Épinac
Épinac | |||||
Les environs du château. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Autun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Autunois Morvan | ||||
Maire Mandat |
Jean-François Nicolas 2020-2026 |
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Code postal | 71360 | ||||
Code commune | 71190 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Épinacois | ||||
Population municipale |
2 150 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 83 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 59′ 32″ nord, 4° 30′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 314 m Max. 475 m |
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Superficie | 25,77 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Épinac (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Autun (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Autun-1 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | epinac.fr | ||||
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Épinac est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Terre de transition entre le Morvan (Autun) et le vignoble de la Côte-d'Or (Dijon).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Thury (Côte-d'Or) | Molinot (Côte-d'Or) |
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Sully | N | Aubigny-la-Ronce (Côte-d'Or) Saisy | ||
O Épinac E | ||||
S | ||||
Auxy | Morlet |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Épinac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épinac[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,9 %), forêts (29,6 %), terres arables (11,6 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le , en raison de son exploitation charbonnière, la commune fut autorisée à s'appeler Épinac-les-Mines, appellation qu'elle conserva pendant une soixantaine d'années, jusqu'à ce qu'Épinac-les-Mines demande à reprendre son appellation première, ce qui lui fut accordé par décret du (paru au Journal officiel du )[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le lieu s'est d'abord appelé Monestoy, du nom de la seigneurie dont l'existence est attestée depuis au moins le XIIIe siècle[15].
Les premiers seigneurs sont les Monestoy. Le , Guillaume, maire de Monestoy, reconnaît une rente de 10 sols dijonnais pour l'anniversaire de Mademoiselle Moine de Quincey, inhumée à l'abbaye Saint-Martin d'Autun[16]. Vers 1430, les nouveaux seigneurs de Monestoy sont Pierre de Bauffremont et sa femme, Agnès de Saulx[15]. Quelques années plus tard, Monestoy est acquis par Nicolas Rolin. Dès lors et par héritage se sont succédé les Rolin, les Chambellan, les Maréchal, les Pernes et enfin les Clermont-Tonnerre.
En 1656, alors que la seigneurie de Monestoy est érigée en comté en faveur de Louis de Pernes[17], colonel d'infanterie et gouverneur de Saintes[18], le lieu change de nom pour celui d'Épinac.
Liste des seigneurs d'Épinac
[modifier | modifier le code]Ont successivement été seigneurs d'Epinac :
- Guy de Monestoy (v. 1250) ;
- Renaud de Monestoy (v. 1298) ;
- Hugues de Monestoy (v. 1326) ;
- Hugues de Monestoy (v. 1395) (fils du précédent), mort à Nicopolis en suivant le comte de Nevers ;
- Pierre de Beauffremont (v. 1430) ;
- Nicolas Rolin (1376-1462), (acquéreur du précédent), chancelier de Bourgogne ;
- Guillaume Rolin (1411-1488), (fils du précédent), marié à Marie de Lévis ;
- Antoine Rolin (1424-1497), (frère du précédent), marié à Marie d'Ailly ;
- François Rolin (v. 1489) (neveu du précédent), marié à Jeanne de Bourbon-Duisant ;
- Jean Rolin (1490-1527) (fils du précédent), marié à Marie de Cugnac ;
- Suzanne Rolin (1513-1577) (fille du précédent), mariée à Nicolas Chambellan ;
- Madeleine Chambellan (1544-1584) (fille des précédents), mariée à Jean Maréchal ;
- Gaspard Maréchal[19] (v. 1560-1591) (fils des précédents), marié à Gabrielle de Vaudrey ;
- Claudine Maréchal (?-1637) (fille des précédents), mariée à Louis de Pernes, gouverneur de Saintes ;
- Louis II de Pernes (?-1694) (fils des précédents) 1er comte d'Épinac, marié à Anne-Jeanne de Rouvray ;
- Anne-Georges de Pernes (?-1719) (fils des précédents) 2d comte d'Épinac[20] (fils du précédent), marié à Claude de Senevoy ;
- Gaspard de Clermont-Tonnerre (1688-1781) 3e comte d'Épinac (neveu du Louis II de Pernes), marié à Antoinette Potier de Novion ;
- Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre (1720-1794) 4e comte d'Épinac (fils du précédent), marié à Anne Le Tonnelier de Breteuil.
Le chemin de fer
[modifier | modifier le code]La commune d'Épinac est associée à l'histoire de l'un des premiers chemins de fer de France, concédé en 1830 et créé à l'initiative du propriétaire des mines d’Épinac, Samuel Blum. Il s'agissait de relier le puits du Curier d'Épinac au hameau de Pont-d'Ouche en Côte-d'Or situé à une vingtaine de kilomètres, d'où le charbon était expédié vers le nord de la région et le bassin parisien via le canal de Bourgogne[21]. C'est en 1829 que fut créée à cet effet la Compagnie des houillères et du chemin de fer d’Épinac.
Les mines
[modifier | modifier le code]Des mines de charbon sont exploitées dès le milieu du XVIIIe siècle sur une surface de 3 435 ha.
Au total, 70 puits seront creusés dans ce bassin minier, mais seulement une dizaine assurèrent l'extraction du charbon.
-
Le puits de la Garenne.
-
Le puits Saint-Charles.
-
Le puits Lestiboudois et le château d'Épinac.
-
Le puits Hottinguer.
La verrerie
[modifier | modifier le code]Une importante verrerie fut fondée en 1752 à Épinac par Gaspard de Clermont-Tonnerre, entreprise qui, dans les années 1830, produisait 1 800 000 bouteilles destinées au commerce des vins mousseux[22]. Cette verrerie ferma ses portes en 1936.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Épinac appartient à l'arrondissement d'Autun et au canton d'Autun-1 depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était le chef-lieu du canton d'Épinac.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription de Saône-et-Loire, représentée depuis par Rémy Rebeyrotte (LREM-TdP). Sous la Cinquième République, Épinac a toujours appartenu à cette 3e circonscription mais cette dernière a été recréée ou redécoupée à deux reprises : une première fois en 1986 (redécoupage Pasqua) et une seconde fois en 2010 (redécoupage Marleix). Auparavant, la commune était intégrée à la circonscription d'Autun (Second Empire, 1863-1870) puis à la 1re circonscription d'Autun (1876-1885, 1889-1919 et 1928-1940).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes et du tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Dijon et de la cour administrative d'appel de Lyon[23].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Depuis le , date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes du Grand Autunois Morvan. Cette intercommunalité est issue de la fusion des communautés de communes de l'Autunois, Arroux Mesvrin et de la Vallée de la Drée, fondée le et dont Épinac était membre.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[24].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]- Élection municipale de 2020 : 51,70 % (455 voix) pour Jean-François Nicolas (PS), 48,29 % (425 voix) pour Jean-Michel Prévotat (SE), 52,94 % de participation.
- Élection municipale de 2014 : 56,79 % (631 voix) pour Claude Merckel (SE), 43,20 % (480 voix) pour Nathalie Grosbois (DVG), 67,15 % de participation.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Épinac figure parmi les quinze premières communes de Saône-et-Loire à avoir établi – puis officialisé – des liens d'amitié avec une localité étrangère[33].
La ville est jumelée avec Steinweiler en Allemagne.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2021, la commune comptait 2 150 habitants[Note 4], en évolution de −3,76 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culte
[modifier | modifier le code]Épinac est le siège de la paroisse Notre-Dame-de-la-Drée, paroisse du diocèse d'Autun qui regroupe quatorze villages[Note 5].
Sur le territoire de la commune, au prieuré du Val Saint-Benoît, dans la forêt des Bassées, sont installées depuis 1982 les Sœurs de Bethléem et de l'Assomption de la Vierge (famille monastique de Bethléem, de l'Assomption de la Vierge et de saint Bruno).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Appartiennent au patrimoine d'Épinac :
- le puits Hottinguer et sa tour Malakoff.
- un musée de la mine est consacré aux houillères d'Épinac mais aussi au chemin de fer d'Épinac ainsi qu'à la verrerie[38] (installé sous la mairie, il doit déménager dans l'ancienne gare en 2019[39]).
- les anciennes halles, dont la construction s'est achevée en 1881, transformées en bibliothèque en 2011[40].
- le château d'Épinac, anciennement château de Monestoy[41].
- le prieuré du Val Saint-Benoit : prieuré fondé au XIIIe siècle par des religieux dépendant du Val des Choues, dans le diocèse de Langres. Ce prieuré, abandonné depuis la fin du XVIIe siècle, dut attendre les années 1970 pour que des premières mesures de sauvegarde fussent entreprises[42]. En 1982, les sœurs de Bethléem s'installèrent sur ce lieu et créèrent le monastère Notre-Dame d'Adoration. L'ancienne église, datée du XIIIe siècle, et la chapelle ont fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques en 1926.
- l'église Saint-Pierre, reconstruite au XIXe siècle (travaux achevés en 1856, sous la conduite de M. Bidault, architecte à Autun).
-
L'église du prieuré du Val Saint-Benoit avec sa chapelle des Loges, dans la forêt des Bassées.
-
Le château d'Épinac.
-
L'église, sous le vocable de saint Pierre.
-
Le site du puits Hottinguer en travaux en 2019.
-
Le site du puits de la Garenne.
-
Le bâtiment de la machine d'extraction du puits Saint-Charles.
-
Le puits Curier.
-
Le musée de la mine est installé sous la mairie.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Parmi les personnalités attachées à l'histoire d'Épinac figurent :
- Nicolas Rolin (1376-1462), chancelier du duc de Bourgogne Philippe le Bon ;
- Pierre Jolibois (1860-1908), ingénieur civil et conseiller municipal de Paris, né au Curier ;
- André Proudhon (1914-1944), résistant français et Juste parmi les Nations, abattu à Épinac (un monument lui rend hommage sur le lieu où il fut abattu, rue du 8-Mai).
- Pierre Mazuez, député-maire de Montceau-les-Mines, né à Épinac.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé, au premier et au quatrième d'argent au lion de gueules, à la bordure de sable chargée de huit besants du champ, au deuxième et au troisième d'azur à la croix alésée d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | D’argent au lion de gueules, à la bordure de sable chargée de huit besants d’or[43]. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Paroisse dont dépendent, outre Épinac, Antully, Auxy, Collonge-la-Madeleine, Curgy, Épertully, Morlet, Saisy, Saint-Gervais-sur-Couches, Saint-Émiland, Saint-Léger-du-Bois, Saint-Martin-de-Commune, Sully et Tintry.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Épinac et La Rochepot », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Épinac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Cachets postaux à Épinac », article de Paul Lambert et François Nosjean paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 77 (printemps 1989), page 20.
- Revue des sociétés savantes de la France et de l'étranger, Tome I, 1856.
- Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, charte no 104. Texte en ligne.
- Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Louis Alexandre Expilly, Tome II, 1764.
- Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Tome IV, 1855.
- Lieutenant général en Bourgogne.
- Parfois appelé marquis d'Épinac.
- TILLEQUIN Séverine, « Epinac, ville-témoin de l'histoire des chemins de fer en France et en Bourgogne », article paru dans « Images de Saône-et-Loire » n° 188 de décembre 2016, pages 16 à 19.
- « Les anciennes verreries d'Épinac », article de Lucien Taupenot (alias Luc Hopneau) paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 97 d'avril 1994, page 12.
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Notice ROUX François par Pierre Goujon, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
- Chantal Pitelet, « Henri Duployer, une figure emblématique », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne).
- Notice DUPLOYER Henri, Marius, Louis par Pascal Rigaud, Jean-François Poujeade, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 29 octobre 2021
- « Municipales 2014 : Jean Drevon, maire de Charolles « À la recherche de consensus depuis 1971 » », Vivre à Châlon, (lire en ligne).
- « Jean Pelletier élu maire de la commune au 1er tour », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne).
- C.P., « Claude Merckel remporte la mairie d'Epinac », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- David Pipponiau, « Jean-François Nicolas remporte la mairie », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- « Jean-François Nicolas élu maire ce samedi matin », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- Avec Autun, Bourbon-Lancy, Chagny, Chalon-sur-Saône, Chauffailles, Cuisery, Étang-sur-Arroux, Loisy, Mâcon, Lugny, Paray-le-Monial, Romenay, Saint-Amour-Bellevue, Sanvignes-les-Mines et Tournus. Source : Bernard Humblot, « Quand la Saône-et-Loire s'intéresse aussi aux pays voisins », revue « Images de Saône-et-Loire » n° 16 de décembre 1972, pp. 9-11.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Musée de la mine », sur epinac.fr.
- « De nombreux projets en cours dans la commune », sur lejsl.com, .
- Annie Bleton-Ruget, Alain Dessertenne, Françoise Geoffray, Martin Raether, Des bibliothèques dans des lieux patrimoniaux, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 50-63.
- Roland Niaux, « Château de Monestoy ».
- Après que les propriétaires du prieuré aient confié à la Société des amis des arts et de l'histoire (SAAH) d'Autun la mission de sauver le monument, d'en assurer la conservation, la protection et la réhabilitation, ce qui fut fait dans le cadre d'une opération baptisée « Renaissance du prieuré du val Saint-Benoît », officiellement lancée en février 1973, avec le soutien de Raymond Oursel. Source : Michel Le Cam, Renaissance du Val Saint-Benoît, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 18 (juin 1973), pp. 11-15.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.