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Idylle sous les tropiques

 A l'époque, j'étais cadre dans une grande entreprise à Lyon. L'été approchait et j'étais très heureux car j'avais travaillé comme un dingue toute l'année ! Enfin les vacances ! J'avais décidé de partir très loin de la France pour un dépaysement total. Je partis donc vers un archipel du Pacifique.

Dès la descente de l'avion, je fus accueillis par de jolies jeunes filles qui mettaient des colliers de fleurs autour du cou de chaque touriste. Un vent chaud et doux venait caresser mon visage, c'était trop cool. Seul ombre au tableau : je pensais que dans ces îles je n'allais pas trouver un ou des mecs sympas, comme à Lyon...

Le premier jour, je restai au lit pendant près de 20 heures à cause du décalage horaire. Idem le deuxième. Et cela dura une bonne semaine !!!!
Après cette semaine à roupiller, on frappa à la porte (comme tout les matins d'ailleurs, mais je n'avais, jusque là, jamais répondu !).
-Entrez ! Fis-je, avec une voix de déterré. Et là, je restai bouche bée. Un magnifique métisse entra. Il devait faire au moins 1m90 pour 80kg. Il semblait avoir tout juste 20 ans. Sa peau était somptueuse. Ses yeux était d'une noirceur impressionnante. Il était admirablement bien musclé.
D'une voix virile, mais douce, il me dit :
- Bonjour Monsieur, je vous apporte le petit déjeuner. Il est 9h30.
Je lui souris pour le remercier, et il me rendit un tendre sourire. Il sorti. J'étais sous le charme.

Après ce copieux petit déjeuner, je me décidai à aller vadrouiller dans l'île pour trouver une petite plage tranquille. Le temps était clair, et il devait faire au moins... 40°C à l'ombre !!!! Il était presque 11h00 quand j'arrivai dans une crique déserte. J'installai une serviette sur le sable fin et brûlant et me précipita dans l'eau claire, pure et chaude. Je fis quelques brasses... et me calmai. Il n'y avait aucun bruit. On entendait à peine l'océan aller et venir. Cependant, derrière des rochers que je voyais à une centaine de mètres de moi, des rires se faisaient entendre. Je me rapprochai et les rires se changeaient parfois en mots incompréhensibles. Ce devait être sûrement un dialecte local.

J'étais collé enfin tout près des rochers quand les bavardages cessèrent et laissèrent place à des bruits... douteux. Des râles. Des grognements !
Doucement, je sortis de l'eau et grimpai sur les rochers. Stupeur ! Derrière les rochers, il y avait une toute petite plage sur laquelle un beau black était en train de sodomiser un autre mec. Le black allait et venait de plus en plus fort et l'autre mec gémissait.

Que faire ? Ca faisait des jours que je n'avais pas baisé. Mais déranger ces deux jeunes hommes serait déplacé de ma part... ah, j'avais tellement envie de me faire prendre !!!
Tant pis ! Je décidai d'y aller, au risque de me faire jeter. Je m'allongeai à côté d'eux, comme si de rien était et je m'aperçu que le mec qui se faisait défoncer était le jeune métisse de l'Hôtel !!!! Les mecs s'arrêtèrent dans le feu de l'action.
- Tu veux quoi, toi ? demanda agressivement le black. T'as un problème ?
Le jeune métisse dit alors :
- Il veut peut-être participer ?
J'acquiesçai. Le black se retira du métisse. Je fus très impressionné : Il avait un sexe énorme ! A vue de nez, il devait faire au minimum 30 cm !!!! Et il était si large que, lorsque je me mis à le branler, je n'arrivais pas à refermer ma main !!!!!!! J'enlevai mon maillot de bain et mon sexe se redressa d'un coup. J'étais si excité qu'il était dressé et dur comme du béton.
Le beau black me pris alors violemment la tête et me força à le sucer. Le sexe était trop gros. J'avais du mal à l'avaler. C'est tout juste si j'arrivai à avoir son puissant gland foncé. Au même moment, je sentais le métisse qui me léchait l'anus. C'était divin.
Le black devenait de plus en plus violent. Je faisais mon possible pour le satisfaire. Et l'autre commença une douloureuse pénétration. Le métisse aussi avait un sexe impressionnant. Il devait être long et gros comme un bras d'adulte !!!!! Heureusement, il commença, après de douloureux va-et-vient, à mouiller. Ce qui servit de lubrifiant et la douleur se transforma en plaisir intense. Je me demandais toutefois comment mon petit cul pouvait supporter cet énorme engin qui me défonçait.

Un long moment après, le black déversa dans ma bouche de grosses giclées de sperme. Je sentais les jets épais, gluant et chaud taper au fond de ma gorge. Il me traitait de salope, de chienne, et en même temps, il était en train de vider ses énormes couilles poilues. Il retira sa queue d'éléphant de ma bouche et continua à déverser se semence sur mon visage. Il y eu encore au moins 6 ou 7 longs et puissants jets sur mon délicat visage de jeune français.
Quand au métis je sentais qu'il allait jouir. Je le supplia de se retirer avant l'éjaculation, mais il n'en fit qu'à sa tête et cracha son foutre brûlant dans mon intestin ! Il y en avait tellement que ça dégoulinait et je sentais le sperme gluant couler le long de mes cuisses.

Le soleil tapait. Tous les trois nous transpirions comme des boeufs ! L'odeur de la sueur se mêlait à celle du sperme. C'était trop bon. J'étais pris en sandwich entre un jeune métisse et un puissant black trop bien monté. Mon corps était couvert du produit de leur testicules.
Le black m'ordonna alors :
- Met-toi sur moi, salope ! Je veux te défoncer ton petit cul de blanc !!!
Je m'exécuta. Son corps d'ébène était allongé sur le sable blanc. Son pénis gigantesque se dressait et semblait monter jusqu'aux cieux. Le gland brillait et un liquide transparent coulait encore le long de sa verge. Je pensais que tout à l'heure il avait déverser l'équivalent de ce que produit un homme normal et qu'il était rassasié, mais apparemment non. Il en voulait encore.

Je me mis au-dessus de lui et me mis à descendre ma croupe. Je sentais son gland frôler mon trou qui commençait à se refermer. Doucement, je descendis de plus en plus. J'avais plus de 30 cm en moi !!! Je commence un délicat va-et-vient. Il commençait à gémir de plaisir et insista pour que j'accélère.
En face de moi, le métis me présenta son beau cul. Je me mis à le lécher. Ma langue s'engouffrait parfois dans son trou foncé.
En même temps, la grosse queue du black me faisait mal. Il m'insulta et me dit d'arrêter. Il se releva, me retourna et me culbuta violemment. La douleur était atroce. Je continuais à lécher le trou de balle du jeune métis qui prenait son pied et se branlait en même temps.
Le black me défonçait si fort que les larmes et les cris me venaient. Il m'insulta et m'ordonna de me taire. Pour que je ne crie plus, son complice m'obligea à lui bouffer le cul. Je ne pouvais presque plus respirer. Et je sentais l'odeur "délicate" de son anus... Le métis éjacula alors sur le sable.

Le gros black me plongea alors le visage dans le sable. Je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et je sentis de longs jets de sperme gluant atterrir sur mon dos.

C'était fini. Les deux compères s'en allèrent en me laissant couvert de foutre sur le sable.
Je n'en pouvais plus. J'étais si fatigué que je ne sentais plus mon corps...

André



La récompense

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Il ne regrette pas d'avoir laissé faire son pote

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Un club de rencontre très particulier

 Bonjour, moi c'est Marc, je me suis fait prendre par les gendarmes alors que je vendais du shit. Nuit à la gendarmerie puis passage au tribunal pour comparution immédiate. J'ai 19 ans, c'est la première fois que je vendais, c'est con. Une nuit dans une cellule, puis transfert par camionnette au tribunal. Nous sommes le 1er juin, il fait chaud, la séance est prévue pour 15h et il est déjà 16h30. L'atmosphère est étouffante, je suis assis sur un banc avec les menottes, une chaîne est reliée à un gendarme, nous sommes vendredi. Ils discutent du week-end qu'il vont passer, ils ont décidé de faire un tour en vélo. Ils n'en ont rien à faire de moi.

Une sonnerie retentit, les gendarmes se lèvent et me disent: "C'est à nous." Je les suis dans un dédale de couloirs. Nous arrivons dans la salle d'audience, plafond haut, une dizaine de personnes assise sur des bancs, la lumière filtre à travers des fenêtres hautes, on voit la poussière danser dans les rayons de soleil. Un greffier hurle la cour, les gendarmes se lèvent et me font lever. 
Le président, ses assesseurs, le procureur de la république et le greffier. Ils sont tous en noir, ça fait peur.
"Accusé, levez vous, déclinez vos prénom âge et profession." Ce que je fais. S'en suit une litanie de griefs, de questions pour me piéger. Dans la salle, une jeune fille avocat commis d'office tremble comme un feuille morte. Le président me fait un portrait de gangster. Le procureur, une femme dans la quarantaine, belle, se lève et prononce contre moi un réquisitoire d'une rare violence. Elle demande 6 mois de réclusion. J'en ai les jambes coupées, vient ensuite la plaidoirie de la jeune avocate : lamentable. Heureusement que la peine de mort n'existe plus, j'y aurais laissé ma tête. La cour se retire pour délibérer. On sort et se retrouve dans une petite pièce à côté de la salle d'audience.
Il fait chaud, pas de fenêtre, les gendarmes ont repris leur conversation sur leur virée en vélo. Une heure passe. Quand la sonnette retentit, on se lève, la cour a fini de délibérer. On entre dans la salle et on attend ; la cour rentre.
"Accusé levez vous, la cour vous condamne à 6 mois de prison avec 2 mois de sursis avec délivrance d'un mandat de dépôt immédiat. Vous serez transporté à la prison de ..... où vous accomplirez votre peine. Greffier, transmettez les documents à messieurs les gendarmes. La séance est levée."
Il est déjà 18h. On prend une série de couloirs et d'escaliers, on arrive dans une cour où se trouve la camionnette des gendarmes. On me fait monter à l'arrière, menottes aux poignets. On démarre, on traverse la ville, il fait une chaleur suffocante d'orage. On sort de la ville et on prend une route de
campagne, on file puis on ralentit, on arrive devant une immense bâtisse entourée de hauts murs. Un coup de klaxon, les portes s'ouvrent et se referment derrière nous. Le moteur s'arrête, un gendarme vient m'ouvrir. Je sors, des gardiens sont là, brève discussion amicale entre les gendarmes et les gardiens, puis les gendarmes m'enlèvent les menottes et me remettent aux gardiens avec les papiers du tribunal.
Demi-tour, les portes s'ouvrent la camionnette s'en va, je suis seul avec mes gardiens. On me fait rentrer dans la loge des arrivants, on vérifie les papiers, puis on me conduit vers l'accueil. Là, 2 gardiens derrière un comptoir et le gardien qui m'accompagne, encore une vérification des papiers. Un ordre, "À poil !" J'hésite. Le gardien qui m'accompagne, un mec d'une trentaine d'année, me sourit et me dit: "Tu te fous à poil, t'as compris ?" J'enlève ma veste, le gardien à côté de moi la donne au 2 autres derrière le comptoir qui la fouille, je fais sauter mon t-shirt qui rejoint ma veste, je défais ma ceinture, le gardien me dit de l'enlever et il la passe au 2 autres, je vais pour enlever mes baskets il me dit d'enlever les lacets, je fais tomber mon jeans que je tends et j'attends. Le gardien à côté de moi me fait un sourire et me dit: "À poil !" Je baisse mon slip, rouge de honte. Mon slip rejoint mes autres vêtements.
À ce moment le gardien à côté de moi me dit de mettre mes pieds le long d'un ligne blanche tracée sur le sol et de poser mes deux mains sur le comptoir, ce que je fais. "Écarte les jambes !" Il me donne un petit coup de pieds pour me faire écarter les pieds. Il enfile un gant en caoutchouc, je lui demande ce qu'il fait, il me répond avec un sourire: "On va voir si t'as rien de caché."
Les 2 autres se marrent. Je sens un contact froid sur mon cul, je vais pour me relever, le gardien me dit de ne pas bouger, qu'il me met de la vaseline, je gueule que je suis pas pédé. Il me répond en rigolant que plus tard, je regretterai de ne pas en être, ce qui fait marrer les 2 autres. Je sens un doigt qui glisse dans mon cul et qui commence à le fouiller, bon y'a rien. Il pourrait arrêter, mais il continue le salaud ! Il me masse la prostate et je commence à bander. Le salaud le fais exprès, maintenant je bande raide, son doigt ressort, il me dit: "C'est fini, tu peux te relever."
Je bande comme un fou, je ne bouge pas. Il me file une claque sur la fesse en me disant: "Debout !" Je me redresse en cachant très mal ma queue raide. Les 2 autres éclatent de rire en disant: "Il a l'air d'aimer ton petit doigt dis donc !" Je suis rouge pivoine, le gardien à côté de moi me regarde et dit: "J'ai l'impression que ça t'a plu..." On me rend mes vêtements, on garde ma ceinture, mes lacets ma montre, on me file une couverture et des draps. Le gardien qui m'accompagne me guide vers une porte, il me pousse dans une petite pièce et me dit de me foutre à poil pour la douche. Je me glisse sous l'eau, pendant ma douche le gardien me dit: "Excuse moi pour tout à l'heure, mais tu as un si beau petit cul que je n'ai pas résisté au plaisir de te le masser." La douche est finie, je m'habille, direction les cellules, l'heure de la soupe est passée, je mangerai demain matin.
Un couloir avec des portes de cellules, puis on s'arrête devant une porte, "C'est là !", me dit mon gardien. Il fait tourner la clef, ouvre la porte, dedans à gauche de l'entrée, des chiottes un lavabo, un peu plus loin deux lits superposés, de l'autre côté, une table des chaises et 2 autres lits superposés près de la fenêtre grillagée. Trois mecs, un gras dans les 40 ans en short et t-shirt distendu, un grand maigre, barbu pas sympathique en short lui aussi semble pas propre dans les 40 ans lui aussi, et puis un mec en jogging dans les 20 ans souriant, semble gentil. Le gardien me présente comme le nouveau, nous souhaite un bonne nuit et referme la porte avec un curieux sourire.
La porte refermée, le gros se lève et me dit: "Bonjour petit, ta place c'est là-haut !" et il me montre le lit près de l'entrée. "Moi c'est Roger, lui," il me montre le grand maigre, "c'est Marcel, et lui, le petit jeune c'est Thomas. Bon on va passer aux choses sérieuses !" dit-il en me caressant les fesses. Je lui prends le bras en lui disant que je ne suis pas pédé, ça le fait rire et il pose une nouvelle fois ses pattes sur mon cul. Je me dégage quand le grand maigre me prends les couilles à pleine main en disant: "Tu vas pas jouer les pucelles mec. Va falloir que t'y passes. " Pendant ce temps là le gros me dégage les fesses, en moins de 2, je me retrouve à poil. Le grand maigre me serre les couilles pour que je ne me débatte pas. Je cherche à lutter et je me ramasse un paire de baffes magistrales.
"Tu vas te calmer, petit, sinon tu vas déguster. Tiens, pour commencer tu vas me nettoyer la queue." Il me présente une queue, courte mais très large qui pue comme pas permis. Je refuse, l'autre manque de m'arracher les couilles, une main me plaque le visage contre cette queue immonde. Pour m'obliger à ouvrir la bouche il me pince le nez, je manque d'étouffer, j'ouvre la bouche et il en profite pour me rentrer sa queue nauséabonde. J'en ai des hauts le coeur. "Suce petite salope, vas-y, nettoie-moi l'engin." L'autre, le grand maigre, me masse le cul, sans lâcher mes burnes. J'étouffe, je suis au bord du vomissement. Heureusement, le troisième ne bouge pas. "C'est bien petite chienne, suce bien, j'ai la queue bien raide les couilles pleines, Maintenant tu vas me les vider."
Sur ces mots, il se retire de ma bouche, me fait tourner et me prend par les hanches. Je vais pour gueuler quand le grand maigre me file sa queue qui n'est pas plus propre dans la bouche. Elle est plus fine mais plus longue. Je la sens toucher ma luette, je vais vômir. Il le sent et se retire un peu.
Le gros, pendant ce temps m'a rentré un, puis deux doigts dans le fion sans ménagement. J'ai mal mais je ne peux hurler avec la queue de l'autre dans la bouche. Il retire ses doigts et pose son gland contre mon trou, je me raidis. Il me fille une claque sur la fesse en me disant de me détendre si je ne veux pas avoir mal. Et d'un coup, il me pénètre. La douleur est fulgurante. J'ai l'impression d'un pieu en fer rougi au feu. Je manque de m'évanouir. Le grand maigre m'a filé une baffe, je ne peux me soustraire à la queue dans mon cul et l'autre dans ma bouche. La douleur est insupportable. Le gros me lime rapidement sans se préoccuper de moi, il accélère la cadence et crache dans mes entrailles. Il se retire satisfait.
"À toi !" balance-t-il au grand maigre. Le grand maigre se retire de ma bouche et vient m'enfoncer sa queue, sans crier gare. Elle est plus fine et passe mieux mais la douleur est encore là. Le gros me donne sa queue à nettoyer, comme je vais pour refuser, je me ramasse une nouvelle baffe et je me retrouve avec sa queue baveuse de sperme à nettoyer. Le grand me défonce, ne s'intéressant qu'au plaisir qu'il retire de mon cul. La douleur s'efface petit à petit, il me file des claques sur les fesses et me branle en même temps, je ne bande pas. Puis il pousse un cri et se vide dans mon trou. Le gros s'est assis sur le lit et regarde tout sourire en se branlant doucement. Le grand maigre se retire d'un coup et me donne sa queue à nettoyer. Il dit au jeune : "Vas-y, il est à toi." 
Le jeune s'approche de mes fesses, les caresse et pose doucement son gland contre mon trou distendu et visqueux. Il pousse doucement et me pénètre lentement. Il commence des mouvements de bassin lentement. Il me lime doucement. Je commence à sentir du plaisir, je n'en reviens pas. Il n'y a plus de douleur, il me baise pour se donner du plaisir mais il veille au mien. Sa main glisse sous mon ventre et vient me branler. Je commence à bander, je ressens du plaisir. Son gland vient frotter sur ma prostate et me fait découvrir des sensations inconnues. Je sens sa queue grossir, il va bientôt jouir. Je sens les contractions de sa queue, il accélère les mouvements de sa queue et de sa main sur ma queue bien raide. Il pousse un gémissement et vient dans mon trou, moi de mon côté je viens dans ses doigts. Il se retire doucement, me caresse les fesses et me dit: "Je vais faire ton lit..." 
Les 2 autres sont tout sourire.
Le gros me dit : "T'es un bon petit, maintenant couche toi, demain il faut être prêt pour le p'tit déj." Il se lève, pisse et va se coucher, le grand maigre en fait autant. Le jeune m'aide à monter dans mon lit, me fait un sourire. Je m'allonge sur le lit, j'ai le cul en compote. La lumière s'éteint. 
Quelques minutes pus tard les ronflements du gros et du grand maigre démarrent. La honte m'étouffe, j'ai mal, des sentiments confus se mélangent dans ma tête, et une envie irrésistible de pleurer m'envahit. Je sanglote dans le noir, quand tout à coup une main vient se poser sur moi, je me relève un peu. C'est le jeune qui est monté sur mon lit. Il se couche à côté de moi et me dit tout bas: "Ne t'en fais pas, ils m'ont fait pareil quand je suis arrivé, ils ne sont pas méchants mais comme tu as pu t'en rendre compte, ils n'ont aucune éducation." J'ai glissé ma tête sur l'épaule du jeune et je pleure en silence. Il me parle doucement pendant que sa main me caresse, je lui dis que je ne suis pas pédé, mais que j'ai pris du plaisir quand il m'a baisé. Il me confie, qu'il ne voulait pas me baiser mais s'il ne l'avait pas fait les autres auraient piqué une colère et m'auraient fait subir des sévices.
Il approche ses lèvres de moi, j'ouvre la bouche, sa langue vient rencontrer la mienne, un long baiser s'en suit. Il me dit pour me faire pardonner : "Je vais te sucer, tu veux ?" "Je veux bien," lui dis-je dans un souffle. Il glisse sur le côté et je sens sa bouche envelopper mon sexe qui durcit immédiatement, il me suce en douceur, sa langue tourne autour de mon gland, je me retiens de gémir, je sens que je vais venir. Je tente de me retirer, il poursuit et je viens dans sa bouche. J'ai l'impression que je vais me vider, la tête me tourne. Quand ma queue redevient molle, il remonte et me donne un baiser où se mêlent sa salive et mon sperme. Le goût me surprend, mais je lui rends son baiser. Il me dit : "Passe une bonne nuit, je veille sur toi." Je m'endors, une nuit pleine de cauchemars.
Le lendemain matin au réveil, le gros et le grand maigre tirent sur mes couvertures, et me disent de descendre, je m'exécute. Il me disent: "C'est l'heure du p'tit déj !" Comme je les regarde sans comprendre, le gros me dit : "Il faut nous purger les burnes, allez, tu nous suces !" Il me fait mettre à genoux, et me présente sa queue. Je gobe et il commence à me limer la bouche, il vient rapidement. Le grand maigre prend sa place, et me fourre la bouche sans ménagement. Il vient rapidement, se retire et va pisser. Le gardien arrive accompagné d'un prisonnier qui apporte le petit déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire :
- T'as passé une bonne nuit ?
Je vais pour dire ce qui s'est passé quand je rencontre le regard dur du grand maigre.
- Oui je vous remercie.
- Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux aller travailler avec les autres, tu veux ?
- Pas aujourd'hui.
- Bon comme tu veux.
Le gros et le grand maigre partent travailler, le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la première journée.
- Ok comme tu veux.
La porte se referme et je me retrouve seul avec le jeune.
- Bon, moi c'est Thomas et toi?
- Moi c'est Marc.
- T'es là pour combien de temps?
- Quatre mois et toi?
- Moi Il me reste 3 mois. Quand je suis arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a duré 1 mois tous les jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent 1 fois tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien, ils me foutent la paix, alors...
- Tu es homo ?
- Non, comme toi j'avais des copines. Jamais je n'aurais pensé que je baiserais un jour avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré hier soir, je me suis dit : "le pauvre, il va morfler". Je n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus. Tu ne m'en veux pas?
- Non je ne t'en veux pas, tu as été doux avec moi et je dois dire que tu m'as donné 2 fois du plaisir. Je ne croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue dans le cul.
- Si tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils dormiront, tu pourras me baiser.
La journée se passe sans encombre, et le soir, de nouveau, le gros et le grand maigre me baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et vient me rejoindre.
"Je tiens parole, si tu veux me baiser, vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle rapidement, se retourne et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland vient toucher son trou. Il me dit : "Vas-y !" Je pousse mon gland, il rentre sans trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux chaud. Je commence des va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par des mouvements du bassin, il a tourné sa tête et me donne un baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les contractions de son trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma jouissance, je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je l'embrasse en lui disant :
- Merci.
- Tu n'as pas à me remercier, j'y ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on recommencera.
Les jours se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant. Le soir, je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le gros nous dit: "On sort demain les gamins alors ce soir, c'est vous qui nous baisez." Thomas et moi, on se regarde incrédules, le grand maigre nous dit : "Oui, on sort demain alors notre cadeau à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier de nous avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous présentent leurs culs. Thomas me fait un signe, il me montre le grand maigre et me dit : "Je commence par le gros." 
Thomas file une claque sur les fesses du gros. Celui-ci, surpris, se retourne. Thomas lui dit: "Suce moi un peu pour m'aider à bander." Le gros s'exécute.
Je dis au grand maigre: "Et toi alors, tu vas me faire bander ?" Il se retourne et commence à me sucer. Il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien raides. "Allez, tournez vous !" Le gros et le grand maigre nous présentent leur cul. Thomas attrape les hanches du gros et, sans préliminaire, l'enfile jusqu'à la garde, le gros pousse un petit cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre tente d'échapper mais je le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri, je ne m'en occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On lâche notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand maigre se redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos queues. Ils vont pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez, en vitesse !" et on échange le gros prend ma queue en bouche et le grand maigre prend Thomas. Nos queues reprennent de la vigueur.
Thomas leur dit: "Allez, en position." Les deux compères se retournent et nous présentent à nouveau leur cul. Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue d'un coup, il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes, embrassez-vous." Ils s'embrassent pendant qu'on les lime. Je viens dans le cul du gros, je sens qu'il vient lui aussi, il pousse un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et s'est retiré; le grand maigre se finit à la main.
Le lendemain au réveil, Thomas saute sur ses pieds et me dit de descendre. On se lève et on présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de la liberté."
Nous sommes seuls maintenant depuis 3 semaines et nous nous aimons tous les soirs.
Quand, un soir, la porte s'ouvre. On nous amène un nouveau. Le gardien se retire. Le jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on va pas te violer. Le jeune monte dans son lit. Nous nous caressons. Le jeune nous regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous aimons. Plus tard dans la nuit nous entendons le bruit caractéristique d'une branlette, c'est le petit dernier qui se soulage.
Le lendemain soir, il va pour se coucher et se déshabille. Quand il enlève son pantalon, son slip est super tendu. Il tente de cacher son érection, je lui dis :
- Si tu veux, tu peux baiser avec nous.
- Non, non, dit-il tout rouge.
- Allez, on voit bien que tu bandes ! dit Thomas.
- Non, non, dit-il sans conviction.
Je pose une main sur son paquet, il ne bouge pas. Thomas s'est approché de lui et lui caresse les fesses, il ne réagit pas. Doucement, je fais glisser son slip, sa queue libérée vient frapper son ventre. Je la prends en bouche et commence une pipe. Il gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il se libère et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à trois.
Les jours ont passé. Thomas est libéré aujourd'hui. Je l'embrasse avant que le gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra quand je sortirai. Maintenant qu'il est parti, le petit jeune couche avec moi de temps en temps, mais ce n'est pas pareil qu'avec Thomas.
Mon tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis la porte de la prison s'ouvre. Thomas est là ! Il sort de la voiture, prend mes affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte de la prison s'est refermée, il passe un bras autour de mes épaules me donne un long baiser et me dit :
- Bienvenue dans le monde libre. Tu sais où aller ?
- Non.
- Viens chez moi si tu veux.
Mon coeur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et lui dis avec joie :
- Je n'osais pas te le demander.
Un grand sourire illumine son visage.
- Tu resteras tant que tu voudras, je t'aime.
- Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu m'as manqué terriblement.
- Ok, allons y ! La vie est belle...

joao