Aller au contenu

Hautot-sur-Seine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hautot-sur-Seine
Hautot-sur-Seine
L'église Saint-Antoine-et-Saint-Thibaud.
Blason de Hautot-sur-Seine
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Jean-Louis Roussel
2020-2026
Code postal 76113
Code commune 76350
Démographie
Gentilé Hautotais
Population
municipale
396 hab. (2021 en évolution de −3,88 % par rapport à 2015)
Densité 183 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 44″ nord, 0° 58′ 47″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 58 m
Superficie 2,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Canteleu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Hautot-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Hautot-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Hautot-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Hautot-sur-Seine
Liens
Site web hautot-sur-seine.fr

Hautot-sur-Seine est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Le village est situé sur la rive droite de la Seine, au sud de la forêt de Roumare.

Jusqu'en 2015, la commune faisait partie du canton de Grand-Couronne.

Rose des vents Val-de-la-Haye Rose des vents
Sahurs N
O    Hautot-sur-Seine    E
S
Grand-Couronne

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Hautot-sur-Seine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,7 %), zones agricoles hétérogènes (35,5 %), zones urbanisées (17,2 %), forêts (5,8 %), eaux continentales[Note 2] (5,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont, vers l'amont, le pont Gustave-Flaubert à Rouen et, vers l'aval, le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux. Les bacs les plus proches sont ceux du Val-de-la-Haye et de Sahurs.

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Qualité de l'environnement

[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est d'origine anglo-scandinave ; il est mentionné sous la forme Hotot en 1240[13], Hotot supra Secanam en 1337[14].

Il s'agit d'un composé du vieil anglais hoh « escarpement rocheux, déclivité, rivage » (cf. le Hou) et du norrois topt « emplacement, site constructible » et signifiant « maison sur la pente » ou « sur le rivage escarpé »[13]. La belle maison des Farceaux serait construite sur l'emplacement primitif.

Ce nom est homonyme des innombrables Hautot et Hotot de Normandie. Correspond à Huttoft (Angleterre, Lincolnshire, Hotoft fin XIe siècle).

Le complément -sur-seine apparaît en 1337 sous la forme Hotot supra Secanam[14].

Cure dépendant directement du roi de France jusqu'à la Révolution ; le curé d'Hautot avait le privilège de célébrer des mariages sans l'autorisation des parents. L'église paroissiale est devenue chapelle du château à la fin de la Révolution.

Un châtelain, sous Louis XVI, tua d'un coup de fusil un couvreur sur le toit de son château ; l'affaire fit grand bruit à la cour de Versailles.

Ces deux légendes rapportées par l'abbé Cochet ne sont pas corroborées par des écrits que ce soit sur les actes de mariage et les biographies des propriétaires du château.

Les curés d'Hautot-sur-Seine sont successivement : François Toustain jusqu'en 1682, Jacques de Conty de 1683 à 1713, Charles de Conty de 1713 à 1740, Pierre Le Cointe de 1740 à 1764, Charles Hue de la Mêlièse de 1765 à 1775 et Nicolas Dominique Dehaye de 1775 à la Révolution.

Sous le mandat du maire Louis Lézurier de La Martel, la commune s'est agrandie en 1822 en annexant, aux dépens de Val-de-la-Haye, le hameau du Rouage, ancienne dépendance de la commanderie de Sainte-Vaubourg.

La commune fait désormais partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, ainsi que de la Métropole Rouen Normandie.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1793 Charles Lecomte    
1793 1795 Jean-Antoine Paquet   de 1795 à 1800 administrée au sein du canton de Canteleu
1800 1806 Nicolas Dominique Dehaye   Ancien curé
1806 1808 Adrien Duménil    
1808 1821 Jean Véry Delapierre   chevalier de la Légion d'honneur en 1814
1821 1840 Louis Lézurier de La Martel   Ancien maire de Rouen,
Officier de la Légion d'honneur en 1804
1841 1844 Charles Mazier   Refuse de prêter serment en 1840[réf. nécessaire]
1844 1846 Pierre Lemoine    
1846 1866 Louis Duménil    
1866 1880 Germain Pierre-Séréville   juge honoraire au tribunal civil de première instance de Rouen
1881 1902 Hippolyte Poullard    
1902 mai 1945 Georges Poullard (père)   Chevalier de la Légion d'honneur en 1937
mai 1945 octobre 1947 Adolphe Corbran    
ctobre 1947 mars 1971 Georges Poullard (fils)    
mars 1971 mars 1983 Maurice Brunel    
mars 1983 1997 Jean-Claude Martel-Baussant   Chevalier de la Légion d'honneur en 1995
1997 mars 2001 Louis Thillaye du Boullay    
mars 2001 mars 2008 Bruno Arriaga    
mars 2008 2010[15] Alain Gaudefroy-Demombynes   Démissionnaire, conseiller municipal subdélégué à Nantes (1977-1983)
2010 mai 2020 Jean-Bernard Seille   Fonctionnaire de catégorie A
mai 2020[16],[17] En cours
(au 10 août 2020)
Jean-Louis Roussel   Enseignant à l’université de Rouen

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 396 habitants[Note 3], en évolution de −3,88 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
224198193189302265278253251
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
223192187188194197172182181
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
169172164145132137136185220
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
206207223278360352355346364
2014 2019 2021 - - - - - -
408399396------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Sports et loisirs

[modifier | modifier le code]

Vie associative

[modifier | modifier le code]

Hautot-sur-Seine appartient à la paroisse catholique Saint-Georges de Boscherville en Roumare qui fait partie du doyenné Rouen-Ouest de l'archidiocèse de Rouen.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Hautot, dessin et lavis par Constance de La Martel, 1806 (coll. privée).
Château d'Hautot sur Seine.
  • L’église paroissiale Saint-Antoine-et-Saint-Thibaud, du XVe siècle, possède des fragments des vitraux templiers du XIIIe siècle provenant de la chapelle détruite de la commanderie de Sainte-Vaubourg, au Val-de-la-Haye. Beau mobilier du XVIIIe siècle. Statues de saint Louis et de sainte Constance par Constance de la Martel, fille des châtelains, époque Empire. Ex-voto marin de Maurice Obselin, vers 1910. L'église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [22].
  • Le château[23], exemple parfait du classicisme sous Louis XV, a été construit pour les Le Couteulx, puissante famille de finances de Rouen. Le riche mobilier a été transféré au château de Sainte-Vaubourg, voisin, au milieu du XIXe siècle (il a depuis peu été dispersé). Les lucarnes de la façade ont été remaniées au Second Empire. L'édifice a été attribué à la sous-préfecture après la Seconde Guerre mondiale, tandis que les espaces intérieurs étaient profondément modifiés. La commune est désormais propriétaire et loue l'ensemble pour des réceptions. À noter, faisant partie de l'ensemble, un pavillon de musique au bout de la terrasse, mais hélas dans un état de délabrement avancé.
  • Le moulin du Temple, dont l'édifice originel, en bois, a disparu dans un incendie en 1813, a été remplacé vers 1970 par une tour en maçonnerie ; ce moulin appartenait aux templiers de la commanderie de Sainte-Vaubourg, sur la paroisse du Val-de-la-Haye.
  • Le château des Farceaux, sur le coteau dominant la Seine, bel édifice du XIIe siècle, transformé en habitation à la Renaissance, servait de retraite aux religieux de l'Ordre de Malte occupant la commanderie de Sainte-Vaubourg.
  • Le manoir du Lieu-Cadet, édifice composite des XVIIIe et XIXe siècles, domine le vallon où se situe la mairie.
  • La grande maison du Mont Miré, de la fin du XVIIIe siècle, est un exemple de grande demeure bourgeoise.
  • De belles maisons, dont les plus anciennes paraissent du XVIe siècle, sont à remarquer dans le hameau du Rouage.
  • Un puits commun, ou puits banal, est à l'angle de la place de la Mairie.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Les rois de France détenaient directement la cure d'Hautot.
  • Constance de La Pierre, fille des châtelains sous l'Empire, était une remarquable dessinatrice, élève de Jacques-Antoine-Marie Lemoine à Rouen; elle épousa Louis Lézurier, baron de La Martel, maire de Rouen et propriétaire du château de l'ancienne commanderie de Sainte-Vaubourg dans la commune voisine du Val-de-la-Haye. Ce dernier devint maire d'Hautot sous la Restauration.
  • Félicie de Fauveau (1801-1886), artiste romantique au destin politique, était une petite-fille de M. et Mme de La Pierre, châtelains d'Hautot.
  • Au milieu du XIXe siècle, le comte de Bailleul a eu de longs démêlés avec la commune au sujet d'un terrain situé devant le portail de sa propriété du Mont Miré ; la justice lui a donné raison.
  • Le conseiller d'État Martial Bataille a été propriétaire du château d'Hautot de 1866 à sa mort en 1878.
  • Joseph Simon du Perron, président de la Société générale de 1932 à 1940 a été le dernier propriétaire privé du château d'Hautot. Mort en 1942, il est enterré dans le parc dans une tombe en bordure de l'ancien cimetière.
  • Maurice Gaudefroy-Demombynes, de l'Institut, dont l'œuvre est consacrée à l'islam et à sa civilisation, a écrit nombre de ses ouvrages au château des Farceaux.
  • La comtesse de la Croix-Vaubois a réuni en 1954 au Mont Miré les mères des officiers prisonniers pendant la guerre d'Indochine.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Hautot-sur-Seine

Les armes de la commune de Hautot-sur-Seine se blasonnent ainsi :
de gueules au chevron d’or, accompagné en chef de deux épis de blé du même et en pointe d’un trèfle d’argent.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Daniel Delattre, La Seine-Maritime, les 745 communes, Grandvilliers, , 344 p. (OCLC 53292170), p. 155

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Hautot-sur-Seine et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Hautot-sur-Seine ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 92.
  14. a et b Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 498.
  15. « Le maire démissionne : HAUTOT-SUR-SEINE.Alors qu'il a contribué à rétablir l'équilibre financier, Alain Demombynes passe la main », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Municipales à Hautot-sur-Seine : l’adjoint Jean-Louis Roussel brigue le siège de maire : Jean-Louis Roussel, adjoint aux affaires scolaires, se présente pour succéder au maire qui ne se représente pas », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Municipales 2020. Jean-Louis Roussel, élu maire d’Hautot-sur-Seine : Jean-Louis Roussel, maire d’Hautot-sur-Seine, et son équipe municipale ont été élus lundi 25 mai 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après dix ans à la tête de la plus petite commune de la Métropole, le maire Jean-Bernard Seille ne se représentant pas, Jean-Louis Roussel, adjoint aux affaires scolaires, enseignant à l’université de Rouen, vise la succession » « Jean-Bernard Seille, maire sortant qui ne se représentait pas a effectué, selon l’usage, l’appel des nouveaux élus ».
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Notice no PA00100693, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Notice no IA00021499, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.