Sainte-Croix (Drôme)
Sainte-Croix | |||||
Vue du village de Sainte-Croix. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Nadine Monge 2020-2026 |
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Code postal | 26150 | ||||
Code commune | 26299 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sainte-Cruciens, Sainte-Cruciennes | ||||
Population municipale |
103 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 46′ 09″ nord, 5° 17′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 333 m Max. 1 014 m |
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Superficie | 10,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Die (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Sainte-Croix est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Sainte-Croix est situé à 8 km à l'ouest de Die (chef-lieu du canton) et à 30 km à l'est de Crest.
Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 2[1].
Vachères-en-Quint | Saint-Andéol Ponet-et-Saint-Auban |
Ponet-et-Saint-Auban | ||
Pontaix | N | Ponet-et-Saint-Auban | ||
O Sainte-Croix (Drôme) E | ||||
S | ||||
Pontaix Barsac |
Barsac | Ponet-et-Saint-Auban Barsac |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 2 et 8[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 3 et 5[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Die », sur la commune de Die à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 32[1].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sainte-Croix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Die, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,4 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Ancien village fortifié posé sur une arête[13].
Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 3, 38 à 42[1].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 43 à 50[1].
En 1891, le quartier les Adrets est attesté. Il était dénommé les Adrechs de Bolhane en 1539 (inventaire de la chambre des comptes)[14].
Logement
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 17 à 21[1].
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 58 à 85[1].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 8 à 14[1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1104 : mention de l'église : ecclesia Sancte Crucis de Quinto (cartulaire des Écouges, 83).
- 1155 : mention de la terre de Quint : terra de Quinto (archives de la Drôme, fonds de Saint-Ruf).
- 1165 : mention de l'abbaye : abbatia Sancte Crucis (cartulaire de Die, 20).
- 1177 : mention du prieuré : prioratus de Cruce (cartulaire de Durbon).
- 1193 : mention du prieuré : prioratus de Quinto (cartulaire de Die, 40).
- 1304 : mention de la commanderie : monasterium Sancte Crucis Dyensis (archives de la Drôme, fonds de Sainte-Croix).
- XIVe siècle : mention de la commanderie : domus Sancte Crucis (pouillé de Die).
- 1509 : mention de l'église paroissiale : ecclesia parrochialis Sancte Crucis Quinti (visites épiscopales).
- XVIIe siècle : Saincte Croix en Quint (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Sainte-Croix, commune du canton de Die.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 34 à 40[1].
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Présence d'une borne milliaire (aujourd'hui transformée en fontaine)[13].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie : au point de vue féodal, la communauté de Sainte-Croix faisait partie du mandement de Quint (voir Les Tours) mais, au XIIe siècle, elle était appelée terre de Quint[15].
Avant 1790, Sainte-Croix était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église avait été celle d'une commanderie de l'ordre de Saint-Antoine, établie en 1289 dans les bâtiments d'un prieuré de chanoines réguliers. Ce prieuré était qualifié d'abbaye. De lui dépendaient les prieurés de Saint-Julien-en-Quint, Saint-Étienne-en-Quint et Vassieux. Les dîmes de la paroisse appartenaient au commandeur, qui nommait à la cure.
En 1777, l'ordre de Saint-Antoine avait été remplacé par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte[15].
Les Tours
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :
- 1140 : mention du mandement : mandamentum de Quinto (cartulaire de Durbon).
- 1178 : mention du château de Quint : castrum quod dicitur Quintum' (cartulaire de Die, 5).
- 1214 : mention du château de Quint : castrum de Quinto' (cartulaire de Die, 17).
- 1242 : Turres de Quinto (J. Chevalier, Hist. de Die, I, 475).
- 1266 : mention de la châtellenie : castellania de Quinto et de Pontasio (cartulaire de Léoncel, 227).
- 1442 : mention du château de Quint : castrum Quincti (choix de docum., 267).
- 1676 : les Tours de Quint (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Les Tours, ruines de la commune de Sainte-Croix. Ces ruines, qui se trouvent sur une montagne commandant le cours de la Drôme, sont celles de l'ancien château de Quint.
La seigneurie[16] :
- Possession des comtes de Valentinois.
- 1329 : les comtes de Valentinois donnent une charte de libertés aux habitants.
- 1419 : la terre devient domaniale.
- 1434 : le mandement de Quint est engagé aux Harcourt.
- 1441 : il est engagé à Guillaume de Poitiers, seigneur de Barry.
- 1464 : les biens de Guillaume sont confisqués et donnés à François d'Eurre, valet de chambre du roi Louis XI.
- La seigneurie est recouvrée par les Poitiers-Saint-Vallier, héritiers de Guillaume. Ils la conservent jusqu'à la mort de Diane de Poitiers en 1566.
- 1566 : elle fait retour au domaine delphinal.
- 1638 : elle est engagée aux Perrachon.
- 1652 : elle est vendue aux La Baume-Pluvinel, derniers seigneurs.
Le mandement de Quint comprenait les paroisses ou communautés de Barsac, Pontaix, Sainte-Croix, Saint-Andéol-et-Saint-Étienne-en-Quint, Saint-Julien-en-Quint et Vachères.
La châtellenie de Quint avait la même étendue que le mandement[16].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Pontaix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Die[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Une étude sur le développement durable a été faite en 2016[1].
Finances locales
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 33[1].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].
En 2021, la commune comptait 103 habitants[Note 2], en stagnation par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 15 et 16[1].
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 31 à 32[1].
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune relève de l'académie de Grenoble. Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 23[1].
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Les cultes catholique et protestant se partage l'église-temple : les catholiques dans le transept et l'abside, les protestants dans la nef[13].
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : vignes (vins AOC Clairette de Die)[13].
Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 24 à 30[1].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 23[1].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), pages 21 à 23[1].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Les Tours, ruines du château de Quint[13].
- les trois tours isolés datent du XIIIe siècle et sont les vestiges du château médiéval déserté puis détruit à la fin des guerres de Religion.
- La tour sud commandait la vallée de la Drôme où étaient installés ponts et péages. Elle était particulièrement fortifiée (peu de surface, construction pentagonale) et avait essentiellement un rôle de surveillance.
- La tour est commandait la vallée de la Sure. De plan carré, elle comprenait trois niveaux. Elle avait une fonction plus résidentielle.
- La tour nord commandait les vallées de Quint et de la Sure. Elle prend les dimensions d'un véritable château. Le premier niveau devait servir de lieu de stockage. Le deuxième niveau, également voûté, devait servir de salle de prestige ou aula. On y trouve des latrines. Le troisième niveau, accessible par une trappe, devait faire office d'appartement privé (pour le seigneur, sa famille ou ses serviteurs.) Il était couvert d'un toit de lauzes[réf. nécessaire].
- Église des XIe et XIIIe siècles : aujourd'hui, les cultes catholique et protestants se partagent le bâtiment. On peut y voir une Vierge en bois polychrome[13].
- Église Sainte-Croix de Sainte-Croix, communale du XIXe siècle[13].
Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 37[1].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Associations :
- Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 23[1].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Lire l'étude R. Breyton et Nathalie Bernard (2016), page 4[1].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Sainte-Croix (Drôme) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
En 2016, une étude sur le développement durable fait un point complet sur tous les aspects de la commune [1].
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- http://piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr/DEPT026A/urbanisme/planification/26299_RP.pdf
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Croix et Die », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Die », sur la commune de Die - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Die », sur la commune de Die - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Die », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Sainte-Croix.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Les Adrets).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 334.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 393 (Les Tours).
- « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.