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Cuqueron

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Cuqueron
Cuqueron
Les crêtes de Cuqueron.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Lionel Sanchez
2020-2026
Code postal 64360
Code commune 64197
Démographie
Gentilé Cuqueronnais
Population
municipale
191 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 06″ nord, 0° 33′ 03″ ouest
Altitude Min. 134 m
Max. 290 m
Superficie 3,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Mourenx
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Cuqueron
Géolocalisation sur la carte : France
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Cuqueron
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Cuqueron
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Cuqueron

Cuqueron (en béarnais Cuqueroû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Cuqueron se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 21 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 12 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Parbayse (1,1 km), Monein (2,2 km), Arbus (4,1 km), Abos (4,6 km), Tarsacq (4,6 km), Lacommande (5,7 km), Pardies (6,1 km), Denguin (6,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Cuqueron fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Monein et Parbayse.

Communes limitrophes de Cuqueron[6]
Parbayse
Cuqueron
Monein

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Cuqueron.

La commune est drainée par la Baylongue, la Baysère, un bras de la Baysère, un bras de la Baysère, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Baylongue, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune d'Estialescq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baysèresur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[8].

La Baysère, d'une longueur totale de 20,4 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse à Mourenx, après avoir traversé 6 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 252 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 2 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[18], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[21].

Au , Cuqueron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[23],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (69,5 %), terres arables (20,7 %), forêts (9,8 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Cuqueron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cuqueron.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 89,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[30].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2008, 2009 et 2018, par des mouvements de terrain en 2014 et par des glissements de terrain en 1994[27].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cuqueron est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[31].

Le toponyme Cuqueron apparaît[32] sous les formes Cucuror (XIIe siècle, d'après Pierre de Marca[33]), Cucuroo (1345, notaires de Pardies[34]), Cuquroo (1385, censier de Béarn[35]), Sent Miqueu de Quoquron et Coquron (respectivement 1434 et 1441, notaires d'Oloron[36]), Cocuroo (1456, cartulaire d'Ossau[37]), Cocuro (vers 1540, réformation de Béarn[38]), Cocurour et Cuquerour (respectivement 1655 et 1657, notaires de Monein[39]), Cocurour, Cuquerour et Coucuron (respectivement 1655, 1657 et 1675, réformation de Béarn[38]).

Il est composé de la racine pré-indo-européenne *kuk avec un allongement ce qui donne kukuru, le n étant dû à la romanisation[40].

Son nom béarnais est Cuqueron.

Paul Raymond[32] note qu'en 1385 Cuqueron dépendait du bailliage de Monein et comptait 16 feux.

Politique et administration

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Situation administrative

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Cuqueron a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau[41].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Michel Barbé    
2001 2008 Michel Barbé    
2008 2014 Michel Barbé    
2014 2020 Michel Barbé    
2020 2026 Lionel Sanchez    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune fait partie de trois structures intercommunales[42] :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises ;
  • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2021, la commune comptait 191 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
361325349356364364356313303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
314310278261261258257263275
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
274287274242220220221198180
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
167157141174194225190176188
2018 2021 - - - - - - -
187191-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

L'activité est principalement agricole (élevage, maïs).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L’église paroissiale est l’église Saint-Michel.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mourenx comprend deux villes-centres (Monein et Mourenx) et sept communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Cuqueron » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Cuqueron », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Cuqueron », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Cuqueron ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Cuqueron et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Cuqueron et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Cuqueron », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Cuqueron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « la Baylongue ».
  9. Sandre, « la Baysère ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Cuqueron et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cuqueron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cuqueron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Mourenx », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Cuqueron », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  32. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  33. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  34. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  36. Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Cartulaire d'Ossau ou livre rouge, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xve siècle..
  38. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. Notaires de Monein - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 193..
  41. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Articles connexes

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Liens externes

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