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Par elslouison, le 21.07.2011
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Date de création : 11.08.2010
Dernière mise à jour :
26.05.2014
23 articles
Le héros au sourire triste chevauchait sa fidèle Rossinante sur les chemins d’un royaume désolé par l’ignorance, la prévarication et la fornication. A ses côtés, son écuyer Chansot Pencha sautillait sur le dos d’une mule.
"Allons Chansot, haut les cœurs ! La mission confiée par le Roi n’attend pas.
- Comme il plaira à votre seigneurie.
- Tu sais Chansot, je suis un seigneur très social qui aime les gueux de ton espèce et tu peux me tutoyer.
- Comme tu veux Ducon.
- Maudit croquant ! Tu vas tâter de mon knout !
- Monseigneur, je suis votre humble serviteur.
- C’est mieux comme ça. Ah, c’est difficile d’être social par les temps qui courent. Dis-moi plutôt, quand rencontrerons-nous un des monstres qui polluent notre beau royaume ?
- Seigneur, sur la colline à votre gauche, vous avez un terrible prédateur qu’on nomme ici « Pactos del Responsabilitad ».
- ...Mais je ne vois rien.
- C’est normal Monseigneur, il n’y a pour l’instant que du vent.
- Comment combattre le vent ? Tu n’as rien d’autre à proposer ?
- Si votre Altesse grandissime, plus loin vous avez les armées de Commissionos Européanos, un terrible bandit qui oblige ses proies à exécuter toutes sortes d’extravagances.
- Mais je ne vois qu’un moulin à vent.
- C’est qu’il faut aussi beaucoup de vent pour lui donner quelque consistance.
- Allons, soyons sérieux, un chevalier de ma qualité ne peut croiser le fer avec un moulin. Allons plus loin.
- Plus loin, vous avez, Altesse sérénissime, la forteresse redoutable du félon Electionnos Européanos, qui se plait à botter le fondement des gouvernements.
- Voilà qui est plus sérieux. Mais pourquoi y a-t-il un homme crucifié sur le chemin ?
- C’est le seigneur Joanito Marco, héraut de notre bon roi, qui fut rattrapé par les coquins des municipalidad. Ses troupes l’on trahi devant le danger et il fut sitôt supplicié.
- Tout cela n’est pas de bon augure. Allons plus loin. Qu’est-ce que ce haut mur mal assuré qui nous barre la route ?
- C’est la cité de Déficito Publico, un enchanteur redoutable qu’on dit capable de ronger les chairs des meilleurs chevaliers.
- Cette construction ne tient pas debout et je me fais fort de la culbuter pour acquérir quelque mérite et pour l’honneur du Roi.
- Mais seigneur…
- Sus, mon bon Chansot !
Et l’éthique destrier, piqué des deux, de précipite sur l’ouvrage branlant ; la lance à l’acier durci par les fonderies d’Hindoustan vient choquer violemment les pierres mal assurées qui volent en éclat et un grondement infernal secoue le pays alentour. Un flot de boue monstrueux balaie aisément les cailloux et emporte dans sa pestilence le chevalier errant et sa monture. Alors qu’il surnageait encore, dela Vallsa roule devant la croix qui supporte le héraut du roi supplicié. L’homme n’est pas encore mort et, dans un dernier sursaut, crie au chevalier roulé dans la bouse : « Manouel ! Toi aussi mon fils ! ». Puis les deux rendent un dernier soupir.
Traduit de l’espagnol par Gérald Marchal.
Votre horoscope 2013
Par Nostraphallus
Bélier. Nés avant le 1° avril : La quantité d’alcool pur ingérée pendant les fêtes sera fatale à votre couple, à votre foie, à votre permis de conduire et à votre emploi. Nés après : pareil. Ceux qui survivront aux fêtes succomberont aux apéros, pots de départ, mariages, et autres réjouissances. Ceux qui seront victimes d’un contrôle d’alcoolémie devront trinquer.
Taureau. Toujours attirés par les chiffons rouges, vous allez foncer tête baissée dans la rue pour soutenir les balourdises du front de gauche. Vous serez finalement aphones, trempés et grippés, écrasés de fatigue et finalement écoeurés en constatant que vous n’intéressez même pas les matadors.
Gémeaux. L’année s’annonce belle pour les Gémeaux qui pourront envoyer leur double s’installer dans un étranger défiscalisé. Mais cette année sera merdique pour vous comme pour tout le monde et vous serez doublement déçus.
Cancer. La seule évocation de votre signe zodiacal vous annonce les pires catastrophes. Inutile d’en rajouter. Consolez-vous en songeant que l’astrologie, c’est aussi sérieux que les propositions du marquis de Montebourg.
Lion. Nés avant le 1 août, vous allez rugir ; nés après, vous serez le roi des animaux. De toutes façons, premier décon, vous serez le roi d’une catégorie qui regroupe la plus grande partie de l’humanité souffrante.
Vierge. Signe supprimé depuis mai 1968.
Balance. La planète Poulet étant en parfaite conjonction avec Marseille cette année, vous aurez l’occasion de développer vos capacités d’information dans le but d’édifier vos contemporains. Les affaires reprennent, mais gare au virus AK47 !
Scorpion. A force de vous chauffer au soleil, vous allez amollir le piquant de votre queue. Pensez à toutes les bêtises que vous pourriez commettre si vous sortiez de votre cachette. Ah ! C’est mortel !
Sagittaire. Autant vous l’annoncer brutalement : votre agitation ne vous permettra pas d’échapper au plan social. Il vous restera les manifs et l’écologie boueuse à Notre Dame des Landes, lorsque vous serez en fin de droit.
Capricorne. La saillie de Mars sur Vénus qui sera constante durant le mois de décembre vous promet une recrudescence des infidélités de votre conjoint. Cette année encore vous devrez gérer des cornes monstrueuses ainsi que les plaisanteries douteuses de vos collègues et de vos voisins.
Verseau. Encore une année de merde dans un monde de merde. Positivez !
Poissons. Mauvaise année pour les poissons. Votre patron va délocaliser ses activités en extrême orient et vous allez vous retrouver sur le carreau, à moins d’accepter d’être transformés en sushi.
Il vous reste une chance d'échapper à toutes ces catastrophes: lisez les aventures palpitantes de Sosthène oscar Saturnin, agent secret de l'occident judéo chrétien (Edilivre Jean Anouille). Se bidonner empêche de triop penser.
Il était une fois une personne que nous nommerons A pour ne pas froisser sa susceptibilité. A est intelligent, travailleur, industrieux. Après avoir réuni un capital, il fabrique en grand nombre les plus jolis scoubidous du monde qui sont achetés fort cher par toutes les personnes aisées de la planète. Chaque année, A réalise un bénéfice net annuel de 20 000 bals (unité de compte de la Pigallie occidentale) qui représente son revenu. C’est une richesse importante qui lui permet de manger à sa faim et d’abriter sa famille dans une maison confortable. Il peut même s’offrir quelques plaisirs superflus mais si agréables.
Pourtant, A est mécontent. Il estime que son niveau de vie n’est pas en rapport avec les efforts consentis. Il est contraint de limiter ses dépenses de santé, ses enfants ne peuvent bénéficier des meilleurs établissements d’enseignement et ne pourront jouir d’études longues. Par ailleurs, sa cotisation retraite ne promet qu’un bien maigre revenu lorsqu’il ne pourra plus s’activer. Enfin, impossible d’entreprendre des voyages dans des pays mystérieux, impossible d’acquérir un pied à terre au bord de la mer et un autre dans les neiges éternelles, impossible de couvrir ceux qu’il aime de bijoux, de vêtements coûteux et de produits High-tech aussi inutiles que ruineux . La vie est décidément bien injuste.
Après un rapide calcul, A reconnaît qu’il lui manque exactement la valeur de ses revenus pour réaliser ses ambitions. Impossible de produire plus de scoubidous, mais A est un optimiste. Il songe que le marché va s’étendre dans un avenir proche, qu’il pourra investir pour doubler sa production et ses bénéfices. Mais pourquoi attendre ? A décide donc d’emprunter 20 000 bals chaque année. C’est le commencement de la fin. Au lieu d’augmenter régulièrement, la demande en scoubidous stagne, la production patine, les prix doivent s’ajuster à la baisse et A demeure incapable de rembourser ses emprunts.
Jusque là, rien de monstrueux. Les banques refusent rapidement de prêter à cet individu décidément insolvable qui est contraint d’envisager deux options :
- le suicide ;
- une baisse conséquente de son niveau de vie pour rembourser capital et intérêts.
Le plus difficile reste à venir.
Dans un pays lointain, monsieur B œuvre jour et nuit pour fabriquer lui aussi des scoubidous. Mais monsieur B n’est pas aussi instruit que monsieur A, il ne possède aucun capital et travaille de façon purement artisanale avec des outils grossiers. Les scoubidous produits par B sont de qualité très inférieure mais ils possèdent une vertu : un prix cent fois moins élevé ! B se contente en effet d’un revenu annuel de 200 bals qui lui permet tout juste de survivre et sa production est écoulée auprès des plus pauvres qui peuvent ainsi imaginer un instant qu’ils sont riches. Le coup de grâce sera assené par le fils de monsieur B qui se nomme B1. Le jeune homme est un peu plus instruit que son père et il est surtout fort astucieux. Il réussit à assimiler les technologies et les méthodes employées par A et s’active à les reproduire dans son pays. Il parvient ainsi à confectionner des scoubidous pratiquement identiques à ceux de A tout en limitant ses ambitions à un revenu annuel de 2 000 bals qui constitue, dans son pays, un véritable pactole. Les scoubidous de B1, dix fois moins chers, vont inonder le marché. A doit cette fois opter pour le suicide.
Mais il existe une inconnue à cette édifiante histoire. En effet, ce sont les A qui sont suffisamment stupides pour acheter des articles futiles avec leur richesse. Si tous les A sont ruinés, qui va acheter des scoubidous à monsieur B1 ?
En cette période électorale, les promesses vont bon train : toujours plus pour tout le monde ! La dette ? Quelle dette ? Les délocalisations ? C'est marginal. Votez pour moi et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Pourtant, si quelque chose augmente encore, c'est bien le chomage et la précarité.
Pourquoi ? On vous sert pour toute explication les boucs émissaires de service : les banques, les immigrés, le capital. Quelle dérision!
Au lieu d'entendre ce que vous voulez entendre, plongez-vous dans l'infâme réalité. Vous pouvez également persister à vous abuser, c'est votre droit.
Parmi les volumineuses productions depapier imprimé écrites sous lasignature des princes de l’empire du Toutparis, unlivre sort du lot et mérite l’attention du public : L’histoire édifiante de Saint Dominique, œuvre d’Ivan Lebeauf, spécialiste du PAF, publié par les éditions Clito.
Dominique était unhomme ordinaire torturé par l’ambition. Affilié à la secte des démagogues sociaux, il occupa les plus hautes charges du royaume, accumula une fortune considérable et mena unevie de patachon en organisant dans ses palais les plus vilaines débauches en compagnie des grands de cemonde.
Mais l’Éternel veillait sur sonenfant perdu. Unenuit, alors qu’il tentait de subtiliser une preuve de ses indélicatesses, une lumière l’envahi et une voix s’insinua dans ses neurones fatigués. « Pourquoi perdre ainsi ton temps Dominique ? Crois-tu que je t’ai créé pour accumuler honneur et richesses ? Réveille-toi et regarde lavie qui t’entoure avec ses rondeurs, ses odeurs, ses saveurs musquées. Tout cela t’appartient et, si tu embrasses la foi, aucune voie ne sera plus impénétrable pour toi ! »
Ébranlé par la révélation, Dominique troque ses habits de lumière pour une vulgaire sortie de bain et hante tous les palaces dumonde à la recherche de rondeurs affriolantes à convertir. Le succès de sa quête est immédiat et il baptise de son liquide divin un grand nombre de pécheresses qui retrouvent ainsi le chemin du partage. Chantre de la vraie solidarité, il offre l’usage de ses bourses à toutes les plus infâmes incroyantes qui embrassent immédiatement les urnes sacrées. Mais le grand Satan n’était pas loin. Profitant d’une copulation bâclée, il déchaîne ses suppôts qui s’emparent du sainthomme et le jettent aufond d’un cul de basse fosse. Puis ce sont d’abominables tortures qui sont infligées à ce vrai croyant pour qu’il abjure sa foi, mais rien ne peut le distraire de son ministère.
En plus de la dimension spirituelle qui imprègne son œuvre, Ivan Lebeauf ajoute une touche de philosophie politique tout à fait pertinente avec une question essentielle : l’exercice du pouvoir suprême peut-il être confié à un « peinajouir » ? L’auteur prouve en s’appuyant sur de nombreuses sources qu’il n’en est rien et que seul un priapisme distingué peut offrir les garanties nécessaires à un État solide (ou sordide, je ne sais plus). C’est un enseignement à méditer en ces temps d’élection.
Enfin unlivre sérieux qui propose autre chose que des billevesées malsaines. En vente dans toutebonne librairie.
Aujourd’hui, les medias consacrent beaucoup de temps à nous informer sur le « printemps arabes ». En fait, notre connaissance des évènements est fort limitée ; en particulier nous ignorons tout des fameux révolutionnaires, surtout pour ce qui concerne l’importance des courants islamiques qui sont évidemment en leur sein. Remplacer Moubarak ou el-Assad par Ben Laden ou Khomeini, c’est échanger un coup de matraque contre une décapitation.
Ces lointains soubresauts devraient nous inciter à méditer. Savez-vous,amis internautes, la raison pour laquelle nous ne sommes pas (encore) concernés dans notre beau pays deFrance par les tirs des chars et des armes automatiques, par les goulags et par les exécutions sommaires ? La seule raison se nomme Démocratie.
La Démocratie, c’est le consensus d’une majorité des citoyens pour remettre le pouvoir entre les mains d’élus pour une période déterminée avec comme principale mission de garantir les plus importantes libertés (conscience, expression, déplacements en particulier) qui ne se conçoivent que dans un environnement sécurisé… et c’est tout. Mais c’est beaucoup. C’est un trésor inestimable que nous n’hésitons pas à galvauder avec beaucoup de légèreté.
Le principal objet des critiques ressort d’un malentendu funeste qui associe les droits politiques (ceux qui garantissent la liberté) et ce qu’on nomme aujourd’hui droits sociaux (qui sont sensés garantir la santé, le travail, l’enseignement, le niveau de vie, le logement, les loisirs et bien d’autres choses encore). Un gouvernement, même socialiste, ne crée jamais d’emplois. Les fonctionnaires nécessaires aux services publics sont rémunérés par les recettes fiscales, elles mêmes issues directement de l’activité économique. C’est donc l’économie qui fait vivre un gouvernement et non le contraire. La Démocratie interdit le travail des jeunes enfants, impose aux employeurs des mesures d’hygiène, de sécurité mais elle est incapable de se substituer aux entrepreneurs. L’état démocratique intervient également dans le but d’assurer les soins médicaux au profit de tous, l’enseignement des plus jeunes, l’assistance aux plus démunis, mais ces actions sont toujours fort limitées par un budget toujours trop étriqué qui s’affaiblit encore lorsque l’activité économique stagne.
C’est précisément notre situation présente, aggravée par un monstrueux déficit budgétaire creusé par un état démocratique qui a eu la faiblesse coupable de répondre à toutes les demandes « sociales » de ses administrés. Puisque la Démocratie ne peut assurer l’assistance de tous les citoyens de leur naissance à leurmort, beaucoup n’hésitent pas à vilipender cette précieuse acquisition pour souhaiter ouvertement son remplacement par d’autres systèmes fort critiquables (ah ! C’est un Adolph qu’il nous faudrait pour remettre de l’ordre dans cette pagaille ! ou, à quand notre petit père Staline pour goulaguiser tous ces salopards incapables de nous assurer tous lesloisirs dont nous avons droit ?)
Ajoutons que l’état démocratique, pas plus que le totalitaire, n’a aucune prise sur ce qu’on nomme l’économie qui connaît aujourd’hui, qu’on le regrette ou non, une existence mondiale qui dépasse la compétence des gouvernements. C’est regrettable dans la mesure ou le système génère nombre d’injustices et d’inégalité, notamment sous ses aspects spéculatifs et fiscaux. La démocratie à besoin de justice pour asseoir le consensus. Une amélioration pourrait être envisagée avec une gouvernance politique mondiale, mais nous en sommes à des années lumière !
La démocratie repose sur le respect de la personne, non pour l’assister mais pour lui garantir des droits politiques. Cela constitue à la fois une force et une faiblesse puisqu’un régime démocratique doit « respecter » les pires criminels et accepter les pires humiliations proférées par nombre d’illuminés qui sont persuadés d’être beaucoup plus intelligents que la majorité des citoyens.
Pour ne rien arranger, les gouvernants démocrates ne sont pas exempts de critiques. Un président peut se prendre pour une vedette de music hall, un ancien ministre présidentiable pourrait être soupçonné d'obcession sexuelle.
Pourtant, il n’existe que deux options politiques : la démocratie avec tous ses défauts et le régime totalitaire avec ses goulags et ses crimes. Si tu choisis la seconde camarade, alors, danse avec Bachar !
Gérald, votre serviteur.Roman;">
Vous... Oui vous!
Vous n'avez pas encore consulté le blog Polarissimo chez centerblog.net ?
C'est un scandale, un véritable crime contre l'humanité !
Bougez-vous! Il est peut-être encore temps d'acquérir une véritable culture.
Avec la campagne électorale qui bat son plein depuis plus d’un an, les électeurs français sont confrontés à un amalgame d’informations tronquées et contradictoires généreusement diffusées par les medias qui peuvent être résumées ainsi :
Prémices : l’économie va mal, le niveau devie baisse, le peuple déprime !
Analyse : c’est la faute de la crise, donc du système capitaliste.
Remède : supprimer le capitalisme et retrouver les bons vieux goulags qui nous manquent tant !
De quoi s’agit-il réellement ?
En premier lieu, des escrocs (le plus connu est Bernard Madoff) ont trompé les épargnants. On leur confie 100 et ils rendent royalement 10 un an plus tard, conservant ainsi 90 pour vivre comme des seigneurs sans jamais faire travailler l’argent. Le client émerveillé se félicite d’avoir fait 10% de bénéfice alors qu’il vient se subir 90% de perte sèche. C’est vrai que, dans un goulag, on a peu de chance de placer de l’argent et de se faire escroquer. Mais si on doit supprimer une société parce qu’elle compte des escrocs, des délinquants et des criminels, il ne restera plus grand monde sur terre.
Second point, les « subprimes ». Là, c’est une super escroquerie intelligente. Elle n’est pas basée sur du vent comme le système Madoff mais sur du réel : des maisons bien construites dans tous les états des USA. Pour vendre ces maisons, on consent généreusement des montagnes de prêts alléchants qui sont aussitôt transformés en produits financiers négociables. Le hic, c’est que ces prêts ont été souscrits par des personnes qu’on savait incapables de rembourser. Les marchés financiers et leurs clients investisseurs (en particulier les banques) se retrouvent donc avec des avoirs conséquents qui ne valent plus un centime. Non seulement aucun bénéfice n’est à attendre mais tout est irrémédiablement perdu car le marché immobilier des USA s’effondre, submergé par un nombre considérable de maisons qui ne peuvent être achetées par personne. Pour couronner le tout, les réserves de certaines banques étaient insuffisantes pour colmater les brèches. Cette aventure lamentable, c’est une partie de notre crise. C’est vrai que dans un goulag, on ne rencontre pas ces problèmes de logement.
Troisième temps : les déficits des Etats. Tout à fait indépendamment des maisons US et des « madofferies » en tous genres, les Etats (tous les Etats) vivent largement au dessus de leurs moyens. Ce n’est pas nouveau. Dans le bon vieux temps, le déficit était comblé avec la planche à billet. On créait de l’argent fictif à profusion jusqu’à ce qu’il soit totalement déprécié. En France, pays où on ne manque pas d’idée, nous avons même supprimé deux zéros à nos anciens francs afin d’éviter d’avoir à acheter notre baguette avec une brouette de billets. Dans notre siècle impitoyable, avec l’abominable Euro, ce jeu innocent n’est plus possible. Alors, on emprunte sur les marchés financiers qui financent ainsi indirectement le socialisme étatique. Le résultat est identique et conduit inévitablement à la banqueroute. Le système se fissure en débutant avec les pays les plus fragiles, qui n’ont même pas pris la peine de se doter d’une administration fiscale pour combler une partie du déficit. C’est l’image édifiante de la Grèce.
Ce qui est vraiment intéressant, c’est de comprendre pourquoi les Etats se livrent à ces pratiques suicidaires. L’analyse est simple : les Etats modernes interviennent dans tous les domaines de lavie des citoyens, ce qui impose l’entretien de légions de fonctionnaires et des dépenses toujours plus monstrueuses. La classe politique, contrainte par l’élection, ne peut échapper à cette dérive, même lorsqu’elle se prétend « de droite ». Mais finalement, qui demande toujours plus de revenus, de sécurité, de santé, d’enseignement, de logements, d’énergie, de confort, de loisirs ? C’est nous, tous les citoyens électeurs et non électeurs !
Au bout du compte, nous sommes donc les seuls responsables de cette fameuse crise. Par ailleurs, on doit reconnaître qu’un Etat qui intervient dans tous les domaines de lavie ne correspond pas au système économique libéral. C’est un système purement communiste, avec les goulags en moins. C’est donc le communisme qui est responsable de l’effondrement de l’économie capitaliste.
Mais les communistes authentiques ne peuvent se satisfaire de cette victoire en demi-teinte. Ils prescrivent impérativement de tondre les riches, les exploitants, les capitalistes, enfin tout ce qui ne ressemble pas à un mendiant. Cette exigence est logique puisque cette mesure détruirait définitivement les rares ressources de l’Etat interventionniste et pulvériserait ce qui reste encore de l’activité économique, imposant de reconstruire les goulags et les kolkhozes, symboles émouvants du bonheur intégral.
Certains liront ici une provocation gratuite. Il ne s’agit pourtant que de simple bon sens. Pour nous sauver de la catastrophe, nous devons accepter une régression spectaculaire de notre niveau devie. Puisque nous refusons d’envisager cette issue inéluctable, il faudra bien qu’un régime musclé nous impose, à la pointe des baïonnettes, les camps detravail inutiles, les soupes populaires généralisées et les goulags pour accueillir les nombreux grincheux incapables d’applaudir aux discours soporifiques du Kominterm. Espérons qu’une épidémie fulgurante ou un tsunami gigantesque nous évite cesloisirs contestables.
Gérald Marchal. Professeur autoproclamé d’économie politique.
Chers internautes,
Exceptionnellement, je ne vous parlerai pas de moi et de mon œuvre immense publiée en trois volumes : « Histoire extraordinaire et authentique de Sosthène Oscar Saturnin, agent secret de l’occident judéo chrétien » qui me classe parmi les maîtres de la littérature poilante de notre époque.
Je veux attirer votre attention sur unlivre étrange et envoûtant qui a pour titre « les colonnes de Dionysos » (éditions Edilivre 2011) et qui rend compte, à travers unehistoire palpitante, des difficultés immenses rencontrées par un corps expéditionnaire occidental opposé à un ennemi insaisissable et confronté à une culture qu’il n’est plus capable de comprendre.
L’histoire est celle d’un officier français qui refuse inconsciemment les règles imposées par les états-majors occidentaux et qui est fasciné par la culture des montagnards pachtouns. Ceci lui occasionne quelques frictions avec sa hiérarchie.
C’est à la fois l’évocation d’un peuple admirable et rude, la contemplation de la guerre dans ses grandeurs et ses absurdités et lapeinture d’un évènement majeur de notre siècle. Voilà un bouquin qui m’a bien plu ! Pour mon malheur, je pressens que son auteur, « Monsieur de Grafigny », va probablement me souffler cette année le Goncourt et peut-être entraver mon entrée à l’Académie Française. Mais je serai grandiose sur cette affaire : que le meilleur gagne !
Salut et Fraternité.
Bonjour les petits enfants !
Bientôt la fête des mamans et, comme chaque année, vous ne savez quoi offrir à votre génitrice adorée. Pas de panique, l’abominable Gérald est là pour vous conseiller !
Premier temps : commander un livre de la collection culte du XXI° siècle : « Sosthène Oscar Saturnin, agent secret de l’occident judéo chrétien » du sinistre Jean Anouille (éditions Edilivre.com ou toute bonne librairie en ligne) :
« Avanies en Britonnie » (livre 1)
« Zizanie en Zanzinie » (livre 2)
"Pagaille à Pigall » (livre 3)
Second temps : Ne pas lire le livre qui est interdit aux moins de 18 ans. Réaliser un joli paquet avec un beau ruban rose. Offrir le tout à la date prévue.
Troisième temps : En principe, ce temps comporte deux phases.
D’abord, vous recevrez une tannée mémorable qui laissera suffisamment de traces pour exhiber vos blessures à l’école et à « SOS enfants dérouillés ».
Ensuite, la situation s’apaise. Vous remarquerez que votre papa délaisse son journal, sa perceuse ou sa canne à pêche pour observer curieusement votre maman lorsqu’elle est dans la salle de bains. Puis vous entendrez de plus en plus de gloussements et de râles, le jour et la nuit, dans toutes les pièces de la maison.
Félicitation ! Vous venez de gagner un mois de tranquillité durant lequel vous pourrez faire librement ce qui vous plait sans recevoir la moindre baffe et sans risque pour votre postérieur.
Attention : le traitement doit être renouvelé chaque mois ! Bonne chance à tous.