Les Allues
Les Allues | |||||
Le chef-lieu de la commune en hiver. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Albertville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val Vanoise | ||||
Maire Mandat |
Thierry Monin 2020-2026 |
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Code postal | 73550 | ||||
Code commune | 73015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Alluetais Alluetains Alluitais |
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Population municipale |
1 790 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 25′ 54″ nord, 6° 33′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 680 m Max. 3 564 m |
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Superficie | 85,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Moûtiers | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairiedesallues.fr | ||||
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Les Allues est une commune française située dans le sud du département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Commune de montagne du massif de la Vanoise, en Tarentaise, elle compte treize villages et accueille une station de sports d'hiver qui se développe autour de deux principaux noyaux : Méribel (1 450 m), Méribel-Mottaret (1 750 m) situés au cœur du domaine skiable des Trois Vallées. Elle faisait partie des 31 communes ayant reçu le label « station classée de tourisme » au , la seule de Savoie, puis renouvelée avec la réforme de 2013 où est elle rejointe par quatre autres communes savoyardes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village des Allues se situe dans le sud du département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la vallée de la Tarentaise, sur les conte-fort du massif de la Vanoise. À vol d'oiseau, le village est à 6,1 km au sud - sud-est de Moûtiers, à 30,1 km au sud - sud-est d'Albertville, à 52 km à l'est de Chambéry, chef-lieu du département, et à 138,7 km à l'est de Lyon[Note 1].
Hydrographie, géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune se positionne sur les pentes de la combe du doron des Allues, qui est orienté sud-nord, d'une longueur de 19 km. Cette vallée est structurée à l'est par les versants de la Dent de Burgin (croix du Verdon)[1], la Saulire, et le chaînon de l'Aiguille du Fruit (pointe du Fruit), qui séparent la vallée de celle où se situe la commune de celle de Saint-Bon-Courchevel[1], et pour la partie ouest celles de Cherferie, de la Tougnette, du mont de la Chambre, du mont du Borgne, et de l'aiguille de Péclet. La partie sud de la vallée domine avec par le dôme de Polset (3 530 m).
Le territoire des Allues s’étend sur le bassin versant du doron des Allues (le torrent de Méribel), rivière longue de 20,9 km et affluent du doron de Bozel, lui-même affluent de l'Isère[2]. Le torrent prend sa source au col rouge[2].
En amont du Doron des Allues se trouve le lac de Tuéda, à l'entrée de la réserve naturelle du même nom. Lac de 1re catégorie de 3 ha, il abrite plusieurs espèces de truites dont des farios et des arcs-en-ciel[3].
D’autres cours d'eau arrosent la commune et viennent grossir le Doron : le ruisseau des Plattières, le ruisseau de la Rosière ou encore le Grand Nant[4]. Le ruisseau des Près d'Enfer, quant à lui prend effectivement sa source sur ce territoire communal mais s'écoule dans le bassin versant du Doron de Belleville.
La commune dispose de ressources en eau potable collectées par 21 sites de captages[5], ce qui lui assure une indépendance en eau.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 055 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moutiers », sur la commune de Moûtiers à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune des Allues est accessible tant par la route, que par les airs avec la présence d'un altiport[12].
On accède à la station par la route, via une voie express extension de l'A430, en provenance de la combe de Savoie-Albertville, avec la sortie 41 (Val Thorens, Les Menuires, Bozel, Courchevel, Méribel) se situe au niveau de la ville de Moûtiers. Par ailleurs, le TGV arrive jusqu'en gare de Moûtiers - Salins - Brides-les-Bains (distance depuis Paris 600 km, soit 5 h 30 min). Le temps de transport vers la station est d'environ 30 min.
On peut aussi atterrir dans les aéroports internationaux de Lyon-Saint-Exupéry (environ 185 km - 2 h) et Genève (environ 135 km - 2 h), ainsi que celui de Chambéry - Savoie (environ 95 km - 1 h). La station possède aussi son propre altiport, situé à 1 717 m d'altitude.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Les Allues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (35,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,9 %), forêts (29,2 %), zones urbanisées (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]À Méribel, les chalets luxueux, toit en ardoise, vieux bois et pierre dominent la station-village.
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagements
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]L'origine du nom « Allues » provient du bas latin « Allodium » ou alleu, qui désigne en administration médiévale, une propriété héréditaire affranchie des droits d'un seigneur[18],[19]. La première mention date de 1186 avec Vallis de Allodiis, selon Joseph-Antoine Besson[20],[18],[19]. On trouve ensuite les mentions suivantes Apud Allodia (1260), Ecclesia de Allodüs (XIVe siècle selon Cartulaire Sabaudiæ) ou encore Parrochia Allodiorum (1399)[18],[19].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Louz Aloué, selon la graphie de Conflans[21].
L'origine du nom de la station Méribel vient de son emplacement. Le terme désigne un lieu depuis lequel on a une belle vue ou que l'on peut surveiller les environs, il est l'équivalent du terme italien, belvédère[22]. De bas latin Mirare, regarder (d'où fr. miroir, mirer, par exemple).
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal est composé de 19 membres.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]À ce jour, l'Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, ne répertorie aucun projet de jumelage ou de coopération décentralisée, ni pacte d’amitié à l'international pour la commune[23].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Alluetains (gentilé le plus courant) ou encore Alluetais[24], que l'on rencontre parfois sous la forme les Alluitais[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2021, la commune comptait 1 790 habitants[Note 2], en évolution de −3,14 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Une école primaire et maternelle à Méribel-centre. Une école primaire et maternelle aux Allues, quartier du Plan de l’église.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête à Fanfoué : il s'agit d'une fête annuelle organisée au mois d'août.
Santé
[modifier | modifier le code]La commune des Allues correspond au « Bassin 73015 : Les Allues », soit une seule commune[30]. En 2012, on peut trouver un médecin généraliste sur la commune[30]. La desserte médicale[Note 3] est estimée en septembre 2012 à 1 médecin généraliste pour 1 854 hab[30]. Lors de la saison touristique face à l'augmentation de la fréquentation de la commune (estimée à environ 27 000 hab.), on compte trois médecins saisonniers[30].
On trouve ainsi deux cabinets médicaux à Méribel-centre et un autre à Méribel-Mottaret.
Les autres services liés à la santé sont la présence d'un dentiste situé sur Méribel-centre, des infirmiers, des kinésithérapeutes, ainsi que des pharmacies[30].
La commune des Allues est rattachée au service d'urgences du Centre hospitalier intercommunal Albertville-Moûtiers (CHAM) disposant d'un site à Moûtiers et d'un autre sur Albertville.
Sports
[modifier | modifier le code]De nombreuses activités sportives peuvent être pratiquées sur la commune. En premier lieu, on se doit de citer la présence prépondérante de la station de sports d'hiver appelée Méribel qui fait partie intégrante du domaine skiable des Trois Vallées. À 1 100 m d'altitude, on trouve le village des Allues. On peut ainsi y pratiquer, entre autres chose, du ski alpin et du ski de fond. Autre discipline sportive très ancrée dans le paysage local, le hockey. Méribel les allues abrite le siège social du club Hockey Club Val Vanoise.
Médias
[modifier | modifier le code]Radios et télévisions
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, R'Méribel... Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale de la vallée de la Tarentaise. France 3 et son décrochage France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.
Presse et magazines
[modifier | modifier le code]La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré avec une édition locale.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]Les Allues a obtenu le label officiel « commune touristique » (2012), mais aussi celui de « station classée de tourisme » (2011), maintenu avec la réforme de 2013[31].
En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 37 976 lits[Note 4]. Les hébergements se répartissaient comme suit : 1 345 meublés ; 14 résidences de tourisme ; 31 hôtels ; 1 établissement d'hôtellerie de plein air ; 6 centres ou centres de vacances ; 5 refuges ou gîtes d'étape ; 1 chambre d'hôtes[32].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine architectural
[modifier | modifier le code]La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[33] et aucun répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[34]. Par ailleurs, elle compte cinq objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[35] et aucun répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[36].
- Église Saint-Martin ; xiie siècle Retable et décoration intérieur de style baroque. Culte catholique[37].
- Chapelle Notre-Dame-des-Neiges édifiée en 1959[38]. Culte protestant et anglican.
- Les Croix des Missions d'antan.
- maison forte au Villaret, résidence des archevêques de Tarentaise[25].
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Le parc national de la Vanoise occupe le territoire de 28 communes savoyardes, parmi lesquelles se trouve Les Allues. Il s'agit du tout premier parc national créé en France en 1963. La faune et la flore y est préservée et fortement diversifiée. Ce parc a contribué, entre autres chose, à la sauvegarde du bouquetin dans le massif de la Vanoise. Le village, les stations et le domaine skiable se trouvent dans l'aire d'adhésion (anciennement appelée pré-parc ou périphérie), soit en dehors du cœur préservé du parc[Note 5].
Attenant au parc de la Vanoise, a été créé par décret en 1990[39], la réserve naturelle du Plan de Tuéda s'étalant du lac de Tuéda au glacier de Gébroulaz. C'est un espace protégé de 1 100 ha où tétras lyre, linnées boréales et pins cembros peuvent être préservés.
Ce glacier est par ailleurs le seul en France à être détenu, ainsi que ses abords, moraines, lacs ainsi que les alpages, par des propriétaires privés issue d'une même famille depuis le XIXe siècle[40],[41].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Musée et petit patrimoine
- Musée des Allues : ce musée a été aménagé au sein de la Maison Bonnevie, un des principaux bâtiments historiques de la commune.
- Scierie et moulin du Raffort : situés au bord du Doron des Allues sous le village du Raffort entre Les Allues et Méribel.
- Gastronomie
Le territoire de la commune connait une gastronomie de terroir traditionnelle. On y produit de nombreux fromage parmi lesquels on peut citer le beaufort. En effet, la commune se situe au sein d'une aire d'appellation (AOP) qui l'autorise à produire ce fromage[42]. Comme autre fromage produit sur ce territoire, on peut citer la tomme de chèvres des Allues[43].
Espaces verts et fleurissement
[modifier | modifier le code]En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[44].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- L'archevêque de Tarentaise, Joseph de Parpaille, meurt le de la peste et est enterré dans la paroisse.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Niobe Larsen, Aquarelles de Méribel : Patrimoine et mémoire de la vallée des Allues, La Fontaine de Siloé, 14 novembre 2006 (ISBN 2-84206-345-7)
- Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 227-231. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- (fr) Jean-Pierre Hardy, « Méribel. Séduction », www.sabaudia.org (consulté le ) (p. 7) - Dossier « L'aventure architectural des stations des sports d'hiver » de 18 pages. Site des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - Sabaudia.org.
- (fr) Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Les Allues (73015) », sur Site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie
- « Bases de données : Commune de Les Allues (73015), Département de la Savoie (73) », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté le ).
- [PDF] « Les Allues (73015 - Commune), Chiffres clés - « Évolution et structure de la population » », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté en ), p. 18 (Chiffres de 2009).
- « Bases de données : Commune de Les Allues (73015), Département de la Savoie (73) - « Chiffres clés Évolution et structure de la population » », sur le site de l'INSEE - www.insee.fr (consulté en ) (Chiffres de 2011, mise à jour le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Calcule réalisé à partir du site « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- La desserte médicale est le rapport du nombre de praticiens ou de structures de santé à la population. En région Rhône-Alpes, celle-ci est estimée en 2012 à 1 médecin généraliste pour 1 296 hab. Publication pour la région : [PDF] L'Union Régionale des Médecins Libéraux Rhône-Alpes., « Le schéma de démographie médicale de la région Rhône-Alpes - Synthèse régionale », sur urps-med-ra.fr, Union régionale des professionnels de santé, (consulté le ), p. 11.
- La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie (pour Les Allues : 1403 établissements, 15 912 lits), et les hébergements non marchands (4 413 établissements, 22 064 lits), qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[32].
- Cette organisation a été mise en place par la nouvelle Loi n° 2006-436 du 14 avril 2006.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « Méribel-les-Allues, Croix de Verdon », sur le site GEOL-ALP (http://www.geol-alp.com) (consulté le ), par Maurice GIDON, 1998-2012.
- Paul Mougin, Les torrents de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2001), 1251 p. (ISBN 978-2-84206-174-6, lire en ligne), p. 919-920, Le Doron des Allues (XIII).
- « Lac de Tuéda », sur savoie-mont-blanc.com (consulté le ).
- « Fiche cours d'eau du Doron des Allues », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « L'eau dans votre commune », sur mairiedesallues.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Allues et Moûtiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Moutiers », sur la commune de Moûtiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Moutiers », sur la commune de Moûtiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Article de Georges Benko, « Tourisme et marketing territorial : le cas des stations de sport d'hiver de l'Espace Killy et des Trois Vallées » Diane-Gabrielle Tremblay et Rémy Tremblay, La compétitivité urbaine à l'ère de la nouvelle économie. Enjeux et défis, Presses de l'Université du Québec, , 420 p. (ISBN 978-2-7605-2174-2, lire en ligne), p. 78.
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Les Allues ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 27..
- D'après Henry Suter, « Aloué », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ). ainsi que le Glossaire « Alleu ».
- * Joseph-Antoine Besson, Mémoires pour l'histoire ecclésiastiques des diocèses de Genève, Tarantaise, Aoste et Maurienne, et du décanat de Savoye, Nancy, S. Henault, , 506 p. (lire en ligne).
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- D'après Henry Suter, « Méribel », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Délégation pour l’Action Extérieure des Collectivités Territoriales - Ministère des Affaires étrangères, « Les Allues », Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, sur Site extranet de la Commission nationale de la coopération décentralisée (CNCD) - Ministère des Affaires étrangères - pastel.diplomatie.gouv.fr (consulté en ).
- « Allues (Les) », Site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
- Tarentaise, p. 227.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- [PDF] L‛Union Régionale des Médecins Libéraux Rhône-Alpes, « Démographie des médecins généralistes en région Rhône-Alpes - Département de la Savoie », sur urps-med-ra.fr, Union régionale des professionnels de santé, (consulté en ), p. 39.
- « Communes touristiques et stations classées de tourisme », Accueil du portail > Tourisme > Territoires, sur site de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services - site entreprises.gouv.fr (consulté le ). [PDF] « Liste des communes ou regroupement bénéficiant de la dénomination de commune touristique ou de groupement de communes touristiques » (2012) et « Liste des communes classées station de tourisme » (2009 à 2015).
- « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- « Liste des monuments historiques de la commune des Allues », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune des Allues à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune des Allues », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune des Allues à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Marius Hudry, Sur les chemins du Baroque en Tarentaise, Volume 2, Chambéry/Montmélian, La Fontaine de Siloé - FACIM, , 335 p. (ISBN 978-2-84206-422-8, lire en ligne), p. 109-116.
- Article de Christian Sorrel, « Une nouvelle montagne sacrée ? Catholicisme, tourisme et sports d'hiver en Savoie », p. 375, paru dans Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d'Europe : Actes du colloque "Religion et Montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002, vol. 49, Publications de la Sorbonne, , 427 p. (ISBN 978-2-85944-516-4, lire en ligne).
- Josette Barruet, Montagne : laboratoire de la diversité, Éditions Quæ, , 293 p. (ISBN 978-2-85362-408-4, lire en ligne), p. 153.
- Gérard Bocquet et Robert Vivian, « Les grands groupes glaciaires. Les glaciers de la Vanoise », Revue de géographie alpine, vol. 61, no 2, , p. 327-333 (lire en ligne).
- François Labande, Sauver la montagne, Genève (Suisse), Olizane, , 397 p. (ISBN 978-2-88086-325-8, lire en ligne), p. 348.
- « Fiche du beaufort », INAO (consulté en ).
- Jean Froc, Balade au pays des fromages : Les traditions fromagères en France, Versailles, Éditions Quæ, , 239 p. (ISBN 978-2-7592-0017-7, lire en ligne), p. 170.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).