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Gabriele Wohmann

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Gabriele Wohmann
Gabriele Wohmann en 1992.
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Voir et modifier les données sur Wikidata (à 83 ans)
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Bessunger cemetery (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Vue de la sépulture.

Gabriele Wohmann, née le à Darmstadt et morte le dans la même ville, est une écrivaine allemande. Elle laisse une œuvre considérable, sous des formats divers, romans et nouvelles majoritairement, mais aussi pièces de théâtre, pièces radiophoniques et télévisuelles, essais et poésie) dans laquelle elle traite souvent de la solitude, la difficulté de communiquer, l'ennui existentiel et la tentation du suicide. Elle trace aussi un portrait satirique de la société allemande.

Gabriele Guyot est issue d'une famille de pasteurs de Darmstadt. Son grand-père, le pasteur Johannes Guyot (1861-1910) a fondé la diaconie de Hesse en 1906. Son père Paul Daniel Guyot (1896-1974) est également engagé dans la diaconie à Darmstadt, c'est un hommes de lettres, tolérant et farouche adversaire des nazis qui cherchèrent à lui interdire l’exercice d’une partie de ses activités. Elle a deux frères et une sœur[2],[3].

Elle fréquente l'internat du Nordseepädagogium sur l'île de Langeoog, où elle obtient son abitur. Cette période de sa vie n'a pas été heureuse, « Ma scolarité a coïncidé majoritairement avec le nazisme et, ne serait-ce que pour cette raison, cela a été l’horreur, avec tout ce qui allait de pair, l’esprit d’équipe, marcher au pas etc. »[4].

De 1951 à 1953, elle étudie l'allemand, le roman, l'anglais, la musicologie et la philosophie à Francfort-sur-le-Main pendant quatre semestres sans diplôme[5].

Elle travaille ensuite comme enseignante dans son ancienne école de Langeoog ainsi que dans un centre d'éducation aux adultes et une école de commerce[5].

En 1953, elle épouse le germaniste Reiner Wohmann (1926-2017) et, à partir de 1956, se consacre à l'écriture. Elle mène une vie bourgeoise et rangée dans la ville de Darmstadt où elle est née, aux côtés de son époux qui a abandonné toute activité professionnelle pour se consacrer exclusivement à la gestion de la carrière de sa femme[3].

En 1971, Gabriele Wohmann suit une cure de désintoxication en raison de dépendance à l’alcool et aux tranquillisants qui inspirera plus tard le scénario du téléfilm Entziehung[3].

Gabriele Wohmann meurt en à l'âge de 83 ans. Elle est inhumée au cimetière de Bessungen à Darmstadt (mur 111)[6].

Gabriele Wohmann, qui se considère comme une « graphomane », réalise depuis les années 1950 une œuvre considérable : récits, romans, poèmes, pièces radiophoniques, pièces télévisées et essais. dans laquelle elle décrit principalement - sous forme satirique - les problèmes de relation de couples et de structures familiales traditionnelles. Son travail prend la forme d'une chronique de la vie privée et des conflits qui se cachent derrière la façade de la vie quotidienne des personnages. La solitude, l'incommunicabilité, l’ennui existentiel et la tentation du suicide font partie des thèmes récurrents de Gabriele Wohmann. Elle se moque des obsessions romantiques de ses personnages. Au fil des décennies, elle trace aussi un portrait grinçant de l'Allemagne. Elle manie aussi bien la satire que la polémique, le comique de situation et de caractère[7].

Les livres de Gabriele Wohmann obtiennent beaucoup de succès, surtout durant les années 1970 et 1980 en Allemagne de l'Ouest. Ils sont traduits en 15 langues. La critique est plus mitigée, si certains voient dans ce microcosme une scène sur laquelle se négocient les grandes questions de la vie : «  Elle nous apprend à regarder de près et à remarquer ce qui se passe là où la société se construit : dans la sphère privée », d'autres lui reprochent de se complaire dans la noirceur, de reproduire inlassablement des stéréotypes sur l'ennui conjugal et de ne pas évoluer suffisamment. Peter Mohr la qualifie de « maîtresse des potins de femmes »[8],[9],[10]. Benoît Pivert relève, de son côté la présence de l'humour, certes caustique, dans les textes de Gabriele Wohmann dès le début. Cette approche est partagée par le critique littéraire Georg Magirius qui lui attribue un humour plus britannique qu'allemand[7],[11].

Dans Die Bütows (1967), Gabriele Wohmann montre la survivance de l’éducation nationale-socialiste dont elle a souffert dans sa jeunesse. Elle décrit une petite bourgeoisie bornée dominée par un tyran domestique, le pharmacien Karl Bütow, nostalgique de l’ordre et de l’éducation spartiate[7].

Des parties importantes de son travail de cette période peuvent être attribuées à la Nouvelle intériorité (de) (Neue Innerichkeit) et, dans certains cas, à la thématique du mouvement des femmes après 1968. Elle obtient son plus grand succès auprès du public avec le roman de 1974, Paulinchen war allein zu Haus (Paulinchen était seule à la maison), qui est réédité plus de 20 fois[12] et adapté au cinéma en 1981. Elle y critique le comportement excessif de certains soixante-huitards, en particulier dans l'éducation des enfants[7]. Dans les nouvelles Freu Dich nicht zu früh (1991) et Die Mama hat Quartier gemacht (1991), ce sont des parents écologistes ou tiers-mondistes qui font l'objet de sa caricature qui souligne les incohérences entre les principes et la pratique quotidienne, notamment, encore, l'empathie envers les enfants. D'autres textes font la satyre des milieux littéraires, artistiques ou ecclésiastiques à qui elle reproche de céder à la modernité[7]. Dans ses critiques de nouvelles tendances de la société, elle se montre pour le moins coservatrice. Dans une interview à Benoît Pivert, elle déclare, par exemple, être attachée à la tradition chrétienne et ne pas comprendre qu'on puisse ne pas s'en satisfaire ou explorer d'autres spiritualités et considère la théologie féministe comme épouvantable[13].

Parmi ses œuvres pour la télévision, le film Entziehung (1973) a obtenu le plus de succès avec près de deux millions de téléspectateurs. Elle y joue le rôle de son personnage Laura en 1973[14],[15].

Dans ses nouvelles, Wann kommt die Liebe, publiées en 2010, Gabriele Wohmann se montre, selon Johannes Breckner, « maîtresse dans l'exploration de ces perturbations minimes qui déclenchent le malaise . « Pour la spécialiste Sabine Doering, ces histoires sont des exemples de l'ensemble de l'œuvre de Gabriele Wohmann. Il y a "des scènes de l'ordinaire, un bonheur terrible de la classe moyenne, comme on ne peut guère l'imaginer plus ostensiblement", des études de personnages magistrales, "qui se transforment souvent en véritables comédies tragiques, mais parfois aussi en merveilleuses grotesques"[16],[17].

Gabriele Wohmann est considérée comme l'une des autrices germanophones les plus prolifiques par Erika Tunner et Francis Claudon, une des autrices majeures de la littérature allemande[18].

En plus de cinq décennies, elle a publié plus de 600 histoires. Selon l'éditeur littéraire Tilman Krause, elle est une excellente chroniqueuse de la vie allemande et on peut la qualifier de « Reine de la nouvelle »[19]. Malgré cette notoriété, son œuvre reste presque inconnue en France. Seuls deux romans Ausflug mit der Mutter (Portrait de la mère en veuve), Ach wie gut, dass niemand weiss (Le cas de Marlene Z.) et une sélection de nouvelles réunies sous le titre Le Seigneur est un ami ont été traduits, par Pierre Villain et Elisabeth Guyot[7].

Gabriele Wohmann, participe, dans les années 1960, aux réunions du Groupe 47, un groupe d'écrivains de langue allemande créé par Alfred Andersch et Hans Werner Richter en 1947 et actif jusqu'en 1967, ayant eu une importance considérable pour le renouveau de la littérature allemande d'après-guerre[5].

En 1966, elle est invitée par l’association des écrivains soviétiques et, en 1967, séjourne un an à la Villa Massimo à Rome grâce à une bourse[3].

Gabriele Wohmann est élue membre de l'Académie des arts de Berlin en 1975 et de l'Académie allemande pour la langue et la littérature de Darmstadt en 1980. De 1960 à 1988, elle est membre de la branche allemande du PEN International[5].

Prix et distinctions

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Depuis la mi-, une partie de l'Erbacher Strasse à Darmstadt porte le nom de "Gabriele Wohmann-Weg" en son honneur[25].

Publications

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Pour une liste plus complète, se référer à la liste établie par Georg Magirius, à l'occasion du 80e anniversaire de Gabriele Wohmann et mise à jour en 2016[26].

  • Jetzt und Nie, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1958
  • Der Herr ist ein Freund, 1958
    • Publié en français sous le titre Le Seigneur est un ami, Élisabeth Guillot (trad.), Verdier, 1997 (ISBN 978-2864322573)
  • Abschied für länger, Fribourg, Walter, Olten, 1965 (ISBN 3-499-11178-0)
  • Ernste Absicht, Berlin / Neuwied, Luchterhand Verlag, 1970 (ISBN 3-492-11698-1)
  • Paulinchen war allein zu Haus, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1974 (ISBN 3-630-61219-9)
  • Schönes Gehege, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1975,
  • Ausflug mit der Mutter, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1976
    • Publié en français, sous le titre Portrait de la mère en veuve, Pierre Villain (trad.), Albin Michel, 1984 160 p. (ISBN 978-2226036339)
  • Frühherbst in Badenweiler, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1978
  • Ach wie gut daß niemand weiß, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1980
    • Publié en français sous le titre Le Cas de Marlène Z., Pierre Villain (trad.), Albin Michel, 1985, réd. 1992, 367 p. (ISBN 978-2226023056)
  • Das Glücksspiel, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1981, (ISBN 3-472-61459-5)
  • Der Flötenton, Darmstadt / Neuwied, Luchterhand, 1987
  • 'Bitte nicht sterben' (de), Munich, Piper, 1993, (ISBN 3-492-03690-2)
  • Aber das war noch nicht das Schlimmste, Munich, Piper, 1995
  • Das Handicap, Munich, Piper; 1996
  • Das Hallenbad, Munich, Piper, 2000
  • Abschied von der Schwester, Zurich / Munich, Pendo, 2001
  • Schön und gut, Munich, Piper, 2002
  • Hol mich einfach ab, Munich, Piper, 2003
  • Anton P. Čechov: Anton Čechov. Sélection par Gabriele Wohmann, Cologne, Kiepenheuer & Witsch, 1985
  • Karl Krolow: Gedichte. Choix et postface de Gabriele Wohmann, Francfort, Suhrkamp, 1980

Traductions

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  • Nadine Brun-Cosme, Das Kind und die Taube, Cologne, 1991
  • France Micél, Papa macht mir große Sorgen, Munich, 1994

Bibliographie

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  • Ilka Scheidgen, Gabriele Wohmann. Ich muss neugierig bleiben. Die Biographie, Kaufmann, 2012, (ISBN 978-3-7806-3112-1).
  • Ilka Scheidgen, Fünfuhrgespräche. Zu Gast bei Günter Grass, Peter Härtling, Herta Müller, Peter Rühmkorf, Dorothee Sölle, Arnold Stadler, Carola Stern, Martin Walser, Gabriele Wohmann, Eva Zeller, Kaufmann, 2008, (ISBN 978-3-7806-3068-1).
  • Rosvitha Friesen Blume, Ein anderer Blick auf den bösen Blick, Zu ausgewählten Erzählungen Gabriele Wohmanns aus feministisch-theoretischer Perspektive, Frank und Timme, 2007.
  • Rūta Eidukevičienė: Jenseits des Geschlechterkampfes. Traditionelle Aspekte des Frauenbildes in der Prosa von Marie Luise Kaschnitz, Gabriele Wohmann und Brigitte Kronauer, Röhrig 2003. (= Saarbrücker Beiträge zur Literaturwissenschaft; 80) (ISBN 3-86110-345-1)
  • Benoît Pivert, « Gabriele Wohmann ou le labyrinthe de l’ennui », Germanica, 30,‎ (lire en ligne)
  • Benoît Pivert, « Gabriele Wohmann, une joyeuse anticonformiste », Recherches germaniques 42,‎ (lire en ligne)
  • Sigrid Mayer u. Martha Hanscom, Critical reception of the short fiction by Joyce Carol Oates and Gabriele Wohmann. Columbia, Camden House 1998. (ISBN 1-57113-083-7)
  • Renate Da Rin, Pathologie der Familie. Untersuchung der Romane "Abschied für länger" und "Schönes Gehege" von Gabriele Wohmann anhand der Familiensystemtheorie nach P. Minuchin und U. Bronfenbrenner. Marburg, Tectum-Verl. 1995 (ISBN 3-89608-873-4)
  • Hans Wagener, Gabriele Wohmann. Berlin, Colloquium 1986. (ISBN 3-7678-0672-X)
  • Dorothea Lutz-Hilgarth: Literaturkritik in Zeitungen. Dargestellt am Beispiel Gabriele Wohmann, Lang 1984. (ISBN 3-8204-7591-5)
  • Dirk Pollerberg: Formen des Leidens. Studien zu Gabriele Wohmanns Erzählungen. Wuppertal, thèse universitaire, 1984.
  • Klaus Sibleski (ed.), Gabriele Wohmann: Auskunft für Leser, Sammlung Luchterhand 1982.
  • Günter Häntzschel: Gabriele Wohmann, Beck, 1982. (ISBN 3-406-08691-8)
  • Gerhard P. Knapp, Mona Knapp, Gabriele Wohmann, Athenäum 1981 (ISBN 3-7610-8116-2)
  • Irene Ferchl: Die Rolle des Alltäglichen in der Kurzprosa von Gabriele Wohmann, Bouvier 1980 (ISBN 3-416-01542-8)
  • Thomas Scheuffelen (ed.): Gabriele Wohmann, Materialien-Buch, Luchterhand 1977.
  • Klaus Wellner: Leiden an der Familie. Zur sozialpathologischen Rollenanalyse im Werk Gabriele Wohmanns, Klett 1976 (ISBN 3-12-392800-4)

Liens externes

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Références

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  1. « https://www.dla-marbach.de/index.php?id=450&ADISDB=BF&WEB=JA&ADISOI=19669 »
  2. « Hessischer Diakonieverein | Hessischer Diakonieverein », sur web.archive.org, (consulté le ).
  3. a b c et d Benoît Pivert, « Gabriele Wohmann ou le labyrinthe de l’ennui », Germanica, no 30,‎ , p. 131–139 (ISSN 0984-2632, DOI 10.4000/germanica.2162, lire en ligne, consulté le )
  4. Hans Wagener, Gabriele Wohmann, Berlin, Colloquium, , 93 p. (ISBN 3-7678-0672-X)
  5. a b c et d (de) Akademie der Künste, « Wohmann », sur adk.de (consulté le ).
  6. (de) Echo Zeitungen GmbH, « Grab von Gabriele Wohmann wieder gepflegt », sur echo-online.de, (consulté le ).
  7. a b c d e f et g Benoît Pivert, « Gabriele Wohmann, une joyeuse anticonformiste », Recherches germaniques, no 42,‎ , p. 99–123 (ISSN 0399-1989, DOI 10.4000/rg.823, lire en ligne, consulté le )
  8. (de) Jens Jessen, « Hier geht es weder vor noch zurück », Frankfurter Allgemeine Zeitung,‎
  9. Meike Feßmann: Das Kunststück mit dem Mehl, Gabriele Wohmanns Erzählungsband „Scherben hätten Glück gebracht“. Süddeutsche Zeitung, 5. Februar 2007
  10. (de) Peter Mohr, « "Die Schönste im ganzen Land" - Frauengeschichten von Gabriele Wohmann: Reif fürs Kaffeekränzchen », sur Berliner Zeitung (consulté le ).
  11. (de) Gabriele Wohmann, Georg Magirius (pref.), Sterben ist Mist, der Tod aber schön, Kreuzverlag, , 120 p. (ISBN 978-3451610233)
  12. Selon les informations du catalogue de la Bibliothèque nationale allemande, il existe actuellement 23 éditions en langue allemande
  13. (de) Benoît Pivert, « Gabriele Wohmann reizt es, böse Bücher zu schreiben. Ein Interview über Selbstmord und niedere Instinkte, Gott und eine perverse Zirbeldrüse: So spannend ist das Leben nicht » Accès payant, sur Berliner Zeitung, (consulté le ).
  14. (de) TV Spielfilm Online, « Entziehung - Ein Tagebuch - Filmkritik - Film - TV SPIELFILM », sur TV Spielfilm Online (consulté le ).
  15. (en) Ludwig Cremer, Entziehung - Ein Tagebuch, Zweites Deutsches Fernsehen (ZDF), (lire en ligne)
  16. (de) Johannes Breckner, « Buch-Tipp: »Wann kommt die Liebe« von Gabriele Wohmann | Echo Online … », sur archive.ph, (consulté le ).
  17. (de) « Kohlrabiapostel müssen nicht knickrig sein », Frankfurter Allgemeine Zeitung,‎ (ISSN 0174-4909, lire en ligne, consulté le )
  18. Erika Tunner, Francis Claudon, Les Littératures allemandes depuis 1945, Paris, Nathan,
  19. (de) Süddeutsche Zeitung, « Schriftstellerin Gabriele Wohmann gestorben », sur Süddeutsche.de (consulté le ).
  20. a b c d et e (de) « Gabriele Wohmann · Autorenprofil », sur geheli.de (consulté le ).
  21. (de) Süddeutsche Zeitung, « Mainz begrüßt neuen Stadtschreiber Clemens Meyer », sur Süddeutsche.de (consulté le ).
  22. a b et c (de) « Gabrielle Wohmann. Mitglied de Darmstädter Sezession von 1977 bis 1995 », sur darmstaedtersezession.de.
  23. (de) Manfred Durzak, Die deutsche Kurzgeschichte der Gegenwart: Autorenporträts, Werkstattgespräche, Interpretationen, Königshausen & Neumann, (ISBN 978-3-8260-2074-2, lire en ligne)
  24. (de) Deutschen Akademie für Sprache und Dichtung, Jahrbuch 1997., Wallstein Verlag, (ISBN 978-3-89244-285-1, lire en ligne)
  25. (de) Echo Zeitungen GmbH, « In Darmstadt gibt es jetzt einen Gabriele-Wohmann-Weg », sur echo-online.de, (consulté le ).
  26. (de) Georg Magirius, « Sämtliche Erzählungen von Gabriele Wohmann », sur doczz.net, (consulté le ).