Alicante, España
Dans cette étude, nous aborderons la production de deux écrivaines d'origine marocaine qui ont choisi le catalan comme langue de travail : Laila Karrouch (Nador, 1977) et Najat El Hachmi (Beni Sidel, 1979). Bien que ce soient des voix stylistiquement différentes, toutes deux partagent non seulement des liens d'origine géographique et générationnelle mais aussi un destin migratoire, la ville de Vic. Leur parcours professionnel est aussi différent, mais toutes deux présentent dans leurs textes des lieux communs et des préoccupations similaires qui permettent, à travers la littérature, d’établir une série de caractéristiques d'identification des femmes musulmanes qui émigrent.
In this work we will discuss the production of two women writers from Morocco who choose Catalan as their working language: Laila Karrouch (Nador, 1977) and Najat El Hachmi (Beni Sidel, 1979). Although they have different voices stylistically, both do not only share links of geographical and generational origin, but also their migratory destiny, the city of Vic. Even though their professional dedication is quite different, both present in their texts commonplaces and similar concerns which allow, through the literature, establishing a series of characteristics of the migrating Muslim women.
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