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Gare de Juvisy

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Juvisy
Image illustrative de l’article Gare de Juvisy
Le nouveau bâtiment voyageurs de la gare en septembre 2023.
Localisation
Pays France
Communes Juvisy-sur-Orge, Athis-Mons
Quartier Centre-ville
Adresse Place Banette-et-Planchon
91260 Juvisy-sur-Orge
Coordonnées géographiques 48° 41′ 21″ nord, 2° 22′ 58″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87545244
Site Internet La gare de Juvisy, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services Ouigo Train Classique
(RER)(C)(D)
Fret SNCF
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean
Villeneuve-Saint-Georges à Montargis
Grande ceinture de Paris
Voies 13 (12 à quai) dont :
• 8 (RER C)
• 5 (RER D)
Quais 6 centraux
Transit annuel 41 887 674 voyageurs (2021)
Zone 4 (tarification Île-de-France)
Altitude 37 m
Historique
Mise en service
Correspondances
Val d'Yerres Val de Seine Val d'Yerres Val de Seine121314161717S1819191-100RDLMLP2Soirée Draveil
RATP (BUS)RATP285385399486487488
Cœur d'Essonne Cœur d'EssonneDM3ADM3BDM5DM50
Évry Centre Essonne Évry Centre Essonne305DM4
Noctilien (BUS)N22N131N133N135N139

Carte

La gare de Juvisy est une gare ferroviaire française des lignes de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean et de Villeneuve-Saint-Georges à Montargis, située sur le territoire de la commune de Juvisy-sur-Orge, et sur celui de la commune d'Athis-Mons pour une bonne part des installations du triage, dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Mise en service en 1843 par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO), elle devient au début des années 1860 une gare commune du PO et de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM), avec création d'une gare marchandises. Dans les années 1880, s'y ajoutent les trains de la ligne de la grande ceinture de Paris, ce qui nécessite l'ouverture du triage de Juvisy. Durant la première moitié du XXe siècle, les trafics voyageurs et marchandises continuent leur progression jusqu'à l'anéantissement du triage par des bombardements en 1944. Ensuite, le trafic voyageurs prend le dessus sur celui des marchandises ; le triage est fermé en 1986, et un projet de refonte de la gare voyageurs émerge au début du XXIe siècle.

Elle constitue un carrefour ferroviaire majeur de la banlieue sud de Paris. Elle est en 2021, la gare ferroviaire la plus fréquentée de France (hors gares parisiennes) avec 41 millions de passagers. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par les trains des lignes C et D du RER, ainsi que par le réseau Ouigo Train Classique.

Situation ferroviaire

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Établie à 37 mètres d'altitude, la gare de bifurcation de Juvisy est située :

Carrefour ferroviaire majeur de la banlieue sud de Paris, Juvisy est la plus grande gare francilienne en nombre de voies (hors Paris intra-muros), avec treize voies dont douze à quai.

La Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO) met en service la ligne de Paris à Corbeil, le 20 septembre 1840[2].

La ligne passe par Juvisy où la bifurcation vers Étampes et Orléans, en construction, impose l'ouverture d'une gare que la compagnie n'avait pas prévue à l'origine. En 1841, Désiré Dalloz, qui dispose d'une maison à proximité, sur la commune de Draveil, cède une partie de son terrain pour la réalisation d'un chemin d'accès pour la nouvelle gare de Juvisy[3].

La gare provisoire en 1843.

Bien qu'il y ait sans doute eu déjà un baraquement pour gérer la bifurcation pendant les travaux de construction de la ligne, la compagnie, dans son assemblée générale du 6 octobre 1842, indique qu'il est prévu la construction d'une station à Juvisy « au point de bifurcation des deux lignes de Corbeil et d'Orléans »[4].

Les 102 kilomètres de la ligne d'Orléans, depuis Juvisy, sont mis en service le 5 mai 1843 par la compagnie du PO[5]. La station de Juvisy est officiellement mise service le 10 juin 1843 avec un bâtiment provisoire en bois édifié en travers des deux branches de la bifurcation[6].

En 1846 – 1847, le bâtiment provisoire est détruit pour être remplacé par une construction en maçonnerie, due à Adolphe Jullien, ingénieur des travaux de la compagnie[6].

Le nombre des dessertes de la gare continue à progresser ; en 1850, il y a quotidiennement plus de 14 arrêts de trains dans chaque sens. Pour rejoindre ou revenir de Paris, il faut 27 minutes par un train direct et 44 minutes par un omnibus[7].

En 1851, la commune compte 409 habitants, ce qui marque une baisse démographique par rapport à 1846 (444 h), l'arrivée du chemin de fer a eu un impact négatif sur les commerces du village qui n'est pas situé à proximité de la station. Certains métiers traditionnels comme « maître de poste » disparaissent et la création sur le bord de la Seine du « hameau de la station », qui compte 25 habitants et quatre maisons, ne compense pas encore[8].

En 1857, la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO) et à la nouvelle Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM), lesquelles, après de complexes négociations incluant l'État, signent un accord le 11 avril 1857, confirmé par le décret du 19 juin. Cet accord concerne, entre autres, l'attribution au PLM de l'embranchement de Juvisy à Corbeil[9], dont le transfert d'une compagnie à l'autre est prévu lors de la mise en service de la section de Corbeil à Nevers[10], et à terme une gestion commune de la gare par les deux compagnies. Le , elles signent une convention qui repousse le transfert de l'exploitation à l'ouverture du raccordement de Villeneuve-Saint-Georges à Juvisy, ou au plus tard au 1er juillet 1863[11].

La compagnie du PLM met en service son raccordement de Villeneuve-Saint-Georges à Juvisy le 18 mai 1863 et la compagnie du PO lui remet le même jour la ligne de Juvisy à Corbeil sur laquelle elle met en service sept trains de voyageurs desservant la gare de Juvisy où les deux lignes sont parallèles sans embranchement[12]. Juvisy devient alors une gare d'échange entre les deux réseaux, avec la construction d'une halle en bois, pour les transbordements, édifiée à la fourche entre les deux réseaux[6]. Dès l'année suivante, 1864, la connexion entre les réseaux est réalisée avec la création de la gare de marchandises qui permet les manœuvres des wagons et facilite les transbordements du réseau du PO à celui du PLM[13].

Le premier bâtiment en maçonnerie après la mise en place des passerelles.

Sur la ligne de Grande Ceinture, un service de voyageurs est assuré à partir du , avec l'ouverture de la section de Noisy-le-Sec à Juvisy[14]. La boucle est fermée le , lors de la mise en service du dernier tronçon entre Versailles-Chantiers et Savigny-sur-Orge[15].

Durant les années 1880, l'élargissement des voies du PO accroît le trafic de la gare, ce qui nécessite de nouveaux aménagements. Des travaux importants sont entrepris dans la gare marchandises pour qu'elle devienne un véritable triage, véritablement opérationnel le 1er septembre 1884. Ceci nécessite d'adapter le bâtiment voyageurs ; entre 1884 et 1888, il est agrandi pour le service et rehaussé d'un étage destiné au logement du chef de gare[6]. On ajoute également deux passerelles métalliques au-dessus des voies, l'une débute rue d'Estienne-d'Orves et l'autre rue de Draveil. Elles aboutissent toutes les deux, par des escaliers, dans la cour de la gare[16]. En 1894, un dépôt de locomotives, avec un atelier pour l'entretien courant et les petites réparations, est installé dans l'ancienne première halle à marchandises[17] et en 1895 la Compagnie du PO construit à Athis-Mons des habitations permettant le logement de 350 cheminots employés sur le site de la gare de Juvisy[13]. Le 5 août 1899, une collision meurtrière révèle les difficultés d'exploitation de ses installations.

Le bâtiment construit en 1907.

Juvisy aborde les années 1900 avec 4 300 habitants. La compagnie du PO, pour améliorer le trafic de sa ligne, électrifie la section de Paris-Austerlitz à Juvisy en 1903, et quadruple les voies jusqu'à la gare de Brétigny en 1904. Cela va lui permettre d'augmenter la cadence de circulation des trains. Les passerelles qui surplombent les voies sont reliées, au niveau du bâtiment de la gare, afin de faciliter la traversée de l'emprise ferroviaire par les habitants[16]. L'évolution rapide du site nécessite la démolition du bâtiment voyageurs, ce qui oblige à ouvrir un bâtiment provisoire pendant les travaux. Le nouvel édifice, complété par un souterrain pour l'accès aux quais, est mis en service en 1907. Il est repérable par sa tour horloge[13].

Le , le trafic voyageurs prend fin sur la section nord de la Grande ceinture comprise entre Versailles-Chantiers et Juvisy via Argenteuil. Par contre, il subsiste sur la section sud, entre Juvisy et Versailles via Massy - Palaiseau[18].

En 1944, le triage et les installations connexes vont être complètement détruits par des bombardements alliés organisés dans le cadre de la préparation du débarquement du mois de juin. Néanmoins, c'est le premier bombardement, celui de la nuit du 17 au 18 avril qui est le plus destructeur, pour les installations ferroviaires, le patrimoine bâti des villes voisines, mais aussi les habitants, notamment de Juvisy (125 tués) et d'Athis-Mons (267 tués)[13].

Juvisy était une gare desservie par le TGV, sur la relation entre la gare de Brive-la-Gaillarde et celle de Lille-Europe. Créée en 2007, elle a été supprimée à la fin de [19].

De 2014 à 2019, la gare reçoit 97 millions d'euros de travaux pour sa restructuration et sa mise en accessibilité piétonne et cycliste pour créer un pôle multimodal afin de but de faciliter les correspondances de gare qui voit transiter 70 000 voyageurs par jour et offre des correspondances avec 28 lignes de bus[20],[21],[22].

À l'horizon 2030, la gare devrait devenir le terminus sud de la ligne 7 du tramway d'Île-de-France[23].

Fréquentation

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De 2015 à 2021, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[24].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Voyageurs 38 614 086 40 463 299 42 199 755 43 157 732 40 222 510 21 871 129 41 887 674

Service des voyageurs

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Gare SNCF, c'est une gare du réseau de trains de banlieue Transilien, comprenant un bâtiment voyageurs, avec guichets, ouvert tous les jours. Elle est équipée d'automates pour les achats de titres de transport Transilien et grandes lignes, et d'un système d'information en temps réel sur les horaires des trains. Elle est dotée d'aménagements pour les personnes à mobilité réduite, notamment, des ascenseurs, un guichet adapté, des bandes d'éveil de vigilance sur les quais et des boucles magnétiques. Elle dispose également d'un kiosque de presse Relay[25].

La gare est desservie par les trains des lignes C et D du RER, tous marquant l'arrêt[25]. Elle est le seul point de correspondances entre les réseaux issus de la gare d'Austerlitz et celle de Lyon.

À cela s'ajoute le service Ouigo Train Classique, effectuant les liaisons :

Intermodalité

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Un parc pour les vélos et des parkings y sont aménagés[25].

La gare et ses alentours sont reliés aux communes limitrophes par l'intermédiaire des lignes 285, 385, 399, 486, 487 et 488 du réseau de bus RATP, de la ligne Express 191.100 exploitée par Keolis Orly Rungis, des lignes 12, 13, 14, 16, 17, 17S, 18, 19, 191-100 et Soirée Draveil du réseau de bus Val d'Yerres Val de Seine, des lignes DM3A, DM3B, DM5 et DM50 du réseau de bus Cœur d'Essonne, par la ligne DM4 du réseau de bus Évry Centre Essonne et, la nuit, par les lignes N22, N131, N133, N135 et N139 du réseau Noctilien.

Service des marchandises

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La gare de marchandises de Juvisy est gérée par la plateforme du Bourget-Triage. Elle est ouverte uniquement à des trains massifs en gare[26].

Place Banette et Planchon

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Le nom de la place de la gare de Juvisy est un hommage à deux cheminots, originaires de Vénissieux (Rhône), qui habitaient à Juvisy dans le quartier de la gare. Le , Marcel Banette, le mécanicien, et Louis Planchon, le chauffeur, sont aux commandes d'une locomotive à vapeur d'un train se dirigeant vers Lyon lorsqu'un tube surchauffeur cède en laissant s'échapper un nuage de vapeur bouillante. Les deux hommes réussissent à éviter le déraillement de leur train en gare de L'Arbresle (Rhône) et à l'arrêter avant de mourir de leurs brûlures[27],[28].

Notes et références

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  1. Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 001 à 600, vol. 1, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-34-1), « [570/1] Paris-Austerlitz - Orléans », p. 195.
  2. François et Maguy Palau, « 2.9 Paris-Corbeil », dans Le Rail en France : les 80 premières lignes 1828 - 1851, Palau, Paris, 2003 (ISBN 2-950-9421-0-5), pp. 70-71.
  3. Laurent Brassart, Jean-Pierre Jessenne, Nadine Vivier, Clochemerle, ou, République villageoise ? : la conduite municipale des affaires villageoises en Europe, XVIIIe siècle - XXe siècle, Presses Univ. Septentrion, 2012 (ISBN 9782757403464), p. 266.
  4. « Chemin de fer de Paris à Orléans : assemblée générale des actionnaires du 6 octobre 1842 », dans Journal des chemins de fer, no 28, samedi 15 octobre 1842, p. 220.
  5. François et Maguy Palau, « 3.3 Juvisy-Orléans », dans Le Rail en France : les 80 premières lignes 1828 - 1851, Palau, Paris, 2003 (ISBN 2-950-9421-0-5), pp. 97-98.
  6. a b c et d Site culture.gouv.fr : Mérimée : Gare de Juvisy, référence : IA91000713 (consulté le 10 avril 2014).
  7. Jean Bastié, La Croissance de la banlieue parisienne, Presses Universitaires de France, 1964, p. 122 ; extrait (consulté le 11 avril 2014).
  8. Louis Brunel, Juvisy au XVIIIe siècle: le détournement du pavé royal de Lyon, ses conséquences économiques et humaines, Société historique et archéologique de Corbeil, d'Étampes et du Hurepoix, 1975, p. 152 ; extrait (consulté le 11 avril 2014).
  9. Jean Chaintreau, Jean Cuynet, Georges Mathieu, Les chemins de fer: Paris-Lyon-Méditerranée, éditions La Vie du Rail, 1993, p. 38 ; extrait (consulté le 11 avril 2014).
  10. Adolph Demeur, Les Chemins de fer français en 1860. Statuts des compagnies, notices historiques, situations financières, 1860, p. 39 ; extrait (consulté le 12 avril 2014).
  11. « Compagnie du chemin de fer d'Orléans : Rapport », dans Journal des chemins de fer, no 14, avril 1863, p. 223 ; extrait (consulté le 12 avril 2014).
  12. François et Maguy Palau, « 6.10 Villeneuve Saint Georges-Juvisy : 18 mai 1863 », dans Le Rail en France : le Second Empire tome 2 1858-1863, Palau, Paris, 2001 (ISBN 2-950-94212-1), p. 191.
  13. a b c et d S. Taboury, P. Martin, À la croisée des chemins : la gare de Juvisy-sur-Orge, dossier Banque des savoirs, Conseil général de l'Essonne (consulté le 13 avril 2014).
  14. L'aventure de la Grande Ceinture par Bruno Carrière et Bernard Collardey, La Vie du rail, 1992, page 26.
  15. L'aventure de la Grande Ceinture par Bruno Carrière et Bernard Collardey, La Vie du rail, 1992, page 35.
  16. a et b Matthieu Hemery, Juvisy : un nœud émergeant, projet de fin d'étude, pôle PHC, groupe P. Leitner, École nationale supérieure d'architecture de Paris-La Villette.
  17. Site culture.gouv.fr : gare de dépôt de Juvisy, inventaire topographique, référence IA91000976 (consulté le 13 avril 2014).
  18. L'aventure de la Grande Ceinture par Bruno Carrière et Bernard Collardey, La Vie du rail, 1992, pages 26 et 190.
  19. Hélène Abalo, « TGV Brive – Lille : terminus, tout le monde descend », sur france3-regions.francetvinfo.fr/limousin, 8 mars et 28 juin 2016 (consulté le ).
  20. « La gare de Juvisy prépare sa mue », lesechos.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Grand Pôle Intermodal Juvisy 2020 », sur gpi-juvisy.fr (consulté le ).
  22. « La gare de Juvisy, première d’Île-de-France hors Paris, rénovée après cinq ans de travaux », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  23. « Lettre d'info n°1 : Prolongement du tram T7 : une nouvelle étape à partir de 2023 ! » [PDF], sur tram-t7.iledefrance-mobilites.fr, (consulté le ) : « Mi-2030 : mise en service prévisionnelle ».
  24. « Fréquentation en gares : Juvisy-sur-Orge », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  25. a b et c Site SNCF Transilien : Gare de Juvisy (consulté le 10 avril 2014).
  26. Site Fret SNCF, Juvisy : code gare 545244, dans Nomenclature et gares CIM, (consulté le 13 avril 2014).
  27. Site leparisien.fr : « La plus grande gare du monde à Juvisy-sur-Orge », article du Parisien, publié le 27 juillet 2000. (consulté le 14 avril 2014).
  28. « Le Répertoire des Rues Ferroviaires, Les Personnages, Autres cheminots », sur ruedupetittrain.free.fr (consulté le ), septième fiche de la page.

Bibliographie

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  • Chavanne de Dalmasy, M. Laze, « Destructions et reconstructions sur les chemins de fer français : la gare de Juvisy », dans Revue générale des chemins de fer, avril 1947
  • Louis Brunel, « La gare de Juvisy », dans SESAM, Revue savante et artistique de la banlieue parisienne, 4e année, no 7, 1950, pp. 295-310
  • Association Les juvisiens de Juvisy, « La Gare », dans Juvisy-sur-Orge : images du XXe siècle, imprimerie Maury-Eurolivres SA, Manchecourt, 1993, pp. 52-59 (intégral)
  • Région Île-de-France - inventaire général du patrimoine culturel, Gare de Juvisy, dossier, référence : IA91000713, 2009, 116 pages (intégral)

Articles connexes

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Liens externes

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Origine Arrêt précédent Train Arrêt suivant Destination
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via Chartres
Paris-Austerlitz Paris-Austerlitz Ouigo Train Classique Les Aubrais Nantes
via Blois - Chambord
Versailles-Château-Rive-Gauche
(par Paris)
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Terminus Terminus
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ou Brétigny
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ou Saint-Martin-d'Étampes
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ou Dourdan - La Forêt
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ou Dourdan - La Forêt
Montigny - Beauchamp
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ou Pontoise
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Savigny-sur-Orge Brétigny
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Viry-Châtillon
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