Aller au contenu

Sottevast

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sottevast
Sottevast
L'église Saint-Hermeland.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean-Pierre Tollemer
2020-2026
Code postal 50260
Code commune 50579
Démographie
Gentilé Sottevastais
Population
municipale
1 447 hab. (2021 en évolution de +9,7 % par rapport à 2015)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 22″ nord, 1° 35′ 40″ ouest
Altitude Min. 30 m
Max. 147 m
Superficie 10,82 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bricquebec-en-Cotentin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sottevast
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sottevast
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Sottevast
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Sottevast
Liens
Site web www.ville-sottevast.fr

Sottevast [sɔtva] est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 447 habitants[Note 1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Sottevast se situe dans la Manche à 13,3 kilomètres (à vol d'oiseau) de Cherbourg-en-Cotentin, elle appartient au canton de Bricquebec-en-Cotentin et à l'arrondissement de Cherbourg.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 007 mm, avec 14,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Sottevast est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (66,8 %), terres arables (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (8,1 %), forêts (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sotenvast (lire Sotewast) en 996 et 1008, Sotewast vers 1060, Sotevast vers 1135, Sotewast au XIIe siècle, Sottewast / Sottevast fin XIIe siècle, un Odo de Sotewasto [Eude / Odon de Sotewast] est mentionné en 1204[14].

Le premier élément Sotte- représente l'anthroponyme norrois Sóti ou vieux danois Soti/Sote, relativement fréquent en Normandie, puisqu'on le rencontre dans plusieurs Sotteville[14],[15],[16].

L'élément -vast en composition et en postposition est caractéristique du Cotentin (ex. : Martinvast, Chiffrevast, Tollevast et Barnavast), bien qu'il ne soit pas totalement absent ailleurs cf. le Véraval (ou le Ver-à-Val) à Autretot (Seine-Maritime, Warelwast en 1024)[17]. Vast (anciennement wast, [w] ayant évolué en [v] au XIIe siècle en normand septentrional) est une forme septentrionale équivalente au français gast (que l'on retrouve dans la partie méridionale de la Manche dans Saint-Denis-le-Gast) et qui signifie « terre inculte, terre gâtée » de même origine que le verbe français gâter (anciennement gaster)[18]. Il remonte au gallo-roman WASTU, terme issu du croisement entre le bas latin vastu « terre dévastée » et le germanique *wôsti « désert » (allemand Wüste « désert »)[18].

Remarque : le graphe W-/w se maintient dans la toponymie normande en général jusqu'au XIIIe siècle compris, mais sa prononciation a évolué de [w] à [v] dès le XIIe siècle[19], alors qu'en Picardie occidentale, par exemple, elle se maintient jusqu'à aujourd'hui.

Le gentilé est Sottevastais.

Dans la première moitié du XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Néhou[20], et au début du XIIIe siècle, comme relaté dans les Scripta de feodis, elle avait basculé dans l'honneur de Bricquebec[21].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait de l'intendance de Caen, de l'élection de Valognes, et de la sergenterie de Tollevast. On n'a du point de vue laïc que des renseignements peu précis, en tout cas très restreints sur les diverses familles qui se sont succédé à Sottevast, et sur le rôle qu'elles y ont joué. L'histoire[22] nous conserve le souvenir d'un certain Eudes de Sottevast, seigneur du lieu[Note 3], qui à la fin du XIIe siècle, se fit remarquer par un duel qui eut, malheureusement pour lui, des suites fâcheuses.

On dit, que, suivant la mode du temps, il se battit en duel contre Guillaume de Briqueville, pour dix acres de terre situés à Tourville. Il fut vaincu, et selon la solution de conflits semblables, la terre devint la propriété de Guillaume de Bricqueville. Mais plus tard, la sœur de ce dernier, Anne de Bricqueville, qui avait épousé Guillaume de Costentin, par scrupule sans doute, et après avoir obtenu le consentement de son fils, fit don à l'abbaye de La Lucerne de ces dix acres de terre Decem acras terrae quas Willelmus de Bricqueville, de Eudes de Sottevast per auellium conquisiverat. L'évêque de Coutances, Guillaume de Tournebu, confirma cette donation.

Le baron de Bricquebec, suivant les traces du seigneur de Sottevast, avait fait un don à l'abbaye de Lessay, cette abbaye avait reçu de Raoul de Sottevast l'église même de cette localité Ex dono Radulphi de Sottevast. En 1186, le pape Urbain III ratifia cette donation et celle du seigneur de Bricquebec. Voici d'après ce livre noir, quelle était la distribution des revenus de l'église. L'abbé de Lessay avait deux parts de la dîme et le curé la troisième. D'après le livre blanc les dîmes se divisaient en trois parts, l'une appartenait à l'abbé de Lessay, la seconde au prieur de Vauville, et la troisième au curé. Quant à la dîme des novales, le chapitre de Coutances, et l'abbé de Cerisy intervenaient pour chacun une part.

Un Guillaume de Sottevast figurait au nombre des chevaliers qui comparurent à la revue de la garnison de Cherbourg le . En 1523, c'est Guillaume de Couvert, écuyer, qui est seigneur de Sottevast et d'Auderville[23].

Pendant les guerres de Religion, Sottevast avait comme châtelaine une dame de Couvert, qui, protestante fanatique, préféra brûler sur le pont Saint-Simon les titres mêmes de sa maison que de les laisser entre les mains de son fils qui s'était converti au catholicisme. C'était probablement une des descendantes de cette châtelaine, que Henri de Chivré, écuyer, épousa en l'année 1660. Cette famille de Chivré habitait d'ailleurs depuis longtemps la contrée, et y avait acquis une certaine influence qui ne fit que grandir et s'affirma surtout pendant le XVIIIe siècle où figure un Henri de Chivré, chevalier. Les de Chivré avaient un château qui subsiste encore, et est en la possession de la famille.

Sottevast offre plus d'intérêt encore au point de vue religieux. Son église est sous le vocable de Saint-Hermeland ou Saint-Herbland et dépendait de l'archidiaconé du Cotentin et du doyenné des Pieux.

Si Sottevast est maintenant le point de jonction de la voie ferrée qui, d'une part, se dirige sur Cherbourg, et se rend d'autre part, à Coutances, il possédait autrefois une voie romaine qui venait de Coriallum, et aboutissait à Cosedia. Cette voie traversait l'Ouve à Sottevast, et il existait dans la rivière même, un gué pavé, très solidement établi. En 1819, on découvrit dans un champ appelé l'ancien hameau, une collection de monnaies romaines en argent, renfermées dans un vase en bronze. Ces médailles allaient de Commode à Postume.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Sottevast Blason
Parti : au premier d'argent au soleil non figuré de gueules à huit rayons droits ; au second mi-parti d'argent aux deux bandes de gueules accompagnées de sept coquilles de même, 1, 3 et 3[24].
Détails
Adopté par délibération municipale du 21 février 2005.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1795 Théodore Lerouvillois    
1795 1796 Guillaume Pierre Pesnelle    
1796 1798 François Victor Morin   Médecin
1798 1800 Jean Thomas Anquetil    
1800 1815 François Victor Morin   Médecin
1816 1825 Camille Louis de Chivré   Propriétaire
1825 1843 Alexandre Blaise Dorléans   Cultivateur
1843 1847 Pierre François Anquetil    
1847 1854 Jean Maurice Alexandre Mabire    
1854 1873 Louis Marie de Chivré   Propriétaire
1874 1879 Jean-Baptiste Letellier    
1879 1883 Aldonse Armand Marie de Chivré   Propriétaire
1884 1892 Joseph Laurent Bazile Lebarbenchon    
1892 1900 Pierre Louis Bienaimé Jacqueline    
1900 1919 Joseph Alphonse Lelong    
1919 1925 Maurice Pierre Lebon    
1925 1938 Henri Jules Marie Lasnier de Loizellerie   Propriétaire
1938 1944 Louis Desprez    
1944 1945 Gustave Delacotte    
1945 1968 Robert Lasnier de Loizellerie   Propriétaire
1968 1995 Auguste Pasquier    
1995[26] mars 2014 Françoise Bougis   Assistante en logistique
mars 2014[27] juillet 2020 Guy Castel SE Ingénieur retraité
juillet 2020[28] En cours Jean-Pierre Tollemer DVG Éducateur technicien spécialisé
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[28].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 1 447 habitants[Note 4], en évolution de +9,7 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Sottevast a compté jusqu'à 1 430 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1761 2151 3181 4301 1041 1541 1331 1191 072
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 001922909894896941868821771
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
760795772809806808793787781
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8187257299191 1461 1961 3121 3451 333
2018 2021 - - - - - - -
1 4181 447-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'ancienne abbaye et sa chapelle Sainte-Suzanne.
Le patronage de l'église en 1665 était devenu laïque, le seigneur le possédait.
Il se dit que cette chapelle devait sa fondation à saint Hermeland lui-même.
  • Vestiges d'un séminaire. C'est peut-être le cachet religieux que ces diverses fondations avaient donné à cette paroisse, ou des anciens droits du chapitre de la cathédrale de Coutances, qui portèrent un des évêques de Coutances, monseigneur Dupont à établir en 1819 à Sottevast un petit séminaire sous la direction de l'abbé Le Barbenchon, pour la formation des jeunes clercs. Cet établissement a subsisté pendant un certain nombre d'années, il n'en reste que quelques vestiges.
  • Château de Sottevast, du XVIIe siècle. Il arbore une grande façade classique avec un pavillon central en légère saillie et un fronton en arrondi assez rare. Il a remplacé une série d'édifices bâtis à cet emplacement depuis le Moyen Âge[37].
  • Ferme-manoir des Fontaines du XVIIe siècle.
  • Ferme du Prieuré des XVIe – XIXe siècles.
  • Croix de chemin dite Croix Pinchon, du XVIIe siècle.
  • Croix de cimetière Saint-Jacques du XVIe siècle.
  • If funéraire du cimetière.

Activité et manifestations

[modifier | modifier le code]

Le Football Club Sottevast-Saint-Joseph fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[38].

Personnalités liées

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 241.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 631.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Eudes de Sottevast était seigneur et patron de Sottevast, de Gréville, de Vasteville et d'Hardinvast[20].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolutio n, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Sottevast et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sottevast ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. a et b François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 220.
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 662a.
  16. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 249a.
  17. François de Beaurepaire, op. cit., p. 39.
  18. a et b gâter sur le site du CNRTL (lire en ligne) [1].
  19. René Lepelley, La Normandie dialectale
  20. a et b Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 184.
  21. Delacampagne 1982, p. 187.
  22. Tout ce paragraphe est extrait de : Monographie des Villes et Villages de France, Bricquebec et ses environs de P. Lebreton, éd. Le Livre d'Histoire, réédition du livre de 1902, Sottevast, Sotenvast, Sotovast, Sotevast.
  23. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 20.
  24. « Sottevast Manche », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
  25. Jacques Blin, étude sur les maires des communes du canton de Bricquebec à partir des registres d'état civil
  26. « Françoise Bougis présente sa liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. « Guy Castel, nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. a et b « Municipales à Sottevast. Jean-Pierre Tollemer, nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « À Sottevast (50), le bijou industriel des Maîtres laitiers », sur entreprises.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. Œuvres mobilières classées à Sottevast.
  35. Gautier 2014, p. 631.
  36. « Chapelle Sainte-Suzanne de l'Abbaye », notice no PA00110614, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 271.
  38. « F. C. Sottevast-St-Joseph », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).