que possible et soyez confiant que vous trouverez la bonne réponse, même dans une situation pénible. Vous verrez que les soucis, les exigences et les obligations, qui peuvent être si oppressantes, finiront par diminuer. Vous comprendrez ce qu’une situation requiert et vous pourrez de mieux en mieux la traiter correctement et gentiment.
Et ce collègue, qu’il soit incompétent, désordonné, paresseux, je m’en-foutiste, ennuyeux, pas fiable, pas pratique ou difficile, ne saura pas ce qui lui arrive.
Source : chooserightside.com