Redoute de Chaudeney
Redoute de Chaudeney | |||
Description | |||
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Type d'ouvrage | redoute | ||
Dates de construction | 1875 | ||
Ceinture fortifiée | place forte de Toul | ||
Utilisation | fort de ceinture | ||
Utilisation actuelle | ? | ||
Propriété actuelle | ? | ||
Garnison | 142 hommes | ||
Armement de rempart | 13 canons et 4 mortiers | ||
Armement de flanquement | néant | ||
Organe cuirassé | néant | ||
Modernisation béton spécial | non réalisée | ||
Programme 1900 | |||
Dates de restructuration | non réalisée | ||
Tourelles | - | ||
Casemate de Bourges | - | ||
Observatoire | - | ||
Garnison | néant | ||
Programme complémentaire 1908 | non réalisé | ||
Coordonnées | 48° 39′ 28″ nord, 5° 57′ 33″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
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La redoute de Chaudeney (aussi appelée redoute Charton) est une redoute située à un kilomètre environ en arrière du fort[Lequel ?] et occupe une position qui aurait pu être stratégique pour le bombardement de la place forte touloise. La fortification est désarmée en 1882.
Historique
[modifier | modifier le code]Sa construction a été décidée à la fin de 1874 pour parer aux retards de construction du fort[Lequel ?]. En cours de construction en , elle est donc antérieure aux redoutes dites « de la panique » qui ont été bâties après avril-, quand Bismarck, inquiet de la réorganisation militaire de la France, laissait entendre que l’Allemagne pourrait engager une guerre préventive.
Elle abritait en 1880 des pièces de rempart et une pièce sous casemate Haxo. Elle accueillait un canon de 164,7 de marine, protégé par une levée de terre et quelques murs en maçonnerie.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
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