Vaux-sur-Seine
Vaux-sur-Seine | |||||
Le château de Vaux-sur-Seine. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Mantes-la-Jolie | ||||
Intercommunalité | Grand Paris Seine et Oise | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Bréard 2020-2026 |
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Code postal | 78740 | ||||
Code commune | 78638 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vauxois | ||||
Population municipale |
5 083 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 602 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 00′ 30″ nord, 1° 57′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 191 m |
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Superficie | 8,45 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Mureaux | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | vauxsurseine.fr | ||||
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Vaux-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, elle se situe le long de la Seine.
Elle fait partie de l'agglomération du Grand Paris et appartient au parc naturel régional du Vexin français.
Ses habitants sont appelés les Vauxois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe de Meulan-en-Yvelines et Évecquemont à l'ouest, de Menucourt et Boisemont au nord, de Triel-sur-Seine à l'est et, séparée par la Seine, de Verneuil-sur-Seine et Les Mureaux au sud.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 689 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vaux-sur-Seine est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
C'est une commune dont le territoire s'étend sur quatre kilomètres, le long de la rive droite de la Seine et dans le massif boisé de l'Hautil à la limite sud du Vexin français. Il englobe également une île de la Seine, l'île de Vaux, en face de Verneuil-sur-Seine.
En 1999, l'espace urbain construit représente 21 % du territoire, le non-construit 12 % et l'espace rural 67 % de la superficie de la commune.
Les sous-sols de Vaux-sur-Seine contiennent des galeries, carrières, anciennes exploitations de gypse.
La forêt de l'Hautil est parsemée de fontis, entonnoirs d'effondrement liés à l'exploitation passée du gypse par des carrières souterraines, qui présentent un danger permanent. Le comblement de ces trous est entrepris afin de permettre une exploitation et une fréquentation sans risque de la forêt.
Il n'y a pas eu de risques majeurs depuis 2001. (Source 1)
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la route départementale 190, très fréquentée, qui relie Poissy à Mantes-la-Jolie et par un sentier de grande randonnée, le GR1, qui relie Évecquemont au nord ouest à Triel-sur-Seine à l'est.
En transports en communs, elle est desservie par :
- La Gare de Vaux-sur-Seine située sur la Ligne J du Transilien ;
- Les lignes 42, 60, 61, 62, 64, 65, 66 et 76a du Réseau de bus Poissy les Mureaux ;
- Les lignes 87 et Extrême Soirée du Réseau de bus du Mantois.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Vals en 1099[12], Valles, Vaux de Jousis Meullent en 1273[13].
Le nom de « Vaux » dérive du latin vallis (vallée, vallon)[14].
La Seine et le Ru Gallet traversent Vaux-sur-Seine.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le site est habité depuis l'époque paléolithique[réf. nécessaire].
La fondation du village de Vaux remonte à une période très reculée, son existence est attestée vers l'an 250 sous le consulat de Decius et de Gratus, par la légende de saint Nicaise[15] :
- « Accompagné du prêtre Quirin et du diacre Scunicule, Nicaise avait résolu de porter la lumière évangélique dans le nord des Gaules où florissaient d'importantes cités. Ce fut dans un village du Vexin que l'apôtre Nicaise commença ses prédications. Près du village de Vaux, un horrible serpent avait fait sa demeure d'une caverne d’où jaillissait une fontaine, dont les eaux empoisonnées par cet immonde voisinage n'était plus qu'un foyer d'infection. L'arrivée de Nicaise fut saluée des bénédictions de tous les pauvres habitants de ce pays. Plein de foi dans la protection divine, le ministre du Christ envoya vers le repaire du dragon son disciple Quirin, qui courba le monstre sous son commandement et l'amena à Saint Nicaise, lié avec son étole. Tous les habitants confondus d'admiration, se prosternèrent en demandant à embrasser la nouvelle religion. 318 personnes reçurent le baptême à la fontaine même du dragon, redevenue claire et saine comme elle l'était autrefois. »
Ce lieu est la fontaine, le lavoir Saint-Nicaise[16].
La terre de Vaux fut possession des comtes de Meulan jusqu'en 1118 date de la mort de Robert Ier de Meulan.
Elle fut apportée en mariage par Jeanne de Fontenay-Mauvoisin, qui était vivante en 1296, à Robert de La Roche-Guyon, fils cadet de Jean de La Roche-Guyon. Leur fille, Marguerite de La Roche-Guyon, dame de Vaux, était en 1342, mariée à Jean de Nesle seigneur d'Offemont[17],[18],[19]. À la suite d'un procès qui eut lieu de 1342 à 1345, un arrêt de justice leur enleva la terre de Vaux au profit de Philippe de La Roche-Guyon, fils cadet de Gui III de La Roche-Guyon, car il avait hérité en 1331 de son oncle Robert de La Roche[20],[21]. Philippe de La Roche-Guyon, mort en 1372, prenait alors le titre de seigneur de La Roche-Guyon, de Bennecourt, de Saint-Martin-la-Garenne, de Chantemerle, de Francourt, de La Faluère, de Maudétour-en-Vexin, de Fontenay-Mauvoisin et de Vaux épousa vers 1335 Marguerite de Laval dame et baronne d'Acquigny, fille de Bouchard de Laval, seigneur d’Attichy. De son mariage il eut :
- Béatrix de La Roche-Guyon, dame de Vaux, épouse de Pierre seigneur de Tournebu morte sans enfant.
- Marie et Idoine de La Roche-Guyon mortes sans alliance empoisonnées, avec leur mère, à l'instigation sur seigneur de Tournebu, ainsi que le constate un arrêt criminel du .
- Jeanne de La Roche-Guyon, héritière de son père et de ses sœurs, laquelle épousa en premières noces Jean de Chambly dit La Haze avec lequel elle vivait en 1374 et dont elle eut une fille, Jacqueline de Chambly mariée à Jean de Linières seigneur de Rezé, et en secondes noces son cousin germain Gui V seigneur de La Roche-Guyon fils de Gui IV.
La seigneurie de Vaux passe ensuite à la famille Vion[22].
Pierre de Vion, écuyer, cadet d'une très ancienne famille établie dans les états du duc de Bourgogne, vint s'établir en France en 1478, sous Louis XI, après la mort de Charles le Hardi, dernier duc de Bourgogne[22]. Seigneur de la Barre en la châtellenie de Poissy, il meurt en 1492. De son mariage avec Colette de Maqueret († 1493) il eut notamment :
- Jean de Vion, tige de la branche des seigneurs de Tessancourt[23].
- Louis de Vion, seigneur de Vaux, Montbine et Saucourt, capitaine d'une compagnie d'arbalétriers à cheval, fut fait chevalier par Louis VIII à la prise de Thérouane le [24] et commanda 1 000 hommes à pied à la bataille de Fornoue en 1495. Il acquit la terre de Vaux suivant décret passé aux requêtes du palais à Paris le . Le , par décret passé à Chaumont-en-Vexin lui furent adjugés les terres de Montbine et de Saucourt, le fief d'Articule sis à Boury-en-Vexin et le fief de Maignenville en la paroisse de Marquemont. En 1489 il bailla au seigneur de La Roche-Guyon, Bertin de Silly, son aveu de la terre de Vaux, par lequel il avoue tenir à une seule foi et hommage, au us et coutumes du Vexin français à cause du châtel et seigneurie de La Roche-Guyon, ladite terre et seigneurie de Vaux et le châtel auquel il y a un pont-levis et place forte d'ancienneté, en laquelle il a droit de guet et de garde de ses habitants et sujets et celle de la châtellenie.
Anciennement « Vaux de Jouste » jusqu'en 1902.
Ancienne possession des comtes de Meulan, des abbayes de Jumièges et de Cernay.
Seigneurie au XVIIe du comte de Saint-Simon, favori de Louis XIII et père du mémorialiste.
Possession à la Révolution des célestins de Limay.
L'exploitation du gypse a été importante du XVIe au XXe siècle. Elle a totalement cessé en 1980.
À la fin du XVIIIe siècle on construit une manufacture de faïence puis de porcelaine en activité pendant une quinzaine d’années. L’endroit où elle se situait s’appelle aujourd’hui « la Manufacture ».
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances administratives et judiciaires
[modifier | modifier le code]La commune de Vaux-sur-Seine appartient au canton des Mureaux et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[29].
Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines, dont la députée est Michèle de Vaucouleurs (MoDem).
Sur le plan judiciaire, Vaux-sur-Seine fait partie de la juridiction du Tribunal de proximité de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal judiciaire ainsi que du tribunal de commerce de Versailles[30],[31].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2021, la commune comptait 5 083 habitants[Note 4], en évolution de +6,16 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 439 hommes pour 2 490 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]- Commune résidentielle.
- Il y a 65 entreprises référencées sur la commune[réf. souhaitée].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]Vaux-sur-Seine compte quatre monuments historiques sur son territoire.
- L'église Saint-Pierre-ès-Liens, rue du Château (inscrite monument historique par arrêté du [38]) : De la première église paroissiale fondée en 1154, reste le portail occidental roman. À partir de la fin du XIIe siècle, l'ancienne chapelle remaniée lors de l'érection de la paroisse est successivement remplacée par l'édifice gothique actuel.
- Le chantier démarre par l'abside, caractérisée par un chevet en hémicycle, et se termine par la nef, qui est initialement accostée de deux collatéraux voûtés à la même hauteur. C'est là aussi une particularité de l'église de Vaux. Sa grande homogénéité stylistique, abstraction faite des remaniements ultérieurs, et le soin apporté à sa décoration, sont tout à fait remarquables. Mais l'église subit apparemment d'importants dégâts pendant la guerre de Cent Ans. Son collatéral sud est démoli, son clocher est réparé de manière simplifiée et la nef et son collatéral nord sont revoûtés vers le milieu du XVIe siècle ou peu après. Les anciens supports sont endommagés ou remplacés par de nouveaux piliers engagés, et les nouvelles voûtes s'accordent mal avec l'architecture d'origine. Plus dommageable encore pour l'esthétique de l'église est la reprise en sous-œuvre de la pile nord-est de la croisée du transept, qui est remplacé par un volumineux massif de maçonnerie, et rompt l'harmonie des parties orientales.
- Restaurée en 1970, l'église Saint-Pierre conserve toutefois assez d'éléments authentiques pour que l'on puisse se faire une idée de ce qu'elle fut au XIIIe siècle, et son chevet notamment est de grand intérêt[39]. La fondation Maxime-Goury-Laffont a participé à la restauration d'une Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle conservée dans cette église[réf. souhaitée].
- Le Pavillon d'Artois, 187 Grande-Rue (inscrit monument historique par arrêté du )[40])
- La Villa « La Martinière », anciennement bibliothèque municipale , 87 rue du Général-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrêté du )[41]).
- Les parties les plus anciennes ont été bâties sous la direction de l'architecte Lucien Roy en 1880. L'aile de droite est une œuvre de Paul Lagrave de 1897. Le décor en bois gravé réalisé en 1898 est signé Oscar Lavau[42]. Les deux peintures principales (1899) sont d'Alphonse-Alexis Morlot[43].
- Le château de Vaux, rue du Château (inscrit monument historique partiellement par arrêté du )[44]) : édifice du XVIe siècle et du milieu du XIXe siècle.
Autres éléments du patrimoine
[modifier | modifier le code]- Le lavoir Saint-Nicaise[16]
Films tournés à Vaux-sur-Seine
[modifier | modifier le code]- 1959 : Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine, maquillée pour ressembler à la gare de Moulins-sur-Allier.
- 2019 : Le Voyageur (épisode 1) de Stéphanie Murat, téléfilm tourné à la gare de Vaux-sur-Seine et au Café de la Gare.
- 2021 : Attention au départ ! de Benjamin Euvrard, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine, maquillée pour ressembler à la gare de Beaune.
- 2021 : Je voudrais parler de Duras de Claire Simon, film tourné dans une propriété privée vauxoise[45].
- 2021 : Les aventures de Panacloc de Pierre-François Martin-Laval, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine[46].
Divers
[modifier | modifier le code]- La faculté libre de théologie évangélique est implantée dans la commune depuis 1965.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Léon Bailby (1867-1954), directeur du journal l'Intransigeant, a habité à Vaux-sur-Seine
- Charles Oggé Barbaroux (1792-1867), magistrat, Conseiller d’État, député de la Réunion, sénateur, mort à Vaux-sur-Seine
- Robert Bengel (1905-1987), abbé, résistant, Juste parmi les nations, a vécu et est décédé à Vaux-sur-Seine
- Emilio Boggio (1857-1920), artiste peintre vénézuélien, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
- Jean Olivier Hucleux (1923-2012), artiste peintre et dessinateur contemporain, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
- Olivier Leborgne (évêque) (1963-), prélat catholique français, évêque d'Arras, a grandi à Vaux-sur-Seine
- Lekain (1729-1778), tragédien, a vécu à Vaux-sur-Seine
- Raymond Thibésart (1874-1968), artiste peintre français qui a peint des paysages vauxois
- Le site inspira le peintre Gen Paul.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Vaux-sur-Seine », p. 520–523
- Jean-Fred Prost, Une île entre la Seine et Vaux : ou la petite histoire illustrée de l'île à Vaux-sur-Seine, Vaux-sur-Seine, Jean-Fred Prost, 2002`, 215 p. (ISBN 978-2-9519345-0-4, OCLC 470220287)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Île de Vaux
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Vaux-sur-Seine
- Faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine
- Vexin français
- Liste des communes des Yvelines
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Vaux-sur-Seine et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vaux-sur-Seine ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1142.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 23.
- Monographie communale de Vaux
- Le lavoir Saint-Nicaise
- Offemont est située à Saint-Crépin-aux-Bois dans l'Oise
- SAINT-CREPIN-AUX-BOIS - Parc du château d’Offémont
- Notice no PA00114852, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Seigneurs de La Roche-Guyon
- : Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France Tome 8 page 620 Anselme de Sainte-Marie
- Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 249
- Louis Lainé : Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France Tome 6 page 254
- Hector Beaurepaire Piers Histoire de la ville de Thérouanne, ancienne capitale de la Morinie page 32
- « Julien Crespo passe la main à Jean-Claude Bréard », 78actu, (lire en ligne)
- « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes, .
- « Vaux-sur-Seine : les clés de la mairie changent de mains », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne)
- « Le maire et les élus », Mairie de Vaux-sur-Seine.
- « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
- « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vaux-sur-Seine (78638) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00087660, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Vaux-sur-Seine, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 326-327.
- « Pavillon d'Artois », notice no PA00087661, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Bibliothèque », notice no PA00135373, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Danièle Nicolas-Raimon et Françoise Wiessler, « La Martinière », Vaux magazine, Vaux-sur-Seine, no 34 « hiver 2006 », , p. 5-12 (lire en ligne).
- « Restauration des tableaux de La Martinière », novembre 2009 — site officiel de la ville de Vaux-sur-Seine.
- « Château », notice no PA78000003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Un film sur Marguerite Duras avec Emmanuelle Devos » - Actu78
- «Vaux-sur-Seine : un troisième film se tourne à la gare » - Actu78