Discussion Auteur:André Léo
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[modifier]- à mettre sur commons Les Aventures d’Édouard, Magasin d’éducation et de récréation vol 15 vol 16, vol 17, vol 18
Bibliographies
[modifier]- http://www.benoitmalon.org/histoire-de-beno%C3%AEt-malon/bibliographie-de-b-malon/4-andr%C3%A9-l%C3%A9o/
- Bibliographie détaillée andreleo.com
- Dictionnaire international des écrivains du jour Gallica
- Les Femmes littéraires par Kergomard [1]
- Observations d’une mère de famille à M. Duruy
- sur Duruy pdf
- En bref, dans les écoles des années 1860, « la dernière chose qu’on s’occupe de lui apprendre (à l’enfant), c’est à réfléchir » (7). Pédagogie nouvelle, le terme est de Léo, pédagogie de l’apprendre à apprendre, [2]
- notice bnf disponible à Tolbiac
Biographies
[modifier]- Dictionnaire international des écrivains du jour [3] une biographie qui écorche son prénom et d'autres informations (mariage à Malon)
- https://www.persee.fr/doc/roman_0048-8593_1992_num_22_77_6054
- Jean Zunino, La Commune et l’École [4]
- Dictionnaire de la conversation et de la lecture… : supplément offrant le résumé des faits et des idées de notre temps. Tome 4 [[5]]
- 11 janvier 1872 Le Temps [6]
L’Émancipation nous donne aujourd'hui le sommaire de son numéro saisi le 1er janvier. Le voici :
…
Le Moyen, par Mme André Léo
…
Vie
[modifier]- sur l'exécutrice testamentaire et la justice des choses [7]
- 1871 : Dépêche Havas sur son allocution au congrès de la Paix [8]
- 28 septembre 1871 - Le Temps - Dépèche agence Havas - [9]
On télégraphie de Lausanne, 26 septembre, soir, à l agence Havas :
Congrès de la paix. -- M. Lemonnier présente, sur la question sociale, un rapport où il défend la propriété individuelle. M. Goeg déclare qu'il n'est pas d'accord avec le rapport; il réclame l'abolition du baptême. M. Sonnemann repousse les conclusions du rapport de M. Lémonnier ; il propose le rachat des chemins de fer par l'État et la concentration, de toutes les banques dans les mains de l'État. M. Simon (de Tréves) se rallie au rapport de M. Lémonnier. Mme André Léo fait une longue apologie de la Commune ; ses paroles soulèvent les cris de : À bas la Commune ! À bas le pétrole ! À bas Versailles ! Vive la liberté !
M. Secétan, rédacteur de l’Estafette appuyant Mme Léo, est mis violemment à la porte. Un tumulte indescriptible, règne alors dans la salle. La séance est momentanément suspendue. À la reprise de la séance, le président prie Mme Léo de conclure. Mme Léo dit qu'en Angleterre on procède à des réformes modérées et non pas violentes. Mme Delhomme soutient Mme Léo ; elle dit que c'est une infamie de l'avoir interrompue. À ces mots, le tumulte recommence et les huées qui l'accueillent l'obligent à descendre de la tribune.
La séance est levée à 6 heures; MM. Lefrançois, Cœurderoy, Malon, Bayeux, Duménil, y assistaient.
- Enterrement de Victoir Noir [10] lettre de protestation d’André Léo
- Les membres de la Commune et du Comité central [11] emprisonnée
Journaux féminins. — Après La Citoyenne, d'Hubertine Auclert, on annonce La Tribune des Femmes, qui a pour rédactrices Eugénie Pierre, Eugénie Chaminat, André Léo, etc. Sa devise est : Justice aux femmes », et on y revendique l'accession aux emplois masculins. Un autre journal féminin, La Gazette des Femmes, annonce que le nombre des jeunes filles qui suivent îles cours de dessin et de peinture est de 2.221; celles qui sont inscrites aux écoles de musique et Conservatoire, 1.962.
- Le Temps 16 mars 1869 [13]
Puis, deux journaux qui prennent en mains les intérêts des femmes. L'un le Journal des Femmes, rédigé par des plumes féminines, qui s'imprime à Genève, et paraitra deux fois par mois, a déjà publié son premier numéro, qui contient le programme de la rédaction et une lettre d'adhésion de M. Louis Blanc. Il est politique, économique, artistique et littéraire.
L’autre, politique aussi, paraîtra dans les premiers jours d’avril prochain, avec les lilas. Il aura pour titre le Droit des femmes, pour rédacteur en chef M. Léon Richer ; pour collaborateurs principaux, Mmes André Léo, Maria Deraismes, Angélique Arnaud, Émile Bosquet, Euphémie Garcin, S. Blandy ; MM Ernest Legouvé, Francisque Sarcey, Jules Claretie, Alfred Assolant, Édouard Siebecker, Camille Flammarion, Félix Hément, Jules Levallois.
- Le Temps 9 juin 1871 [14]
Sur le quai Voltaire, à une heure, nous voyons passer, entre quatre lignards, une jeune femme en deuil à l'air distingué, accompagnée par un cavalier en noir et très convenable de tenue; ils montent vers le quai d'Orsay. Les passants s'arrêtent et disent que c'est Mme André Léo, ce qui est une erreur.
Mme André Léo a été arrêtée hier. On sait que cette dame était veuve de M. de Champseix, écrivain originaire de la Suisse. Elle portait dans les lettres le pseudonyme d'André et de Léo, qui sont les noms de ses deux enfants encore jeunes.
Éditions en ligne
[modifier]- Google La Justice des choses
- Manifeste [15]
- … elle publie une série de textes sur la question : des articles dans l’Opinion Nationale, un Manifeste en faveur des droits des femmes en juillet 1868 …
- [16] signé Une véritable citoyenne
- colonie américaine en anglais [17]
- Jacques Galéron Google
- Le Père Brafort publié dans le Siècle de novembre 1872 à février 1873
- L’Enfant des Rudères
- Toinon dans La Terre aux paysans [21] 1886
- Observations… Google
Critiques
[modifier]- Sur le petit moi [22]
- Sur la famille Audroit [23]
- la veilleuse … critique acerbe [24]
- Le Nain jaune [25]
Paris, le 4 mars 1866.
À Monsieur le Rédacteur en chef du Nain Jaune.
Monsieur, je lis dans Nain Jaune du 3 mars, un article sur les œuvres et la personne de Mme André Léo, signé par M. Kergomard, et dans lequel ce dernier commet dans son récit de mes relations avec cet auteur des erreurs de fait et d'appréciation qu'il m'importe de signaler.
M. Kergomard raconte que Mme André Léo m’aurait vendu pêle-mêle (sic), pour une somme de 800 fr., une seconde édition du Mariage scandaleux, et une première édition de deux œuvres inédites : la Vieille fille, et les Deux filles de M. Plichon : puis à propos du prétendu sacrifice consenti par Mme André Léo, il se livre à des appréciations inexactes sur la façon dont j’aurais exploité un autour de talent.
Ces allégations sont absolument contraires à la vérité.
Mme André Léo me proposa au mois de mars 1863 de publier une seconde édition du Mariage scandaleux, dont la première, publiée à ses frais et mise en vente par elle dans la librairie Hachette, ne lui avait pas rapporté autre chose que le remboursement de ses déboursés. Mme André Léo était à cette époque complètement inconnue ; je lus son livre, que je trouvai excessivement remarquable, et je lui achetai moyennant 300 francs le droit d'en publier une seconde édition. À coup sûr c’était peu pour un ouvrage aussi recommandable que celui-là; mais si Mme André Léo a aujourd’hui un nom, qu’elle doit non seulement à son talent, qui est réel, mais un peu aussi, j'ose le dire, aux efforts que j'ai faits pour le mettre en lumière, elle n'en avait pas à cette époque : son roman était compact et formait 500 pages ; pour tirer le livre à trois mille, chiffre convenu, il y avait trois mille francs à dépenser; bref, j’entre prenais une opération très aventureuse, et si je n'ai pas à regretter d’avoir fait cette affaire, qui est devenue excellente le livre étant épuisé aujourd’hui, mais qui offrait de grands risques à courir, Mme André Léo ne doit pas avoir à regretter non plus d’avoir accepté ces conditions qu’elle n’avait trouvées nulle part aussi avantageuses.
Ultérieurement, Mme André Léo me proposa d’éditer : Une Vieille fille, qui n’était pas, comme le dit par erreur M. Kergomard, une œuvre inédite, et les Deux filles de M. Plichon.
Une Vieille fille avait été publiée sans aucun succès en Belgique en un petit volume à 1 fr. Mme André Léo n’attachait aucune importance à ce livre ; elle ne savait même pas si elle avait le droit d’en publier une nouvelle édition en France: c’est moi qu'elle chargea de s'en enquérir ; je fis des démarches à Bruxelles et je lui payai sans marchander le prix qu'elle me demanda elle-même pour le volume, soit une somme de 200 fr.
Quant aux Deux filles de M. Plichon, la seule œuvre inédite de Mme André Léo que j’aie publiée, je lui donnai pour une édition de ce livre une somme de 600 francs.
Enfin, quand je traitai avec Mme André Léo pour la publication en volume de son Jacques Galéron, qui avait paru dans le Siècle, je lui payai 500 fr. le droit d'en faire une édition, soit 25 centimes par exemplaire tiré, ce qui, pour un ouvrage de six à sept feuilletons seulement, devant former un très petit volume au prix soit de 1 fr. 50 cent., était un prix fort élevé, et une rémunération aussi large, pour ne pas dire plus, que celle que les librairies les plus importantes accordent aux auteurs les plus célèbres et les plus accrédités.
Ces divers chiffres accumulés forment un total de 1,600 fr., soit juste le double de ce que, suivant l’article auquel je réponds, je serais censé avoir donné à Mme André Léo pour la totalité de ses droits d’auteur.
Je suis certain que M. Kergomard, en présence de ce récit très sincère, regrettera d’avoir mêlé à la critique très élogieuse, et à laquelle je m’associe pleinement, du mérite littéraire de Mme André Léo, des appréciations sur la prétendue exploitation de l’auteur par l’éditeur qui me sont d’autant plus pénibles, qu’elles sont plus en désaccord avec mes habitudes et mes tendances commerciales.
Veuillez, agréer, monsieur, etc.
Achille Faure.
- Observations d’une mère de famille à M. Duruy [26]
- Sur la justice des choses [27]
- 1866 : analyse sur 12 colonnes des œuvres d’André Léo par Horace de Lagardie [28] dans le Journal des débats politiques et littéraires
- critique sur l’Enfant des Rudères[29]
- 1882 : 22 Octobre dans La Justice[30]
- Alice Primi Le Père Brafort : Le roman d’une vie, l’histoire d’un siècle PDF
L’ENFANT DES RUDÈRE
PAR
ANDRÉ LÉO
roman qui pose à l’aide d’une action simple et émouvante, la grande question de l’éducation. Les caractères des personnages de ce drame intime sont analysés avec la rigueur et le souci de vérité qui caractérisent l’écrivain du Mariage scandaleux et de tant d’œuvres fortes et hardies.
- [31] 26 juin 1883 critique de L’Enfant des Rudères à sa sortie chez un éditeur
- La Revue socialiste 1908 [32]
André Léo nous amènera un public choisi en France. A propos de la France, maintenant que la crise est terminée[1], nous allons y chercher des abonnés ; j'en espère une cinquantaine de plus, pour le moment nous en avons recueilli quatre-vingt-trois seulement de notre côté ; mais nous allons, je pense aller plus vite que toi.
Le Divorce (s’il s'en trouve encore) et Aline-Ali sont chez Lacroix et Verb., les deux filles de M. Pichon, l’Idéal au village, Attendre, espérer, La Corrézienne. Double Histoire, chez Hachette[2].
- La Fronde 13 décembre 1899 [33]
Nous avons eu le plaisir de recevoir pour notre bibliothèque :
Le Vicomte de Launay, par Mme de Girardin.
L’Idéal au village, La Femme et les moeurs, Les Deux filles de M. Plichon, Double histoire, Une Vieille fille, par Mme André Léo.
La Dame aux turquoises, par Marie-Denise Marinot.
Un cas de divorce, par Mathilde de Saint-Vidal.
Les Droits du mari, Le Supplice de l’amant, La Fournaise, Une Dévote fin-de-siècle, Le Désarmement et la question sociale, par M.-L-Gagneur.
La Lutte contre l’exploitation et la réglementation du vice à Genève, par Alexandre Guillot, édité chez Ch. Eggimann, à Genève.
Nous adressons nos sincères remerciements à nos aimables donateurs.
Présentations wikisource
[modifier]Titre et éditions | Genre | ||
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1859 : | Une vieille fille | Roman | Premier roman de Léodile Béra sous le pseudonyme de Léo. « Cette vieille fille, encore jeune malgré son nom, se couvre d’habillements passés de mode et d’un large bonnet destiné à cacher les plus beaux cheveux du monde, afin de paraître réellement vieille et de pouvoir vivre seule, loin de ce monde à la fois brillant et misérable, dont elle connaît à fond les défauts et les vices. L’amour — ce trompeur éternel — lui ravit en un jour ses espérances et ses illusions. La trahison de l’objet aimé la rend misanthrope ; dès ce moment elle n’aime plus que l’humanité. C’est par humanité qu’elle s’attache fortement à l’avenir d’un jeune homme qui devient un moment le fiancé de sa sœur, plus jeune qu’elle de dix années. Mais cette sœur est une coquette qui comprend peu l’amour sérieux et profond d’Albert. Celui-ci aime éperduement cette Pauline qu’il délaissera plus tard pour donner son cœur à la vielle fille. Après mille combats, mille tourments, l’union s’accomplit et le bonheur en est le résultat. » Premier volet d’une trilogie sur le mariage. |
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1863 : | Un mariage scandaleux | Roman | Un mariage dangereux est l’histoire de la mésalliance d’une jeune fille qui préfère un paysan au célibat des filles sans dot. André Léo nous compte ici les préjugés des bourgeois et des paysans avec finesse… et des difficultés pour ceux qui veulent s’en affranchir.
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1864 : | Jacques Galéron | Roman épistolaire | Ce roman est écrit en une longue lettre et quelques mots de réponse. Mme Élise Vaillant écrit à son ancienne amie de pension, Mme Julie Mireteau, femme d’un recteur d’Académie, pour lui recommander ses protégées. À la mort de sa fille, sur la demande de celle-ci, Mme Vaillant élève comme de sa fille Suzanne, jeune paysanne et sœur de lait de la défunte. Elle en fait une demoiselle et institutrice. Elle lui donne aussi des gages pour satisfaire les parents de Suzanne mais les bourgeois du cru en profitent pour la reléguer au rang de bonne. Arrive au village Jacques Galéron, jeune instituteur qui tombe amoureux de la jeune fille. L’instituteur souffre de l’assujettissement de son rôle au curé qui veut par exemple imposer des livres qui ne conviennent pas pour les enfants. L’histoire se passe avant le ministère Duruy et les bigots du lieux peuvent se lier contre le couple pour obtenir leur éviction.
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1864 : | Les Désirs de Marinette | Nouvelle | Les exceptionnels talents de chanteuse de Marinette la petite campagnarde sont découverts par des parisiens qui l’aident à faire son entrée à l’Opéra. C’est une ascension inattendue pour une personne dans la misère. Mais Marinette se laisse distraire par les propos amoureux d’un vicomte. Elle délaisse le chant qu’elle devrait travailler et sa famille, mari et enfants, qu’elle abandonne. Le succès déclinant elle se retrouve seule…
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1864 : | Les Deux Filles de monsieur Plichon | Roman épistolaire | « Étude très intéressante, très soignée et qui dénote un talent supérieur. M. Plichon est un bon bourgeois, type quelque peu prud'hommesque, qui a deux filles, l'une, un ange blond, gracieuse, charmante, gaie, nommée Blanche ; l'autre pâle, grave, aux allures sévères, Edith. Un jeune homme, un ancien viveur repenti, parce que ou quoique ruiné, s'éprend de Blanche. Amour enthousiaste pour le petit ange. Quant à Édith, sa raideur, sa froideur, son indifférence quelque peu agressive la laissent pour ainsi dire sur la lisière de la famille. Son père est sans cesse irrité contre elle, et ne s'épanouit que sous les caresses de Blanche. L'amoureux, William, est admis à faire sa cour, et partage bien entendu les sentiments peu sympathiques inspirés par Édith. En somme, c'est un garçon honnête, travailleur, érudit, aimant la science et les études sérieuses, ayant des convictions arrêtées, sincèrement humanitaire et philosophe. Or, pendant les quelques mois qu'il passe dans la maison, voilà qu'il s'aperçoit que le petit ange est l'égoïsme, la frivolité, le préjugé en chair et en os. Il supporte longtemps des caprices qui le choquent, des théories qui le blessent, des inconsciences méchantes qui le navrent, tandis qu'au contraire toutes ses idées saines, honnêtes, fortes, trouvent un écho dans l'âme et la raison d'Édith. Dénouement : un revirement complet. Le petit ange épousera un imbécile quelconque, Édith deviendra la femme de William. Toute cette marche de sentiments est notée avec une habileté profonde et un sentiment vrai et touchant. Les types sans exagération sont dessinés d'un trait net, clair, saisissant de vérité. » Dictionnaire universel illustré |
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1867 : | L’Idéal au village | Roman | « Se réfugier au village, aller se retremper dans la contemplation des paysages aux larges horizons, éteindre ses fièvres dans le calme profond de la nature, quel rêve pour le Parisien, surmené, et aussi quelle facilité d’avenir pour celui que la fortune a traité avec rigueur ! Hélas ! ce n’est là qu’une illusion. Lucien Marlotte et sa sœur Cécile ont fait ce rêve ; ils sont venus, jeunes et naïfs, s’ensevelir dans un village, et — voici qu’ils se heurtent dès leur arrivée à toutes les mesquineries, toutes les intrigues, toutes les coquetteries qu’ils prétendaient fuir. De la campagne, des promenades en plein air, des rêveries en face du décor superbe des vallées et des collines, nul ne se soucie. La petite bourgeoise de village a ses préjugés indéracinables ; elle ne comprend ni la simplicité ni le laisser-aller ; les femmes ne songent qu’aux toilettes parisiennes, les hommes se disputent les fonctions municipales ; les papotages, les calomnies, la haine et l’envie sont plus à redouter encore dans ce cercle étroit où les heurts sont plus fréquents. Rose, la naïve paysanne, n’est qu’une jolie rouée qui vise un mari riche. Lilia, mariée, pense a faire entrer l’adultère sous son toit. Cependant Cécile, par sa grâce et son intelligence, parvient à se créer une existence heureuse, en épousant l’homme de cœur que tous accusaient d’originalité, sinon de folie, il y a dans ce livre un type de servante de campagne, prétentieuse et méchante, Mme Arsène, qui est une trouvaille. » |
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1868 : | Attendre-Espérer | Roman | Court roman d’André Léo sur comment aider les pauvres à ne plus l’être, aumône versus éducation. Un jeune médecin fortuné soigne gratuitement les pauvres. Il rencontre une jeune veuve titrée qui l’assiste dans ses soins aux malades. Le jeune homme tombe amoureux mais craint d’être repoussé les préjugés de castes étant encore très forts. Le baron, père de la jeune femme est néanmoins un progressiste qui va favoriser la création de l’école pour le peuple et l’idylle des jeunes gens mais un obstacle survient… Roman recommandé par George Sand à Juliette Lambert.
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1868 : | Double Histoire | Nouvelle | Double Histoire est recommandé par George Sand qui trouve André Léo exceptionnelle. Double Histoire ou le récit de deux vies opposées qui se rejoignent, la jeune ouvrière d’un père alcoolique et le nanti d’une enfance délaissée… |