Critique : Lilo & Stitch (2025)
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
The Studio propose de vivre le quotidien d’un studio hollywoodien. C’est fin, génialement interprété, très drôle et subtilement mis en scène.
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Alain Chabat revient au royaume d’Astérix et Obélix pour livrer un nouveau joyau : une mini-série reprenant l’humour de Mission Cléopâtre.
Mythic Quest est une excellente série comique entre Community et Silicon Valley dont certains épisodes sont de véritables pépites.
En toute franchise, je m’attendais à un nanar. Techniquement, c’est le cas. Seulement, l’alchimie prend. Notamment grâce à Jack Black.
Généralement, ce genre de film reposant sur un pitch original peine à maintenir l’intérêt sur la durée, mais Novocaine fait le job.
D’une nouvelle sérieuse de Stephen King, Osgood Perkins en a fait une comédie horrifique digne des premiers films de Peter Jackson.
Derrière ces deux lettres se cache la série de Mohammed Amer, un humoriste qui s’est basé sur sa propre vie pour créer Mo.
Sur un scénario bourré de clichés, Banger repose sur le talent de ses acteurs pour s’en sortir grâce à de jolies nuances.