La flèche située à l’intersection de la nef et le transept s’est effondrée, comme les deux tiers de la charpente principale. L’une des deux tours brule en ce moment. Ce qui fait que les murs soutenus par les arc-boutant, menaceront de s’effondrer. Étant Chrétien et ayant été à la messe tous les dimanches, voir notre frère Jean Marie Lustinger, célébrer celle-ci, puis entendre le chant du Salve Regina au pied de la statue de la Vierge, pour la voir finir comme cela, c’est innommable.

C’était ma paroisse, pendant plus de 3 ans. Cendres et poussières. C’est en ce jour, le Lundi Saint. Nous entrons en la Semaine Sainte. C’est aussi pour nous la Messe chrismale, l’évêque autour des prêtres, et la consécration des huiles dont le Saint Chrême. Qui, Saint Chrême était, pour consacrer aussi les Rois de France. Ce fut une époque.

La France républicaine dit bien : le roi est mort, vive le roi. Dès que j’aie su la nouvelle, j’ai pleuré amèrement. Tout est cendre et poussière, vanité des vanités, tout est vanités.

Ce sont les hauts Maçons qui doivent glousser comme les rabbins kabbalistes, C’est l’Heure. Et oui !

Le Symbole de la France et non ! ce phallus de la Tour Eiffel, qui s’effondre comme l’Église de France. Il n’y a plus vraiment de Prima des Gaules, nous ne sommes plus gouvernés par nos pasteurs. Le peuple est esseulé.

L’Arc de triomphe, gloire de la République, fut vandalisé. Mais qu’est-ce que cela face au monument que fut Notre Dame de Paris.

Les anticléricaux jouissent, je les entends. C’est la liesse pour les fondamentalistes de toute religion.

Mais voilà !

C’est le signal qui nous fait dire que c’est l’Heure. Cela fait depuis si longtemps que je l’écris. Le pauvre Macron avec ses fadaises (l’émotion de toute nation), « c’est beau », n’est que de la paille face à l’Histoire qui s’enclenche.

J’habite dans les bois, seul, dans une bergerie, avec une hedge assez défaillante, autant dire que c’est l’âge de pierre où je suis. Pour avoir des informations, vidéos, photos, reportages, grave ! @llez ! Ce n’est pas grave.

Une enquête vient d’être ouverte. Pour certain, c’est à cause du chantier, il faut des coupables immédiats. La coïncidence est trop évidente. Mais on va nous dire que c’est dû à un câblage électrique défaillant sur le chantier. Bien sûr. Pourrait-on dire que c’est un incendie criminel. Ah ! oui ! Le responsable architecte des Bâtiments de France (école de Chaillot, Paris), a répété que cela arrive des incendies dans les chantiers, et c’est sûr.

Mais là, c’est trop gros, trop fort, trop violent, et surtout en pleine semaine sainte, comme signal. Signal comme le petit triangle au début d’une symphonie, qui donne la note

Cette Symphonie est la Symphonie apocalyptique ? Ce symbole est bien plus puissant que les Twins Towers, non pas en dommage humains, c’est trop horrible. Les deux tours dataient de 1974. Alors que Notre Dame de Paris est vieille de 850 ans, à peu près. C’est surtout la puissance du symbole chrétien qui part en fumée. Il ne restera pas pierre sur pierre. Rome va bientôt connaître l’effroi avec le sac sanglant. La France bascule lentement mais surement vers son anéantissement.

Dans l’une des deux tours (le beffroi nord), se trouve les grosses cloches que nous appelons les Bourdons,dont l’une est très célèbre. Nous pouvons l’entendre à 54 km à la ronde. Si celles-ci d’effondrent, alors ce sera la tour entière qui s’écroule. Si le beffroi tombe les dégâts seront colossaux, la cathédrale ne sera plus qu’une ruine. Elle ne sera que des décombres de pierres. Adieu les visite aux 13 millions de personnes dans ce bâtiment sacret. Pauvre maire socialiste !

Je pense que cet incendie est un acte volontaire. Les commissions de sécurité diront que c’est un incendie regrettable comme il peut y avoir dans les chantiers de grande ampleur. C’est évident mon cher Watson. Nous sommes vraiment pris pour des gros « cons ».

La crise de l’Église, Rome, Cité du Péché (Sin City), Bienevenuto a SODOMA, est d’une violence inédite. La réponse est le phare de la France qui disparaît sous les flammes destructrices. La division entre prélats, les chrétiens qui partent dégoutés par les affaires de pédophilies, l’homosexualité au Vatican, précipite la grande apostasie[1].

La chaleur des flammes sont telles à un moment donné que les enjointements finiront par fragiliser la cohésion des murs porteurs. La masse volumique risque de se faire effondrer l’ensemble de la grandiose et très vénérable bâtisse. Elle était cet espace sacré au milieu de l’incompréhension profane. Le sacré s’anéantit face au profane sans Dieu. Le tourisme va en prendre un cout. Beaucoup de question naissent dans la tête et les cœurs. L’effroi comme la terreur, vont bientôt, comme un battement d’ailes sinistre, planait sur cette ville, aux proies à sa propre destruction. Paris va brûler c’est sûr. Babylone commence par Paris, elle donne le signal à toutes les cités du monde. C’est l’hymne funèbre au chapitre 18 de l’Apocalypse[2].

Ce signe est un jugement, le jugement pour la France, fille aînée de l’Église : Car le moment est venu de commencer le jugement par la maison de Dieu. Or s'il débute par nous, quelle sera la fin de ceux qui refusent de croire à la Bonne Nouvelle de Dieu ?

Le président de l’épiscopat qui dit qu’il y eut d’autres incendie ravageant des églises se trompent gravement. Ce symbole signifie un jugement et non un événement factuel, d’un bâtiment qui subit les flammes. Il n’arrive pas à voir le message, le signe que Dieu notre Père peut nous dire à travers ce geste terrible. Que veut nous dire notre Dieu unique le jour du Lundi Saint ? C’est un avertissement de Dieu. Le jour eschatologique arrive. La France était la protectrice de Rome, et à travers Rome c’est le pape. Il n’y a plus de roi en France, et Rome est sans défense. Le pape au Vatican est en danger de mort. L’Heure arrive où le Saint Siège sera ravagé par les flammes de Haine des peuples sans Dieu. Peuple barbare en furie contre les prélats de Rome. Les prêtres seront pourchassés comme pendant la Révolution en France de 1791 à 1796.

L’incendie criminel contre l’église Saint-Sulpice dimanche 17 mars s’inscrit dans une série de profanations recensées dans toute la France. La police et la hiérarchie catholique restent pour l’instant silencieuses, raconte ABC.

Une dizaine d’églises ont été profanées en une semaine dans différentes régions françaises, “cibles du vandalisme antichrétien le plus évident”, déplore le quotidien ABC.

“À Nîmes (Gard), l’église Notre-Dame-des-Enfants a été profanée de manière particulièrement odieuse : des inconnus ont peint une croix avec des excréments humains, ont pillé l’autel principal et le tabernacle et ont volé les hosties, qui ont ensuite été découvertes parmi des piles de déchets”, relate ABC.

Citant d’autres églises vandalisées à Dijon (Côte-d’Or), à Lavaur (Tarn), à Maisons-Laffitte et Houilles (Yvelines), le quotidien espagnol souligne que “sans avoir une origine religieuse ou culturelle particulière, les profanations de la semaine dernière ont un caractère antichrétien évident”. Et d’asséner : “Ivres de haine féroce, les vandales veulent donner à leurs actes une dimension antireligieuse.”

Silence pudique

Le journal conservateur rappelle les actes antisémites “‘signés’ avec des croix gammées”, or “dans le cas de la profanation d’églises catholiques, le vandalisme n’est pas ‘signé’ : il parle pour lui-même”, avec des attaques contre la figure du Christ sur la croix et la profanation d’autels.

“La hiérarchie religieuse préfère garder un silence pudique. La Conférence épiscopale et plusieurs personnalités se sont bornées à souligner cette menace antichrétienne, espérant que les autorités politiques et policières feront leur travail, ajoute ABC. Dans ce contexte, l’incendie de l’église Saint-Sulpice, non loin de Saint-Germain-des-Prés, deux monuments nationaux emblématiques, revêt une importance particulière.”

“La police est convaincue de la nature criminelle”du sinistre qui s’est produit dimanche dernier, peu après la messe de midi, alors que l’église était déjà vide. Un prêtre de la paroisse a vu ces derniers jours un individu qui a mis le feu à du bois, mais il n’a pas accordé d’importance à l’incident. La police recherche ce possible suspect. Les dégâts ont été évalués à des centaines de milliers d’euros[3].

Source : ABC Madridwww.abc.es/

Les pompiers interviennent pour éteindre l’incendie de l’église Saint-Sulpice à Paris, le 17 mars 2019. PHOTO : capture du compte INSTAGRAM @agneswebste/via REUTERS

[1] Auparavant doit venir l'apostasie et se révéler l'Homme impie, l'Etre perdu,
l'Adversaire, celui qui s'élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu'à s'asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-même comme Dieu. Vous vous rappelez, n'est-ce pas, que quand j'étais encore près de vous je vous disais cela. Et vous savez ce qui le retient maintenant, de façon qu'il ne se révèle qu'à son moment.

Dès maintenant, oui, le mystère de l'impiété est à l'oeuvre. Mais que seulement celui qui le retient soit d'abord écarté.

Alors l'Impie se révélera, et le Seigneur le fera disparaître par le souffle de sa bouche, l'anéantira par la manifestation de sa Venue. Sa venue à lui, l'Impie, aura été marquée, par l'influence de Satan, de toute espèce d'oeuvres de puissance, de signes et de prodiges mensongers, comme de toutes les tromperies du mal, à l'adresse de ceux qui sont voués à la perdition pour n'avoir pas accueilli l'amour de la vérité qui leur aurait valu d'être sauvés. (2 Thes. 2, 3 à 10)

[2] Et cette femme-là, c'est la Grande Cité, celle qui règne sur les rois de la terre."
Après quoi, je vis descendre du ciel un autre Ange, ayant un grand pouvoir, et la terre fut illuminée de sa splendeur.
Il s'écria d'une voix puissante : "Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la Grande; elle s'est changée en demeure de démons, en repaire pour toutes sortes d'esprits impurs, en repaire pour toutes sortes d'oiseaux impurs et dégoûtants. "Hélas, hélas! Immense cité, ô Babylone, cité puissante, car une heure a suffi pour que tu sois jugée!" …Ils pleurent et se désolent sur elle, les trafiquants de la terre; les cargaisons de leurs navires, nul désormais ne les achète!
Cargaisons d'or et d'argent, de pierres précieuses et de perles, de lin et de pourpre, de soie et d'écarlate ; et les bois de thuya, et les objets d'ivoire, et les objets de bois précieux, de bronze, de fer ou de marbre; le cinnamome, l'amome et les parfums, la myrrhe et l'encens, le vin et l'huile, la farine et le blé, les bestiaux et les moutons, les chevaux et les chars, les esclaves et la marchandise humaine... Et jetant la poussière sur leur tête, ils s'écriaient, pleurant et gémissant: "Hélas, hélas! Immense cité, dont la vie luxueuse enrichissait tous les patrons des navires de mer, car une heure a suffi pour consommer sa ruine !" (Ap. 18, 11 à 18)

[3] https://www.courrierinternational.com/article/vu-despagne-une-vague-de-profanations-deglises-en-france Vu d’Espagne.

Une vague de profanations d’églises en France

FranceABC - Madrid

Du livre « LE VEGGENTI – profezie delle anime-vittima che salvano il mondo »

Du fond de la page 61 -

« Rêves ou songes – signes » (« Sogni-segni ») les définissait aussi Bruno Cornacchiola, le voyant de l’apparition romaine des Trois Fontaines en 1947, qui pour toute sa vie continua à recevoir des significatifs préavis / présages.

Le premier dont on trouve trace dans son agenda / journal intime remonte au 30 mars 1949 :

« Ce matin j’ai fait un mauvais rêve. Il me semblait voir un avion en feu sur lequel était écrit : Torino (Turin). De quoi s’agitera-t-il ? ».

Le 4 mai suivant advint la tragédie de Superga : l’avion qui était en train de ramener dans le chef-lieu piémontais l’équipe de foot du soi-disant « grande Torino », depuis cinq années sans interruption champion d’Italie, s’écrasa contre la grande muraille de la basilique turinoise en provoquant 31 victimes.

Une dizaine d’années plus tard, le 31 août 1973, une nouvelle vision apparut dans le demi-sommeil à Bruno Cornacchiola :

« Deux fronts d’hommes qui s’affrontaient dans une guerre acharnée. J’étais au milieu moi aussi et je cherchais d’aider les deux parties en prenant les blessés et ensevelissant les morts. Un blessé crie : ‘C’est finie pour nous, Israël, c’est finie pour nous !’ Je demands : ‘Mais qui sont les autres, si tu es, Israël ?’ ‘Ce sont nos anciens frères qui ne veulent pas nous donner la terre de l’héritage. Maintenant tout est fini, nous avons abandonné Dieu, et Dieu nous !’. Plusieures bombes tombaient autour de nous et aussi beaucoup de morts’.

Un mois après, le 6 octobre, en profitant de la fête juive du Yom Kippur (le « grand Pardon »), Egypte et Syrie attaquèrent conjointement Israël, de l’ouest et du nord. Dans les premiers jours l’effet-surprise consentit aux deux armées de pénétrer dans les territoires qu’Israël avait occupé dans la précédente Guerre des six jours (5-10 juin 1967).

Mais, ensuite, l’armée israëlienne réagit efficacement et la situation, après la conclusion des combats le 24 octobre, retourna pratiquement au point de départ.

Le 31 janvier et le 25 mars 1978 Cornacchiola rêva encore. Ce furent deux rêves/songes bouleversants, qui expriment encore aujourd’hui tout leur caractère dramatique.

Dans le premier, Cornacchiola se trouvait

« près du Verano et, alors qu’il était en train d’y entrer et prier, je rencontre une troupe d’environs une quinzaine d’hommes qui sortaient et parmi eux je vois Aldo Moro. Je m’arrête à regarder, il s’arrête et dit : ‘Mais tu n’es pas celui de la Madonna ?’ ‘Oui’, je lui dis, ‘je le suis’. ‘Eh bien, prie pour moi, parce que j’ai un mauvais pressentiment, de quelque chose qui va bientôt tomber sur moi !’

Il me salue et sort, monte dans la voiture et moi je continue ma visite et je pense à lui comme jamais j’ai pensé’.

A 9h25 du 16 mars, une édition extraordinaire du Gr2 annonça la terrible nouvelle de l’enlèvement de l’honorable Aldo Moro, secrétaire politique de la Démocratie Chrétienne, et de l’assassinat de cinq hommes de son escorte.

Encore plus grande fut probablement le désarroi qu’il expérimentât le 25 mars, quand le deuxième songe lui montra qu’ils avaient retrouvé Moro dans une voiture, tout criblé de balles.

En ces jours-là on espérait encore qu’on pouvait entamer des négociations avec les terroristes des ‘Brigate Rosse’ pour la libération du séquestré.

Mais la situation précipita et le 9 mai le cadavre du parlementaire fut trouvé exactement comme Cornacchiola l’avait vu : dans une Renault 4, transpercé par onze coups de mitrailleuse Skorpion.

Le premier février 1986 Cornacchiola reçut en songe un message un peu cryptique de la part de la Vierge Marie :

« Préparez-vous, mes enfants : je ne peux plus retenir la main !

La colère de la justice est sur vous !

Vous en vivrez les signes : de l’air empoisonné, la terre non cultivée et de la blancheur du lait inserviable ! »

Exactement un mois plus tard, le 1^ermars, la perspective fut mieux définie :

« A partir d’aujourd’hui, la pollution dans le monde, sur cette pauvre Terre, de la Russie à l’Amérique ; en Asie, Océanie et Europe, et même en Afrique ; les animaux, les bêtes, les plantes et les légumes empoisonnés, ce seront pour la faute (à cause) de l’homme !

La vengeance du démon est en cours, et l’homme est son instrument adapté pour sa destruction !

Ce sera comme le Seigneur nous dit, écrit par les évangélistes : ‘Malheur aux femmes enceintes, proches à devenir mères, et gare aux petits allaités : en ces jours-là il y aura misère sur la Terre !’

Pauvre air ! Pauvre Terre et pauvres hommes !».

Après même pas deux mois, à 1h23 du 26 avril, dans la centrale nucléaire de Tchernobyl, une centaine de kilomètres à nord de la capitale ukrainienne Kiev, le réacteur numéro 4 explosa.

Le nuage radioactif qui s’ensuit arriva jusqu’à l’Italie et aux Balkans, en finissant même sur la côte orientale de l’Amérique du nord.

Il s’agit de l’accident le plus grave jamais arrivé dans une centrale nucléaire, classifié comme catastrophique au niveau 7, le maximum dans la Ines (l’échelle internationale des événements nucléaires et radiologiques de l’Agence internationale pour l’énergie atomique).

Le désastre provoqua soixante cinq victimes sur le moment, mais dans la période suivante moururent environs dix-mille personnes à cause de l’exposition directe aux radiations ; d’autres dizaines de milliers développèrent des tumeurs déclenchées par l’irradiation et pendant quelques mois de nombreux produits alimentaires, légumes et lait en particulier, résultèrent contaminés.

Finalement, le 12 avril 1997, dans le cinquantenaire exact de la première apparition, Cornacchiola fit réaliser des cartes commémoratives qui montraient un photomontage avec des gratte-ciels à l’arrière-plan et la statue de la Vierge des Trois Fontaines en premier plan.

Il n’y avait pas de raison pour cette singulière juxtaposition, et également bizarre parut la petite colère du voyant quand un de ses amis rentra d’un voyage à New York, à Pâques de l’an 2000, sans être passé le saluer avant le départ, avec l’ordre de le prévenir à l’avenir s’il se rendait à nouveau aux Etats Unis.

Le 11 septembre 2001, après l’attentat terroriste aux tours jumelles, tout semblait trouver une explication, mais le 22 juin précédent Bruno Cornacchiola mourut, ainsi il ne fut pas possible de vérifier avec lui ce qu’il avait reçu en vision quelques années auparavant.

A la page 100 se trouve la description du phénomène de la « danse » du soleil qui tourne vertigineusement sur soi-même lors de l’apparition de la Vierge Marie ou souvent le jour de l’anniversaire de l’apparition de la Vierge à Bruno Cornacchiola, le 12 avril: le même événement arrive aux voyantes de Fatima et aussi à Medjugorje et à Kibeho (lieu d’apparitions mariales en Afrique).
Il s’agit parfois d’un signe personnel, qui ne concerne pas la totalité des présents, et parfois d’un épisode de masse.

De la page 194

En 1947, peu de temps après la seconde guerre mondiale, la Vierge de la Révélation, avec un long message à Bruno Cornacchiola, affermit que

« le monde entrera dans une autre guerre, plus acharnée que les précédentes ».

En 1983 lui répéta la sollicitation à

« éviter un grand désastre écologique : la guerre la plus puissante et destructrice des deux dernières mondiales.

Le danger est aux portes, une guerre atomique, si on ne fait pas comme J’ai dit, est inévitable.

Les hommes, inconscients et orgueilleux dans la superbe satanique, veulent le monde dans leurs mains, en ne pensant pas du tout au Royaume des Cieux.

Combien de travail ils font pour avoir la paix, mais ils ne se préparent pas à la paix, au contraire, imprudemment ils se préparent à la destruction.

Je parle à tous (à tout le monde), l’atomique est prête, les hommes sans conscience menacent de l’utiliser et le danger se rapproche plus que vous ne le croyez.

La pluie radioactive polluera toute chose, des plantes à l’eau et des animaux à l’homme.

Voilà pourquoi vous devez réfléchir, on peut l’éviter, comme déjà je le dis le 12 avril 1947 et ailleurs dans les lointaines années passées.

L’air même brulera toute chose qui reste et on ne pourra plus respirer.

Appelez-la Apocalypse, mais c’est vraiment une révélation qui va se réaliser si vous ne vous convertirez pas.

Vous serez de plus en plus exposés aux périls physiques et morals qui sont un danger mortel pour l’âme, l’esprit et le corps.

Bien sûr, ce ne seront pas les refuges antiatomiques qui vous sauveront ».

Et encore en 1986 et en 1990 Cornacchiola eut les visions d’une guerre destructive :

« Il s’agit d’un rêve, mais ce que j’ai vu m’a fait trembler. Le monde impliqué dans une guerre atomique et les gens qui tombaient mortes ; les plantes séchaient et les animaux comme l’homme.

Desolation, on criait ! ».

« Tout le monde parle de guerre et de paix. La guerre, mon fils, n’est pas terminée, car celle locale s’étendra sur la Terre et si vous ne vous convertirez pas – je dois vous dire une chose très grave – vous mourrez tous. Oui, l’euphorie de la paix viendra, mais ce n’est qu’une préparation pour une autre guerre catastrophique, afin que les hommes ouvrent les yeux de l’esprit pour la conversion des cœurs, conversion d’amour »[3].

Dès maintenant, oui, le mystère de l'impiété est à l'oeuvre. Mais que seulement celui qui le retient soit d'abord écarté.

[3] Traduction par Leticia, italienne d’origine, le 09/04/2019.

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