Massif des Écrins
Le massif des Écrins est un grand massif montagneux des Alpes françaises situé dans les Hautes-Alpes et en Isère.
Il abrite d'importants glaciers, tant en nombre qu'en taille et possède deux sommets de plus de 4 000 mètres d'altitude.
Il était autrefois également nommé massif du Pelvoux.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]L'Oisans (bassin de la Romanche) au nord-ouest, le Champsaur (haut-bassin du Drac) au sud-ouest, et le Briançonnais (bassin de la Haute-Guisane) au nord-est recouvrent une partie du massif.
Il est également bordé par la Durance à l'est et au sud, qui alimente le lac de Serre-Ponçon.
Le cœur du massif est entaillé profondément par des vallées comme celles du Vénéon, de Valjouffrey (la Bonne), de Valsenestre, du Valgaudemar, de Vallouise, de Freissinières et de Champoléon.
Ainsi, on peut distinguer entre autres en son sein les chaînons de La Meije, du Pelvoux, du Rochail, du Soreiller, de Combeynot, du Chaillol, de l'Aiglière, de Dormillouse, de Rochelaire, du Mourre Froid.
En outre, il est entouré par les massifs des Grandes Rousses et des Arves au nord, des Cerces au nord-est, du Queyras à l'est, du Parpaillon au sud-est, du Dévoluy au sud-ouest, et enfin du Taillefer au nord-ouest.
Principaux sommets
[modifier | modifier le code]- Barre des Écrins, 4 101 m[N 1]
- Dôme de neige des Écrins, 4 009 m
- La Meije, 3 983 m
- L'Ailefroide, 3 954 m
- Mont Pelvoux, 3 943 m
- Pic Sans Nom, 3 913 m
- Pic Gaspard, 3 881 m
- Le Pavé, 3 823 m
- Le Râteau, 3 809 m
- Pic Coolidge, 3 775 m
- Grande Ruine, 3 765 m
- Roche Faurio, 3 730 m
- Pic Bourcet, 3 715 m
- Roche Méane, 3 712 m
- Le Fifre, 3 699 m
- Pic du Coup de Sabre, 3 699 m
- Barre Blanche, 3 698 m
- Les Bans, 3 669 m
- Pic de la Grave, 3 667 m
- Montagne des Agneaux, 3 664 m
- Pointe de la Grande Sagne, 3 660 m
- Roche Paillon, 3 636 m
- Roche d'Alvau, 3 628 m
- Pointe Madeleine, 3 627 m
- Pic de Neige Cordier, 3 614 m
- Aiguille du Plat de la Selle, 3 596 m
- Les Rouies, 3 589 m
- Roche de Jabel, 3 570 m
- Pointe Piaget, 3 569 m
- Pic Tuckett, 3 568 m
- L'Olan, 3 564 m
- Pointe du Vallon des Étages, 3 564 m
- Cime de Clot Châtel, 3 563 m
- Le Plaret, 3 563 m
- Tête de l'Étret, 3 559 m
- Pointe du Sélé, 3 556 m
- Tête de la Gandolière, 3 542 m
- Pointe Nérot, 3 538 m
- Cime de l'Encoula, 3 536 m
- Pointe des Bœufs Rouges, 3 516 m
- Pic des Aupillous, 3 505 m
- Pic de Bonvoisin, 3 480 m
- Pointe des Arcas, 3 479 m
- Pointe de la Pilatte, 3 476 m
- Roche de la Muzelle, 3 465 m
- Pic de Clouzis, 3 465 m
- Pointe Guyard, 3 461 m
- Tête des Fétoules, 3 459 m
- Pic Jocelme, 3 458 m
- Têtes du Replat, 3 442 m
- Le Sirac, 3 441 m
- Pic Gény, 3 435 m
- Pics du Says, 3 422 m
- Grande aiguille de la Bérarde, 3 421 m
- Tête du Rouget, 3 418 m
- Cime du Vallon, 3 406 m
- Pointes du Riou Blanc, 3 404 m
- Aiguille des Arias, 3 402 m
- Tête Sud de la Somme, 3 389 m
- Aiguille Orientale du Soreiller, 3 380 m
- Aiguille de l'Olan, 3 373 m
- Pic Nord des Cavales, 3 362 m
- Pic Sud des Cavales, 3 360 m
- Pic des Prés les Fonts, 3 358 m
- Mont Gioberney, 3 352 m
- Pointe Emma, 3 344 m
- Clocher de Clouzis, 3 338 m
- Pointe de Verdonne, 3 328 m
- Tête de Lauranoure, 3 325 m
- Pics du Vaccivier, 3 312 m
- Pointe de l'Aiglière, 3 307 m
- Pointe Swan, 3 294 m
- Aiguille d'Entre Pierroux, 3 290 m
- Jandri, 3 288 m
- Pointe Henriette, 3 269 m
- Bec du Canard, 3 268 m
- Cime du Montagnon, 3 263 m
- Pointe de Chabournéou, 3 250 m
- Pointes des Neyzets, 3 247 m
- Pics du Loup, 3 245 m
- Tête de Soulaure, 3 243 m
- Pointe de Jarroux, 3 229 m
- Tête du Salude, 3 221 m
- Tête de la Canonnière, 3 219 m
- Pic de Chamoissière, 3 207 m
- Pointe de Rougnoux, 3 179 m
- Pic du Clapier du Peyron, 3 169 m
- Vieux Chaillol, 3 163 m
- Tête de Vautisse, 3 156 m
- Pics de Combeynot, 3 155 m
- Aiguille Dibona, 3 131 m
- Pic de Coste Vieille, 3 131 m
- Grand Pinier, 3 117 m
- Pics du Casset, 3 113 m
- Petit Pinier, 3 100 m
- Pic des Souffles, 3 098 m
- Pointe des Estaris, 3 086 m
- Tête de Dormillouse, 3 084 m
- Pic de Parières, 3 076 m
- Roc Diolon, 3 072 m
- Pointe de Malhaubert, 3 049 m
- Pic Turbat, 3 028 m
- Le Rochail, 3 022 m
Principaux glaciers
[modifier | modifier le code]- Glacier de la Girose
- Glacier du Tabuchet
- Glacier de la Meije
- Glacier de l'Homme
- Glacier de Mont-de-Lans
- Glacier de la Selle
- Glacier du Clot des Cavales
- Glacier de la Plate des Agneaux
- Glacier de la Bonne Pierre
- Glacier Blanc
- Glacier d'Arsine
- Glacier du Casset
- Glacier du Monêtier
- Glacier Noir
- Glacier du Vallon des Étages
- Glacier du Chardon
- Glacier des Sellettes
- Glacier de la Pilatte
- Glacier du Sélé
- Glacier de Séguret Foran
- Glacier des Violettes
Principales vallées
[modifier | modifier le code]Sept grandes vallées structurent le massif des Écrins[1] :
- le Briançonnais ;
- le Champsaur ;
- l'Embrunais ;
- l'Oisans ;
- le Valbonnais ;
- le Valgaudemar ;
- la Vallouise.
S'y ajoutent celles du Vénéon, de Valjouffrey, de Valsenestre, de Freissinières et de Champoléon.
Géologie
[modifier | modifier le code]Le massif des Écrins fait partie des massifs cristallins externes de la chaîne des Alpes. Il est donc constitué d'un socle cristallin, affleurement de la couche continentale de la chaîne varisque[2]. Quelques zones sédimentaires charriées, broyées ou rejetées se trouvent en périphérie du massif. Il est d'une grande diversité géologique. En résumé, on trouve un pluton granitique au cœur du massif, au niveau de la Bérarde. Autour de ce pluton, se trouve une très vaste auréole métamorphique allant des anatexites (mont Pelvoux), des migmatites (barre des Écrins) à diverses sortes de gneiss (partie supérieure de la Meije, de l'Olan ou encore le Sirac). Ces gneiss, souvent amphibolitiques, constituent fréquemment la partie supérieure des hauts sommets, sous la forme d'un « chapeau », assez caractéristique du massif[3],[4],[5],[6].
Histoire
[modifier | modifier le code]Avant le développement de l'alpinisme et de la géographie (carte de Cassini), le massif était très mal connu. En raison de sa taille et de sa complexité, les autochtones étaient incapables de se le représenter dans toute son étendue et ne nommaient que les cols, sommets, vallons, etc. — qui présentaient un intérêt de leur point de vue, notamment les déplacements, les usages ou la chasse. Tous les sommets n'en portaient pas[réf. nécessaire].
Ainsi, le nom le plus utilisé est longtemps été celui de massif de l'Oisans[7], puisque cette vallée comprend les villages de départ (La Grave, Saint-Christophe-en-Oisans, la Bérarde) vers la plupart des principaux sommets. L'extension aux autres vallées (Valbonnais, Valjouffrey, Valgaudemar), plus méridionales, s'est faite naturellement de par leur proximité et leur similarité. Plus surprenante est celle à la partie briançonnaise du massif : un nom concurrent émerge alors, celui de massif du Pelvoux, du nom du sommet, renforcé par la création d'un parc domanial dans cette zone, mais sans s'imposer[réf. nécessaire]. Le mont Pelvoux a longtemps été considéré comme la plus haute montagne du massif. Les militaires savaient pourtant, au moins depuis Pierre de Bourcet (vers 1750), que le point culminant du massif n’était pas le mont Pelvoux, mais un autre sommet (futurs Écrins) nommé alors la « montagne d’Oursine » sur les levés de la carte de Bourcet et « Tête des Verges » sur la carte de Jean-Claude Le Michaud d'Arçon[8]. On attribue à tort cette découverte à Adrien Durand, vainqueur du Pelvoux en 1828.
L'ambiguïté qui subsiste pendant plusieurs années, avec l'emploi des deux noms, tente d'être résolue à la fin des années 1880 par Henry Duhamel et William Auguste Coolidge avec la création du terme massif du Haut-Dauphiné, mais dont la définition restait floue. Enfin, l'emploi de massif de la Meije est aussi apparu, mais avec une restriction géographique restreinte au nord du massif[réf. nécessaire].
La création du parc national des Écrins en 1973 a mis tout le monde d'accord et a fini par imposer le nom actuel, non sans mal (comme en témoigne encore en 1978 l'ouvrage Le grand Oisans sauvage par Samivel).
En 2022, sur les 120 glaciers que comptaient les Écrins dans les années 1950, la moitié avait disparu, en raison du réchauffement climatique[9].
-
Massif du Pelvoux (nom anciennement donné au massif), dans le livre de Franz Schrader et Louis Gallouédec, Géographie élémentaire de la France et de ses colonies, 1894.
-
Carte du cœur du massif des Écrins, par Edward Whyper, dans son ouvrage Escalades dans les Alpes de 1860 à 1868.
-
Le vallon des Étançons, avec vue en direction de La Bérarde, illustration extraite de l'ouvrage de l'alpiniste et illustrateur Edward Whymper Escalades dans les Alpes de 1860 à 1868, page 199.
Activités
[modifier | modifier le code]De nombreuses activités de montagne sont pratiquées, toute l'année, dans le massif, notamment sur les sites naturels protégés (notamment le parc national des Écrins).
Alpinisme et escalade
[modifier | modifier le code]Le massif est réputé pour la pratique intensive de l'alpinisme. La Bérarde, hameau de Saint-Christophe-en-Oisans, a longtemps été le deuxième centre français d'alpinisme après Chamonix et reste un lieu majeur pour ce sport en France. La Grave est également un lieu marquant de l'alpinisme et la commune a notamment accueilli une édition des Piolets d'or, une manifestation annuelle valorisant des ascensions alpines exceptionnelles réalisées l'année précédente. Ailefroide, avec son Pré de Madame Carle, figure également parmi les sites emblématiques du massif, point de départ de courses en montagne (Barre des Écrins, Ailefroide, etc.).
Certains sites permettent également la pratique de l'escalade et, en hiver, de l'ascension de cascade de glace.
Randonnée pédestre
[modifier | modifier le code]De nombreux sentiers de randonnée pédestre parcourent le massif, dont le sentier de grande randonnée 54.
Stations de sports d'hiver
[modifier | modifier le code]Vol libre
[modifier | modifier le code]Certains sites permettent le vol libre.
Sports d'eaux vives
[modifier | modifier le code]Certaines rivières en bordure du massif, telles la Durance, la Romanche, la Guisane ou le Vénéon, permettent la pratique de sports d'eaux vives comme le rafting ou le canoë-kayak.
Dans la culture
[modifier | modifier le code]Peinture
[modifier | modifier le code]Peu d'illustrations de ce territoire existent avant le XIXe siècle[10]. Le massif a été représenté par l'alpiniste et illustrateur britannique Edward Whymper dans les années , sur différentes gravures illustrant le mont Pelvoux ou la barre des Écrins[10]. En , Léon Sabatier réalise des gravures du pré de Madame Carle et des glaciers situés sur les hauteurs de La Grave[11]. Quelques années plus tard, Laurent Guétal réalise des huiles sur toile représentant le massif, et en particulier le lac de l'Eychauda en et [12] et la vallée de la Pilatte, en [13]. L'ouvrage La Meije et les Écrins, publié en , est illustré de 24 planches qui sont l'œuvre d'Ernest Hareux[14]. Paul Helbronner a réalisé une aquarelle de 6 m de long, en photogravure, représentant un panorama des sommets du massif, au cours de son travail en tant que géodésiste : cette œuvre, publiée en , est issue de relevés effectués en [15]. Robert Leroy-Wattiaux, membre de la Société des Peintres de Montagne, réalise plusieurs huiles sur toile du massif, et notamment de la Meije[16]. En , le peintre Alexis Nouailhat publie un ouvrage contenant un recueil d'aquarelles du massif des Écrins[17].
Cinéma
[modifier | modifier le code]Le massif des Écrins apparaît dans la première partie du film de Gaston Rébuffat, Les Horizons Gagnés, réalisé en . Rebuffat y est filmé durant l'ascension de la barre des Écrins et de la Meije[18]. Le Méridien des Écrins est un road-movie vertical réalisé en , retraçant douze jours d'ascension dans le massif[19]. Jean-Michel Bertrand, cinéaste animalier, tourne durant trois ans un documentaire au cœur du massif, dans lequel il film le loup à l'état sauvage. Ce documentaire nommé La Vallée des loups est présenté au public en [20]. Les Enfants de la Meije est un reportage réalisés en , mettant en scène la vie des gardiens des refuges du Promontoire et de l'Aigle[21]. En , plusieurs épisodes de la série à succès Alex Hugo sont tournés dans le Briançonnais, et en particulier sur la commune de Freissinières[22]. Cette même année, le cinéaste animalier Franck Neveu réalise pour le parc national des Écrins, une série de douze documentaires de quelques minutes chacun, sur des thématiques animalières peu connues[23]. Les Cinq Diables, réalisé par Léa Mysius en , a été tourné en grande partie au Bourg-d'Oisans[24].
Le hameau de la Bérarde accueille depuis Le Plus Petit Festival International du Film de Montagne (PPFIFM), durant lequel des projections de films liés au monde de la montagne sont proposés durant les trois jours que dure le festival[25].
Musique
[modifier | modifier le code]Le massif des Écrins accueille plusieurs festivals annuels de musique : depuis , Musiques en Écrins[26] et depuis , le Festival Messiaen au Pays de la Meije, dédié au compositeur Olivier Messiaen[27]. La commune de L'Argentière-la-Bessé accueille également chaque année, depuis , un festival nommé Autour de Brassens[28], et la commune de Vallouise-Pelvoux accueille le festival Les Envoyageurs, depuis [29]. La Tournée des Refuges est un festival de musique itinérant créé en , parcourant, entre autres, les refuges de montagne du massif des Écrins[30],[31].
Littérature
[modifier | modifier le code]Le massif des Écrins a servi de décors à différents romans, notamment des romans policiers. Accident à la Meije est un roman d'Étienne Bruhl, publié en et dont une partie de l'histoire se déroule sur le sommet de la Meije[32]. Cet ouvrage est souvent considéré comme le premier du genre « roman policier alpin »[33]. Les hauts lieux, de Michel Desorbay, est un roman publié en qui se déroule à proximité de la Meije[34]. Rouge blanc rose est un roman à suspens de Jean-Marie Delthil, publié en , dont une partie de l'action se déroule sur le glacier de la Pilatte[35]. Dans La Saga des Écrins, publié en , François Labande parcourt l'histoire de la conquête du massif[36]. Écrins fatals, publié en par Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc, revisite l'histoire de l'ascension de la barre des Écrins sous la forme d'un roman policier[37]. La dame de Pierre, de Xavier-Marie Bonnot, est un roman policier dont l'intrigue se déroule au Bourg-d'Oisans, publié en [38]. Le massif des Écrins : Histoire d'une cartographie, de l'Antiquité à l'aube du XXe siècle, est un ouvrage retraçant l'histoire du massif à travers des sources iconographiques[39]. Le Seigneur des Écrins est un roman policier de Gérard Guerrier se déroulant dans la commune de la Bérarde, publié en 2022[40]. Histoire des refuges du massif des Écrins, est ou ouvrage historique d'Alain Marmonier, publié en 2022[41].
Bande dessinée
[modifier | modifier le code]Ailefroide, altitude 3954 paru en 2018, Le Loup paru en 2019 et La Dernière Reine parue en 2022 sont trois bandes dessinées illustrées par Jean-Marc Rochette, dont l'intrigue prend le massif des Écrins pour décor.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Point culminant du massif, du département des Hautes-Alpes et de la région PACA.
Références
[modifier | modifier le code]- Les 7 grandes vallées du massif, sur le site ecrins-parcnational.fr.
- Serge Bogdanoff, René-Pierre Ménot et Gérard Vivier, « Les massifs cristallins externes des Alpes occidentales françaises, un fragment de la zone interne varisque / The external crystalline massifs of the French western Alps, a part of the internal variscan zone », Sciences Géologiques, bulletins et mémoires, vol. 44, no 3, , p. 237–285 (DOI 10.3406/sgeol.1991.1868, lire en ligne, consulté le )
- J.-C. Barfêty et A. Pêcher, « Saint-Christophe-en-Oisans », Bureau de recherches géologiques et minières, (lire en ligne)
- J. Debelmas, « Orcières », Bureau de recherches géologiques et minières, (lire en ligne)
- J.C. Barféty, G. Montjuvent, A. Pécher et F. Carme, « La Mure », Bureau de recherche géologiques et minières, (lire en ligne)
- R. Barbier et al., « La Grave », Bureau de recherches géologiques et minières, (lire en ligne)
- Massif des Écrins ou Massif de l'Oisans ?, sur le site vallouimages.com.
- Inconnu, « L'invention d'un massif : Les Ecrins », Vallouise Info, (lire en ligne)
- Audrey Garric, « Dans le massif des Ecrins, le glacier Blanc, un géant en sursis », Le Monde, (lire en ligne , consulté le )
- Muriel Sanchez, « Le massif des Écrins, représentations et valorisation d’une haute montagne alpine », sur geoconfluences.ens-lyon.fr, Géoconfluences, (consulté le )
- Olivier Joseph, « Gravures du XIXe : Paysages de neige et de glace », sur le-cartographe.net, (consulté le )
- Musée de Grenoble, « Le Lac de l'Eychauda », sur www.museedegrenoble.fr (consulté le )
- Musée de Grenoble, « La Bérarde en Oisans et la vallée de la Pilatte », sur www.museedegrenoble.fr (consulté le )
- Ernest Hareux, Les maîtres de la Montagne. : La Meije et les Écrins., Grenoble, A. Gratier & J. Rey,
- Jean-Marc Barféty, « Un panorama de 6 m. de long :le tour d'horizon complet du Pelvoux, de Paul Helbronner », sur Bibliothèque Dauphinoise, (consulté le )
- Jean-Claude Tournou-Bergonzat, « Rétrospectives et hommages aux peintres alpinistes du XXe siècle », Physio-Géo. Géographie physique et environnement, no Volume 8, , p. 7–45 (ISSN 1958-573X, lire en ligne, consulté le )
- Alexis Nouailhat et Marie Tarbouriech, Le massif des Ecrins, Éd. du Fournel, , 64 p. (ISBN 978-2-36142-006-2)
- « Horizons gagnés (Les) - Gaston Rebuffat - 1974 - Films de montagne - Cinémathèque d'images de montagne », sur Cinémathèque d'images de montagne (consulté le )
- Frédéric Zabalza, « « Le Méridien des Écrins » : Un road-movie vertical », Sud Ouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
- Audrey Garric, « Trois ans sur les traces du loup dans le massif des Ecrins », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Film documentaire, « Enfants de la Meije », sur www.film-documentaire.fr, (consulté le )
- Le Dauphiné Libéré, « Hautes-Alpes. Tournée dans le Briançonnais, la série Alex Hugo écrase la concurrence », sur www.ledauphine.com, (consulté le )
- Ghislaine Milliet, « Parc des Ecrins : la nature livre ses secrets en treize mini-films », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le )
- Thomas Richardson, « Cannes : des films tournés en Isère attendus sur la Croisette », sur ESSOR Isère, (consulté le )
- Le Dauphiné Libéré, « Saint-Christophe-en-Oisans. La Bérarde a présenté son festival du film de montagne », sur www.ledauphine.com, (consulté le )
- « Histoire de Musiques en Écrins », sur Festival Musiques en Ecrins (consulté le )
- « Histoire du Festival », sur Festival Messiaen au Pays de la Meije (consulté le )
- Le Dauphiné Libéré, « Hautes-Alpes. L'Argentière-la-Bessée : Le Festival Brassens de retour pour sa 16e édition », sur www.ledauphine.com, (consulté le )
- Adrien Citeau, « Hautes-Alpes : le festival les Envoyageurs revient pour sa 8e édition à Vallouise-Pelvoux les 23 et 24 août ! », sur D!CI, (consulté le )
- « Concept - Tournée des Refuges », sur tourneedesrefuges.fr (consulté le )
- Laure Llado, « L'expérience musicale en refuge de montagne », Mémoire, (lire en ligne)
- Étienne Bruhl, Accident à la Meije, Hoëbeke, , 336 p. (ISBN 2-84230-001-7)
- Michel Tailland, « Présentation », Babel. Littératures plurielles, no 20, , p. 5–8 (ISSN 1277-7897, lire en ligne, consulté le )
- Michel Desorbay, Les hauts lieux, Éditions Belledonne, , 159 p. (ISBN 978-2911148095)
- Jean-Marie Delthil, Rouge blanc rose, Publibook, (ISBN 9782748374001), p. 352
- François Labande, La saga des Écrins, Guérin, , 457 p. (ISBN 978-2-35221-090-0)
- Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc, Écrins fatals! : la première enquête de Sherlock Holmes, Éditions Guérin, , 151 p. (ISBN 978-2-35221-124-2)
- Xavier-Marie Bonnot, La dame de pierre, Belfond, , 438 p. (ISBN 978-2-7144-6053-0)
- Mille, Barféty et Tailland 2019.
- Gérard Guerrier, Le seigneur des Écrins, Éditions du Mont-Blanc, , 280 p. (ISBN 2365451292)
- Alain Marmonier, Histoire des refuges du massif des Écrins, L'harmattan, , 232 p. (ISBN 978-2-343-25697-9)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Guillaume Laget, Claude Muller, Philippe Poulet, Écrins, textes français-anglais, Mission Spéciale Productions, coll. « Terre d'ici », 2009 (ISBN 9782916357225)
- Frédéric Chevaillot, Danielle Maurel, Le Massif des Écrins, Le Télégramme, coll. « Petits souvenirs », 2002 (ISBN 2914552378)
- Bernard Fischesser, Parc National des Ecrins : Des paysages et des hommes, éditions Milan, 2001 (ISBN 2745903624)
- Michel Tailland, Michel Mestre, Alpinistes britanniques et austro-allemands dans les Écrins 1850-1914, éditions du Fournel 2002 (ISBN 2951702531)
- Bernard Boyer, Un fabuleux voyage aérien sur les Ecrins, éditeur Bernard Boyer, 2004 (ISBN 2-9514142-1-8)
- Jacques Mille, Jean-Marc Barféty et Michel Tailland, Le massif des Écrins : histoire d'une cartographie : de l'Antiquité à l'aube du XXe siècle, (ISBN 978-2-36142-149-6)
Randonnée
[modifier | modifier le code]- François Labande, Randonnée pédestre dans le Parc National des Écrins, Olizane, 2006 (ISBN 2880863481)
- Jean-Pierre Nicollet, Circuits de randonnées dans le massif des Écrins, Glénat, coll. « Montagne-Randonnée », 2002 (ISBN 272343317X)
- Jean-Luc Charton, Randonnées dans le massif des Ecrins Briançonnais, Glénat, coll. « Rando-Evasion », 2002 (ISBN 2723438236)
- Jean-Michel Pouy, Lacs du Dauphiné, randonnées de Belledonne aux Ecrins, Glénat, Glénat, coll. « Montagne-Randonnée », 2006 (ISBN 9782723453998)
Alpinisme
[modifier | modifier le code]- François Labande, Guide du Haut-Dauphiné : Massif des Écrins, t. 1 : Partie nord : Râteau, Soreiller, Meije, Grande Ruine, Éditions de l'envol,
- François Labande, Guide du Haut-Dauphiné : Massif des Écrins, t. 2 : Partie est : Écrins, Ailefroide, Pelvoux, Roche Faurio, Combeynot, Agneaux, Clouzis, Éditions de l'envol,
- François Labande, Guide du Haut-Dauphiné : Massif des Écrins, t. 3 : Partie sud : Bans, Sirac, Olan, Muzelle, Rouies, Vallon des Étages, Arias, Éditions de l'envol,
- Gaston Rébuffat, Le Massif des Écrins : Les 100 plus belles courses et randonnées, Denoël, 2001 (ISBN 2207252329)
- Frédéric Chevaillot et Jean-René Minelli, Écrins, ascensions choisies, Glénat, coll. « Montagne et randonnée », 2001 (ISBN 2723431460)
- Frédéric Chevaillot, Paul Grobel, Jean-René Minelli, Sommets des Ecrins, les plus belles courses faciles, Glénat, coll. « Montagne et randonnée », 1997 (ISBN 2723420078)
- Frédéric Chevaillot, Hautes cimes des Écrins, Glénat, coll. « Montagne », 2000 (ISBN 2723429040)
- Paul Grobel, Jean-René Minelli, Frédéric Chevaillot, Alpinisme facile dans le massif des Écrins, Glénat, coll. « Montagne Evasion », 2006 (ISBN 2723455106)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Géologie du massif des Écrins, sur le site geol-alp.com
- Le massif des Écrins sur : Summitpost et Google Maps
- Les anciens glaciers des vallées : de la Romanche, de la Durance, du Vénéon et de l'Eau d'Olle, sur le site paysagesglaciaires.net
- Découverte du Haut-Dauphiné ou Massif des Ecrins, sur le site bibliotheque-dauphinoise.com