1. |
L'appel du vide
08:41
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À la fin de ma quête, que reste-t-il
Les efforts d’une vie, un chemin si futile
La grève écorchée, par les ressacs du passé
Un obscur songe dans lequel il fait bon sombrer
Une solitude que seuls des spectres
et des sirènes peuvent combler
Et ainsi s’achève mon périple
Ainsi s’achève mon existence
Dans les cendres et le silence
La tempête m’engloutit, j’ai fait mon deuil
A travers les larmes, je souris
Car la nuit est la plus sombre, juste avant l’aube
Enfin, c’est fini
Il est là
je l’entends
L’appel du vide
Irrésistible
Je lui réponds
L’appel du vide
Voix étrangère
Écho d’un murmure
L’appel du vide
Dans les cendres et le silence
Aucune crainte de m’y rendre
D’autres seraient terrassés d’effroi
J’accepte la fin, je lui ouvre les bras
Quand on a tout sacrifié
Que reste-t-il à prendre
La pluie fouette mon visage
Et fond l’espoir d’un nouveau rivage
Ainsi s’achève mon existence
Ainsi s’achève mon existence
Dans les cendres et le silence
Aucune crainte de m’y rendre
D’autres seraient terrassés d’effroi
J’accepte la fin, je lui ouvre les bras
Quand on a tout sacrifié
Que reste-t-il à prendre
La pluie fouette mon visage
Et fond l’espoir d’un nouveau rivage
À la fin de ma quête, que reste-t-il
Les efforts d’une vie, un chemin si futile
La grève écorchée, par les ressacs du passé
Un obscur songe dans lequel il fait bon sombrer
Une solitude que seuls des spectres
et des sirènes peuvent combler
Et ainsi s’achève mon périple
Ainsi s’achève mon existence
Dans les cendres et le silence
La tempête m’engloutit, j’ai fait mon deuil
A travers les larmes, je souris
Car la nuit est la plus sombre, juste avant l’aube
Enfin, c’est fini
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2. |
Vague à l'âme
08:24
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Constamment à refaire, parfaire ce qu’on estime
Peu importe, le temps l’emporte
L’espoir, à chaque deuil
Seule la marée peut contrer cette futilité
Entropie de l’être, sa volonté à l’amoindrir
Qui dicte l’amplitude de cette prompte marée
Cette beauté, qui parle toutes les langues
La résultante de la densité spectrale
Vécu, perçu, perdu, …et de l’incongru
Marée haute, marée morte
Peu importe, le temps l’emporte
Tant de gens, tant de vécus
Tant de visages, tant de regards
Marée haute, marée morte
Peu importe, le temps l’emporte
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3. |
L'appel du large
12:10
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Ô berceau de la vie, ô faucheuse
Qui me hèle
Mère du chaos, silencieuse
Je suis tienne
Fasciné, impuissant
Soif d’inconnu
Je me jette
Dans ton étreinte
Seul à l’aube du déclin
Je sombre, je songe
Au cruel destin
J’ose frôler l’horizon
Contemplant
Les stigmates sur mes mains
Le large m’appelle
Me façonne
Seul à l’aube du déclin
Je sombre, je songe
Au cruel destin
J’ose frôler l’horizon
Contemplant
Les stigmates sur mes mains
Le large m’appelle
M’abandonne…
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Ressac Montreal, Québec
Black Métal Atmosphérique
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