Cachemire
Pays | |
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État souverain | |
Localisation géographique | |
Revendiqué par | |
Superficie |
176 119,19 km2 |
Coordonnées |
Population |
3,9 M hab. () |
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Densité |
22,4 hab./km2 () |
Gentilé |
Caismíreach |
Statut |
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Le Cachemire (variante orthographique rare : Kashmir) est une région montagneuse du sous-continent indien. On désigne sous ce vocable, depuis la partition des Indes et la disparition de l'État princier du Jammu-et-Cachemire, l'ensemble du territoire qui constituait ce dernier.
Depuis le déclenchement de la première guerre indo-pakistanaise en 1947, le Cachemire est de facto partagé entre l'Inde, le Pakistan et la Chine qui administrent le territoire du Jammu-et-Cachemire et du Ladakh pour l'Inde, les territoires de l'Azad Cachemire et du Gilgit-Baltistan pour le Pakistan ainsi que la région de l'Aksai Chin et la vallée de Shaksgam pour la Chine.
L'Inde continue de réclamer l'intégralité du Cachemire historique, à savoir l'Aksai Chin, la vallée de Shaksgam, le Gilgit-Baltistan et l'Azad Cachemire en plus des territoires qu'elle contrôle déjà.
Le Pakistan revendique le Jammu-et-Cachemire contrôlé par l'Inde.
La Chine contrôle l'intégralité des territoires qu'elle revendique dans cette région, à savoir l'Aksai Chin et la vallée de Shaksgam. La souveraineté sur ces deux territoires chinois est reconnue par le Pakistan, mais pas par l'Inde. Des mouvements séparatistes continuent par ailleurs à prôner le rétablissement de l'indépendance du Cachemire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Le Cachemire est situé en Asie, dans le Nord du sous-continent indien, dans le Nord de l'Inde et du Pakistan et l'Extrême Ouest de la Chine. Il est frontalier de l'Afghanistan au nord.
Couvrant l'extrémité occidentale de l'Himalaya, le Karakoram et l'extrémité orientale de l'Hindou Kouch, la région est très montagneuse, parcourue par de nombreuses vallées dont les plus importantes sont celles du Cachemire et la haute vallée de l'Indus. Une toute petite frange de la plaine indo-gangétique constitue l'extrémité sud-ouest du Cachemire. Le Cachemire est aussi traversé par une chaîne de montagnes : le Pir Panjal, dont les sommets atteignent plus de 4500 m et dont les cols les plus bas s’élèvent à 3500m.
C’est un pays qui possède de grandes ressources en eau, élément vital pour irriguer les cultures et nourrir les populations. On le nomme communément « château d’eau »[1].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le Nilamata Purana décrit l'origine de la vallée à partir des eaux, un fait corroboré par des géologues éminents, et montre comment le nom même de la terre a été dérivé du processus de dessiccation — Ka signifie « eau » et Shimir signifie « dessécher ». Par conséquent, le Cachemire signifie « un terrain desséché de l'eau ». Il y a aussi une théorie qui prend le Cachemire pour être une contraction de Kashyap-mira, de Kashyapmir ou de Kashyapmeru, la « mer ou montagne de Kashyapa », le sage qui a été crédité d'avoir vidé les eaux du lac primitif Satisar, que Cachemire était avant qu'il ne soit récupéré. Le Nilamata Purana donne le nom Kashmira à la vallée du Cachemire comprend le lac Wular (en) Mira qui signifie le « lac de la mer ou la montagne du Sage Kashyapa ». Mira en sanskrit signifie « océan » ou les « frontières », considérant qu'il s'agit d'un mode de réalisation d'Uma[Quoi ?] et c'est le Cachemire que le monde connaît aujourd'hui[réf. nécessaire]. Les Kashmiris, cependant, l'appellent Kashir, qui a été dérivé phonétiquement du Cachemire.
Les Grecs anciens l'ont appelé Kashyapa-pura, qui a été identifié avec Kaspapyros de Hecatée (via Étienne de Byzance) et Kaspatyros d'Hérodote (3.102, 4.44). Le Cachemire est également considéré comme le pays désigné par la Kaspeiria de Ptolémée. Cashmere est une orthographe archaïque du présent-Cachemire et, dans certains pays, il est encore écrit de cette façon. La terre et les gens étaient connus sous le nom de « Kashir » dont le « Cachemire » était également dérivé. Elle était appelée « Kaspeiria » par les Grecs anciens. Dans la littérature classique, Hérodote l'appelle Kaspatyrol[2]. Xuanzang, un moine chinois qui a visité le Cachemire en 631, le désigne sous le nom de Kia-shi-mi-lo. Les Tibétains l'appellent Khachal, qui signifie « neige montagne »[2]. Cette zone a toujours été une terre de rivières, de lacs et de fleurs sauvages. La rivière Jhelum s'écoule tout au long de la vallée.
Histoire
[modifier | modifier le code]Histoire ancienne
[modifier | modifier le code]Anciennement peuplée, la région est gagnée à la culture hindoue au moins dès le VIe siècle avant notre ère. Elle appartient à plusieurs reprises aux grands empires de l'Inde notamment sous Ashoka et Kanishka[3].
Au VIIIe siècle, c'est un État indépendant et conquérant. Le roi Lalitaditya Muktapida (725-753) étend sa domination depuis les plaines du Pendjab jusqu'à la région montagneuse du Ladakh. Il englobe temporairement le royaume de Kânnauj. Lalitâditya fait venir des artisans des pays conquis et développe l'agriculture grâce au drainage et à la mise en place de l'irrigation du bassin de Srinagar qui constitue le cœur de son royaume. Il fait bâtir des villes et des temples dont celui célèbre de Mârtânda. Le Cachemire est alors un foyer important de la culture sanskrite où prospèrent simultanément bouddhisme et une école particulière du shivaïsme. Cette civilisation se maintient jusqu'à l'introduction de l'islam au XIVe siècle[4].
Période coloniale
[modifier | modifier le code]La colonisation européenne est amorcée avec l’arrivée du Portugais Vasco de Gama à Kozhikode en 1498. À partir de ce moment là, des comptoirs commerciaux commencent à fleurir sur les côtes indiennes. Par la suite, les compagnies, plus seulement portugaises, se multiplient, notamment la East India Company (lancée en 1599), ou encore la compagnie française des Indes Orientales (fondée en 1673). Dès la victoire de l’anglais Robert Clive sur le nawab du Bengale en 1757, les britanniques dominent le continent indien. En 1833, le statut de la East India Company est bouleversé puisque la couronne britannique retire aux compagnies leurs privilèges commerciaux pour les transformer en un instrument de conquêtes territoriales. En 1846 l'empire britannique qui s'étendait jusqu'au sous-continent indien, vend le Cachemire à un chef de guerre hindou, Gulab Singh. Par ce changement de dirigeant, le Cachemire devient donc un état princier sous souveraineté hindoue (mais il demeure toujours sous protectorat britannique).
La Première guerre anglo-sikhe (1845-1846) se conclut par le Traité d'Amritsar (1846) et l'établissement au sein du Raj britannique de l'État princier de Jammu-et-Cachemire, dirigé par la Dynastie Dogra (ou Jamwal) (1846-1952). Entre 1848 et 1849 a lieu la Seconde Guerre anglo-sikhe.
Ce statut sera dissous en 1857 après la révolte des Cipayes. Ses possessions passent sous l’administration directe de la Couronne, marquant ainsi le début du règne britannique. En 1877, la reine Victoria est couronnée impératrice des Indes.
XXe siècle
[modifier | modifier le code]À la suite de l'indépendance de l'Inde en 1947 et du Pakistan, un litige naît autour du Cachemire afin de savoir auquel de ces deux pays il va être rattaché, ce qui donne naissance en partie à la premiere guerre indo-pakistanaise en 1947[5]. L'Inde avant son indépendance de l'Angleterre était pour une partie dirigée directement par les Britanniques et pour l'autre partie, appelée États princiers, dirigée par les Maharadjas. Dans les États princiers il n'y avait qu'un représentant de la couronne britannique qui avait essentiellement un rôle de surveillance. Les États princiers n'avaient pas le droit d'avoir une véritable armée. Quand l'indépendance a été obtenue, les États princiers ont indiqué qu'ils voulaient rester indépendants. Mais comme ils n'avaient pas d'armée, Jawaharlal Nehru et Lord Mountbatten les ont convaincus de rejoindre l'Union Indienne moyennant quelques privilèges. Seul le maharadjah de Cachemire a refusé. Peu de temps après alors que le Maharadja du Cachemire était à Srinagar sur un terrain de golf on l'a informé que des bandes rivales en provenance du Pakistan allaient arriver d'ici quelques jours et dévaster Srinagar. Il a alors tout de suite téléphoné à Nehru pour lui demander de l'aide. Nehru a accepté, mais à condition que le Cachemire rejoigne après l'Union Indienne. Le Maharadja a accepté avec comme condition qu'il y ait après un référendum pour savoir si le Cachemire rejoindrait l'Inde ou le Pakistan. Nehru a accepté. L'armée indienne est venue et a ainsi empêché les bandes armées du Pakistan d'arriver ; par contre le référendum n'a jamais eu lieu et l'armée indienne est toujours là depuis ce moment. L'Inde n'a jamais voulu organiser de référendum car le Cachemire est à forte majorité musulmane.
Le 22 octobre 1947, le Jammu et Cachemire est envahi par 2 000 membres d’une tribu pakistanaise (des pachtounes), malgré l’envoi par Sheikh Abdullah de représentants au Pakistan pour un second volet de discussions. Ces tribus (bien que sous autorité pakistanaise) agissent indépendamment de la volonté de la République Islamique du Pakistan[6]. De ce fait, le gouvernement du Pakistan avait tenté de refréner les actions de ces tribus, en faisant pression sur leur chef. Cependant, le gouvernement n’y est pas parvenu dans la mesure où le risque de débordement était très accru. Cette invasion a été l’élément déclencheur de la révolte des habitants du Poonch (district du Cachemire) contre le Maharaja. La situation s’envenime à partir du moment où des bandes armées d’hindous et de sikhs, tous membres de l’Akaki Dal (parti politique sikh), attaquent des villages musulmans au Cachemire. Les Cachemiris sont donc favorables à un rattachement du Jammu et Cachemire à l’Inde. Ainsi, le 26 octobre 1947 la principauté du Jammu et Cachemire adhère à l’Inde. Par la suite, l’Inde déploie ainsi ses troupes sur le territoire mais se heurte à l’assaut de l’armée pakistanaise, qui a toujours pour ambition de rattacher le Jammu et Cachemire au Pakistan.
Par crainte d'une guerre le 1er janvier 1948, le représentant indien s’adresse au Président du Conseil de Sécurité de l’ONU dans le but d’apaiser les tensions. L'ONU a donc essayé de mettre différents plans en place, mais tous ont échoué comme celui d'avril 1948 qui consistait à rétablir la paix et l'ordre au Jammu et Cachemire.
Le 1er janvier 1949, à la demande de l'Inde, l’ONU intervient afin de négocier un cessez-le-feu. Se met alors en place une ligne de cessez-le-feu, ayant pour but à la fois de mettre fin au conflit, de créer une cohésion au sein du Cachemire, mais aussi d’éviter de nouveaux combats. Le Cachemire est donc divisé en trois : le Jammu-et-Cachemire au sud du Cachemire, appartenant à l’État fédéré indien, puis deux autres régions, l’Azad Jammu-et-Cachemire et les territoires du Nord qui appartiennent au Pakistan, et la Chine qui détient un petit bout du territoire au Nord-Est.
Cette répartition a été mal prise en compte, ce qui a en partie déclenché la Seconde Guerre indo-pakistanaise en 1965[réf. nécessaire].
En 1987, la manipulation des élections locales par le gouvernement indien déclenche une insurrection[7].
Leur accès « officiel », en 1998, à la maîtrise des armements nucléaires ne semble pas avoir aggravé ces risques, au contraire : on assiste à une sorte de guerre froide entre les deux pays, aucun des deux ne souhaitant réellement utiliser cette arme.
XXIe siècle
[modifier | modifier le code]Les élections de 2004 qui ont porté le Congrès national indien au pouvoir en Inde se sont déroulées dans un climat d'apaisement entre les différentes communautés (chrétienne, hindoue, musulmane) puisque le Premier ministre désigné n'était pas hindou, mais sikh. En 2014, le retour au pouvoir du BJP rend plus incertaine la conclusion d'un processus de paix au Cachemire.
- Insurrection au Jammu-et-Cachemire (depuis 1987)
- Confrontation indo-pakistanaise de 2001-2002
- Confrontation indo-pakistanaise de 2019
Le , en abolissant les articles 370 et 35A de la constitution indienne, le gouvernement indien révoque l'autonomie constitutionnelle du Cachemire. L'Inde interrompt tous les canaux de télécommunications : réseaux mobiles, internet, haut débit et lignes terrestres, au Cachemire[8],[9]. Les mouvements de rue sont réprimés, faisant seize morts, et nombre de personnes, manifestants ou personnalités politiques (dont Mehbooba Mufti, ministre en chef de la province d'avril 2016 à juin 2018), sont incarcérées[7].
Selon le site d'information en ligne indépendant The Wire, cette décision « devrait avoir des retombées négatives considérables à trois niveaux. D'abord, du point de vue des violations de droits humains au sein du Cachemire. Ensuite, concernant la place de l'Inde sur la scène internationale : M. Modi a entamé le prestige démocratique du pays. Enfin, cela pose de graves problèmes pour le fonctionnement de la démocratie, car des mesures semblables peuvent être prises contre des États perçus comme récalcitrants ou hostiles au gouvernement. » L’essayiste et journaliste Prem Shankar Jha souligne que « des milliers de jeunes Cachemiris qui étaient jusqu'alors restés en marge de l'insurrection vont rejoindre ses rangs. » La communauté internationale — à l'exception du Pakistan et de la Chine — reste passive[7]
Démographie
[modifier | modifier le code]Le Cachemire comporte 10 millions d’habitants[Quand ?] pour une superficie de 218 000 km2.
Administré par | Région | Population | % Islam | % Hindouisme | % Bouddhisme | % Autre |
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Inde | Vallée du Cachemire | ~4 millions | 95 % | 4 % | – | – |
Jammu | ~3 millions | 30 % | 66 % | – | 4 % | |
Ladakh | ~0,25 million | 46 % | – | 50 % | 3 % | |
Pakistan | Azad Kashmir | ~2,6 millions | 100 % | – | – | – |
Gilgit-Baltistan | ~1 million | 99 % | – | – | – | |
Chine | Aksai Chin | – | – | – | – | – |
Vallée de Shaksgam | – | – | – | – | – | |
Culture
[modifier | modifier le code]Le Cachemire chinois est une zone très peu peuplée voire inhabitée[10], où la présence de population a été historiquement de caractère occasionnel ou saisonnier. Celle-ci diverge en fonction du territoire dans le Cachemire chinois. Dans la vallée de Shaksgam, une étroite bande de terre à la frontière avec le Pakistan, ce sont les nomades Kirghizes (de langue turcique) et Sariqolis (de langue iranienne) musulmans, ainsi que les estivants Bourouchos de Hunza, qui y étaient historiquement recensés[11]. Dans l'Aksai Chin, vaste plateau de haute altitude, situé à l'est du Cachemire indien, la rare présence humaine était le fait des Changpas, des nomades de langue tibétique et de religion bouddhiste (tantrisme).
Le Cachemire pakistanais parle majoritairement des langues indo-européennes du groupe indo-aryen et est de religion musulmane. Néanmoins, de forts contrastes existent entre les deux subdivisions territoriales qui s'y trouvent, l'Azad Cachemire (dans sa partie méridionale ; la plus peuplée) et le Gilgit-Baltistan (dans sa partie centrale et septentrionale ; la plus étendue).
- Le Gilgit-Baltistan présente une diversité linguistique importante, composé de nombreux groupes ethnolinguistiques qui ne forment pas de majorité. Des langues indo-européennes du groupe indo-aryen y sont parlées, telles que le shina et le khowar, on y trouve également des populations telles que les Wakhis (de langue iranienne), les Baltis (de langue tibétique) ou les Bourouchos, locuteurs du bourouchaski (isolat). Tandis que l'Azad Cachemire parle de manière prédominante le pothohari, une langue proche du pendjabi[12].
- Le Gilgit-Baltistan se distingue également par ses spécificités religieuses, le chiisme y étant le courant religieux majoritairement suivi, une exception au Pakistan. L'Azad Cachemire, dans ses pratiques religieuses, ne se démarque pas de la norme nationale.
Le Cachemire indien est une zone de rencontre entre les langues et les religions de la région.
- Concernant les langues, deux zones existent : une zone parlant des langues tibétiques, à l'est, et une autre parlant plusieurs langues indo-aryennes, à l'ouest. Une forte diversité linguistique est aussi présente dans cette région, bien que des langues prédominantes peuvent être remarquées, telles que le cachemiri, parlé dans le Cachemire stricto sensu ou vallée du Cachemire, le dogri dans la région de Jammu, le ladakhi dans le Ladakh, et le gojri, langue des Gurjars, dans la région de Poonch[12]. À celles-ci s'ajoutent des langues moins répandues, telles que le purigi et le balti, le shina, le brokskat, langue des Brokpas, ou encore des langues paharies occidentales telles que le bhadarwahi et le padri.
- Concernant les religions, trois zones existent : une zone dominée par les hindouistes, au sud et à l'ouest, une zone dominée par des bouddhistes tibétains, à l'est, et enfin une zone dominée par les musulmans, au nord et au centre.
- L'artiste KSHMR tient son pseudonyme en référence à ce lieu, auquel il est lié par ses origines cachemiries.
Sur la ligne de contrôle établie en 2003 à la frontière entre l'Inde et le Pakistan, l'érection en 2007 d'une barrière de rangs de barbelés de 2 à 4 mètres de hauteur a rendu impossible la migration du cerf du Cachemire, du Markhor et d'autres espèces et entrainé leur disparition de la partie pakistanaise du Cachemire, où elles étaient autrefois très présentes[13].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- La Documentation française, « La question du Cachemire », sur www.ladocumentationfrancaise.fr (consulté le )
- P. N. K. Bamzai, Culture et histoire politique du Cachemire, vol. 1, New Delhi, MD Publications, 1994, pp. 4-6.
- Jacques Dupuis, Histoire de l'Inde, 2e éd., Éditions Kailash, 2005, p. 169.
- Jacques Dupuis, ibid., 2005, p. 169.
- Guillard Olivier, Géopolitique de l'Inde : le rêve brisé de l'unité., Paris, Presses universitaires de France,
- Reynolds Nathalène, Le Cachemire dans le conflit indo-pakistanais (1947-2004). Point sur l'Asie., Paris, L'Harmattan,
- Vaiju Naravane, « Au Cachemire, l’hindouisme sabre au clair », sur Le Monde diplomatique,
- « L'Inde révoque par surprise l'autonomie du Cachemire, une décision explosive », sur bfmtv.com, (consulté le )
- « L'Inde durcit sa mainmise sur le Cachemire en révoquant son autonomie constitutionnelle », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- (en) Stephen P. Westcott, « The Elusive Settlement », dans Global India, Routledge, , 83–100 p. (ISBN 978-1-003-30513-2, DOI 10.4324/9781003305132-8, lire en ligne)
- (en) Sujan R. Chinoy, « The Forgotten Fact of “China-Occupied Kashmir” », Special feature, New Delhi, Manohar Parrikar Institute for Defence Studies and Analyses, (lire en ligne )
- Jean-Luc Racine, « Le Cachemire : une géopolitique himalayenne », Hérodote, La Découverte, no 107 « Géopolitique des montagnes », (ISSN 0338-487X, OCLC 7481096195, DOI 10.3917/her.107.0017)
- Agence France-Presse, « Au Cachemire, la faune paie un prix élevé au conflit indo-pakistanais », La Dépêche du Midi, (lire en ligne)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Musique cachemirie
- Route du Karakorum
- Frontière entre l'Inde et le Pakistan
- Groupe d'observateurs militaires des Nations unies pour l'Inde et le Pakistan
- Alphasyllabaire sharda
- Cachemire (tissu)
- Meghavahana
Liens externes
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- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- « Au Cachemire, la guerre des langues fait rage dans l’ombre », Shahzaman Haque, The Conversation