Couverture fascicule

Kingshill Konrad - The Red Tomb. A Village Study in Northern Thailand

[compte-rendu]

Année 1961 16-2 pp. 356-357
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 357

orienter plus particulièrement K. à rechercher l'influence du boudhisme et de ses servants sur les villageois. Par ailleurs, il s'attache à décrire avec minutie les différentes phases de la vie familiale, agricole (basée presque exclusivement comme toute la Thaïlande sur la culture du riz), administrative, etc., de cette population asiatique apparemment peu touchée par les phénomènes d'acculturation, et assez fermée aux événements extérieurs. Le recensement de 1953 fait apparaître un effectif démographique jeune et la répartition en trois grands groupes d'âge : 31 % (moins de 15 ans), 59,8 % et 9,2 % (54 ans et plus). La mortalité infantile est en baisse — baisse redevable à l'UNICEF, qui assure la lutte contre la malaria — et la nuptialité est précoce, 5 °/0 seulement des moins de 30 ans ne sont pas mariés. L.