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Championnat du monde de Formule 1 1979

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Championnat du monde de Formule 1 1979
Généralités
Sport Formule 1
Création 1950
Organisateur(s) FIA
Édition 30e
Nombre de manches 15 Grands Prix
Site web officiel www.fia.com
www.formula1.com
Palmarès
Champion pilote Drapeau d'Afrique du Sud Jody Scheckter
Champion constructeur Drapeau de l'Italie Ferrari

Navigation

Le championnat du monde de Formule 1 1979 est remporté par le Sud-Africain Jody Scheckter sur une Ferrari. Ferrari remporte le championnat du monde des constructeurs.

Cette saison, extrêmement disputée, démarre par deux victoires de Jacques Laffite sur Ligier. Lors du Grand Prix de France sur le circuit de Dijon-Prenois, Jean-Pierre Jabouille obtient la première victoire de l'écurie Renault et le premier succès d'un moteur turbocompressé en Formule 1 tandis que Gilles Villeneuve (Ferrari) et René Arnoux (Renault) se livrent un duel titanesque pour la deuxième place dans les derniers tours, se passant, se repassant, se touchant, sur et hors de la piste, pour ce qui reste considéré comme un des moments les plus forts de l'histoire de la discipline.

L'écurie Williams se révèle au plus haut niveau avec ses cinq premières victoires grâce à Alan Jones et Clay Regazzoni au volant de la FW06. Pour autant, les pilotes Ferrari émergent en tête du championnat. Jody Scheckter grâce à sa régularité et ses trois victoires, devance son coéquipier Gilles Villeneuve pour le titre mondial. Il va rester le dernier champion du monde sur Ferrari pour une période de 21 ans et le sacre de Michael Schumacher en 2000.

La saison est également marquée par le retrait brutal du double champion du monde Niki Lauda au matin des essais du Grand Prix du Canada.

Règlement sportif

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  • L'attribution des points s'effectue selon le barème 9, 6, 4, 3, 2, 1.
  • Seuls les quatre meilleurs résultats des sept premières manches et les quatre meilleurs résultats des huit dernières manches sont retenus.
  • Les deux voitures peuvent désormais marquer des points pour le championnat constructeurs.

Règlement technique

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  • Moteurs atmosphériques : 3 000 cm³
  • Moteurs suralimentés : 1 500 cm3

Pilotes et monoplaces

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Pilotes et monoplaces de la saison 1979
Écurie Constructeur Châssis Moteur Pneus no  Pilotes
Martini Racing Team Lotus Lotus 79
80
Ford 3.0 V8 G 1 Drapeau des États-Unis Mario Andretti n/a
2 Drapeau de l'Argentine Carlos Reutemann
Team Tyrrell
Candy Tyrrell Racing
Tyrrell 008 Ford 3.0 V8 G 3 Drapeau de la France Didier Pironi n/a
4 Drapeau de la France Jean-Pierre Jarier
Drapeau du Royaume-Uni Geoff Lees
33 Drapeau de l'Irlande Derek Daly
Parmalat Racing Team Brabham BT48 Alfa Romeo 3.0 V12 à plat
Alfa Romeo 3.0 V12
Ford 3.0 V8
G 5 Drapeau de l'Autriche Niki Lauda n/a
Drapeau de l'Argentine Ricardo Zunino
6 Drapeau du Brésil Nelson Piquet
Marlboro Team McLaren McLaren M28 Ford 3.0 V8 G 7 Drapeau du Royaume-Uni John Watson Drapeau de la France Alain Prost
8 Drapeau de la France Patrick Tambay
ATS Wheels ATS D2 Ford 3.0 V8 G 9 Drapeau de l'Allemagne Hans-Joachim Stuck n/a
Scuderia Ferrari SpA SEFAC Ferrari 312 T3
312 T4
Ferrari 3.0 flat-12 M 11 Drapeau d'Afrique du Sud Jody Scheckter n/a
12 Drapeau du Canada Gilles Villeneuve
Fittipaldi Automotive Fittipaldi F6 Ford 3.0 V8 G 14 Drapeau du Brésil Emerson Fittipaldi n/a
19 Drapeau du Brésil Alex Ribeiro
Équipe Renault Elf Renault RS01 Renault 1.5 V6 turbo M 15 Drapeau de la France Jean-Pierre Jabouille n/a
16 Drapeau de la France René Arnoux
Samson Shadow Racing Cars
Interscope Shadow Racing Cars
Shadow DN9 Ford 3.0 V8 G 17 Drapeau des Pays-Bas Jan Lammers n/a
18 Drapeau de l'Italie Elio De Angelis
Olympus Cameras Wolf Racing Wolf WR8 Ford 3.0 V8 G 20 Drapeau du Royaume-Uni James Hunt n/a
Drapeau de la Finlande Keke Rosberg
Team Ensign Ensign N179 Ford 3.0 V8 G 22 Drapeau de l'Irlande Derek Daly n/a
Drapeau de la France Patrick Gaillard
Drapeau de la Suisse Marc Surer
Team Merzario Merzario A2 Ford 3.0 V8 G 24 Drapeau de l'Italie Arturo Merzario n/a
Drapeau de l'Italie Gianfranco Brancatelli
Ligier Gitanes Ligier JS11 Ford 3.0 V8 G 25 Drapeau de la France Patrick Depailler n/a
Drapeau de la Belgique Jacky Ickx
26 Drapeau de la France Jacques Laffite
Albilad-Saudia Racing Team Williams FW06 Ford 3.0 V8 G 27 Drapeau de l'Australie Alan Jones n/a
28 Drapeau de la Suisse Clay Regazzoni
Warsteiner Arrows Racing Team Arrows A1B Ford 3.0 V8 G 29 Drapeau de l'Italie Riccardo Patrese n/a
30 Drapeau de l'Allemagne Jochen Mass
Team Rebaque Lotus
Rebaque
79
HR100
Ford 3.0 V8 G 31 Drapeau du Mexique Héctor Rebaque n/a
Autodelta Alfa Romeo 177
179
Alfa Romeo 3.0 V12 à plat
Alfa Romeo 3.0 V12
G 35 Drapeau de l'Italie Bruno Giacomelli n/a
36 Drapeau de l'Italie Vittorio Brambilla
Willi Kauhsen Racing Team Kauhsen WK Ford 3.0 V8 G 36 Drapeau de l'Italie Gianfranco Brancatelli n/a

Au lendemain de la domination écrasante des Lotus 79 qui ont survolé la saison 1978 et établi la supériorité des wing-cars, la concurrence s'organise. Malgré le désavantage d'utiliser des moteurs 12 cylindres dont l'encombrement ne permet pas d'aller aussi loin que Lotus dans le concept du châssis en forme d'aile d'avion inversée, Ferrari et Brabham-Alfa Romeo ont sorti des nouvelles voitures que l'on peut qualifier de « wing-cars ». L'écurie qui semble être allée le plus loin dans la voie de l'imitation des Lotus est l'équipe française Ligier qui a d'ailleurs troqué son moteur V12 Matra Sports pour un classique V8 Cosworth. Les nouvelles Ligier JS11 ont ainsi fait grosse impression lors des essais hivernaux.

Le marché des pilotes a été particulièrement agité. Le transfert le plus marquant a été celui de l'Argentin Carlos Reutemann passé de Ferrari à Lotus où il remplace le malheureux Ronnie Peterson. Sa place laissée vacante chez Ferrari est désormais occupée par Jody Scheckter qui a quitté une écurie Wolf Racing en perte de vitesse. Wolf peut se consoler de la perte du brillant pilote sud-africain avec le recrutement de l'ancien champion du monde James Hunt. Hunt est remplacé chez McLaren par le Nord-Irlandais John Watson auquel le jeune Brésilien Nelson Piquet, déjà vu en 1978 en tant que troisième pilote, succède chez Brabham.

On note également le passage de Depailler de Tyrrell à Ligier qui, comme Renault, aligne une deuxième voiture afin de bien figurer au championnat des constructeurs, pour lequel les deux voitures peuvent désormais marquer des points et plus seulement la mieux classée. Depailler est remplacé chez Tyrrell par Jean-Pierre Jarier qui a fait grosse impression lors de son interim chez Lotus fin 1978.

Résumé du championnat du monde 1979

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Dès l'ouverture de la saison en Argentine, les Ligier se montrent à la hauteur des espoirs placés en elles. Laffite et Depailler monopolisent la première ligne de la grille de départ avant de survoler la course. Des soucis d'allumage rencontrés en fin de course par Depailler qui se classe quatrième privent l'écurie française du doublé qui intervient deux semaines plus tard au Brésil, au terme d'une nouvelle implacable domination des « Bleus ». À deux reprises sur le podium, seul Carlos Reutemann sur la vieille Lotus 79 ne ressort pas laminé du périple sud-américain.

Nouveau rapport de force en Afrique du Sud où les Ligier apparaissent moins à leur avantage. Malgré la pole de Jabouille sur la Renault, première pole position d'un moteur turbo en F1, cette technologie s'avérant particulièrement efficace sur le circuit en altitude de Kyalami où les moteurs atmosphériques perdent de la puissance, ce sont les Ferrari qui dominent l'épreuve. Sur une piste humide s'assèchant, Scheckter réussit le pari de rester en pneus slicks ce qui lui permet d'économiser un arrêt ravitaillement et de s'envoler vers la victoire. Un freinage raté en vue de l'arrivée l'oblige finalement à observer cet arrêt qu'il avait su éviter et à concéder la victoire à son équipier Gilles Villeneuve. À Long Beach Gilles Villeneuve survole les débats d'un bout à l'autre de la course et s'empare de la tête du championnat devant Laffite.

En perte de vitesse après leur tonitruant début de saison, les Ligier reprennent la main en Espagne. Malgré une nouvelle pole de Laffite, Depailler s'impose en profitant de la casse moteur de Laffite, qui a effectué un surrégime en ratant un changement de vitesses, et revient à la hauteur de Villeneuve au classement du championnat du monde tandis que Reutemann et Scheckter, modèles de régularité, restent en embuscade.

En Belgique, on retrouve les deux Ligier en première ligne mais la sensation de la course est la prestation de l'australien Alan Jones, dominateur au volant de sa Williams FW07 apparue au Grand Prix précédent et qui, comme la Ligier, est une wing-car très réussie qui tire grandement son inspiration de la fameuse Lotus 79. Le baroud de Jones prend fin à la suite d'une défaillance technique et la victoire revient à l'opportuniste Jody Scheckter devant Laffite. Les deux hommes prennent ainsi les commandes du championnat (en réalité, Scheckter a marqué un point de plus, mais avec déjà cinq arrivées dans les points, il doit décompter sa sixième place du Grand Prix du Brésil). Scheckter doit attendre le Grand Prix de Monaco pour enfin prendre seul la tête du championnat, malgré l'obligation qui lui est faite de soustraire un nouveau moins bon résultat, en l'occurrence sa quatrième place de Jarama.

De plus en plus en difficulté face aux Ferrari, l'écurie Ligier subit un coup dur peu de temps après l'épreuve monégasque. Gravement touché aux jambes dans un accident de deltaplane, Patrick Depailler est forfait pour le reste de la saison. Si le pilote le plus rapide de l'équipe est bien Jacques Laffite, Depailler brille par sa grande expertise technique et son sens de la mise au point, domaine dans lequel Laffite n'est pas d'un aussi grand secours. Pour le remplacer, Guy Ligier a dans un premier temps réussi à convaincre James Hunt qui a claqué la porte de l'écurie Wolf à l'issue du Grand Prix de Monaco. Walter Wolf prend acte du départ du champion anglais mais refuse de le voir partir dans une autre équipe. Ligier se tourne alors vers le vétéran belge Jacky Ickx qui brille désormais en Sport-prototypes.

Le Grand Prix de France disputé à Dijon entre dans l'histoire de la Formule 1 pour deux raisons : Jean-Pierre Jabouille y signe en effet la première victoire d'une Renault en F1 et le tout premier succès d'un moteur turbo deux ans après son apparition en F1. Cette victoire historique est éclipsée par le duel titanesque que se sont livrés en toute fin de course Arnoux sur l'autre Renault et Gilles Villeneuve. Au terme d'une lutte d'une intensité jamais égalée dans l'histoire de la F1 (à plusieurs reprises les voitures se toucheront, ce qui n'empêchera pas les deux hommes de partager leur hilarité sur le podium), Villeneuve parvient à résister à la Renault.

À Silverstone, où ni les Ligier ni les Ferrari ne sont dans le coup, les Williams dominent mais, comme en Belgique, une panne mécanique empêche Jones de décrocher un succès mérité qui revient à son coéquipier Clay Regazzoni et offre à l'écurie Williams la première victoire de son histoire. C'est le début d'une longue série pour Williams, puisque malgré les prestations souvent éclatantes des Renault en qualifications, Jones s'impose lors des trois courses suivantes. Au championnat, force reste aux Ferrari, dominées en vitesse pure depuis l'apparition de la nouvelle Williams mais d'une grande régularité. À l'issue du Grand Prix des Pays-Bas, Scheckter est ainsi leader du championnat avec 44 points devant Laffite 36 points, Jones 34 points, et Villeneuve 32 points.

En Italie, profitant d'une méforme passagère des Williams, les Ferrari signent un facile doublé dans l'ordre Scheckter-Villeneuve. Cette victoire ne rapporte que 7 points à Scheckter obligé de décompter les deux points de sa cinquième place de Silverstone, mais par le jeu des décomptes auxquels seraient eux aussi soumis ses adversaires les plus proches s'ils venaient à briller lors des deux dernières épreuves de la saison, cela suffit à lui assurer mathématiquement le titre de champion du monde.

Au Canada, Jones renoue avec le succès après avoir dominé Villeneuve qui prendra sa revanche à Watkins Glen. Mais l'« affaire » du week-end canadien est surtout le retrait brutal de la compétition du double champion du monde Niki Lauda. Frustré par une saison catastrophique (la Brabham-Alfa Romeo s'est avérée aussi peu fiable que compétitive), le pilote autrichien a subitement annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière au matin des premiers essais. C'est en lançant un appel sur la radio du circuit que son employeur Bernie Ecclestone parvient in-extremis à lui trouver un remplaçant pour la course, en l'occurrence le modeste pilote argentin Ricardo Zunino.

Grands Prix de la saison 1979

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Initialement prévu le 16 juin, le Grand Prix de Suède, disputé à Anderstorp, est annulé[1].

Calendrier des Grands Prix de la saison 1979
no  Date Grand Prix Lieu Vainqueur Écurie Pole position Record du tour Résumé
314 21 janvier Drapeau de l'Argentine Grand Prix d'Argentine Buenos Aires Drapeau de la France Jacques Laffite Ligier-Ford Jacques Laffite Jacques Laffite Résumé
315 4 février Drapeau du Brésil Grand Prix du Brésil Interlagos Drapeau de la France Jacques Laffite Ligier-Ford Jacques Laffite Jacques Laffite Résumé
316 3 mars Drapeau d'Afrique du Sud Grand Prix d'Afrique du Sud Kyalami Drapeau du Canada Gilles Villeneuve Ferrari Jean-Pierre Jabouille Gilles Villeneuve Résumé
317 8 avril Drapeau des États-Unis Grand Prix des États-Unis Ouest Long Beach Drapeau du Canada Gilles Villeneuve Ferrari Gilles Villeneuve Gilles Villeneuve Résumé
318 29 avril Drapeau de l'Espagne Grand Prix d'Espagne Jarama Drapeau de la France Patrick Depailler Ligier-Ford Jacques Laffite Gilles Villeneuve Résumé
319 13 mai Drapeau de la Belgique Grand Prix de Belgique Zolder Drapeau d'Afrique du Sud Jody Scheckter Ferrari Jacques Laffite Gilles Villeneuve Résumé
320 27 mai Drapeau de Monaco Grand Prix de Monaco Monaco Drapeau d'Afrique du Sud Jody Scheckter Ferrari Jody Scheckter Patrick Depailler Résumé
321 1er juillet Drapeau de la France Grand Prix de France Dijon-Prenois Drapeau de la France Jean-Pierre Jabouille Renault Jean-Pierre Jabouille René Arnoux Résumé
322 14 juillet Drapeau du Royaume-Uni Grand Prix de Grande-Bretagne Silverstone Drapeau de la Suisse Clay Regazzoni Williams-Ford Alan Jones Clay Regazzoni Résumé
323 29 juillet Drapeau de l'Allemagne Grand Prix d'Allemagne Hockenheim Drapeau de l'Australie Alan Jones Williams-Ford Jean-Pierre Jabouille Gilles Villeneuve Résumé
324 12 août Drapeau de l'Autriche Grand Prix d'Autriche Österreichring Drapeau de l'Australie Alan Jones Williams-Ford René Arnoux René Arnoux Résumé
325 26 août Drapeau des Pays-Bas Grand Prix des Pays-Bas Zandvoort Drapeau de l'Australie Alan Jones Williams-Ford René Arnoux Gilles Villeneuve Résumé
326 9 septembre Drapeau de l'Italie Grand Prix d'Italie Monza Drapeau d'Afrique du Sud Jody Scheckter Ferrari Jean-Pierre Jabouille Clay Regazzoni Résumé
327 30 septembre Drapeau du Canada Grand Prix du Canada Montréal Drapeau de l'Australie Alan Jones Williams-Ford Alan Jones Alan Jones Résumé
328 7 octobre Drapeau des États-Unis Grand Prix des États-Unis Est Watkins Glen Drapeau du Canada Gilles Villeneuve Ferrari Alan Jones Nelson Piquet Résumé
Calendrier des Grands Prix hors-championnat de la saison 1979[2]
Date Grand Prix Lieu Vainqueur Écurie Pole position Record du tour Résumé
15 avril XIII Marlboro/Daily Mail Race of Champions Brands Hatch Gilles Villeneuve Ferrari Mario Andretti Nelson Piquet Résumé
16 septembre Gran Premio Dino Ferrari Imola Niki Lauda Brabham-Alfa Romeo Gilles Villeneuve Gilles Villeneuve Résumé

Le 3 juin est organisé sur le circuit de Donington Park le Gunnar Nilsson Memorial Trophy, un contre-la-montre hors-championnat destiné à rassembler des fonds pour la fondation Gunnar Nilsson, en hommage au pilote suédois mort en octobre 1978 des suites d'un cancer[3].

Résultats du Gunnar Nilsson Memorial Trophy[4]
Pos. Pilote Voiture Chrono Écart
1 Alan Jones Williams-Ford FW07 1 min 01 s 37
2 James Hunt Wolf-Ford WR8 1 min 02 s 54 + 1 s 17
3 Mario Andretti Lotus-Ford 79 1 min 02 s 67 + 1 s 30
4 Nelson Piquet Brabham-Alfa Romeo BT46B 1 min 03 s 61 + 2 s 24
5 Rupert Keegan Arrows-Ford A1B 1 min 05 s 09 + 3 s 72

Classement des pilotes

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Classement pilotes[5]
Classement Pilote Points
Champion Jody Scheckter 51 (60)
2e Gilles Villeneuve 47 (53)
3e Alan Jones 40 (43)
4e Jacques Laffite 36
5e Clay Regazzoni 29 (32)
6e Patrick Depailler 20 (22)
7e Carlos Reutemann 20 (25)
8e René Arnoux 17
9e John Watson 15
10e Didier Pironi 14
11e Jean-Pierre Jarier 14
12e Mario Andretti 14
13e Jean-Pierre Jabouille 9
14e Niki Lauda 4
15e Elio De Angelis 3
16e Nelson Piquet 3
17e Jacky Ickx 3
18e Jochen Mass 3
19e Hans-Joachim Stuck 2
20e Riccardo Patrese 2
21e Emerson Fittipaldi 1

Classement des constructeurs

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Classement constructeurs[6]
Classement Écurie Points
Champion Ferrari 113
2e Williams-Ford 75
3e Ligier-Ford 61
4e Lotus-Ford 39
5e Tyrrell-Ford 28
6e Renault 26
7e McLaren-Ford 15
8e Brabham-Alfa Romeo 7
9e Arrows-Ford 5
10e Shadow-Ford 3
11e ATS-Ford 2
12e Fittipaldi-Ford 1
13e Brabham-Ford 0
14e Wolf-Ford 0
15e Ensign-Ford 0
16e Alfa Romeo 0
17e Rebaque-Ford 0
18e Merzario-Ford 0
19e Kauhsen-Ford 0

Notes et références

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  1. (en) « Calendar 1979 », sur chicanef1.com (consulté le )
  2. (en) « 1979 Non-World Championship Grands Prix », sur silhouet.com (consulté le )
  3. (en) « Portrait of F1's Gunnar Nilsson », sur theretromobilist.com (consulté le )
  4. (en) « Gunnar Nilsson Memorial Trophy », sur silhouet.com (consulté le )
  5. (en) « Classement des pilotes 1979 », sur formula1.com (consulté le )
  6. (en) « Classement des constructeurs 1979 », sur formula1.com (consulté le )

Liens externes

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