Couverture fascicule

Débats

[autre]

Année 2011 222 pp. 113-116
Fait partie d'un numéro thématique : L’archiviste dans la cité
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 113

La Gazette des archives, n° 222 / année 2011-2 Débats

Intervenant dans la salle : À propos des archives électroniques, comment avez-vous fait pour mobiliser les élus ? Quand je leur en parle, ça ne les intéresse pas, ils considèrent que ce n’est pas de leur domaine. Tiphaine Nougué : (Archives municipales de Nancy) Pour nous, l’appui politique était déjà là, avant même la création de mon poste. De plus, la direction des services informatiques et de la téléphonie a conscience de l’importance de l’archivage et du coût induit par la préservation des données. Florence Bernigaud : (Archives municipales de Lyon) Les élus sont encore peu sensibles aux enjeux des archives électroniques. Ils encouragent cependant les projets de dématérialisation sans qu’ils aboutissent à un processus complet. Pour pallier au besoin de stockage, la ville a choisi de se doter d’une nouvelle infrastructure plus capacitive, mais pour l’instant, sans volonté d’en rationaliser l’espace par des règles d’archivage. Les services municipaux sont très demandeurs et ne sont plus à convaincre. C’est plutôt au niveau des directions et notamment de la direction informatique qu’il y a fort à faire.

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw