supported by 30 fans who also own “The Measure of Man”
Pyrrhic victory in the biting wind and the dark snowy field – Doedsrit, as many others mention, field an excellent mix of icy bleakness with majestic triumph. Every song stands out as an excellent ballad of holding on to something despite the odds. I like how the melodies and rhythms blend more stately metal and more driving punk elements to communicate different despairing vs. rebellious moments. Defiant, sorrowful, melodious, heavy – this album brings something we all need right now. pinkytheent
supported by 30 fans who also own “The Measure of Man”
Les analyses intellectuelles écrites à la volée — si vous me lisez ici en espérant obtenir ça, ça sera pour une autre fois : je n'en ai pas le courage. Undir skyggðarhaldi m'a fatigué, mis au fond du trou. Cet album, c'est l'équivalent de subir les élucubrations d'une personne qui se prend une cuite à l'absinthe — l'alcool qui rend fou — dans un bar miteux. Ce que gerbe A.F. n'a aucun sens, mais ça hante l'esprit ; le DSBM dissonant aux accents jazz tord les boyaux. Andavald est un bourreau. Nocturnal Egg (Jordan)
supported by 28 fans who also own “The Measure of Man”
Tout vampire digne de ce nom se doit d'avoir un château : Arnaut Pavle se l'est construit, se laissant à chaque fois du temps pour que les fondations soient solides, ce qui explique pourquoi Transylvanian Glare, son deuxième album, lui aura demandé presque quatre ans de conception. Mais plus que le construire, il l'habite, il l'investit : par-dessus le punk/black metal (penchant plutôt du côté de ce dernier) diabolique redoutable, Arnaut Pavle gueule, rit, tousse. Il vit : il mord. Génial ! Nocturnal Egg (Jordan)