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jamais un président n a autant impacté négativement ma vie ! femme violentée j ai fui avec mes 2 enfants non
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oui http://justice republicaine.c enterblog.net
Par justicerepublicain, le 09.10.2023

c'est inadmissible toutes ses aides a l'ukraine, nous payons nos mutelles chères, dans ce cas bien précis la,
Par Anonyme, le 22.06.2023

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Date de création : 01.03.2012
Dernière mise à jour : 04.10.2024
160 articles


L’Etat de droit et les erreurs relevées sur ce débat

Publié le 04/10/2024 à 17:08 par justicerepublicaine Tags : pouvoir sur center place article

center;">L’Etat de droit et les erreurs relevées sur ce débat

 

Selon les propos relevés dans une intervention du nouveau ministre de l’Intérieur, M. Retailleau, l’Etat de droit ne serait « pas intangible, ni sacré ».

Après être revenu partiellement sur ses propos, ce ministre de l’Intérieur a bénéficié du soutien de plus de 200 sénateurs dans une tribune publiée dans un journal, dont le sénateur (LR), Monsieur Karoutchi, qui affirment que « L’Etat de droit n’est pas immuable. Il évolue avec les lois que l’on vote ».

Il s’agit d’une erreur de droit impardonnable de la part de ces parlementaires précisément chargés de voter la loi.

Pour faire simple, l’Etat de droit, repose sur 3 pierres angulaires :

  • Le respect de la hiérarchie des normes ;

Soit, un "État dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée"

  • L’égalité des citoyens devant la loi ;

Cela implique que les personnes et les organisations reçoivent la personnalité juridique, en tant que personnes physiques pour les personnes, en tant que personnes morales pour les organisations

          La mise en place de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.

  • Le pouvoir de voter la loi (pouvoir législatif) ;
  • Le pouvoir d'exécuter les lois et pour ce faire d’édicter des règlements (pouvoir exécutif) ;
  • Le pouvoir de rendre la justice et non pas nécessairement le pouvoir judiciaire.

Voilà en peu de mots le problème résolu. Il ne s’agit pas de laisser entendre commme ces ânes parlementaires qu’il s’agirait simplement d’affirmer que la loi peut changer, peut être modifiée, peut évoluée. Cela est un sophisme et chacun le sait.

Pour en terminer, je vous renvoie à la lecture de l’excellent article de Monsieur FABIUS, président du conseil constitutionnel sous le lien suivant :

https://fr.news.yahoo.com/tribune-s%C3%A9nateurs-lr-soutien-%C3%A0-122343792.html



L'INCESTE POLITIQUE DE MACRON AVEC LE RN

Publié le 21/09/2024 à 09:49 par justicerepublicaine Tags : politique socié


L'INCESTE POLITIQUE DE MACRON

AVEC LE RN



Macron a commis ce qu'il convient de nommer un inceste politique avec le RN de Mme Marine LE PEN à la barbe de ses électeurs et de tous les citoyens.

Faisant fi des résultats du dernier scrutin électoral relatif aux élections législatives qu'il a lui-même provoquées par son droit de dissolution, il a mis des mois à consulter les divers partis en en privilégiant certains plutôt que d'autres avant de nommer un certain Monsieur BARNIER, premier ministre qui lui-même a mis deux longues semaines avant de constituer un gouvernement (GVT).

Même si tous les noms des ministres ne sont pas connus, de nombreux noms circulent et donnent clairement à penser que l'ancien parti EN MARCHE, devenu LREM, ne comporte plus aucune racine avec celles de 2017 et de 2022. La balance penche désormais nettement à droite extrême et l'extrême droite, SANS PROJET, SANS SOCLE COMMUN DE PROGRAMME, SANS COMMANDE PRECIS.

Comment MACRON a-t-il pu s'y prendre pour inverser, bouleverser à ce point les résultats du scrutin ? C'est très simple : il a commis un abus de pourvoir, donc en droit pénal, d’autorité (en matière de viol aggravé), sur les choix des français.

C'est la première fois que cela arrive sous la Vème République et sans doute la dernière puisqu'il l'a offerte en sacrifice sur l'autel de ses ambitions personnelles et de son autocratie.

IL DOIT DEMISSIONNER. EN CAS DE REFUS IL VA CREER LA CHAOS ET IL SERA DEMIS.



MACRON/BARNIER = bonnet blanc et blanc bonnet

Publié le 18/09/2024 à 15:26 par justicerepublicaine Tags : polit background center

MACRON/BARNIER = bonnet blanc et blanc bonnet

ALERTE LES LETTRES PLAFOND REFUSEES A BERCY. NOUS SOMME FACE A UN PRESIDENT ET 1 PREMIER MINISTRE DE BRAS CASSES INCAPABLES DE FORMER UN GOUVERNEMENT 
POUR CE DERNIER QUI NE SE TOURNE UNIQUEMENT QUE VERS LES LR. CA VA PETER.
 
ALERTE LES LETTRES PLAFOND REFUSEES A BERCY. NOUS SOMME FACE A UN PRESIDENT ET 1 PREMIER MINISTRE DE BRAS CASSES INCAPABLES DE FORMER UN GOUVERNEMENT POUR CE DERNIER QUI NE SE TOURNE UNIQUEMENT QUE VERS LES LR. CA VA PETER.
 
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MACRON L'ETERNEL NOVICE DE LA CHOSE PUBLIQUE

Publié le 27/08/2024 à 16:53 par justicerepublicaine Tags : politique société
MACRON L'ETERNEL NOVICE DE LA CHOSE PUBLIQUE
 
 
D'un coup de plume, MACRON a éliminé des millions d'électeurs du deuxième tour des élections législatives qu'ila lui-même provoquées par une dissolution insensée.
 
Il refuse la prise en compte des résultats des suffrages exprimés et veut une majorité stable pour le pays qu'il a divisé plus que jamais. De parti majoritaire il n'y a plus depuis sa réélection en 2022. A compter de cette date, il a gouverné avec des alliances opaques et des compromissions avec l'appui d'autres partis, notamment le R.N. qu'il dit avoir toujours combattu.
 
Bref il veut, comme un grand garçon qu'il n'a jamais été, créer une alliance majoritaire dans un pays où les partis sont aussi divers que nombreux.
 
Faut-il lui rappeler les fondamentaux en la matière ? Je m'en remets pour cela à un grand ancien constitutionnaliste français, Maurice DUVERGER, qui indiquait dans " in Les régimes politiques, Paris, Presses Universitaires de France, (Coll. Que sais-je ? no 289), 1960, p. 26-44." que :
 
"Dans un régime à partis multiples, les liens entre le Parlement et le gouvernement se relâchent en même temps que s'affaiblit la position de l'un par rapport à l'autre. Aucun parti ne dispose normalement de la majorité, on est obligé de recourir à des coalitions hétérogènes et changeantes, qui entraînent de fréquentes chutes de ministère en régime. parlementaire ; par ailleurs, le gouvernement étant formé de plusieurs partis rivaux, l'unité de vues y est très faible, et très grande la difficulté d'appliquer un programme cohérent et précis : on doit se borner le plus souvent à "l'expédition des affaires courantes" en attendant la prochaine crise ministérielle."
 
"Source de force gouvernementale en régime de dualisme des partis, cette rigidité devient au contraire une source de faiblesse, pour ne pas dire d'impuissance, si elle s'introduit dans un système de partis multiples. Parce que les partis sont nombreux, il n'est pas possible en effet que l'un d'eux possède la majorité dans le pays et au Parlement : force est donc de constituer des Cabinets hétérogènes s’appuyant sur des majorités de coalition. Mais la discipline de chaque parti s'oppose alors à toute solidité véritable de la coalition, à toute unité de vues réelle dans le gouvernement. On voit alors surgir une séparation des pouvoirs d'un type nouveau, sur le plan horizontal et non plus vertical. Chaque parti prend pour lui un certain nombre de ministères, où il s'établit en pays conquis : il y place ses fidèles, il y applique ses méthodes, il y expérimente ses idées, il y développe sa propagande. Le Conseil des Ministres ressemble alors à des réunions de grands vassaux sous l'autorité nominale d'un Président du Conseil, héritier du "petit roi de Bourges" : cet émiettement de l'autorité fait irrésistiblement surgir dans l'esprit l'image de la féodalité."


RESPECT DE LA CONSTITUTION ET DU BLOC DE CONSTITUTIONNALITE

Publié le 26/08/2024 à 15:54 par justicerepublicaine Tags : politique société sur center france place jeux article texte pouvoir
JE DÉNONCE LA CARENCE DU PRÉSIDENT MACRON
 
 
Voilà un président qui, immédiatementbaprès une élection européenne désavouant sa politique sur l'Europe et celle de son parti, dissout l'Assemblée nationale et convoque les électeurs à de nouvelles élections dans le temps minimum requis par la Constitution.
 
Depuis 2022, ce président ne bénéficie que d'une majorité relative d'où le recours excessif à l'article 49-3 de la loi Suprême malgré ses arrangements et compromissions avec tel ou tel parti, celui des LR, avec un certain Monsieur Ciotti à sa tête qui, désormais ne représente que lui-même avec une frange de députés extrémistes et celui de RN qu'il prétend avoir combattu alors qu'il n'a cessé de favoriser.
 
Voici un président qui a refusé la démission du 1er ministre après son échec cuisant avant de l'accepter le 16 juillet 2024 et qui laisse son premier ministre et le Gouvernement (GVT) gérer les affaires dites courantes jusqu'à ce jour :
 
Élections législatives, résultat :
 
image
 


Après ce qu'il a dénommé une trêve politique pendant la période des Jeux Olympiques, il consulte depuis vendredi 23 août, les responsables des partis politiques, les chefs des groupes parlementaires, les présidents des 2 assemblées, faute pour les partis politiques d'avoir constitué des ensembles capables de créer des majorités.
 
Deux propositions de candidats pour occuper ce poste lui ont été présentés par le groupe NFP, auxquelles il n'a pas officiellement donné suite.
 
La Constitution de la 5ème République énone en son article 4 : "
Version en vigueur du 05 octobre 1958 au 09 juillet 1999
"Les partis et groupements politiques concourent à l'expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie."
Dans sa décision  59-2 DC du 24 juin 1959, le Conseil constitutionnel a refusé que les autorités parlementaires (Assemblée nationale et Sénat) puissent contrôler que les partis politiques respectent « les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie »
 
Selon le constitutionnaliste Guy Carcassonne, cette décision avait pour objectif de ne pas mettre le Parti communiste français hors-la-loi.
 
Le président Macron, bafouant la Constitution de 1958 et sa pratique, entend donner une place inquiétante aux partis politiques et s'emparer d'un pouvoir qu'il ne détient pas, celui de se construire un GVT à sa convenance alors que le premier parti sorti des urnes peut parfaitement trouver des compromis pour construire des majorités d'idées sur tel ou tel texte.
 
La Constitution de la 5ème République se meurt avec un président autocrate, hors de tout contrôle, imprévisible et présentant une personnalité perturbée.
 
Le recours à l'article 68 de la Constitution me parait devoir être la seule solution ; DESTITUTION.


COMPOSITION NOUVELLE ASSEMBLEE NA APRES DISSOLUTION

Publié le 07/08/2024 à 14:05 par justicerepublicaine Tags : politique

POUVOIRS TAISEUX POUR LA PALESTINE = criminels

Publié le 04/08/2024 à 11:03 par justicerepublicaine Tags : pouvoir

@Portes_Thomas

 
"Terrible. L’armée israélienne a bombardé des familles qui étaient dans des tentes dans le jardin de l'hôpital Al-Aqqsa à Deir al-Balah. Chaque jour les criminels de guerre israéliens poursuivent méthodiquement leur plan génocidaire pour rayer de la carte le peuple palestinien."
 
QUE FONT LES POUVOIRS, tel que le pouvoir français, à part livrer des armes à ISRAËL ? QUE FONT ILS A PART DONNER DES CONSIGNES AUX FRANCAIS EN ISRAËL ET AU LIBAN DE RENTRER AU PAYS ?
 
CE SONT DES FEIGNASSES, DES FLEMMARDS? DES VAURIENS, DES BRANLEURS, DES LÂCHES DES CRIMINELS.
 
LUTTONS EN FAVEUR DE CES PEUPLES OUBLIES DES PUISSANCES OCCIDENTALES !
 
https://www.hrw.org/fr/news/2022/07/06/les-promesses-non-tenues-de-macron-sur-le-liban#:~:text=La%20position%20de%20la%20France,suis%20l%C3%A0%20pour%20vous%20aider%20%C2%BB.
 


MACRON ET LES DEPENSES

Publié le 30/07/2024 à 11:01 par justicerepublicaine Tags : POLITIQUE
Les dépenses en cocktails et dîners de l’Élysée explosent, la Cour des comptes appelle à la "vigilance"

https://actu.orange.fr/politique/les-depenses-en-cocktails-et-diners-de-l-elysee-explosent-la-cour-des-comptes-appelle-a-la-vigilance-magic-CNT000002eAn3T.html



La lexicographie dans la Constitution du 4 octobre 1958

Publié le 27/07/2024 à 14:25 par justicerepublicaine Tags : POLITIQUE

La lexicographie dans la Constitution du 4 octobre 1958

 

L'article 8 de la Constitution donne compténce au président de la République la compétence de nommer le 1er Ministre :"Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement."

Sans s'immerger dans des constructions sémantiques plus ou moibs stériles, il n'est pas indifférent d'avoir recours auxdictionnaires monolingues du français afin de détrminer le sens des verbes "nommer" et "désigner". 

En premier lieu, il convient d'écarter le verbe choisir que le président actuel voudiat bien substituer au verbe "nommer".

Le Constituant a choisi d'adopter le verbe "nommer". Point. Si nous pouvons comprendre que le président Macron aurait bien vouloir choisir le premier nouveau premier ministre en cas de succès électoral de son camp apès la dissolution à laquelle il a inopportunément procédé par le seul fait de sa colère le jour de sa défaite électorale aux élections européennes, force est de constater que'il ne peut prétendre tordre la Constitution.

Nous ne seront pas longs et pour caues et nous nous inspirerons pour écrire ce billet des travaux publiés par Messieurs Bruno CourbonCamille Martinez, dans langue Française 2012/2 N°174.

Désigner "est défini par quelques verbes tels que « destiner » [Fur., DAF1-8, Fér., TLF], « nommer » [DAF1, Fér., Litt.], « choisir » [Litt., GLLF, TLF, Lex., DAF9, GR], « déterminer » [Hatz.], « qualifier » [TLF, GR], « investir » [Lex.]. Quant à la fonction assignée, elle prend plusieurs appellations, qui se diversifient surtout au XXe siècle : il s’agit d’« une charge » [Fur., DAF1-9, TLF], d’« une autorité » [Fur.], d’« une dignité » [DAF1-9, GR], d’« une destination » [Hatz.], d’« une activité » [GLLF, GR], d’« une responsabilité » [GLLF], d’« un emploi » [TLF, GR], d’« une fonction » [TLF, Lex., DAF9], d’« un rôle » [Lex., GR], d’« une mission » [GR]." (...) "Si les objets sur lesquels porte l’action de désigner sont peu nombreux dans les définitions (« une personne », « une chose », plus rarement « un lieu », comme dans le DAF9), en revanche les moyens d’y parvenir sont nombreux. D’une part, on relève des marques purement linguistiques : « par des expressions » [DAF1-8], « par son nom » [Hatz.], « en nommant, en expliquant » [TLF], « au moyen d’un mot, d’une phrase » [DAF9]."

Le Consitutant de 1958 a exclu le verbe édsigner", donc par le nom, et a lui a préféré le verbe "nommer".

"Nommer", "dans un deuxième sens très concret qui consiste à attribuer officiellement une fonction sociale à quelqu’un (il s’agit donc d’une restriction du sens précédent), désigner est défini par quelques verbes tels que « destiner » [Fur., DAF1-8, Fér., TLF], « nommer » [DAF1, Fér., Litt.], « choisir » [Litt., GLLF, TLF, Lex., DAF9, GR], « déterminer » [Hatz.], « qualifier » [TLF, GR], « investir » [Lex.]. Quant à la fonction assignée, elle prend plusieurs appellations, qui se diversifient surtout au XXe siècle : il s’agit d’« une charge » [Fur., DAF1-9, TLF], d’« une autorité » [Fur.], d’« une dignité » [DAF1-9, GR], d’« une destination » [Hatz.], d’« une activité » [GLLF, GR], d’« une responsabilité » [GLLF], d’« un emploi » [TLF, GR], d’« une fonction » [TLF, Lex., DAF9], d’« un rôle » [Lex., GR], d’« une mission » [GR]."

SANS PLUS D'EXPLICATION LES FAITS SONT TÊTUS MAIS CLAIRS, le président de la République ne chosit pas, ne désigne pas, il nomme.

Dans uns situation financière et économique très tendue, une situation sociale, de l'emploi, plus que précaire, un paupérisation des travailleurs du public et du privé jamais connue, et j'en passe, La FRANCE ne peut se permettre de céder au fait du Prince qui veut gagner du temps pour diviser les oppositions et trouver une entente fragile entre certaines de ses oppositions et sa maigre représentation à l'ASSEMBLEE NATIONALE. CE N4EST PAS SERIEUX. LE TEMPS PERDU NE SE RATTRAPPE PAS ! ALORS QUE LE PRESIDENT N'EST PAS VOUS LA Vème REPUBLIQUE CHEF DE PARTI ET QU'IL SE COMPORTE COMME TEL, IL DOIT SE SOUMETTRE ET NOMMER 1 PREMIER MINISTRE DANS LE GROUPE DE TÊTE DE L'OPPOSITION OU DE DEMETTRE.

 

A BON ENTENNDEUR, SALUT.



L'élection de la présidente de l'A.N.est nulle

Publié le 24/07/2024 à 14:57 par justicerepublicaine Tags : politique socié homme article roman société carte

roman, new york, times, serif; font-size: large;">L'élection de la présidente de l'Assemblée nationale est nulle roman, new york, times, serif; font-size: large;">LA Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789

roman, new york, times, serif;">Mme Yaël BRAUN-PIVER (Yaël Braun-Pivet) a été élue présidente de l'Assemblée nationale grâce aux 17 voix du Gouvernement composés  de députés élus ou réélus à l'Assemblée nationale à la suite de la dissolution du président de la République décidée à un peu plus de mi-mandat de son 2ème quinquennat. Faute de majorité absolue et sa majorité relative devenant plus fragile, le chef de l'Etat à cru jouer une carte magique.
 
L'article 16 de la DDHC dispose que : "Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution."
 
Les ministres démissionnaires ne pouvaient pas participer à ce vote et le Conseil Constitutionnel ne peut de prévaloir des précdents de1986 et 1988.
 
Aussi, l'annualtaion de l'élection de la présidente de l'Assemblée nationale doit être annulée et le Conseil Constitutionnel ne peut se déclarer incompétent.
 
A suivre...