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Saint-Pé-de-Léren

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Saint-Pé-de-Léren
Saint-Pé-de-Léren
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Gérard Loustau
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64494
Démographie
Gentilé Saint Pérot ou Saint Pérotte
Population
municipale
265 hab. (2021 en évolution de +3,11 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 35″ nord, 1° 02′ 12″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 49 m
Superficie 5,31 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Pé-de-Léren
Liens
Site web http://www.saint-pe-de-leren.fr

Saint-Pé-de-Léren (prononcé [sɛ̃ pe də leʁɛ̃] ; en béarnais Sent-Pèr-de-Lèren ou Sén-Pè-de-Lèren) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Pé-de-Léren se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 75 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 54 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Peyrehorade[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Léren (1,2 km), Saint-Dos (2,5 km), Carresse-Cassaber (3,8 km), Auterrive (4,3 km), Sorde-l'Abbaye (4,3 km), Labastide-Villefranche (4,6 km), Saint-Cricq-du-Gave (5,1 km), Arancou (5,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Pé-de-Léren fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sorde-l'Abbaye, Came, Carresse-Cassaber, Labastide-Villefranche, Léren et Saint-Dos.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Pé-de-Léren.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Baniou, un bras du gave d'Oloron, L'Entran, le ruisseau Lagabotte, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il borde la commune a l'est puis est rejoint par le gave de Pau en amont de Peyrehorade pour former les Gaves réunis, après avoir traversé 64 communes[9].

Le Baniou, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de Came et s'écoule du sud vers le nord. Il borde la commune à l'ouest puis se jette dans les gaves réunis à Oeyregave, après avoir traversé 8 communes[10].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 296 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 8 km à vol d'oiseau[14], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[19], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » (46,07 ha), couvrant 2 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Au , Saint-Pé-de-Léren est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), forêts (9,6 %), eaux continentales[Note 6] (5,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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  • la Bourgade ;
  • le Bois ;
  • Lapeyre.

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la route départementale 28.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Pé-de-Léren est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Baniou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014, 2018, 2019, 2021 et 2022[30],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pé-de-Léren.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[32].

Attestations anciennes

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Le toponyme Saint-Pé-de-Léren apparaît sous les formes Sent-Per (1302[33], titres de Béarn[34]), Sanctus-Petrus de Sendos (1413[33], rôles gascons) et Saint-Pé en France (1675[33], réformation de Béarn[35]).

Étymologie

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Le nom vient du latin Sanctus Petrus qui donne Sent Pèir ou Sent Pèr en gascon. L'hypothèse faisant venir le nom du village du gascon sendèr (sentier) est assez peu plausible. L'orthographe a fluctué allant de Saint-Pée à Saint-Pé avant de devenir définitivement Saint-Pé de Léren au début du XXe siècle pour le distinguer de Saint-Pée-sur-Nivelle.

Graphie béarnaise

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Son nom béarnais est Sent-Pèr-de-Lèren[36] ou Sén-Pè-de-Lèren[37].

Paul Raymond[33] note que Saint-Pé-de-Léren appartenait à l'archiprêtré de Rivière-Fleuve, nom d'un archiprêtré du diocèse de Dax qui tirait son nom de l'Adour.

La baronnie de Saint-Pé-de-Léren

La commune formait avec Came et Sames une baronnie dépendant du château de Dax, incluse dans le duché de Gramont.

Le village est né du dénombrement de grandes propriétés gallo-romaines et a très longtemps dépendu de l'abbaye bénédictine de Sorde. Il se présente avec un habitat très dispersé de chaque côté de l'ancienne voie de communication Peyrehorade-Oloron.

Politique et administration

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Situation administrative

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Saint-Pé-de-Léren a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[38].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995

2020

2020

à ce jour

Bernard Saphores

Gérard Loustau

   

Intercommunalité

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Saint-Pé-de-Léren fait partie de sept structures intercommunales[39] :

  • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVU des cinq villages ;
  • le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 265 habitants[Note 8], en évolution de +3,11 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
296334390400420391376379388
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
438405380387409372378362378
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
337353340303295304272246248
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
228217200207207205235243255
2018 2021 - - - - - - -
258265-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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  • Groupe de chanteurs béarnais et de danseurs-es sur échasses "Les Chancayres"
  • Festival Lo Primtemps de l'Arribèra[44] qui se tient la veille des vacances de Pâques (3 jours-dont 2 jours avec les enfants de écoles)
  • École de musique
  • Bibliothèque municipale

Patrimoine civil

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Le château Labernède était le siège d'une notairerie royale pendant des siècles.

Le château Girard fut propriété d'un inspecteur général des troupes indigènes au Tonkin.

Le moulin Dufau, moulin à eau toujours en activité, bâti au XIIe siècle par les moines de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, produit des farines Bio de blé, seigle, sarrasin, maïs, petit épeautre, à partir de grains fournis par des producteurs locaux. La vente s'effectue aux boulangers, commerces et particuliers.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Pierre[45] avec son clocher récent qui a remplacé un clocher fronton probablement trinitaire, date partiellement du milieu du Moyen Âge. Plusieurs curés et seigneurs sont inhumés dans l'église. Elle recèle deux vitraux, l'un de Mauméjean représentant la tiare pontificale, l'autre dit « du coq » symbolisant le reniement de saint Pierre.

Équipements

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Enseignement

Saint-Pé-de-Léren dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune

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Bernard Charbonneau a habité dans la commune jusqu'à la fin de sa vie ; décédé en 1996 à la clinique de Saint-Palais, il est inhumé dans un caveau personnel situé dans sa propriété « Le Boucau » proche du gave d'Oloron ; son épouse Henriette, née Daudin et décédée en 2005 est inhumée également dans ce caveau auprès de son mari[46].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Pé-de-Léren » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pé-de-Léren ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Léren et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Saint-Pé-de-Léren », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Saint-Pé-de-Léren », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. Sandre, « le Baniou ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Saint-Pé-de-Léren et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pé-de-Léren », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pé-de-Léren », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  34. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  36. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
  37. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  38. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
  39. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Site du festival Le Primtemps de l'Arribéra
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
  46. « Tombe d’Henriette et Bernard Charbonneau à Saint-Pé-de-Léren », sur lagrandemue.wordpress.com, (consulté le ).

Bibliographie

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  • Alexis Ichas, Historial de Saint-Pé-de-Léren (réimpr. 2008)
  • Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Alexis Ichas - Éditions Gascogne

Articles connexes

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Liens externes

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