Louis O'Neill
Louis O'Neill | |
Fonctions | |
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Ministre des Affaires culturelles du Québec | |
– (1 an, 3 mois et 2 jours) |
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Prédécesseur | Jean-Paul L'Allier |
Successeur | Denis Vaugeois |
Ministre des Communications du Québec | |
– (2 ans, 9 mois et 26 jours) |
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Prédécesseur | Jean-Paul L'Allier |
Successeur | Denis Vaugeois |
Député de Chauveau à l'Assemblée nationale du Québec | |
– (4 ans, 4 mois et 29 jours) |
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Prédécesseur | Bernard Lachapelle |
Successeur | Raymond Brouillet |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Sainte-Foy (Québec), Canada |
Date de décès | (à 93 ans) |
Lieu de décès | Québec |
Nationalité | Canadien |
Parti politique | Parti québécois |
Diplômé de | Université Laval, université pontificale Saint-Thomas-d'Aquin, université de Strasbourg |
Profession | Professeur, essayiste, homme politique |
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Louis O'Neill, né le à Sainte-Foy et mort le , est un théologien, philosophe et homme politique québécois.
Biographie
[modifier | modifier le code]Natif de Sainte-Foy (Québec), Louis O'Neill étudie à l'université Laval, à l'université Angelicum et à l'université de Strasbourg. Après ses études de troisième cycle en théologie, il reçoit son ordination à la prêtrise au mois de juin 1950 [1].
Alors qu'il enseigne la philosophie sociale à l'université Laval et à l'université nationale du Rwanda, ainsi qu'au séminaire de Québec, il collabore à plusieurs revues et s'associe à Gérard Dion pour critiquer le gouvernement de Maurice Duplessis.
En 1973, il est candidat pour le Parti québécois dans la circonscription de Mercier, mais il est défait. Trois années plus tard, dans Chauveau, il est élu comme député péquiste. Nommé ministre dans le premier gouvernement Lévesque, il est ministre des Affaires culturelles du au et ministre des Communications du au .
Lors de l'élection générale québécoise de 1981, O'Neill ne se représente pas, préférant revenir à l'enseignement à l'université Laval. Il a contribué aux Amitiés judéo-chrétiennes, à l'Acfas et la société canadienne de théologie.
Renonçant à la vie religieuse, il s'est marié en 1974 et a eu deux enfants. Nommé professeur émérite en 1999, il publie ses mémoires en 2003.
Il meurt le à l’âge de 93 ans[2],[3].
Ouvrages
[modifier | modifier le code]- L'Immoralité politique dans la province de Québec, 1956
- Le Chrétien et les élections, 1960
- Le Chrétien en démocratie, 1961
- L'Homme moderne et la socialisation : analyse éthico-sociale du phénomène, 1967
- Le Prochain rendez-vous, 1988
- Les trains qui passent - Propos et souvenirs d'un citoyen libre, 2003
Revues et journaux
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Louis O'Neill - National Assembly of Québec (biographie complète en français) », sur www.assnat.qc.ca (consulté le )
- Zone Politique - ICI.Radio-Canada.ca, « Décès de l'ex-ministre péquiste Louis O'Neill », sur Radio-Canada.ca (consulté le ).
- Agence QMI, « L’ancien ministre Louis O’Neill est décédé », Le Journal de Québec, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressource relative à la vie publique :
- Chronique personnelle
- Naissance en avril 1925
- Naissance à Québec
- Étudiant de l'université de Strasbourg
- Professeur à l'Université Laval
- Étudiant de l'Université Laval
- Écrivain québécois
- Député du Parti québécois à l'Assemblée nationale
- Philosophe québécois
- Prêtre catholique québécois
- Théologien catholique québécois
- Décès à 93 ans
- Décès à Québec
- Décès en octobre 2018