Molières (Tarn-et-Garonne)
Molières | |||||
La mairie en 2008. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Quercy caussadais | ||||
Maire Mandat |
Valérie Hébral 2020-2026 |
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Code postal | 82220 | ||||
Code commune | 82113 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Moliérains | ||||
Population municipale |
1 245 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 11′ 39″ nord, 1° 21′ 50″ est | ||||
Altitude | 176 m Min. 102 m Max. 223 m |
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Superficie | 38,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montauban (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Quercy-Aveyron | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-molieres.fr/ | ||||
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Molières est une commune française située dans le nord du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lemboulas, le Petit Lembous, le ruisseau de Cardac, le ruisseau de Saint-Nazaire et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Molières est une commune rurale qui compte 1 245 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 2 599 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Moliérains ou Moliéraines.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe du département du Lot. Les communes limitrophes sont Auty, Labarthe, Mirabel, Montfermier, Montpezat-de-Quercy, Puycornet, Saint-Vincent-d'Autéjac et Castelnau-Montratier.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est drainée par le Lemboulas, le Petit Lembous, le ruisseau de Cardac, le ruisseau de Saint-Nazaire, un bras du Lemboulas, un bras du Lemboulas, un bras du Lemboulas, un bras du Petit Lembous, le Fraicherieu, le ruisseau de Merlanes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[2],[Carte 1].
Le Lemboulas, d'une longueur totale de 56,7 km, prend sa source dans la commune de Lalbenque et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Castelsarrasin, après avoir traversé 15 communes[3].
Le Petit Lembous, d'une longueur totale de 19,9 km, prend sa source dans la commune de Montpezat-de-Quercy et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Lemboulas à Puycornet, après avoir traversé 8 communes[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 807 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 771,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : les « prairies humides de Labarthe » (47 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Lot et deux dans le Tarn-et-Garonne[13], et le « ruisseau du Lemboulas et ruisseaux affluents » (1 311 ha), couvrant 9 communes dont six dans le Lot et trois dans le Tarn-et-Garonne[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Molières est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,5 %), terres arables (28,8 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (1,2 %), cultures permanentes (0,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Alvert
- Aulié
- Auty-Bas
- Bancounel
- Bandouillac
- Bargayre
- Barrabe
- Belinet
- Benech
- Bistour
- Blancario
- Boisse
- Borde-Basse (la)
- Borde-Neuve
- Bosquets
- Bouisses (las)
- Bourac
- Bourdau
- Bourdette
- Bourdou
- Bourias
- Bourlac
- Carrière
- Caudesaygues
- Caudié
- Cavailles (las)
- Cavaillou
- Chalou
- Clairette
- Cluselles
- Commanderie (la)
- Couchefieu
- Coutié
- Couture
- Cros
- Cuquel
- Grimal
- Dalou
- Daudebrune
- Daynes
- Dayrac
- Dayrac-Bas
- Debes (le)
- Doudou
- Église de Saint-Nazaire
- Église d'Espanel
- Fon grande (la)
- Francou
- Gaches
- Gaches-Bas
- Galines
- Garenne
- Garrabet
- Girbaud
- Gourbanel
- Granges
- Grangette (la)
- Grillet
- Guignet-Bas
- Guignet-Haut
- Guilhou
- Guillen
- Jarni
- Jouanet
- Labarthète
- Lagar
- Lagrave
- Lamothe
- Lanauze
- Lapéruguié
- Lapeyre
- Lapoujade
- Lardillé
- Lasbarthes
- Lascarios
- Laval
- Lavalade
- Lavayssière
- Lolmié
- Long
- Loustalet
- Laborie-Basse
- Laborie-Haute
- Malèze
- Marche (La)
- Marèse
- Massoulac
- Moulin de Saint-Amans
- Moulin du Crusel
- Massoulac
- Mathio
- Maurinie (la)
- Méric
- Naudou
- Nauses
- Paradis
- Pavat
- Payroulac
- Pech (au)
- Pech Calvel
- Pech-Ayral
- Pech-de-La-Peyrière
- Pechussau
- Perches
- Pestou
- Peyregau
- Places
- Plasens
- Portal
- Pouget (le)
- Poumarèdes
- Prades
- Pradié
- Ramat
- Rans
- Roussassil
- Roussouline (La)
- Roux
- Roy
- Sabatié
- Saint-Amans
- Saint-Christophe
- Sainte-Arthémie
- Saint-Pierre
- Saint-Victor
- Salreau
- Sardinat
- Sérene
- Sestayrac
- Sibadiol
- Stufelets
- Tassine (la)
- Terres blanques
- Trebays
- Triguedinna
- Trip
- Vaissayre
- Valès
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Molières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lemboulas et le Petit Lembous. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999 et 2015[19],[16].
Molières est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 646 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 646 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2003, 2009 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les molières sont des prairies mouillées[25].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les premières traces d’occupation du site de Molières remontent au tout début de l’ère chrétienne, les Cadurques, peuple gaulois du Quercy, avaient choisi le site pour sa position élevée, surplombant les vallées du Lemboulas et du Petit Lembous, aisément défendable. L’occupation romaine et la période de prospérité qui l’accompagne favorise le commerce et ouvre des voies de communication. “Moleriis” devient le passage obligé entre Tolosa (Toulouse) et Divona (Cahors).
Après quelques siècles de troubles et d’insécurité correspondant à la période des “Grandes Invasions”, le début du XIIe siècle marque le retour de la prospérité pour Molières. Les terres fertiles fournissent des céréales. Les nombreux moulins qui jalonnent les ruisseaux, produisent de belles farines.
Dépendant religieusement de l’archiprêtré de Saint Vincent de Flaugnac, Molières a pour seigneur Ratier de Castelnau. C’est en 1263 que les habitants obtiennent l’autorisation de bâtir une église dédiée à la Vierge (“Beata Maria de Molieriis”).
En , Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, octroie à Molières une Charte des coutumes, fondant ainsi, la quatorzième bastide en Quercy. Par ses nouveaux statuts, le village échappe au pouvoir seigneurial, il est placé sous l’autorité du Bayle comtal puis royal (représentant l’autorité royale), qui est entouré de six consuls, élus tous les ans parmi les habitants. La Charte des coutumes garantit la liberté des personnes, la protection des biens et le libre legs de ces biens. Chaque habitant doit participer à la défense de la Bastide, chaque homme est tenu d’assurer un service militaire de quarante jours : l’ost.
La bastide prend ainsi le relais d'Espanel, hameau situé à 3 km au nord et principal foyer de population. Les nouveaux habitants affluent et à partir de 1338, la Bastide organise son habitat sur la partie la plus haute de la colline, se protège d'un mur d’enceinte et édifie une tour de guet (qui dominera le village jusqu’en 1993). Des fossés sont également creusés autour de la ville vers 1350.
Ces défenses deviennent vite utiles car outre la Peste Noire de 1348 en provenance du Languedoc, la guerre Franco-Anglaise de Cent Ans est engagée. En 1360, le Quercy devient anglais, et Molières, restée française, est une sentinelle avancée en limite Nord du Comté de Toulouse. Molières vit retranchée derrière ses remparts jusqu’à la fin de cette guerre, en 1450.
C’est à partir de cette date que Molières retrouve sa prospérité et devient en 1573, Ville Royale. Mais cette période n’en est pas moins mouvementée. En effet, depuis 1562, catholiques et protestants s’affrontent dans la région. L’église, hors des remparts, sera attaquée et détruite en 1567. Elle ne sera reconstruite qu’au début du XVIIe siècle.
La constante volonté des habitants de mieux maitriser leur avenir, la qualité et le dévouement de leurs consuls trouvent leur récompense en 1696, quand Molières devient la quatorzième ville du Quercy à envoyer des députés aux États Provinciaux.
Au début du XVIIIe siècle, l’essor de la cité et la richesse de sa bourgeoisie en font le centre d’un réseau d’échanges commerciaux très important. Toutefois, cet effort reposant sur l’économie agricole est contrarié, de 1785 à 1788, par de grandes sécheresses suivies d’hivers rigoureux.
La révolution de 1789 et son cortège de violences provoque de nombreux troubles dans la cité et Molières paie très cher sa qualité de ville royale : ses remparts sont détruits, ses armoiries martelées, ses cloches fondues pour faire des canons. Il faudra attendre l’arrivée de l’Empire pour que ses passions s’apaisent.
Molières devient une commune qui englobe 6 paroisses (Molières, Espanel, Saint Amans, Sainte Arthémie, Saint Christophe et Saint Nazaire) initialement dans le département du Lot. Elle change de département avec la création du Tarn et Garonne en 1808 par décret impérial de Napoléon. Molières est chef-lieu de canton rural composé des communes de Auty, Labarthe, Puycornet et Vazerac.
Avec l’expansion économique et démographique du XIXe siècle, le village s’étend le long de la voie de communication Montauban – Cahors (actuelle rue principale et avenue de Larché). L’église en mauvais état et devenue trop exiguë pour accueillir tous les fidèles sera entièrement reconstruite sur l’emplacement du cimetière (ce dernier sera transféré hors du village, route de Labarthe). Elle sera inaugurée fin 1898. De l’édifice initial, seul subsiste le clocher de briques qui est désormais séparé de l’église.
En 1900, sur la nouvelle place de l’église est construite une halle aux volailles ainsi qu’une zone de déchargement de marchandises. À partir de cette date, les charrettes n’ont plus à monter la dure côte qui mène sur la place de la vieille ville. Devenue inutile pour cause de disparition des marchés, cette halle sera démolie dans les années 1980 tandis que la place sera remaniée en 2009.
Le XXe siècle sera marqué, dès la fin de la première guerre mondiale, par un fort exode rural qui vide la commune de la moitié de ses habitants. À partir de la fin des années 1980, la tendance s’inverse enfin alors que Molières se modernise et se tourne vers le tourisme avec la construction d’une base de loisirs, autour d’un lac de 10 ha.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Moliérains.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2021, la commune comptait 1 245 habitants[Note 5], en évolution de +4,18 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école publique se compose de deux classes maternelles et de trois classes primaires (CP, et deux CM1 et CM2). Elle compte une centaine d'élèves.
Sports
[modifier | modifier le code]Plusieurs associations sportives proposent des activités à destination de la population :
- le Football Club Union Sportive Moliéraine se compose de 3 équipes dont la « une » évoluant en promotion d'excellence départementale, d'une école de foot et de plusieurs équipes junior ;
- le Molières Judo Club 82 qui propose des cours pour enfants et adultes trois soirées par semaine ;
- le Tennis Club de Molières dont les courts sont situés sur le complexe sportif du Malivert ;
- la Gymnastique Moliéraine assure un cours hebdomadaire de gymnastique ;
- la Pétanque Moliéraine ;
- la section gymnastique douce de l'Âge d'Or Moliérain propose des séances d'activation physique adaptées aux personnes âgées.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 542 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 165 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 130 €[I 5] (20 140 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 5,9 % | 9,3 % | 13,3 % |
Département[I 8] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 633 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d'actifs (64,9 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 21,8 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 265 emplois en 2018, contre 284 en 2013 et 270 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 417, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 11].
Sur ces 417 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 162 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 78,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]104 établissements[Note 8] sont implantés à Molières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 104 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
10 | 9,6 % | (9,6 %) |
Construction | 18 | 17,3 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
34 | 32,7 % | (29,7 %) |
Information et communication | 3 | 2,9 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 1,9 % | (3,4 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
11 | 10,6 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
17 | 16,3 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 9 | 8,7 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,7 % du nombre total d'établissements de la commune (34 sur les 104 entreprises implantées à Molières), contre 29,7 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
- Ag Conseil, autres intermédiaires du commerce en combustibles, métaux, minéraux et produits chimiques (1 073 k€)
- Ruel, Engineering, Applications, And Laminates - Real, autres commerces de détail spécialisés divers (746 k€)
- Cahors Pere Et Fils, commerce de gros (commerce interentreprises) d'animaux vivants (646 k€)
- SAS Carcuat, commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés (156 k€)
- Montage Assistance Serre Fay - Mas Fay, travaux de menuiserie métallique et serrurerie (78 k€)
Viticulture : coteaux-du-quercy (AOVDQS).
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 116 | 105 | 86 | 74 |
SAU[Note 11] (ha) | 2 525 | 2 485 | 2 361 | 2 264 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 116 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 105 en 2000 puis à 86 en 2010[35] et enfin à 74 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[36],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 525 ha en 1988 à 2 264 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 31 ha[35].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Molières est située sur les premiers contreforts du Quercy.
La commune possède une base de loisirs agencée autour d'un lac aménagé de 10 ha, la base de loisirs du Malivert, le camping du Malivert.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église de la Nativité de Notre-Dame de Molières : c'est en 1263 que les habitants de Molières obtiennent l'autorisation de construire une église proche de l'emplacement actuel. Située hors des remparts de la bastide, elle sera détruite en 1567 lors des affrontements que se livrent catholiques et protestants dont Montauban est une place forte. Elle ne sera reconstruite que plusieurs dizaines d'années plus tard, au début du XVIIe siècle. Deux siècles plus tard, le conseil municipal de Molières décide de démolir et reconstruire cette église mal entretenue devenue trop exigüe. Pour des raisons d'économie, son clocher de style classique est conservé tandis qu'une nouvelle église est reconstruite sur l'emplacement de l'ancien cimetière avec les matériaux de démolition issus de la précédente par l'architecte Léopold Gardelle à partir de 1895. L'église actuelle est officiellement inaugurée en 1898. Depuis cette époque, l'église de Molières possède la particularité d'être séparée de son campanile[37]. Ce dernier possède une cloche qui date du XVIIIe siècle et fut surmonté d'une croix en pierre jusqu'en 1920, date à laquelle elle est foudroyée avant d'être fixer sur le mur à droite du clocher à la suite des travaux de réaménagement de la place en 2010[38]. Ses peintures intérieures ont été réalisées par René Lala-Gaillard en 1923[39]. Elle est également décorée par deux tableaux: Notre-Dame du Rosaire, réalisée en 1841 par Laure Villery est alors acquis par l'État pour 800F[40] et Le Christ au tombeau, réalisé en 1849 par Auguste Laugier d'après un tableau de Philippe de Champaigne, et acquis par l'État pour 500F[41].
- L'église Saint-Germain à Espanel ; construite au XVe siècle.
- L'église Saint-Amans à Saint-Amans. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[42].
- L'église Saint-Jérôme de Sainte-Arthémie ; bâtie au XVIIIe siècle, elle est reconstruite en 1827 et des vestiges antérieurs au XIXe siècle subsiste. Sa décoration intérieure date de 1850 (mais son retable remonte au XVIIe siècle) et les chapelles latérales furent ajoutées seulement en 1860[43].
- L'église Saint-Christophe à Saint-Christophe.
- L'église Saint-Nazaire de Molières, à Saint-Nazaire, remontant au Haut Moyen Âge, elle a subi des destructions pendant la guerre de Cent Ans et les guerres de religion qui ont nécessité sa reconstruction au XVIe siècle. Elle a été restaurée en 1980 et 2000. L'église a été dans sa totalité inscrite au titre des monuments historiques en 1979.
- La chapelle Saint-Paul du Fustin de Blanquerie.
- château d'Espanel
- La bastide historique : la partie la plus ancienne du village où subsistent plusieurs maisons à colombage ainsi que les traces des anciens remparts.
- Les vestiges d'un ancien pont dit « romain » sur l'ancienne route royale qui reliait Paris à Toulouse, à la limite avec Puycornet, à Sainte-Arthémie[44]. Une partie du pont s'est effondrée à la suite de la crue de 1993.
- Une ancienne gare ferroviaire, terminus de la ligne Montauban-Molières des Tramways de Tarn-et-Garonne de 1913 à 1933. Elle a depuis été reconvertie en habitation.
-
Église et campanile de la Nativité de Notre-Dame
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Le parc de loisirs du Malivert s'étend sur plus de 40 hectares autour d'un lac aménagé de 9 hectares doté de la plus grande plage de sable blanc de Tarn-et-Garonne.
Équipements culturels
[modifier | modifier le code]- Médiathèque intercommunale, avec des expositions renouvelées tous les mois.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Baptiste Chevalt, curé de Molières.
- René Lala-Gaillard, décorateur de l'église paroissiale de la Nativité de Notre-Dame
Héraldique
[modifier | modifier le code]Son blasonnement est : De sable aux cinq meules de moulin d'or ordonnées en sautoir. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Site de la mairie
- Molières sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Molières » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Molières ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Molières » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Molières » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Molières » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Molières » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Molières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « le Lemboulas »
- Sandre, « le Petit Lembous »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Molières et Saint-Vincent-d'Autéjac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Molières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « prairies humides de Labarthe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « ruisseau du Lemboulas et ruisseaux affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Molières », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Molières », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Roger Brunet, Trésor du terroir : Les noms de lieux de la France, CNRS éditions, .
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Les maires de Molières », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Entreprises à Molières », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Molières - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- Ville de Molières : Les églises
- « église paroissiale de la Nativité de Notre-Dame », sur patrimoines.midipyrenees.fr, (consulté le ).
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- « Base Arcade », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Base Arcade », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Amans », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « église paroissiale Sainte-Arthémie », sur patrimoines.midipyrenees.fr (consulté le ).
- Christian Darles, «Le pont “romain” de Molières-Puycornet», dans Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, 2006, tome 66, p. 123-132 (lire en ligne)