La Souterraine (Creuse)
La Souterraine | |||||
Porte Saint-Jean dans la vieille ville. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Sostranien (siège) |
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Maire Mandat |
Étienne Lejeune 2020-2026 |
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Code postal | 23300 | ||||
Code commune | 23176 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sostraniens, Sostraniennes | ||||
Population municipale |
4 933 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 133 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 14′ 15″ nord, 1° 29′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 284 m Max. 456 m |
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Superficie | 37,07 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | La Souterraine (ville isolée) |
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Aire d'attraction | La Souterraine (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Souterraine (bureau centralisateur) |
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Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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La Souterraine est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Les habitants de La Souterraine sont appelés Sostraniens.
Bâtie à l'emplacement d'une villa gallo-romaine, La Souterraine a conservé plusieurs témoins de ses fortifications du Moyen Âge dont, près de l'église, la porte Saint-Jean appelée aussi porte de Breith ou porte Notre-Dame. Édifiée aux XIIIe et XVe siècles, elle est ornée de deux tourelles en encorbellement, de créneaux et de mâchicoulis.
La commune de La Souterraine est labellisée Village étape depuis 2000.
C'est la deuxième ville la plus peuplée du département derrière la préfecture Guéret.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe du département de la Haute-Vienne.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La Souterraine est limitrophe de huit autres communes dont une en Haute-Vienne. Au nord-est, son territoire est limitrophe sur 230 mètres de celui de Vareilles et à l'est, sur 530 mètres de celui de Lizières.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Carte de l'occupation des sols de La Souterraine sur le Géoportail de l'ARB Nouvelle-Aquitaine : Entités paysagères:
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[2]
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau traversant la commune. Le territoire communal est arrosé par :
Sur le territoire de la commune se trouve aussi l'étang du Cheix.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 969 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 031,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,5 | 1,2 | 3,4 | 5,5 | 8,8 | 12,1 | 13,8 | 13,8 | 10,8 | 8,6 | 4,5 | 2,2 | 7,2 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 4,7 | 7,7 | 10,2 | 13,8 | 17,3 | 19,3 | 19,4 | 15,9 | 12,5 | 7,7 | 5 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,2 | 8,3 | 12,1 | 14,9 | 18,7 | 22,5 | 24,8 | 25 | 21 | 16,4 | 10,9 | 7,8 | 15,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−22,5 09.01.1985 |
−15,8 06.02.12 |
−11,5 01.03.05 |
−6 04.04.1990 |
−2 09.05.1984 |
1 03.06.1989 |
3 04.07.1990 |
2 30.08.1988 |
0 29.09.1995 |
−5 25.10.1983 |
−12 22.11.1993 |
−12 11.12.1969 |
−22,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,5 28.01.24 |
22,9 27.02.19 |
26 24.03.1996 |
29 30.04.05 |
31 12.05.1969 |
36,8 18.06.22 |
38,1 18.07.22 |
39,2 12.08.03 |
36,2 04.09.23 |
31,9 08.10.23 |
25 02.11.1970 |
19,5 04.12.1985 |
39,2 2003 |
Précipitations (mm) | 94,8 | 79,9 | 79,8 | 86,1 | 90,7 | 74,9 | 65,2 | 75,4 | 81,6 | 99,2 | 101,3 | 102,5 | 1 031,4 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].
En 2023, il existe une aire protégée de 4,13 hectares sur le territoire communal, le site de la Chapuisette[14], au sud-ouest de la ville, au sud du lieu-dit le Puy Charraud.
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].
Il n'existe aucun site Natura 2000 sur la commune[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2023, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[17].
Le site « bois, bocage et étang de la Grande Cazine » est une ZNIEFF de type 1 qui s'étend sur 704 hectares, incluant les étangs de la Grande Cazine et de la Petite Cazine ; elle est située majoritairement sur le territoire de Noth (près de 90 %), et très partiellement sur ceux de Lizières, Saint-Agnant-de-Versillat et La Souterraine (quinze hectares en deux zones distinctes dans le nord-est de la commune, principalement près du lieu-dit les Marsagnes, soit 2 %)[18],[19].
Cette zone présente une diversité biologique importante avec 168 espèces animales recensées dont treize espèces déterminantes (deux insectes, quatre mammifères, quatre oiseaux et trois poissons), ainsi que 13 espèces végétales dont six déterminantes de plantes phanérogames.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Souterraine est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Souterraine, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[21],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Souterraine, dont elle est la commune-centre[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,2 %), zones agricoles hétérogènes (27,2 %), forêts (12,4 %), zones urbanisées (10,3 %), terres arables (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Route nationale 145 vers Saint-Maurice-la-Souterraine[25].
- Route départementale (RD) 1 vers les Gouttes.
- RD 912 vers la Bussière-Madeleine.
- RD 72 vers l'Aumone.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Réseau TransCreuse
- Ligne ferroviaire Paris-Toulouse encore appelée POLLT (Paris-Orléans-La Souterraine-Limoges-Toulouse)
- TER Nouvelle-Aquitaine
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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L21 | Limoges-Bénédictins ↔ La Souterraine ↔ Châteauroux | ||||||||
Longueur 137,1 km |
Durée 1 h 20 |
Nb. arrêts 15 |
Soirée / Dimanche - Férié Non / |
Horaires 5 h 38 - 18 h 55 |
Réseau TER Nouvelle-Aquitaine / TER Centre-Val de Loire |
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de La Souterraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 064 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 496 sont en aléa moyen ou fort, soit 24 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[26].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Souterraine est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la ville, tel qu’il apparaît la première fois en 1268 (Subterranea), se rapporte à la crypte ou église souterraine de grande taille de la ville[32].
En dialecte marchois, la commune porte le nom de La Sostrane[33].
Histoire
[modifier | modifier le code]À quatre kilomètres à l'est du bourg actuel de La Souterraine, au lieu-dit Bridiers, se trouve une agglomération secondaire romaine[34] pas encore identifiée mais attribuée aux Lémovices[35].
Des vestiges découverts en 2019 révèlent que l'occupation humaine du site remonte au IXe siècle de notre ère[36],[37],[38].
Vers 1017, Géraud (francisé, selon les auteurs, en Gérald ou Gérard), comte de Crozant, vicomte de Bridiers, vassal du duché d'Aquitaine, donne cette Villa Sosterranea à l'abbaye Saint-Martial de Limoges. À la suite de cette donation, on entreprend dès 1019 la construction de l'église, qui, commencée en style roman, est terminée en 1220 en style gothique.
Jusqu'au XVIe siècle, la ville s'entoure progressivement de fossés et remparts. Des portes de l'enceinte, deux sont conservées : la porte Saint-Jean et la porte du Puycharraud.
Au cours du XVIe, La Souterraine passe sous la dépendance administrative de la généralité de Limoges.
De 1790 à 1795, elle est chef-lieu du district de la Souterraine.
Depuis le Moyen Âge, comme dans toutes les communes du département, beaucoup d'hommes partaient tous les ans dans les grandes villes sur les chantiers du bâtiment pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur. C'est ainsi que les maçons de la Creuse devinrent bâtisseurs de cathédrale ; en 1624, ils construisirent la digue de La Rochelle, au XIXe siècle, ils participèrent à la construction du Paris du baron Haussmann. Initialement temporaire de mars à novembre, l'émigration devint définitive : ainsi la Creuse a perdu la moitié de sa population entre 1850 et 1950. On retrouve dans le livre de Martin Nadaud, Mémoires de Léonard, la description de cet exode qui marqua si fortement les modes de vie.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du département de la Creuse (23) et de la région Nouvelle-Aquitaine.
Jusqu'en 2009, La Souterraine appartenait à la première circonscription de la Creuse, composée des cantons de : Bénévent-l'Abbaye, Bonnat, Bourganeuf, Dun-le-Palestel, Le Grand-Bourg, Guéret-Nord, Guéret-Sud-Est, Guéret-Sud-Ouest, Saint-Vaury, La Souterraine. Depuis l'ordonnance no 2009-935 du instaurant un nouveau découpage des circonscriptions législatives, La Souterraine appartient désormais à l'unique circonscription de la Creuse, regroupant tous les cantons du département.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :
- total des produits de fonctionnement : 6 604 000 €, soit 1 239 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 5 686 000 €, soit 1 123 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 158 000 €, soit 593 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 2 687 000 €, soit 504 € par habitant ;
- endettement : 4 588 000 €, soit 861 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 15,91 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 46,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 77,43 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 850 €[41].
Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[42].
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[43].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Communauté de communes du Pays Sostranien.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[44] :
- École maternelle des Fossés des Canards.
- École maternelle Jules-Ferry
- École primaire Jules-Ferry
- École primaire Tristan-L'Hermite
- Cité scolaire Raymont-Loewy
La cité scolaire Raymond-Loewy accueille les élèves à partir de la classe de 6e jusqu'au post-bac.
Le lycée prépare aux sections littéraire, scientifique, économie/gestion et arts appliqués du baccalauréat.
Cinq classes de DN MADE ( Diplômes National des Métiers d'Arts et du Design) sont proposées : design d'espace (DE), design graphique (DG), design d'objet (DO) design matériaux textile ou céramique.
Une nouvelle formation a ouvert ses portes en 2012 : le DSAA (diplôme supérieur d'arts appliqués) créateur-concepteur, spécialité écoconception et design responsable. Cette formation de design global regroupe des étudiants des trois grands secteurs d'arts appliqués (espace, produit, graphisme). Les premiers diplômes seront décernés en 2014. Cette spécialité écoconception est unique en France.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[45] :
- médecins ;
- pharmacies à La Souterraine, Arnac-la-Poste, Saint-Pierre-de-Fursac, Saint-Sulpice-les-Feuilles ;
- hôpitaux à La Souterraine, Saint-Vaury, Magnac-Laval, Le Dorat, Bellac, Limoges.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].
En 2021, la commune comptait 4 933 habitants[Note 4], en évolution de −7,19 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,7 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (25,7 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (38,3 %) est comparable au taux départemental (38,4 %).
En 2018, la commune comptait 2 382 hommes pour 2 712 femmes, soit un taux de 53,24 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,47 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]- Maison des jeunes et de la culture (MJC)[51], 27 rue de Lavaud
- Centre culturel Yves Furet[52]
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint Jacques[53], Diocèse de Limoges.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture et élevage
[modifier | modifier le code]- Culture et élevage associés[54].
- Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hôtels et hébergement similaire.
- Le château Lezat Chambres d'hôtes[55].
- Camping.
- Gîtes de France.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
- Magasins, restaurants[51].
- En 1992, le fabricant de costumes De Fursac délocalise 342 emplois en Pologne[51].
- L'une des principales industries de la ville est GM&S, sous-traitant de PSA, jusqu'à ce que, en , la société soit placée en redressement judiciaire. À l'issue d'une longue période de lutte des salariés, le site est repris par l'équipementier automobile GMD au prix d'un plan social où 157 emplois sont supprimés sur les 277 salariés[56] (283 selon Lutte ouvrière[57]) que comptait le site[58]. Pour le député socialiste de la Creuse, Michel Vergnier, comme pour le maire de la commune Jean-François Muguet, il s'agit d'une catastrophe économique[51]. Depuis, le site compte 120 salariés et l'activité n'a pas repris à la hauteur annoncée[59].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]-
L'église.
-
Clocher de l'église.
-
Couvent des Sœurs du Sauveur.
-
Couvent des Sœurs du Sauveur.
-
Monument aux morts.
-
La tour de la porte Saint-Jean.
-
Tour de Bridiers.
-
Statuette sur la porte Saint-Jean.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- L'église Notre-Dame, de style roman, chef-d'œuvre de transition du roman vers le gothique[60]. Restaurée par Paul Abadie au XIXe siècle, elle conserve une crypte construite par les moines de l'abbaye Saint-Martial de Limoges vers 1020 pour servir de sépulture au fondateur Géraud de Crozant. L'édifice auquel le granit confère un aspect sévère fut bâti aux XIIe et XIIIe siècles. La façade, avec son portail polylobé en arc légèrement brisé que flanquent deux lanternons, témoigne d'une influence mozarabe que l'on peut attribuer aux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, La Souterraine se trouvant sur la Via Lemovicensis, une des principales routes de pèlerinage. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques par la liste de 1840[61].
- Église Sainte-Madeleine de la Bussière-Madeleine. Elle est recensée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel[64].
- Chapelle du couvent de sœurs du Sauveur et de la Sainte-Vierge[65],[66]
- Chapelle de la Vierge, quartier des Pentes et des Petites chapelles[70].
- Chapelle de recluse Saint-Eutrope, dite chapelle de la recluse[71].
- Croix[72].
Autres sites et patrimoines
[modifier | modifier le code]- Le château de Bridiers (dont la tour est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques)[73]. Ses douves sont remplies d'eau. Il date des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[74].
- Le château Lezat, construit en 1901[55], est l’ancienne demeure de François Chénieux (1845-1910), médecin de grande renommée et chirurgien de talent dont la clinique existe toujours à Limoges. Il a été maire de Limoges.
- La porte Saint-Jean, classée monument historique en 1920[75].
- La porte de Puy-Charraud, inscrite monument historique en 1941[76],[77].
- Vestiges de la tour dite tour de la Vigne[78].
- La lanterne des morts, inscrite monument historique en 1926[79].
- Borne de juridiction[80].
- Anciens moulins[81],[82].
- Fontaines, lavoirs, abreuvoirs[83].
- Kiosque à musique[84].
- Monument aux morts[85] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962)[86],[87].
- Borne médiévale de la Gérafie, erronément appelée Menhir de la Gérafie, classée monument historique en 1889[88]. Elle marquait la limite entre la justice de la vicomté de Bridiers et la justice de la prévôté de La Souterraine.
Éléments remarquables :
- Le Cirque Valdi, la plus grande maquette de cirque animée du monde réalisée par Maurice Masvignier, est fermé depuis 2013.
- Rencontres de sculptures[89] : Nuage rouge, œuvre monumentale d'art contemporain de Laurent Saksik, installée dans la cour de la maison des jeunes et de la culture.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Philibert de Naillac, grand maître des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem de 1396 à 1421.
- Joachim du Chalard (mort en 1562), jurisconsulte et avocat au Grand Conseil (Paris), auteur d'une analyse des doléances des états généraux de 1560.
- Jean-Baptiste Alexandre Montaudon, général de division du Second Empire et député de la Somme.
- Marie de Jésus du Bourg (1788-1862) fondatrice des sœurs du Sauveur et de la sainte Vierge[90].
- Paul Sauvage (1939-2019), international français de football.
- Frantz-André Burguet (1938-2011), journaliste, écrivain et scénariste.
- Gérard-François Dumont (1948), géographe, économiste, démographe politique et professeur.
- Antoine Glaser (1947), journaliste, écrivain.
- Stuart Staples (1965), musicien et chanteur du groupe Tindersticks.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Selon d'Hozier, la ville porte : D'azur, à trois faces d'or.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Maurice Favone, Histoire de la Marche., Dorbon aîné éditeur,
- Dr Albert Guillon, Notre Sedelle : Monographie d'un ruisseau creusois et de sa vallée, Breith, Bridiers, la Souterraine, Saint-Germain-Beaupré, Crozant, Imprimerie Lecante,
- Stéphane Lafaye (dir.) et Jacques Roger (dir.), Aux origines de La Souterraine, Guéret, Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, coll. « Études creusoises » (no 25), (ISBN 978-2-903661-59-5)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Souterraine (La), pp. 1149-1150
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.Souterraine (La) p. 306 et Carte n°11 Creuse
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Décès en cours de mandat. Jean-François Muguay est élu par le conseil municipal pour lui succéder (pas d'élection partielle car la commune comporte plus de 1 500 habitants).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Souterraine (23176) », (consulté le ).
Autres références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- « Didacticiel de la règlementation parasismique > Département : 23 > Commune : LA SOUTERRAINE - Le Plan Séisme », sur planseisme.fr (consulté le ).
- [ttps://www.sandre.eaufrance.fr/geo/CoursEau_Carthage2017/L56-0300 la Benaize]
- La Sédelle
- la Brame
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Station Météo-France commune de Pontarion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France commune de La Souterraine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de La Souterraine », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- - Site de la Chapuisette, INPN, consulté le .
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de La Souterraine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de La Souterraine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- [PDF] David Naudon (LNE), Olivier Nawrot (CBNMC) et Laurent Chabrol (ENL), Bois, bocage et étang de la Grande Cazine - (Identifiant national 740000084), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- « ZNIEFF Bois, bocage et étang de la Grande Cazine sur La Souterraine » sur Géoportail. Carte de la ZNIEFF de type 1 (en vert), Géoportail, consulté le .
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de La Souterraine », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Souterraine », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Voies routières
- « Les risques près de chez moi - commune de La Souterraine », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Souterraine », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 27484, p. 1520.
- Jean-Pierre Baldit, « Quelle graphie utilisée pour le marchois ? », Patois et chansons de nos grands-pères marchois. Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon (dir. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume), Paris, Éditions CPE, , p. 84-87 (ISBN 9782845038271).
- Florian Baret, « L'agglomération gallo-romaine de Bridiers : une ville, mille ans avant la fondation de La Souterraine », dans Lafaye et Roger 2019, , p. 27-59.
- (lire en ligne sur le site lamontagne.fr)
- Fin 2019 un chantier proche de la zone activités commerciales de La Prade à côté de la nationale 145 révèle des vestiges médiévaux très bien conservés. Des fouilles préventives sont réalisées pendant quatre mois, de mi-septembre 2019 à mi-janvier 2020 sur une superficie d'un hectare environ.
Les archéologues exhument une lampe à huile quasiment entière, des pierres à aiguiser, des outils de métier à tisser, des céramiques de type jusque-là inconnus dans le Limousin et des silos à grain, presque intacts.
Des entrées de souterrains, dont la fonction reste encore mystérieuse, ont également été découverts.
Ces vestiges datent du 9e au 13e siècle.
Le nombre et la taille de silos trouvés étant très important, laissent penser que le site abritait une population importante à l'activité agricole dense.
Les fouilles terminées, les vestiges ont été recouverts.
Cette découverte révèle une occupation humaine du site antérieur à la création de La Souterraine par les moines au 11e siècle. - Voir sur francebleu.fr.
- Une occupation rurale atypique en périphérie de la souterraine du 15 décembre 2019 (lire en ligne sur le site inrap.fr)
- Voir résultats sur lemonde.fr.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- FICHE| Agenda 21 de Territoires - La Souterraine, consultée le 26 octobre 2017.
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- [ttps://www.journaldesfemmes.fr/maman/ecole/la-souterraine/ville-23176 Établissements d'enseignements]
- Professionnels et établissements de santé
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Creuse (23) », (consulté le ).
- « Sous-traitant automobile GM&S : 277 emplois menacés, une "catastrophe économique" », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le ).
- Voir sur lasouterraine.fr.
- Paroisse Saint Jacques
- Agriculture et élevage
- Château Lezat
- « Le groupe Peugeot a-t-il programmé la disparition de GM&S Industry ? », France 3 Nouvelle-Aquitaine, (lire en ligne, consulté le ).
- « GM&S – La Souterraine : des travailleurs déterminés à se défendre », sur Lutte ouvrière : Le Journal (consulté le ).
- A. F. P. agence, « GM&S: le tribunal valide la reprise par GMD », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- « Un an après la reprise, les espoirs déçus des ex-GM&S », sur LExpansion.com, (consulté le ).
- « Église Notre-Dame », notice no PA00100206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Crypte de l'abbatiale
- Notice no PM23000196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche
- « Église paroissiale Sainte-Madeleine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Couvent de soeurs du Sauveur et de la Sainte Vierge », notice no IVR74_19972300337V, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Couvent de sœurs du Sauveur et de la Sainte Vierge », notice no IA23000095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PM23000207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureOrgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
- L’orgue de la chapelle du Sauveur fait partie de la génération des orgues romantiques, Le Populaire
- Association des Amis des Orgues du Sauveur de La Souterraine (ADAOS)
- « Chapelle de la Vierge », notice no IVR74_19982300175X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Chapelle de recluse Saint-Eutrope, dite chapelle de la recluse », notice no IA23000211, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Croix monumentale dite la Croix Pierre », notice no IA23000280, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château fort dit tour de Bridiers », notice no IVR74_19812300002V, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Vue du donjon, prise depuis l'ouest, en 1997, au moment du chantier de restauration », notice no IVR74_19972300057X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Fortification d'agglomération », notice no IVR74_19972300140X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Porte de Puy-Charraud et restes de remparts », notice no PA00100209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- La porte du Puycharraud
- « Fortification d'agglomération », notice no IVR74_19972300040X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Lanterne des morts de La Souterraine
- « Borne de juridiction », notice no IVR74_19832300864X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Moulin du Haut », notice no IA23000070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « 6 moulins sont situés sur la Sédelle, 1 sur le ruisseau des Taillades et 3 sur la Benaize », notice no IA23000264, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Fontaines, lavoirs, abreuvoirs », notice no IA23000262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Kiosque à musique », notice no IA23000255, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Monument aux morts
- Monument aux morts de La Souterraine
- « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA23000213, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Menhir dit de la Gérafie », notice no PA00100208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Rencontres de sculptures
- « 1862 », sur causa.sanctorum.free.fr (consulté le ).