Triors
Triors | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | CA Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Pascal Hansberque 2023-2026 |
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Code postal | 26750 | ||||
Code commune | 26355 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
631 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 112 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 52″ nord, 5° 06′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 191 m Max. 323 m |
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Superficie | 5,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Romans-sur-Isère (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Romans-sur-Isère | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Drôme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://triors.free.fr/ | ||||
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Triors est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Triors se situe à environ dix kilomètres de Romans-sur-Isère
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Saint-Michel-sur-Savasse, Châtillon-Saint-Jean, Génissieux et Geyssans.
Geyssans | Geyssans Châtillon-Saint-Jean |
Châtillon-Saint-Jean | ||
Geyssans Génissieux |
N | Châtillon-Saint-Jean | ||
O Triors E | ||||
S | ||||
Génissieux | Génissieux Châtillon-Saint-Jean |
Châtillon-Saint-Jean |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La carte IGN ne donne aucun nom de ruisseau[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 923 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Triors est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,3 %), terres arables (33,6 %), forêts (16,5 %), zones urbanisées (5,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Abbaye Notre-Dame de Triors
- Chapoize
- Château Vieux
- Chaumant
- Croix de Lettrat
- la Berlodiaire
- la Fontanille
- la Garenne
- Lamuron
- les Beugnets
- les Combes
- les Condamines
- les Goiffards
- les Mallens
- les Teppes
- les Vernes
- les Violettes
- Lombret
- Planchâtel
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 252, alors qu'il était de 235 en 2015 et de 216 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 2,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Triors en 2020 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) inférieure à celle du département (8,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,5 % en 2015), contre 62,1 % pour le Drôme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Triors[I 2] | Drôme[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,5 | 83,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,7 | 8,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 2,8 | 8,5 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales RD 112 et RD 507[1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :
- XIe siècle : villa Triornium (cartulaire de Romans, 76) (ou Xe siècle[13]).
- 1062 : villa Triors (cartulaire de Romans, 49).
- 1150 : mention de la paroisse : ecclesia de Triorz (cartulaire de Romans, 325).
- 1221 : mention de la paroisse : capella de Trionz (cartulaire des Hospitaliers, 55).
- 1240 : Triort (cartulaire de Romans, 369).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Tiror-Triors (pouillé de Vienne).
- 1521 : mention de la paroisse : ecclesia de Triaux (pouillé de Vienne).
- 1551 : Triaulx (archives de la Drôme, E 2576).
- 1565 : Le Triol (Bull. Soc. d'archéol., XVII, 161).
- 1568 : Tryors (Bull. Soc. d'archéol., XIX, 217).
- 1777 : Triols (ét. de sect.).
- 1891 : Triors, commune du canton de Romans.
Les formes Triortz, Triaux, Trioux (1517) et Triol (1656) sont aussi proposées[13].
Le toponyme Triors pourrait dérivé du mot gaulois tri « pays, territoire » que l'on retrouve dans Tricastins[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]Fief du comte de Vienne qui en fit don aux religieux de Vienne au IXe siècle[14].
La seigneurie[12] :
- Au point de vue féodal, Triors était une terre (ou seigneurie) premièrement possédée par les Clermont-Chatte.
- 1450 : elle est hommagée au chapitre de Romans.
- 1483 : elle passe aux Vinay.
- 1509 : elle est vendue aux Vallin.
- Elle est recouvrée par les Clermont-Chatte.
- 1515 : vendue aux Odde.
- 1611 : passe (par héritage) aux Lionne. Ils font construire le château actuel.
- 1701 : passe aux Chabo de la Serre.
- 1757 : passe aux Bourchenu.
- Elle passe (par mariage) aux Bailly, derniers seigneurs.
Avant la Révolution française, Triors était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin. Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église, dédiée à saint Didier, dépendait du chapitre de Romans qui y prenait la dîme et présentait à la cure[12].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Saint-Paul-lès-Romans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Romans[12].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1977, Josepha du Bouchage, héritière du domaine du château, contacte l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault. L'abbaye Notre-Dame de Triors est officiellement inaugurée le [15].
La nouvelle abbaye est conçue par l'architecte lyonnais Jean-François Grange-Chavanis. L'église abbatiale est consacrée le par l'évêque de Valence Didier-Léon Marchand[16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Valence du département de la Drôme.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Romans-sur-Isère, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Romans-sur-Isère-2[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Romans-sur-Isère
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Drôme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Triors était membre de la communauté d'agglomération du pays de Romans, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, une première fusion intervient ses voisines pour former, le la communauté d'agglomération Valence-Romans Sud Rhône-Alpes, qui fusionne elle-même dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, avec avec la petite communauté de communes de la Raye pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Valence Romans Agglo, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une station d'épuration des eaux[1].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 631 habitants[Note 3], en évolution de +13,08 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête patronale : le [14].
- Fête de la Saint-Vincent : le troisième dimanche de janvier[réf. nécessaire].
- Il est de coutume de déguster des bugnes et du vin blanc. Un spectacle de théâtre est proposé par les habitants l'après-midi. Le lundi est dévolu à un banquet puis à l'élection du nouveau président. Enfin le mardi, dernier jour des réjouissances, un repas est organisé avec en entrée la fameuse salade de croupes[réf. nécessaire].
- Fête communale : le premier dimanche de septembre[14].
- Vogue : le premier week-end de septembre[réf. nécessaire].
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Abbaye de Triors
[modifier | modifier le code]L'église de l'abbaye Notre-Dame de Triors est ouverte aux fidèles.
Économie
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, vignes, caprins[14].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ancien château dans le village : fenêtres Renaissance[14].
- Château des XVIIe et XVIIIe siècles[14] : Il est inscrit MH[31]. L'établissement actuel fut édifié au XVIIIe siècle par Jean-Pierre de Bailly de Bourchenu[13]. Il apparaît aujourd’hui comme un imposant édifice au toit de tuiles vernissées.
- Depuis 1984, il abrite une communauté monastique bénédictine.
- L'abbaye Notre-Dame de Triors a été adossée au château en 1984. Son abbatiale a été édifiée entre 1990 et 1996[16]. À l'origine, il s'agit d'une filiale de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault et sous la congrégation de Solesmes. À la suite de la construction d'un bâtiment d'accueil pour les hôtes, qui a été achevée en 2016, la partie de l'ancien château n'est plus accessible au public.
- Église Saint-Sébastien de Triors, moderne : clocher isolé[14].
- Au lieu-dit le Château Vieux : une motte castrale médiévale (diamètre apparent d'une quinzaine de mètres, hauteur d'environ 4 à 5 m. Excellent point d'observation, elle est située sur le promontoire dominant, au nord, le village de Triors[réf. nécessaire].
- Nombreuses grottes[1].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Marc Joseph de Gratet Dubouchage (1746-1829) : comte du Bouchage, seigneur de Triors en 1801.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Baron de Coston, « Étymologies des noms de lieu : § V ; Noms de lieu empruntés à ceux de la Divinité, des fondateurs ou des possesseurs... », Bulletin de la société départementale d'archéologie et de statistique de la Drôme, t. 6, , p. 5-113, et notamment 102-103 (lire en ligne, consulté le ), sur Google Livres..
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Triors (26355) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- « Triors » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Mort le 3 février 2020[21]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Triors » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Triors - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Triors - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Drôme » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Triors et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 396 (Triors).
- Baron de Couston, Étymologie des noms de lieu..., article mentionné en Bibliographie
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Triors.
- « Diocèse de Valence », sur cef.fr via Wikiwix (consulté le ).
- [PDF]http://valence.cef.fr/IMG/pdf_Historique.pdf Diocèse de Valence, Historique du château au monastère, l'enracinement en Dauphiné
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Monique née Bossan et Jean-Marc Delporte, « Sur la trace de nos aieux Tardy », sur monadelporte.wifeo.com (consulté le ).
- Guy Leydier (avec François Bossan et Henri Rousset), « Une page d'histoire ; 1947 Construction d'une salle des fêtes », Triors bulletin municipal, no 102, , p. 9-10 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « En 1945, le Conseil Municipal est renouvelé, volontaire. Le nouveau Maire est Séraphin Viossat ».
- « Monsieur Rene ASTIER », Avis de décès, sur libramemoria.com, (consulté le ).
- « Etat-civil 2020 », Triors, bulletin municipal, no 103, , p. 20 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Dernière cérémonie de vœux municipaux pour Gérard Labriet », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « La réélection de Gérard Labriet », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- Julien Combelles, « Démission, défiance, élections : le village de Triors sous tension depuis quelques mois : Depuis des mois, deux clans s’opposent à la mairie. D’un côté, Xavier Oudille et sa première adjointe, Catherine Oudille, son épouse. De l’autre, neuf élus du conseil municipal, remontés par l’annonce du projet de rachat de l’IME. Résultat : 6 élus, dont le maire, ont démissionné. Les Triorais seront appelés aux urnes les 15 et 22 octobre prochains », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « Le conseil municipal a installé son nouveau maire », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « De la nouvelle énergie à tous les étages aux vœux du maire », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00117081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.