Saint-Roman-de-Malegarde
Saint-Roman-de-Malegarde | |||||
Fontaine de Saint-Roman-de-Malegarde, sur la place de la Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Vaucluse | ||||
Arrondissement | Carpentras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vaison Ventoux | ||||
Maire Mandat |
Marie-Claire Michel 2020-2026 |
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Code postal | 84290 | ||||
Code commune | 84117 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Romanais, Saint-Romanaises | ||||
Population municipale |
336 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 16′ 16″ nord, 4° 57′ 50″ est | ||||
Altitude | 200 m Min. 125 m Max. 366 m |
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Superficie | 8,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vaison-la-Romaine | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Saint-Roman-de-Malegarde est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants se nomment les Romanais[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Située dans le nord Vaucluse, Saint-Roman-de-Malegarde est à mi-chemin entre Bollène (20 km), Vaison-la-Romaine (14 km) et Orange (20 km).
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La route départementale 51 traverse la commune d'est en ouest, et la 51a rejoint la Drôme pour y devenir la route départementale 75. Une variante du GR4 passe sur la commune, au sud du bourg.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à la sortie de Bollène.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Commune desservie par le réseau régional Sud Mobilité[2].
Relief
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Roman-de-Malegarde se situe sur la partie septentrionale d'une colline qui la sépare de celles de Roaix et de Rasteau[3]. La partie au nord du bourg (plaine de l'Aygues) est plus basse que celle au sud (collines).
Géologie
[modifier | modifier le code]La croupe sur laquelle est établi le village provient d'un ancien fond marin du tertiaire où s'est déposée une molasse jaunâtre, le safre. Des coteaux d'argile blanche, mêlée de calcaire, s'étagent sur le versant sud. Les terrasses qui jouxtent l'Aygues sont formées d'alluvions du quaternaire.
Sismicité
[modifier | modifier le code]Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Vaison-la-Romaine auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Saint-Roman est située sur le bord de l'Aygues[3].
Saint-Roman-de-Malegarde dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 600 équivalent-habitants[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Visan », sur la commune de Visan à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,9 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune est attesté, à partir 1317, sous la forme Sancti Romani de Mala Gardia. Ce qualificatif provient du germain ward (garde → tour de garde) qui a été latinisé en gardia. Le premier castrum de ce site avait donc fort mauvaise réputation[1],[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Au bas du village, l'ancienne chapelle Saint-Nazaire a succédé à un fanum romain. Autour de ce site, très tôt christianisé, il a été retrouvé les vestiges d'un cimetière paléochrétien[14]. Le seul autre objet datant de la colonisation romaine est un miroir qui a été retrouvé dans la première partie du XXe siècle[1].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Au milieu du XIIe siècle, ce territoire dépendait de la Principauté d'Orange[15] dont les princes l'avaient inféodé aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem d'Orange[1]. Le château et son donjon furent édifiés au cours du XIIIe siècle[3]. Son enceinte, de forme quadrangulaire, était flanquée de tours aux quatre angles[15].
Commanderie des Templiers[16] : Domaine du Temple de Buisson, Maison du Temple de Roaix.
Jean XXII, second pape d'Avignon, décida, en 1317, de récupérer tous les biens des Hospitaliers du Comtat Venaissin et de ses terres adjacentes. Saint-Roman devient dès lors fief pontifical attribué à des seigneurs laïques. Le nom de l'un de ceux-ci fut Jacques Elziaire[1]. Ce fut à la fin du XIVe siècle que ce fief revint à Guillaume des Baux, prince d'Orange[15]. Il en rendit hommage à Benoît XIII avant que celui-ci quittât Avignon et entra en possession de Saint-Roman en janvier 1405[1].
Renaissance
[modifier | modifier le code]En mars 1427, le prince d'Orange légua ce fief, « avec château, ville, fort et territoires », à son neveu et héritier universel Jean de Rivette[1]. En 1429, ce fut son fils Aleman de Rivette, déjà co-seigneur de Bonnieux, qui hérita[15].
Au cours du XVIe siècle, ce fief fut en co-seigneurie entre les Rostang et les Ancézune. Ce qui n'empêcha point que le village et son château furent attaqués par les religionnaires de Nyons en 1574[15]. Le paréage prit fin au XVIIe siècle puisque les seuls seigneurs furent les Adhémar de Monteil comte de Grignan[1].
Période moderne
[modifier | modifier le code]Le paréage reprit au cours du XVIIIe siècle puisque les Limeil et les Lebeau-Béraud en furent co-seigneurs[1].
Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
La commune décida par deux fois de changer de nom en 1794. La première fois, elle se débaptisa en Roman-sur-Aygues et la seconde, elle prit la dénomination de Roman-Montagne[1].
Ce fut en 1856 que fut entièrement démoli le donjon après un vote du conseil municipal qui avait besoin de pierres pour édifier une digue sur les berges de l'Aygues[3].
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]Saint-Roman-de-Malegarde fait partie des 18 communes de Vaucluse qui ont le droit de classer leurs vins en côtes-du-rhône villages, AOC reconnue depuis le .
Héraldique
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Communauté de communes Pays Vaison Ventoux.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Roman-de-Malegarde est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20] et hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64,9 %), forêts (23,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), zones urbanisées (3,7 %), terres arables (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Fiscalité locale
[modifier | modifier le code]Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
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Taxe d'habitation (TH) | 6,86 % | 0,00 % | 7,55 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 11,62 % | 0,00 % | 10,20 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 40,32 % | 0,00 % | 28,96 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 00,00 % | 11,52 % | 13,00 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
Budget et fiscalité 2017
[modifier | modifier le code]En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 225 000 €, soit 670 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 199 000 €, soit 591 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 92 000 €, soit 274 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 258 000 €, soit 768 € par habitant ;
- endettement : 2 000 €, soit 5 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 6,86 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,62 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 42,28 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 401 €[26].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 336 habitants[Note 2], en évolution de +1,51 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2008 la commune compte 330 habitants, mais sa population augmente très fortement pendant les périodes estivales.
Économie
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]La commune est constituée de plusieurs maisons secondaires occupées pendant tout l'été ; il y a un restaurant et plusieurs gîtes sont à louer.
Agriculture
[modifier | modifier le code]Dans le courant du XIXe siècle, la commune produisait essentiellement des fruits, dont des cerises précoces qui étaient alors considérées comme les meilleures de la région[3].
Aujourd'hui, l'agriculture est constituée principalement de vignes qui produisent des vins classés en côtes-du-rhône villages (AOC). Il existe sur la commune le Domaine de Font-Croze. Les vendanges sont apportées dans la cave Costebelle de Tulette. On y produit également quelques cultures fruitières (pêche, abricot).
Commerces
[modifier | modifier le code]Le bar Chez Claudette, qui porte le label Bistrot de pays[31],[32], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ».
Le domaine Fond Croze, vigneron indépendant.
Patrimoine, lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- Ancien château dont il reste trois tours[33].
- Les fontaines, le lavoir, le vieux pont[34].
- Sculptures de Richard Di Rosa[35].
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Sur la colline séparant les villages de Saint-Roman-de-Malegarde, Rasteau et Cairanne il existe plusieurs sentiers botaniques[39].
Équipements ou Services
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école primaire publique en classe unique (école Jean-Moulin)[40], collège Joseph-d'Arbaud à Vaison-la-Romaine[41], puis vers les lycée Jean-Henri-Fabre à Carpentras[42].
Sports
[modifier | modifier le code]Plusieurs sentiers de promenade, pratique de la pêche, VTT, etc.
Santé
[modifier | modifier le code]Il n'y a ni pharmacie, ni docteur, ni dentiste sur cette commune. Les plus proches se trouvent à Visan ou à Cairanne. Le centre hospitalier se trouve sur Vaison-la-Romaine (chef-lieu de canton)[43].
Vie locale
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse de Vaison-la-Romaine[44], Diocèse d'Avignon.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Robert Bailly, op. cit., p. 379.
- Réseau régional Sud Mobilité
- Jules Courtet, op. cit., p. 290.
- Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48.
- Description de la station d'épuration
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Roman-de-Malegarde et Visan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Visan », sur la commune de Visan - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Visan », sur la commune de Visan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1919.
- Robert Bailly, op. cit., p. 380.
- Jules Courtet, op. cit., p. 291.
- « Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France », sur templiers.net (consulté le ).
- Vexillologie et Héraldique Provençale : Saint-Roman-de-Malegarde, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Armorial du Comtat Venaissin
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Roman-de-Malegarde ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Impôts locaux à Saint-Roman-de-Malegarde », taxes.com.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- L'ancien château-fort des Templiers
- Le patrimoine du village
- Sculptures de Richard Di Rosa
- Église paroissiale Saint-Roman
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) : Saint-Roman-de-Malegarde
- Monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945
- Sentiers botaniques
- Enseignement publique primaire en Vaucluse
- Carte scolaire du Vaucluse
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse de Vaison-la-Romaine
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Saint-Roman-de-Malegarde, p. 1086
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Roman-de-Malegarde sur le site de l'Institut géographique national
- Saint-Roman-de-Malegarde sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes