Roman Entre Rêves et Réalités
Mon premier roman et nouvelles érotiques. De merveilleuses aventures pour vous, pour moi.
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Date de création : 14.07.2013
Dernière mise à jour :
06.12.2016
62 articles
Ce blog a été créé dans le but de vous faire partager mon univers littéraire et, également, dans l'espoir de trouver un éditeur.
N'hésitez pas à me laisser vos commentaires. Toute votre aide me sera utile.
Je publierai 2 à 3 pages de mon roman par semaine.
Bonne lecture!
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Par purgation, le 01.07.2017
quel dommage de ne plus vous lire, de ne plus vous voir, au travers de vos photos...
patrick http://fascina
Par fascination58, le 28.01.2016
très juste ...^^ http://lespara disperdus.cent erblog.net
Par Marie, le 01.11.2015
et pourquoi pas commencer une nouvelle juste sur l'envie de rêver? c'est un bon début je trouve... http://roma
Par romanentrerevesetr, le 01.11.2015
j'aimerais écrire j'en suis incapable , commençons déja par lire http://enviede rever.centerbl og.net
Par enviederever, le 01.11.2015
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J’arrive au bout de mon voyage des caraïbes sur cette magnifique île de la Guadeloupe. Plus précisément sur la basse terre dans une petite commune qui s’appelle « vieux habitants ». Le nom du coin est trompeur car je ne suis entouré que de jeunes au sourire blanc immaculé. Les jeunes filles s’amusent entre elles et rient de bon cœur au milieu des chemins boisés. Alors que les garçons frappent dans un ballon en s’imaginant être dans un des plus grands stades du monde.
Que de beaux paysages autour de moi et des gens charmants. On sent la joie de vivre et j’ai envie de rester. Ne plus bouger.
Mon dernier hôtel se situe au bord d’une forêt tropicale et je sens la saison humide de juillet sur ma peau. Bien à l’inverse de Paris qui attend mon retour dès demain matin. La douche s’impose.
Je dépose donc enfin mes valises dans une chambre colorée avec un grand lit confortable et je distingue un petit balcon jonché de nombreuses fleurs. Attiré par les merveilleuses odeurs qu’elles dégagent, je me rends compte que la vue donne sur une belle plage de sable noir. Due certainement au volcan « la soufrière » qui culmine sur ma droite. Une photo s’impose aussi.
En contre bas, je vois des musiciens installer leur matérielle sur une petite scène. Quelques touristes prennent déjà place pour être bien placés et le Zouk va se faire entendre je pense. De quoi terminer cette dernière soirée en beauté afin de graver à jamais ce moment du séjour.
Le soleil commence à toucher l’horizon, il est temps de descendre faire la fête. Je passe alors devant une belle hôtesse d’accueil qui me montre où se situe le bar et le serveur me prépare un de ses cocktails désaltérants. Tout est parfait car la musique commence au bon moment.
Elle est entrainante et la voix du chanteur se mêle avec celle de ses choristes et tous les instruments. Alors mon regard se tourne vers le groupe et je la vois pour la première fois.
Je suis surpris car impossible pour moi de détacher mon regard avec sa peau couleur chocolat. Une couleur qui pourtant ne m’attire pas sexuellement. Mais c’est une déesse noire qui danse langoureusement devant moi et sa beauté me fait oublier tout le reste. Mes préjugés et mon « jamais ».
Son sourire et ses yeux sont craquants et ses lèvres me font envie. Que m’arrive-t-il ?
Toute vêtue entièrement de blanc, moulant, je distingue parfaitement les contours de son corps, le galbe de ses hanches fines et voir même le contour de sa poitrine. Et ce n’est pas la musique qui me fait vibrer à cet instant car je l’imagine entièrement nue. Son déhanchement me laisse perplexe. Comme si elle était bercée par des vagues imaginaires de l’océan venant la frôler de devant et derrière. J’ai envie d’elle subitement et gouter au chocolat pour la première fois de ma vie.
Les minutes passent trop vite, le concert touche déjà à sa fin et je tente de me rapprocher d’elle. Je veux que nos regards se croisent, qu’elle sente que je la désire. Je veux lui faire l’amour. M’a-t-elle vue au moins ? Mais sous les applaudissements de la foule, elle s’échappe derrière la scène avec les musiciens et je la perds de vue à mon plus grand regret.
La soirée était divine, une nuit étoilée, une légère brise, un décor jonché de bougies, des couples heureux et une musique enjouée. Pourtant je remonte seul dans ma chambre avec un grand vide et une frustration gigantesque.
Il fait sombre dans ma chambre quand j’aperçois la silhouette d’une femme devant mon balcon. Je sens comme un sillon de vanille m’effleurer.
C’est elle, devant moi, l’air coquin et je ne sais pas quoi lui dire. Un cadeau offert sans que je m’y attende et elle s’amuse de cette situation. Elle s’approche langoureusement et pose délicatement ses lèvres sur les miennes sans un mot. Puis avec plus de ferveur sans appréhension. Le gout vanille me pénètre maintenant. On ne m’a jamais embrassé comme cela de toute ma vie et je sens que la nuit va être très chaude sous les tropiques ce soir.
Je sens ses doigts aux longs ongles rouges déboutonner ma chemise pendant qu’elle me mordille les lèvres. Puis elle décide de m’embrasser tout le torse et je reste debout en priant le ciel que tout cela ne soit pas un rêve.
Sans attendre plus, je l’enlace et la porte jusqu’au lit pour la dévêtir à mon tour. Son envie est aussi forte que la mienne. Je lui susurre un mot coquin à l’oreille puis lui mordille le lobe et elle se cambre pour se donner à moi comme si cela suffisait pour l’amener à la jouissance.
Je peux enfin caresser cette peau ébène, chaude est douce qui m’excite au plus haut point. Il est vrai que mes mains n’ont jamais touché une telle enveloppe. Une sensation inexplicable. Je lui remonte ses bras derrière la tête et tout en la tenant, mes lèvres glissent d’abord le long de ses aisselles. Elle frissonne d’un coup. A moi de la surprendre. Puis je lèche ses seins pour que ses tétons se tendent naturellement. Elle se laisse faire comme j’aime et je poursuis ma route vers son sexe avec ma langue. Je veux la gouter. Voir ses lèvres rosées au milieu de ses cuisses noires qui m’entourent.
Mon cunnilingus lui fait énormément d’effet car elle se retient déjà de ne pas jouir. Elle veut jouer le plus longtemps possible. Et j’aime ses règles du jeu. Elle m’attrape les cheveux et retient ma tête entre ses jambes. Pourtant je n’ai pas l’intention de m’échapper. Tout est trop bon.
La lune nous éclaire suffisamment et je peux la voir entièrement nue sur mon lit se cambrer. Elle est tellement fine, j’ai presque peur de lui faire mal. Sa respiration s’accélère, elle n’en peut plus. Alors elle m’invite à venir et j’entends enfin sa voix douce. Je comprends qu’elle souhaite que je la pénètre et je m’exécute sans dire un mot de mon côté.
Mon membre se positionne aidé de sa main qui la tient fermement. Puis je m’enfonce en elle doucement. Elle est en plus très serrée et nous poussons tous les deux un gémissement de plaisir une fois en elle. Alors nos vas et viens se font plus longs, plus rapides, plus profonds. Nos corps se mélangent à merveille et nous nous embrassons avec fougue. Comme si nous ne faisions qu’un. Comme si le blanc et le noir ne formaient qu’une seule couleur.
Puis ma déesse me colle son bassin contre le mien et son corps danse autour de ma verge avec un rythme endiablé. Comme si elle était sur scène et je n’ose plus bouger. Elle se déhanche de plus en plus et le désir monte d’un cran. Elle gémit et je me mords les lèvres. Je dois tenir, c’est trop bon. Je n’ai jamais vécu cela de ma vie et elle le ressent. Elle me fait découvrir les prouesses de son corps. Comment fait-elle ? C’est donc cela, faire l’amour à une femme chocolat. Mon dieu, que c’est bon !!!
Nous changeons de position car j’ai besoin de reprendre mon souffle. Je profite de cet instant pour caresser ses fesses qui sont si douces. Elle me les offre, agenouillée au bord du lit en me tournant le dos. Je ne résiste pas à lui caresser les seins qui sont dans le vide et nous refaisons l’amour avec encore plus d’ardeur. Elle est trop belle, trop excitante, trop excitée pour que je résiste plus longtemps et par miracle nous jouissons ensemble, les corps serrés.
Nous recherchons notre souffle l’un contre l’autre et je sens toujours cette odeur de vanille qui ne me lâchera plus jamais. Elle m’étreint comme si elle ne voulait pas me lâcher et nous restons dans le silence afin de profiter au mieux de cet instant quelques minutes.
Les douces caresses se poursuivent et l’excitation remonte quand j’entends un bus klaxonner au milieu de la nuit. Elle se lève alors précipitamment et de façon féline. Toujours sans un mot, elle prend ses affaires, se dirige vers la porte et se retourne une dernière fois pour me faire un sourire éclatant. Elle me lance un dernier baiser comme pour me remercier. Mais c’est moi qui lui doit tout.
8h30 du matin et les moteurs de l’avion brondissent déjà sur le tarmac. Tout est allé trop vite, son départ et le mien de cette île tropicale. Je retourne sur Paris le cœur serré mais avec une nouvelle expérience que je n’oublierai jamais.
Ma danseuse guadeloupéenne, au gout vanille et à la peau chocolat, dis moi quel est ton prénom ? Je ne le connais même pas…
Bonjour les amis,
Ca y est, j'ai posé le mot "Fin" à mon roman après une quatrième réécriture.
Il est ainsi, à mes yeux terminé pour de bon.
10 pages de plus, 80900 mots et une intrigue sentimentale avec plus de reliefs comme me l'avait suggéré la maison d'édition, le dilettante.
Je me relance ainsi de nouveau à la recherche d'un éditeur qui saura me donner ma chance ainsi qu'à mon héroïne Jane qui le mérite bien.
Il faut que le rêve devienne réalité.
Je croise les doigts.
Je vous raconterai au fur et à mesure mes nouvelles aventures.
Je vous embrasse.
Benjamin.
Je la trouve très sensuelle cette photo. Comme un mirage, une apparition un matin sans trop y croire.
Et je corrige encore et encore mon roman. Mon héroine se plaint car je la bouscule avec tous ces mots qui s'effacent, ces phrases qui se bousculent et ces chapitres qui se transforment.
Alors je lui dis: "Sois patiente, cela donnera aux autres l'envie d'apprendre à te connaître un peu plus car tu le vaux bien".
Bonjour les amis,
Juste un petit mot pour vous dire que je ne vous oublie pas.
Je suis toujours dans la réécriture de mon roman. La 4ème pour tout vous dire et c'est certainement l'exercice le plus difficile que je connaisse.
Après je ne me pencherai plus sur ces nombreuses pages et je tenterai d'attirer un éditeur qui voudra bien me donner ma chance.
Si vous avez des conseils à m'apporter, je suis preneur car j'ai besoin de tout le monde.
Je vous dis à bientôt et j'espère que tout le monde va bien.
Benjamin