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jeudi 16 février 2012

French according to Le Nain & Michelin

Quelques représentations de soldats français ou de nobles,vers 1635-45.
Some paintings of french soldiers and nobles around 1635-45.

Jean Michelin (vers 1616-1670) : Soldats au repos dans une auberge (Musée du Louvre).
 
 
Mathieu Le Nain (1607-1677) : Le corps de garde (Musée du Louvre).

 Mathieu Le Nain (1607-1677) : La réunion d'amateurs (Musée du Louvre).

dimanche 26 décembre 2010

Wallentein LeibGarde (Gardes du corps) 1627-30


Ottavio Piccolomini fut nommé, vers 1627-28, commandant de la Garde du corps de Wallenstein.
L'établissements des Gardes du corps à cheval est alors de 4 compagnies : une de lanciers cuirassés, une d'arquebusiers à cheval, une de dragons et une de Croates. Chaque compagnie comptait 100 à 150 chevaux. Une lettre de Wallenstein à Piccolomini, datant du 20 février 1628 parle d’une compagnie d’arquebusiers à cheval forte de 150 chevaux (à transformer en 2 compagnies de 100 chevaux), d’une compagnie de 150 dragons (à transformer en 2 compagnies de 100 chevaux).
Selon un règlement de Piccolomini, datant du 28 octobre 1628, les lanciers portaient une casaque en tissu de Pannonie à revers noirs et garnitures de soie rouge, et de gros boutons filés (übersponnenen) de soie. Ils portaient l’armure complète et la lance à pointe de fer avec étendard en soie légère de couleur or, et une houppe au bout de la lance. Les casaques des 14 sous-officiers sont ornées de garnitures en or et de boutons ouvragés (verziert) ; les parements des manches sont rouge carmin. Les quatre trompettes portaient des lacets de soie rouge de Turquie (Verschnürung auß roter türkischer Seide).
Les arquebusiers avaient un uniforme similaire. Ils ne portaient ni l’armure ni la lance, mais seulement un casque de fer (Kassette), une carabine, un poulverin, un sac à balles et une bandoulière rouge. Cette compagnie avait aussi 14 officiers et quatre trompettes.
Les dragons portaient le mousquet et étaient équipés pour le reste comme les arquebusiers.
Les Croates portaient des casaques à gros boutons ronds et avec franges (fransen) et passementeries (passamenten), un chapeau de fourrure rouge, une bandoulière rouge. Ils étaient armés de carabines.
L’équipement de ces quatre compagnies avait coûté 22 710 thalers, les plus coûteux étant les lanciers, les moins coûteux les dragons.
Il existe quelques informations sur les étendards de ces quatre compagnies de Leibgarde. Ils avaient à l'origine tous un motif et une devise différente :
- Le premier étendard portait un soleil éclairant de ses rayons un croissant de lune, avec la devise : Mutuando splendorem, stellis splendidior.
- Le second devait représenter un lion attaquant des anmaux qui s’échappent, avec la devise : “omnia vincit” ou “omnia cedant”.
- Le troisième étendard devait représenter un lion pointant sa patte vers une roue ou une boule, symbole du bonheur; avec la devise : “mea haud luditur unguis”.
- Le quatrième étendard représente Énée (Äneas) qui délivre son père Anchise des ruines fumantes de Troie avec la devise : “per tela per ignes”.
- Il existait un cinquième étendard représentant un navire pourvu de soldats, qui s'approche d'une étoile au-dessus d'une montagne. Cette image doit représenter Piccolomini et sa compagnie, se fiant à son général (l’étoile), rejoindre le port où il trouvera honneur et distinction.
Sur ces étendards étaient aussi écrites ces signatures AFD ou VDF (Albertus Friedlandie Dux ou Alberto Vallestein Duca di Fridlandt), et FS (Ferdinand II).



Source : Die Piccolomini-Regimenter Wahrend Des 30jahrigen Krieges (Le régiment Piccolomini lors de la guerre de Trente ans), d’Otto Elster

mercredi 15 septembre 2010

Cardinal-Infant Ferdinand's lifeguards, in 1634 (I)


Le Cardinal-Infante Ferdinand emmena avec lui 2 compagnies de gardes du corps (une de lanciers et une d'arquebusiers à cheval) dans son "voyage" de 1633-34 qui le mena à Nördlingen.
Ces deux compagnies étaient alors commandées par le marquis d'Oran (el Marques de Orani) et comptaient à elles deux, 230 chevaux. En mai 1634, alors que le Cardinal-Infant est à Milan, le chroniqueur dit que ces deux compagnies comptaient 150 hommes chacune et qu'elles étaient constituée en majorité de bourguignons. Contrairement aux deux compagnies de Gardes du corps de Wallenstein (pour lui aussi, une compagnie de lanciers et une d'arquebusiers à cheval), K.A Wilke ne les a pas représentées. (Ci-dessous : le Cardinal-Infante par K.A Wilke).

There were 2 companies of lifeguards with the Cardinal-Infant at Nördlingen. One of lancers and one of mounted arquebusiers, the two units under the marquis of Orani. The two companies number 230 horses at Nördlingen. These companies number 150 men each, some time earlier, in may 1640, and these were mainly from Burgundy. K.A Wilke don't illsutrate these guards but here his waterpainting of the Cardinal-Infant.



























Mais heureusement, il existe quelques descriptions de la livrée dont étaient revêtus ces deux compagnies.
La relation du "Voyage du cardinal-Infante" publiée en 1635, en Espagnol nous apprend que les cavaliers étaient revêtus de la livrée de son Altesse, de velours cramoisi avec de nombreuses passementeries d'or (de terciopelo carmesi con muchos passamanos de oro).
Cette description est malheureusement trop brève... Il en existe une autre, française, décrivant l'arrivée du Cardinal Infante à Bruxelles, le 2 novembre 1634, passage que j'ai déjà rapporté dans un autre article :
Il avait 100 gardes tudesques, vêtus de ses livrées qui étaient moitié de velours et moitié de taffetas jaune à bandes garnies de cette couleur, mêlée de tané & ginjolin (nuance de rouge).
Mais la description est différente et il s'agit-là à priori d'une description de la livrée des gardes du roi Philippe IV, gardes allemands, et non des gardes, et donc de la livrée, du Cardinal-infant.

I have yet reproduce a french account of the livery of these guards, in a previous post, but i think this account describes the livery of king Philip IV and not that of Cardinal-Infant :
"There were a hundred german guards, dressed in his livery, which was half velvet and half yellow silk belt adorned with braiding, houppées of this color mixed with tané & ginjolin, (a kind of red) and walked up to him with their drums."
In a spanish account, wich seems more accurate, these guards are said to be "de terciopelo carmesi con muchos passamanos de oro" that is to say in crimson velvet with gold trimings.
And here is, below, the coat-of-arm of Cardinal-Infant, from Wikipedia source.

Enfin, pour compléter ce dossier, vous trouverez ci-dessous une reproduction des armoiries du Cardinal-Infante, trouvée sur Wikipedia.

samedi 16 janvier 2010

French Marshals (Maréchaux)

French Marshals of the TYW are usually depicted with the white scarf and a medal hung by a blue ribbon on they blackened armor.
This cross is the cross of the Saint-Esprit (the order of the Holy Spirit) created by the king Henri III on december, 1578.

"Those cardinals, prelates, commanders and officers will also wear the cross pending the neck on a blue sky ribbon ; the said cross also made in the form of Malta, all of gold, studded with white edges and the middle without enamel. Inside the corners there will be a Lily" says the Edit.

Les maréchaux français sont habituellement représentés portant l'écharpe blanche et une croix pendant au bout d'un ruban de couleur bleu céleste. Il s'agit de la croix des commandeurs ou officiers de l'ordre du Saint-Esprit, créé par Henri III en décembre 1578.























Ci-dessus : le roi Louis XIII. Ci-dessous, le maréchal d'Estrée par Paulin J.B Guérin (19e siècle/century). Château de Versailles.






















Ci-dessous : le maréchal Schomberg par J.S Rouillard (XIXe siècle/century). Château de Versailles.






















Voici quelques extraits de ce (long) édit royal (here is, in french, an extract of this Edit) :

Édit d’institution de l’ordre du Saint Esprit, et statut de cet ordre. Paris, décembre 1578.

"(14) Premièrement, que nul pourra être fait commandeur, recevoir l’habit dudit ordre, si notoirement il ne fait profession de ladite religion catholique, apostolique et romaine, et ayant protesté vouloir vivre et mourir en icelle.
(15) Secondement, qu’il ne soit gentilhomme de nom et d’armes de trois races paternelles pour le moins, sans être remarqué d’aucun cas reprochable, ni prévenu de justice, et n’ait vingt ans accomplis, fors le roy, chef et souverain dudit ordre.
(16) Nous seulement, et après nous les roys nos successeurs, grand maîtres dudit ordre, élirons et nommerons ceux que bon nous semblera, pour entrer audit ordre (…)
(84) Lesdits cardinaux, prélats, commandeurs et officiers porteront aussi une croix dudit ordre pendante au col à un ruban de couleur bleu céleste : ladite croix aussi faite en la forme de celle de Malte, tout d’or, émaillée de blanc par les bords, et au milieu sans émail. Dedans les angles il y aura une fleur de lys. Et sur le milieu, ceux qui seront chevaliers de l’ordre Saint-Michel, porteront la marque dudit ordre d’un côté, et de l’autre une colombe, qui sera portée des deux côtés par lesdits cardinaux et prélats, et ceux qui ne seront dudit ordre de Saint-Michel. (…)"









mercredi 13 janvier 2010

Cardinal's Guards & King's Musketeers cassocks

Casaques des gardes du cardinal et des mousquetaires du roi.
Même si ces casaques sont plus connues, je me dois de les évoquer pour clôturer cette série d'articles.

Even if these cassocks are well known, i must close this series of posts with those of the cardinal guards & king's musketeers.
















The cardinal's guards from a contempory painting (the surrender of Montauban, in the Versailles castle, french school).























The king's musqueteers from "Le Roy Soleil" by G. Toulouse. Illustration by Maurice Leloir (beginning of XXth century).

The Father Gabriel Daniel recounts Puysegur’s version of the creation of the King's musketeers : “After this (the storming of Montpellier in 1622), the king marched straight to Avignon and during his march he removed the carbines from the Carabins company, and gave them muskets, and gave command of the company, which had no leader after the death of the captain, to de Montelet, the grade of Lieutenant to de la Vergne and the Cornette to de Montalet, who bore the same name. (…) His majesty asked d’Espernon for six of his Guards to put in the company; he wished - and I can even say that he forced - me to take the cassock of the musketeer (…) His Majesty assured me (…) that he had decided to put only gentlemen in this company, which he would find among his Guards, as well as a few soldiers of fortune; but that he did not wish to take any who had not served, desiring after they had served a time in the company, to remove them and disperse them in the “vieux” and “petit” regiments, and even give them ensigns and lieutenancies in the guards (…).
(From French Armies of the Thirty Years War, LRT Editions.)

Piccolomini livery

Here are, from a painting in the Bayonne museum (by Jan Gerritsz Van Bronckhorst), Ottavio Piccolomini and two servants or pages wearing his livery.

Ce portrait de Ottavio Piccolomini par Jan Gerritsz Van Bronckhorst (1603-1662), possédé par le musée Bonnat, à Bayonne, nous détaille la livrée du général.























lundi 11 janvier 2010

Wallenstein lifeguards

Pour Carl, voilà la tenue, et la casaque, des gardes de Wallenstein, duc de Friedland...
For Carl, and others, here is the uniform of Wallenstein lifeguards....
(Aquarelle de/by K.A Wilke)

vendredi 27 novembre 2009

Casaques / Cassocks

La guerre de trente ans vit l'apparition de la notion d'uniforme. Mais il ne s'agissait pas d'uniformes comme on les vit apparaître à partir des années 1660 : certaines unités (en général les unités d'élites) se distinguaient par la couleur et les motifs de leurs casaques. On connait ainsi les couleurs des casaques des Mousquetaires du Roi et des Gardes du Cardinal, puis du régiment Cardinal-duc, ainsi que celles des gardes de Wallenstein par exemple. Voici deux autres exemples de cette pratique : les Gardes de Monsieur et les Gardes du Cardinal Infant.

The Thirty Years War saw the emergence of the concept of uniform. We know well the colors of the cassocks of the King's Musketeers and the Cardinal's Guards, and those of Wallenstein's Guards. Here are two others examples : Monsieur's Guards and the Cardinal Infant's Guards.


Uniforme des gardes de Monsieur en 1626 :
"Monsieur eu quatre-vingt Gardes Français portant casaques & bandoulières de velours de ses livrées, leurs casaques chargées devant & derrière de ses chiffres en broderie rehaussée d’or.
Il eut aussi vingt-quatre Suisses qui marchaient devant lui, les dimanches & autres jours de fêtes, tambour battant, encore que le Roy fut à Paris ; mais il ne se trouvait pas aux lieux où était Sa Majesté."

"Mr. had eighty French Guards wearing velvet casaques & straps of his liveries, their cassocks loaded front and back with its figures decorated with gold embroidery."

Source : Mémoires contenant ce qui s’est passé en France de plus considérable depuis l’an 1608 jusqu’en l’année 1636.

Garde du Cardinal Infant en 1634 :
"Le Cardinal Infant était arrivé à Bruxelles dès le 2 novembre 1634 & afin de rendre son entrée plus célèbre, s’était fait accompagner par dix mille chevaux armés de toutes pièces, tant de l’Armée de Flandre, que de ceux qu’il avait amenés d’Allemagne. Il avait cent Gardes Tudesques, vêtus de ses livrées, qui étaient moitié de velours & moitié de taffetas jaune à bandes garnies de passement, houppées de cette couleur, mêlée de tané & ginjolin, & marchaient au devant de lui avec leurs timbales. Il était vêtu en cavalier à la française, portant le même habit qu’il avait à la bataille de Nordlinguen."

"There were a hundred german guards, dressed in his livery, which was half velvet and half yellow silk belt adorned with braiding, houppées of this color mixed with tané ginjolin, and walked up to him with their drums."

Source : Mémoires contenant ce qui s’est passé en France de plus considérable depuis l’an 1608 jusqu’en l’année 1636.

vendredi 31 juillet 2009

Essential Blogs

A quick post to welcome the quality of three blogs : Dur Ecu, Anno Domini 1672 and Wars of Louis XIV. Highly recommended !

Un rapide post pour saluer la qualité des blogs Dur Ecu (américain), Anno Domini 1672 (holladais) et Wars of Louis XIV (américain). Je vous les recommande chaudement !

Et en prime... un petite image !
(mousquetaires et piquiers / pike & shot circa 1590-1620, drawing from FR. Hottenroth's "Le costume chez les peuples anciens et modernes")

vendredi 17 juillet 2009

Milice de quartier

Here is an interesting extract from the "Memories" of Tallemant des Réaux, a french author (Born in La Rochelle, 1612, dead in Paris, 1692). He says that a Militia Captain have dressed his soldiers in green because he was in love with Mademoiselle Paulet...

Voici un extrait intéressant issu des Mémoires de Tallemant des Réaux (né en 1612 à La Rochelle et mort en 1692 à Paris). On y apprend qu'un capitaine de milice de quartier avait l'habitude d'habiller tous ses soldats de vert... De quoi donner des idées sur l'apparence des compagnies d'infanterie en début de campagne...

Ce monsieur de la rue Aubry-Boucher était un original. Il prit à cet homme une grande amitié pour madame de Rambouillet, mais celle qu’il avait pour mademoiselle Paulet se pouvait appeler amour. A l’entrée qu’on fit au feu Roi, au retour de La Rochelle, il s’avisa, car il etait capitaine de son quartier, d’habiller tous ses soldats de vert, parce que c’était la couleur de la belle. tous ses verts-galants firent une salve devant la maison où elle était avec madame de Rambouillet, madame de Clermont et d’autres.
Mademoiselle Paulet in Mémoires de Tallemant des Réaux.

Ci-dessus : croquis de Meissonier

jeudi 16 juillet 2009

Les Cents Suisses






















On these two paintings from the Château de Versailles : "the surrender of Montauban" (1629) and "The storming of Privas" (1629), we see, what seems to be the "Cents suisses" escorting the king Louis XIII and the Cardinal Richelieu. It is not obvious for the first of these two paintings (soldier in the upper left, and i'm not sure to be right) but on the second one, the white and red striped uniforms can be seen. Because of the design of these uniforms, i think there are the "hundred swiss".
Henri II de Rohan was the "colonel-général" of the "Cents suisses" from 1605 to 1614. Then, it was François de Bassompierre, between 1614 and 1632.
The father Gabriel Daniel tell us that the Cents suisses use to guard the king even on campaign. Sorry not to translate this passage from "Histoire de la milice française" :
"Quand le Roy marche à pied, le Capitaine des Cent Suisses va immediatement devant la personne de Sa Majesté, comme le Capitaine des Gardes du Corps de quartier va immédiatement après elle. Quand le Capitaine des Gardes montait dans le carosse du Roy, le Capitaine des Cent Suisses y montait aussi, si la Reine n'y était pas ; pareillement quand dans les ceremonies il y a un banc pour les Capitaines des Gardes du Corps, le Capitaine des Cent Suisses a aussi la place sur ce banc. (...) Il a toujours un des Cents Suisses à la porte de son logis, qui est censé une sentinelle tirée de la garde."

Sur ces deux tableaux du XVIIe siècle provenant du château de Versailles, le premier, que j'ai déjà présenté, représentant la reddition de Montauban en 1629, le second, la prise de Privas cette même année, on aperçoit l'uniforme de ce qui me semble être les Cents Suisses qui accompagnaient toujours le roi, même en campagne d'après le père Gabriel Daniel (in "Histoire de la milice française").
Le personnage en haut à gauche dans le premier tableau pourrait être un des Cents Suisses ou un Garde du Corps. Mais je n'en suis pas sûr. Par contre, sur le second tableau, les nombreux soldats qui accompagnent le roi et le Cardinal de Richelieu ont une tenue bien distinctive, rayée blanche et rouge. Ce sont vraisemblablement les Cents Suisses, les seuls (avec les Gardes du Corps, les Mousquetaires à cheval et les Gardes du Cardinal) susceptibles de porter un uniforme à cette époque.
Ci-dessous : Drapeau de la garde des Cents Suisses (in "Histoire de la milice française").

Montauban 1629

This 17th century painting from the Versailles Castle shows Louis XIII, Richelieu and the Montmorency Duke after the siege of Montauban (21st august of 1629). The uniform of the Cardinal Richelieu's Guards is clearly depicted.

Cette peinture du XVIIeme siècle située au château de Versailles (galerie du château de Richelieu) montre Louis XIII, Richelieu et Montmorency entrant dans Montauban suite à la reddition de la ville (21 août 1629). On y voit clairement l'uniforme des Gardes de Richelieu.