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Vacances à Key West

 C'était l'été dernier, j'avais profité de quelques jours de vacances pour m'évader, mais surtout avec l'arrière pensée de me donner à fond dans mon sport favori : le sexe !


La guesthouse que j'avais réservée s'appelait le COCONUT GROVE sur Flemming street. Pas très grande mais très confortable ; l'ambiance décontractée et simple permettait tous les plaisirs. Surtout la nuit dans le jacuzzi qui pouvait accueillir plus de 8 mecs à la fois. Certaines soirées et nuits y furent des plus chaudes de ma vie.

Celle qui suit va peut être choquer, mais rien n'a réussi à ce jour à égaler le plaisir reçu et partagé cette nuit là......

Après ma journée au soleil aux Atlantique-Shores à admirer les mecs bronzés et poilus qui prenaient plaisir à aguicher les vieilles au passage, je me suis mis à avoir des pensées plus que brûlantes et n'avais qu'une envie : Passer à l'action !

Donc, le jacuzzi ce soir là n'était pas plein de monde, en fait je suis resté seul un bon moment à regarder les étoiles, c'était mal parti pour la séance rêvée !

Quand du fond du jardin je vois apparaître un mec d'une beauté époustouflante :
Grand, mince et musclé, poilu ras bien dessiné sur le torse, une bite au repos épaisse sur des couilles lourdes et rasées.
En accessoires, un ball stretcher en métal très impressionnant qui faisait encore plus ressortir ses couilles et il avait les seins percés d'anneaux en métal noir.

La panoplie se complétait de tatouages tribaux autour des biceps et du nombril...

Ma bite immédiatement réagit à ce spectacle pendant qu'il s'installait tranquillement dans le jacuzzi en me lançant un sourire ravageur en plongeant ses yeux bleus dans les miens. Je fus immédiatement rassuré sur mon pouvoir de séduction, car malgré mes 40 ans passés, je pense encore pouvoir hypnotiser !
Mince, avec une allure qualifiée parfois de démoniaque dans le visage, j'ai aussi une bite qui, généralement, impressionne.

Ce fut le cas apparemment, car même à travers l'eau bouillonnante, il voyait bien que je bandais déjà.

Un petit sourire suffit à nous faire quitter l'endroit pour nous diriger non vers une de nos chambres, mais vers la cave aménagée de la guesthouse dont j'ignorais l'existence.
Quelle ne fut ma surprise de voir un sol entièrement carrelée aux murs peints en rouge, comme si la pièce était une immense douche, un sling, une croix de saint André..

Il me mit tout de suite en situation :
• A genoux ! (ce que je fis sans me faire prier.)
• Ouvre ta bouche en grand !

Et là il me crache un long jet de salive chaude dans ma bouche ouverte tout en rapprochant le bout de sa queue légèrement durcie. Quelques gouttes de pisse ont commencé a goutter de sa queue pour venir humecter ma bouche déjà remplie par sa salive.
Puis un jet puissant de pisse à suivi, inondant mon corps et remplissant ma bouche. J'en bus le plus possible, cette eau claire et sucrée me faisait un effet fou !.

Pendant ce temps là je me pinçais le bout des seins d'une main tout en reniflant du poppers de l'autre. Et je me mis à décoller .....

La pisse mêlée à sa salive m'enduit la figure et le torse offert à tout ce qu'il pourrait me donner...et il continue à pisser et à me cracher dessus. Il est temps de changer les rôles car j'ai une furieuse envie qu'il me suce, ma bite palpite. Je l'agrippe par les cheveux et le force à se mettre au sol humide de son liquide.

Ma bite force un passage dans sa gorge et semble l'étouffer, il manque à plusieurs reprises de régurgiter mon énorme chibre mais obéit à mon insistance à vouloir qu'il se la prenne bien.
En sortant ma bite de sa bouche je m'aperçois que je mouille comme un fou, j'en recueille quelques gouttes que je lui fais bouffer et m'en humecte les lèvres.
Se tordant sur le sol il se retourne et me présente son cul, bombé, poilu avec un petit trou brun entouré d'une couronne de poils noirs et fins. Le trou palpite et m'invite. Ma bouche s'accroche au trou et je lape avidement ses sucs tout en bavant sur les fesses tendues.
Son cul est prêt, mes doigts s'y enfoncent sans efforts, un premier, puis un second, je sens que je peux aller encore plus loin encore.
Je tends la main vers un pot de crème aimablement disposé près du sol et m'en recouvre bien la main droite.
Et je reprends mon jeu avec son cul, mes doigts s' infiltrent à nouveau et cette fois je sens que mon poing tout entier va rentrer !
Son cul est chaud et doux comme du velours et ses gémissements de plaisir prouvent que je suis sur la bonne voie. J'en profite pour lui lécher les couilles tout en cueillant au passage du bout de ma langue sa mouille qui coule abondamment de sa queue dressée.
Mon poing s'enfonce plus profondément, il attrape mon poignet et pousse plus en avant ma main en lui, je sens que son plaisir s'accroît. Mais il ne va pas s'en tirer comme ça !
Il faut que je le baise, comme un fou, alors d'un coup sec je retire mon poing et le remplace par ma bite.
Elle s'enfonce d'un coup jusqu'aux couilles et je la laisse palpiter en lui sans bouger, je sens les contractions de son cul autour de ma bite, s'il continue je n'aurai même pas besoin de bouger pour jouir ! Il faut faire durer le plaisir et ne pas précipiter les choses....
Je retire ma queue de son cul et lui remet dans la bouche directement pour qu'il ait le goût de son intimité. Puis je l'embrasse goulûment pour que nous partagions ce plaisir.
Je veux aussi qu'il me baise, mais avant il faut que je lui pisse dans le cul, je le pénètre à nouveau violemment et laisse aller.....ma pisse le remplit d'un liquide chaud.
J'attends de m'être bien vidé la vessie, puis mets ma bouche près de son trou, et je lui demande de me rendre ce que je lui ai donné.
Son trou palpite encore et commence à relâcher ma pisse que je bois des lèvres et de la langue.
Notre plaisir est évident, nous venons de nous trouver un partenaire enfin à la hauteur de nos phantasmes !

Après avoir rempli ma bouche de ce liquide je l'embrasse à nouveau, il gémit de plaisir et me déclare qu'il n'en peut plus, qu'il a envie de jouir, il faut dire que je suis limite aussi...mais il faut savoir prendre son temps.
Je veux inventer un scénario d'apothéose à cette rencontre, pour que nous nous en souvenions longtemps après. Je lui demande s'il est d'accord pour se laisser guider par mon inspiration et sa réponse me comble d'aise, j'ai le champ libre !
Son torse musclé et poilu luit de sueur, de pisse et de bave répandus par nos deux corps.
Je l'attache à la croix de saint André fixée au mur avec les menottes qui l'ornent, ses abdominaux se contractent sous l'effort et les veines de sa bite semblent vouloir exploser.
Il offre sa bouche, son torse et son sexe, tout est à moi, je vais en jouir à fond.

Je le suce longuement, goulûment, avalant sa mouille et sa sueur. Je crois qu'il va falloir conclure car je n'en peux plus de passion et de désir !

J'enfonce à nouveau mes doigts, puis mon poing entier dans son cul et le branle doucement jusqu'à sentir que sa mouille se transforme lentement en sperme, la montée du jus me rend fou ! J'ouvre en grand ma bouche pour ne pas en perdre une miette pendant que mon poing fouille ses entrailles et un jet puissant de foutre me remplit la bouche.
Je garde le tout en bouche sans l'avaler tout en me branlant frénétiquement jusqu'à ce que je répande moi même de longs jets sur ma main offerte, trois, quatre long jets de jus chaud remplissent ma main tandis que je tourne encore son jus dans ma bouche avec la langue et que des rugissements d'animal remplissent la pièce.

Puis je me lève et applique ma main pleine de foutre sur son visage que je barbouille, sa bouche que je remplis de mon jus.
Notre conclusion finale est un long baiser au foutre, qui mélange le sien au mien.
J'avale tous les liquides de nos bouches humides et gluantes tout en défaisant les menottes.
Cette séance nous laisse épuisés mais ravis, je constate avec surprise que sa bite est encore bien dure.....que faire ? Sans hésiter une seconde je me l'enfonce dans le cul. L'effet est immédiat : je re-bande comme un fou.
Le salaud me baise avec une violence animale et je sens que cette fois pas de pitié qui tienne, malgré mes cris de douleur il m'encule à fond en me crachant sur la base du cou et en léchant à nouveau ses propres crachats qui dégoulinent dans mon dos.

Il me précipite au sol tout en relevant mes jambes bien haut au dessus de ma tête pour bien me baiser à fond avec ma propre bite bien au dessus de ma figure.
Malgré cette position inconfortable, le carrelage qui me meurtrit le dos, je sens encore une vague de plaisir fou m'envahir.
Cette bite qui me défonce, ce ball stretcher des couilles qui me fait mal en venant se cogner contre mes fesses, tout concourt à une nouvelle jouissance.
Il éructe quelques grognements significatifs, c'est sûr, son jus remonte !!!

La simultanéité de ce qui arrive me stupéfait ! Mon gland à quelques centimètres de ma bouche se gonfle, le méat s'ouvre et le foutre se répand dans ma bouche, il retire sa queue de mon cul et me l'enfonce dans la bouche et je sens qu'il se vide encore les couilles.
J'ai du mal à avaler tout ce foutre en même temps, mais que voulez vous, je suis gourmand.
Il se penche à nouveau vers moi après avoir bien nettoyé sa queue dans ma bouche et m'embrasse longuement.

La nuit à été longue ! Nous nous levons, quittant la pièce en nous tenant la main délicatement du bout des doigts et nous dirigeons vers sa chambre.
Là nous nous allongeons voluptueusement tels des guépards repus et blottis l'un contre l'autre dans nos odeurs, nous nous endormons du sommeil des.......diablotins !

TERENCE



Aire de repos sur autoroute

 

Voilà plusieurs heures que je conduis et je commence à fatiguer. Il est dans les alentours de 22 h 00, il fait déjà nuit. Je décide de m' arrêter à la prochaine aire de repos, qui est à 10 km.

Lorsque j'arrive, il n' y a personne sauf des camions. Une voiture s'approche aussi. Ça tombe bien, j' essaie d allumer ma cigarette depuis 1 minute, mais mon briquet m'a lâché. Je demande au mec qui vient de se garer. Lui aussi sort fumer. On fume tous les deux en silence tout en se lançant des regards, en coin. Il est plutôt beau garçon. Je le vois se diriger vers les toilettes après avoir éteint sa cigarette. Ça tombe bien, je dois y aller aussi.
Je le vois aux urinoirs, alors j y vais aussi. Je me place à côté de lui et, discrètement, j' essaie de voir son sexe. Il le remarque et me fait un grand sourire. Une fois qu' il a fini, il se lave les mains. Ce que je fais deux secondes après lui, mais il les a déjà sèchées et reste derrière moi à me regarder. Je me retourne et le voit me sourire en me faisant un signe de tête vers les toilettes handicapés. Il entre dedans, laissant la porte ouverte. Surpris, je ne sais pas quoi faire. Mais je ne vais pas gâcher une si belle occasion. J' entre à mon tour et le vois, le pantalon baissé, en caleçon, avec une érection bien visible. Sans un mot ou aucune réflexion, je me baisse pour le lui enlever et je commence à le prendre en bouche. Il est bien monté et très dur. Il me caresse la tête pendant que je le suce. Je le regarde bien dans les yeux. Il apprécie énormément et ça se voit. Il ne tient pas longtemps avant de jouir entièrement dans ma bouche une quantité énorme de foutre. Ça devait faire longtemps qu' il n' avait rien fait. J'avale tout ce qu il me donne. Je nettoie bien son sexe avant de remonter son caleçon.
Je me relève et lui me prend ma bite en main. Il baisse mon pantalon et mon caleçon à mi cuisse et commence à me branler. Il s' est positionné derrière moi et son bras gauche me tient le haut du corps. Il crache dans sa main pour lubrifié et continue à me branler jusqu'à ce que j' éjacule sur le sol. Une fois que j ai tout sorti, il s' en va en me souhaitant bonne route.
Je me retrouve seul dans les toilettes a profiter de cette instant quelques minutes. Quand je repars à ma voiture, il n' est plus là. Je ne sais pas qui sait, ni son prénom mais c' était très agréable.

Je suis prêt à reprendre la route


Caenaime Calvados



La fête au village

 C'était lors d'un retour de nuit en pleine campagne. Je roulais depuis bien 4 heures et il devait être 23 heures. Je commençais à somnoler et je priais pour trouver un café ouvert. Faire une pause, boire un café, et pour tout dire, pisser un coup ! Vu le paysage qui défilait, cela semblait peine perdue : une succession de champs, de bois... Pas une baraque !

Je marmonnais que c'était vraiment une région à la con lorsque j'arrivais dans un village. Je vois une espèce de restau-café allumé avec un bordel du diable à l'intérieur. Là, je me dis que la pause est arrivée ! Je me présente à la porte d'où le tenancier m'envoie chier car c'est une soirée de mariage, donc privée. Pas de bol ! Je retourne à ma bagnole, m'assois sur le capot pour fumer un clope. C'est alors que je m'aperçois qu'il y a des toilettes publiques dans un renfoncement de la place.

Machinalement, j'y vais pour pisser et me passer un coup de flotte sur la tronche pour me réveiller un peu. Je me présente devant une pissotière et je commence à pisser quand un type en costard débraillé, brun, assez grand, 35-40 ans, genre "cadre dynamique", se place en face de la pissotière à coté de moi. Il sort sa bite et commence à uriner. On se regarde, au bout d'un moment, il hoche la tête en faisant la moue. En se penchant en avant pour voir ma queue et en arrière pour voir mon cul dans mon jean moulant, il me dit "pas mal !". J'avais deviné deux choses: d'une part je lui plaisais et d'autre part, c'était un des invités du restau qui était sorti prendre l'air.

J'avais ma queue dans ma main et ce type venait de me complimenter sur mon cul et je sentais que je n'allais pas tarder à bander. D'un coup, il se retire de la pissotière d'où il était, mais sans refermer son slip ni son pantalon. Intrigué, je me retourne et je le vois adossé au mur derrière moi, se caressant la bite de la main droite et le torse sous sa chemise de l'autre main. Cela m'a subitement excité : "ça te plaît de t'exciter en regardant mon cul comme ça ?".

Lui :"Excuse moi, cela ne m'arrive pas souvent, mais tu as un beau cul, t'inquiète pas, je fais que me branler. Tu pourrais bouger tes fesses ? Allez, s'il te plait..."

Moi, je commençais réellement à bander. je bougeais mes fesses d'un mouvement circulaire horizontal en passant ma main sur mes fesses et de l'autre main, je me branlais. Je lui préparais un truc pour le faire exploser : doucement, d'une main, je baissais mon pantalon et mon slip de sorte que je me retrouve les fesses à l'air. Je le regardais en tournant la tête, en souriant et en me passant la langue sur les lèvres.

Lorsque j'avais baissé mon pantalon, il se précipita à genoux derrière moi en me suppliant "je peux toucher ? Je peux toucher ?".

Il prit mes fesses à pleines mains pour les pétrir, passant sa langue sur chacune d'elles. Doucement, il m'écarta les fesses pour me faire la fente avec sa langue. Moi, je bandais comme un malade en me branlant.

Il se releva et prit ma queue d'une main pour accompagner mes mouvements. Il léchait mon coup et ma nuque. De l'autre main, il caressait mes fesses et laissait se balader un doigt dans ma fente. Sa bite chaude était contre ma hanche.

Je me baissais alors pour voir de plus près cette queue. C'était une queue légèrement courbée vers le haut, le gland décalotté très clair et une veine bleue qui zigzaguait curieusement. Pour rire j'essayais de la plier en deux : impossible! "Eh bien dis donc! Je te fais de l'effet !" lui dis je. "Tu n'as pas envie de savoir quel goût elle a ?" me dit il.

Sur ce, je m'exécutais : je prenais en bouche sa verge dure. Il sentait magnifiquement bon et cela se mariait au petit goût salé de son gland dû à son tout récent jet d'urine. Je passais mon nez le long de sa queue pour sentir l'odeur changer, du pubis au gland : du parfum subtil vers l'odeur de "mâle". Je renfournais alors sa queue dans ma bouche en lui massant les couilles. Avec un peu d'exercice, j'arrivais à avaler sa bite jusqu'à ce que mon nez atterrisse dans ses poils pubiens.

Il semblait prêt à jouir et se retira en me disant "attends, attends !!!". Il se posait sur le bord de l'évier des chiottes et se masturba lentement comme pour se calmer.

Lui :"Si tu le voulais, je te prendrais bien les fesses tellement tu m'excites !"

Moi :"Si tu as des capotes, mes petites fesses sont à toi" lui dis-je, excité, en lui faisant un clin d'oeil.

Lui : "attends ! J'en ai dans mon portefeuille !"

Pendant qu'il cherchait dans sa veste posée sur l'évier, j'entretenais la dureté de sa queue en le branlant, en lui caressant le dos et en lui embrassant la nuque. A nos deux mains, nous lui mettions la capote sur la queue.

Lui : "comment tu veux...Quelle position tu veux ?"

Moi : "Debout, contre le mur..."

A ce moment, il se dirige vers le déversoir de savon liquide de l'évier et me beurre les fesses d'un doigt, puis deux. C'est marrant, ce savon liquide ressemble, par sa couleur, à du sperme.

Je me place debout face au mur, prenant de chaque main les tuyaux de deux pissotières. Il balade verticalement son gland entre mes fesses comme pour simuler une recherche d'entrée... J'ai l'entrefesses grasse et la fente lubrifiée avec les moyens du bord. J'écartes comme je peux mes fesses avec mes deux mains, je veux lui signifier clairement le chemin à suivre. Son gland rencontre ma rosette.

Il me pénètre doucement, je lâche un râle de bonheur. J'ai l'impression que sa queue grossie à mesure qu'il me pénètre. Il lâche un souffle et instinctivement, je me caresse les couilles et je sens les siennes collées aux miennes : il est entré entièrement en moi ! Pas une douleur, rien ! Que du plaisir, grâce à cette lubrification de fortune ! Il commence ses allez retours et je prends plaisir à poser mon index à la naissance de mes fesses pour sentir son sexe allez et venir.

Au bout d'un moment, le cul rodé, je lui dis: "sors et rentre ! sors et rentre !". Je veux retrouver la sensation du moment où il enfourne sa queue dans mes fesses. Il s'exécute et fait une série rythmée d'entrées-sorties" qui m'usent de plaisir. Un peu provocateur, je lui sors:"Ah mon salaud ! Tu les aimes mes fesses !". Lui :"Ooooh ! Ma queue dans ton petit cul !"

Soudain, un homme d'une soixantaine d'année fait irruption et je me braque un peu. Le propriétaire de la queue qui me pilonne les fesses me chuchote à l'oreille "t'inquiète pas, c'est le vieil Henry, un vieil obsédé insomniaque qui vient mater les mecs pisser" et gueule au vieux: "dis donc Henry ! T'as encore jamais vu ça ici, hein ?". Je me prends au jeu et je fais des clins d'oeil, des bisous, des passages de ma langue sur mes lèvres en direction du vieux pendant que je me fais travailler les fesses. J'augmente l'excitation en faisant aller et venir mes mains sur les tuyaux des pissotières au rythme des allez retours de cette queue dans mes fesses. En gros, je l'allumais à mort !

Le vieux, hypnotisé, les yeux écarquillés, sorti sa bite et commençait a se branler. Il bandait dur ce cochon ! Il se rapprocha de nous pour caresser nos dos, nos fesses d'une main, tout en se branlant de l'autre. Je lui pris la queue d'une main pour le branler, il éjacula vite, se rhabilla et parti quasiment en courant le pantalon sur les chevilles. Délire !

Moi, je n'en pouvais plus. J'avais la queue dressée, rouge, turgescente, prêtre à cracher cette overdose d'excitation. L'ami derrière était endurant. Je sentais mes jambes flageoler sous le plaisir. Et soudain, j'ai éjaculé tout le contenu de mes couilles sur le mur sans me toucher la queue !

A ce moment, mon "pilonneur" se retira et retira son préservatif. Je lui proposais de le branler au-dessus de l'évier et je fus le témoin d'une belle série de giclées abondantes...

Nos esprits repris, nous avons fumé une cigarette. Et je lui posais la question: "qu'est-ce que tu fous dans cette soirée ?"

"Je suis le témoin du marié!"


Anonyme





Plan Jus

 

A la réponse à une annonce, je suis engagé par un soi-disant photographe de 51 ans. Il me propose de me recevoir dans le noir, de me bander les yeux et de me faire poser bouche offerte en gros plans avec du jus dans la bouche.

Je suis ok. Il me précise que je devrais poser plusieurs heures, Je devrais prendre mon temps pour bien sucer et obtenir de fortes éjaculations. Il est possible que je doive sucer plusieurs bites.
J'accepte sa proposition et me rends au lieu de rendez-vous, chez lui. Je sonne. Un homme correspondant à la description ouvre la porte. Il sors sans me laisser entrer. De suite, il place un bandeau sur mes yeux. Je suis dans le noir complet. Après m'avoir fait confirmer que j'étais toujours partant, il me fait entrer. Nous entrons dans une pièce et j'entends des murmures autour de moi. Plusieurs hommes discutent mais je ne distingue pas ce qu'ils disent. Je dois me foutre à poil et m'agenouiller en ouvrant la bouche. Je ne sais pas combien ils sont. La situation m'excite et, dans le même temps une légère appréhension s'empare de moi. Je m'exécute. Après tout, je suis venu pour ça !

Aussitôt, je sens une bite contre mon visage. Son gland se présente entre mes lèvres. Je le gobe et je suce délicatement son membre. Au bout de quelques minutes, il m'inonde la bouche. Je ne dois pas avaler mais garder le sperme. Tout en ouvrant la bouche offerte à l'objectif de l'appareil photo de mon hôte. Une seconde queue se présente. Son gland tape contre mes lèvres. Je suppose qu'il se branle devant moi pour se vider à son tour dans ma bouche. Six bites se sont ainsi déversées. Et, comme cela ne suffit pas : chacun repasse pour une deuxième tournée.
Une fois satisfait, le photographe me dit : "Je vais te donner une prime ! Et si tu ne dis pas un mot, elle sera plus importante !" Comme j'avais la bouche remplie de foutre, je ne dis rien.
"Je vais te pisser dans la bouche, laisse bien déborder puis avale tout !" Aussitôt dit, aussitôt fait. Un homme, par derrière, me travaille les seins très fortement. Je finis par avaler le mélange sperme et pisse de ces inconnus.

Puis, l'un d'eux vient me sucer. J'envoie tout dans sa bouche. Aussitôt, il vient m'embrasser et me redonne mon propre sperme à avaler.

Ils m'aident tous à me rhabiller. Le photographe me raccompagne à l'extérieur et retire le bandeau de mes yeux. Il me remercie de ma venue et rentre aussitôt chez lui. Je n'ai vu personne et je ne sais pas si il y aura une autre séance.

ALEXANDRE