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Wikipédia:Oracle/semaine 15 2009

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Identifier un géant de procession

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Bonjour, Markus3 (d · c · b) cherche à identifier un géant de procession ([1]) dans le bistro du 6 avril. -- Xofc [me contacter] 6 avril 2009 à 06:40 (CEST)[répondre]

La Fédération des Géants du Nord indique ici que, le 13 mai 2007 (date de la photo semble-t-il), T'chout Jaques, Amandine et Dudule se sont promenés à Ham. Cette page dit tout sur ces personnages, mais je ne trouve pas qu'ils ressemblent beaucoup à la photo (notamment, le liseré de fleurs de lys paraît bizarre pour un personnage de paysan). Seudo (d) 6 avril 2009 à 07:53 (CEST)[répondre]
Après un peu plus de recherche, voici la réponse : c'est [PDF] Rigobert ! Merci à Google et surtout aux associations locales qui font des sites Web remarquables sur ce phénomène dont j'ignorais totalement l'existence ! Seudo (d) 6 avril 2009 à 08:00 (CEST)[répondre]
Merci à toi ! Je connaissais et ai déjà utilisé ce site pour "sourcer" des articles de WP (ces derniers jours notamment), mais (sans doute la tête trop bas dans le guidon) la page concernée m'avait tout bonnement échappé ! Comme quoi une démarche collective est toujous plus valable qu'un butinage individuel. Et par ailleurs, je n'avais pas non plus déniché le fameux "programme des festivités" en ligne ! Donc, double merci ! Amicalement - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 6 avril 2009 à 10:54 (CEST)[répondre]

Fruits à noyau

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Bonjour, Comment se passe l'élaboration d'un fruit à noyau? C'est complexe, la prune par exemple chair, noyau et amande. La noix bogue, écorce, amande. Dans un cas on mange l'extérieur, dans l'autre on mange l'intérieur.--Kkbs (d) 6 avril 2009 à 06:56 (CEST)[répondre]

Ils sont en effet formés de façons très distinctes... ce qui te perturbe c’est de les classer « fruits à noyau », ce qui implique qu’ils appartiennent à une même famille. Il y avait un cours de botanique très sympa sur le web mais je ne remets pas la main dessus... rv1729 6 avril 2009 à 09:46 (CEST) - Peut-être ça [2].--Doalex (d) 6 avril 2009 à 13:12 (CEST)[répondre]
C'est plus tordu que ça. L'amandier et le prunier sont des cousins, du genre Prunus. Pourtant on ne mange pas la même chose. En attendant le cours promis par RV, commence par lire drupe (en gros, la "chair" ou la "bogue"), et regarde ensuite la boite "Types de fruits botaniques" en bas de l'article. gem (d) 6 avril 2009 à 12:25 (CEST)[répondre]
Ah oui, tu as raison, je m’étais focalisé sur la différence entre noix et prune. rv1729 6 avril 2009 à 13:48 (CEST)[répondre]

Ce qui me pose problème c'est comment l'arbre concerné fabrique du "bois" a l'intérieur d'un fruit et qu'il y a une net partage entre fruit, coque et amande. D'ailleurs le noyau a t'il la composition du bois. Je regarderais les sites renseignés. --Kkbs (d) 6 avril 2009 à 13:30 (CEST)[répondre]

Le noyau est dit « lignifié », et en effet il contient les mêmes fibres que le bois. Cependant pour te répondre à fond il faudrait aller jusqu’à la biologie moléculaire de l’arbre ! (J’en suis bien incapable). Connaissant ta curiosité insatiable je te recommande cette note de blog : c’est totalement hors-sujet mais je suis certain que ça va t’intéresser.
Ah, j’ai retrouvé le cours auquel je pensais : le voici. Bonne lecture ! rv1729 6 avril 2009 à 13:52 (CEST)[répondre]

Merci, avec toute cette documentation, j'en ai pour un moment à lire et à comprendre (ou tout au moins essayer). --Kkbs (d) 6 avril 2009 à 14:48 (CEST)[répondre]

irréfréné ?

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Oracle multiple et omniscient, je te salue,

saurais-tu me dire si l'adjectif "irréfréné" est attesté en français ? La plupart des dictionnaires ne le mentionnent pas, mais d'autres le donnent comme un mot de langage soutenu... Existe-t-il dans la littérature ? Est-ce une acception récente ? Est-ce un anglicisme sur le modèle de "unrefrained", qui est déjà plutôt louche ?

Merci d'avance.

http://www.cnrtl.fr/definition/irréfréné rv1729 6 avril 2009 à 18:57 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup pour ce lien, je ne connaissais pas ce site, mais il a l'air tout à fait fiable.
Le Grand Robert (qui est maintenant en ligne mais payant) donne une seule citation : L'irréfréné Marchenoir sentait, néanmoins, qu'il se flattait d'une humilité impossible. Léon Bloy, le Désespéré, p. 100.
Avec comme définition : Littér. Qui n'est pas réfréné, réprimé
Le Petit Robert ignore le mot, tout comme le Collins pour la traduction anglaise. --Seymour (d) 7 avril 2009 à 01:14 (CEST)[répondre]
Merci !

les droits des femmes

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Bonsoir!

Je désirerai connaître, approximativement, à quelle date les femmes, d'abord celle de la noblesse et ensuite les femmes dans leurs ensembles, ont eu une liberté de lecture, dans le sens où elles n'étaient plus cantonnées seulement aux livres dit "corrects"... Je sais que c'est assez difficile à établir, mais le cas échéant pensez vous que je puisse juste prendre pour date le moment ou les femmes ont eu accès à l'école? Cela me paraît un peu pauvre...

Merci pour tout

Lola

je suppose limité a la France ? Et ceci officiellement ? Je dirais des qu'elles n'étaient plus considérées mineures ( "Les femmes en France sont sous la tutelle perpétuelle du mari, ne peuvent faire aucun acte non autorisé par leur mari.") Valable jusqu'en 1946: Le préambule de la Constitution pose le principe de l'égalité des droits entre hommes et femmes. Mais si vous pensez que cela commence avec l'éducation scolaire ( 1882, scolarité primaire, 1924, scolarité secondaire égaux ), je pense que vous faites erreur, puisque ces livres non-approuvés se trouvent par définition hors du cursus scolaire, et du cursus religieux. Connaissez-vous la biographie de George Sand, dans laquelle est précisée qu'elle se déguisait pour accéder aux bibliothèques restreintes? ViZiT (d) 6 avril 2009 à 22:52 (CEST)[répondre]
Conflit d'Edison...
Bonsoir Lola. D'après le romaniste du XIXe siècle Karl Bartsch, en Europe occidentale, au Moyen Âge « Les femmes lisaient plus que les hommes » ; par ailleurs le recueil « Colophons des manuscrits occidentaux des origines au XVIe siècle » donne une liste impressionnante de femmes copistes... et qui dit écrire, dit lire (l'inverse est moins vrai). Parmi les femmes qui ont laissé une oeuvre personnelle écrite, il y a au Moyen Âge, Dhuoda de Septimanie, Hildegarde de Bingen, Anne Comnène, Aliénor d'Aquitaine... Sous l’influence des traditions celte et germanique, les femmes ont gardé et exercé pouvoir et influence, apparaissant dans tous les aspects de la vie médiévale. En milieu rural, elles sont chargées de l'éducation morale et de l'instruction catéchistique, sur laquelle elles en savent plus que les hommes de la famille. En ville, les mères sont capables d'enseigner les rudiments de l'instruction. Elles savent lire, écrire et compter. Tout cela pour dire que cela remonte loin.
Et encore plus... parce qu'à Sumer, il y avait déjà des femmes-scribes. Enre-Duanna (XXIIIe siècle av. J.-C.) est considérée par les historiens comme la première personne auteure d’œuvres littéraires ; elle laissait son inscription sur les sceaux de sa domesticité, s’affirmant ainsi l’égale d’un roi.
L'accès à l'école remonte donc très loin – mais pas forcément dans toutes les classes sociales. Et c'est là que tu devrais préciser ta question... Émoticône Bien à toi, --Égoïté (d) 6 avril 2009 à 23:09 (CEST)[répondre]
Je "plussoie" Égoïté : contrairement à ce qu'on croit, la lecture pour les femmes n'est pas une affaire contemporaine. Qu'on pense à Sappho par exemple, ou aux femmes qu'Egoité cite. En ce qui concerne la notion de "livre correct", c'est assez délicat. Ça dépend de ce qu'on considère comme un livre correct... au XVIIIe siècle des femmes pouvaient tenir salon sans parler forcément de bondieuseries (voir Émilie du Châtelet, Germaine de Staël etc) et certaines lisaient suffisamment les philosophes pour faire de la politique (Olympe de Gouges, Manon Roland).
Finalement, c'est plutôt le XIXe siècle, appuyé sur le Code Napoléon et une certaine rigueur morale, qui a "bridé" les femmes et les a soumises intellectuellement à leurs maris.
Quant à l'éducation scolaire des filles, elle a commencé bien avant les lois de Jules Ferry, mais comme le dit ViZit de toutes façons ça n'est pas à l'école qu'on lit des livres "incorrects". C'est plutôt en dehors (Rimbaud et Baudelaire ont été longtemps exclus de la littérature scolaire comme étant des auteurs subversifs, par exemple). Serein [blabla] 7 avril 2009 à 01:18 (CEST)[répondre]

La droite sous la présidence de Charles de Gaulle

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Bonjour. Je dois faire un exposé sur Nationalisme Français pour une classe (mais ne vous inquiétez pas, je ne triche pas en demandant-vous, parce que Je dois faire l’exposé pour évaluer mon français, n'évaluer pas mon connaissances de la histoire française). Mais Allons... Concernant Charles de Gaulle et sa politique plutôt isolationniste (concernant politique internationale et l’OTAN) et sa peur de France devenir servile envers autre nations ; Est-ce que vous croyez que Gaullisme était du tout par nature nationaliste ? ou si pas, peut-être qu’il a laissé nationalisme de rester acceptable dans le climat de société, et continuer jusqu’au milieu du XXe siècle ? Si tel est le cas, est-ce que vous diriez que Gaullisme est responsable partiellement du nationalisme que existe toujours dans France aujourd’hui ? (Le Pen, FN, PNFE, etc.). Merci d'avance.

Je ne crois pas qu'on puisse dire que la politique du général de Gaulle était nationaliste au sens du nationalisme d'extrême droite qu'on a aujourd'hui. De Gaulle avait été dans sa jeunesse marqué par l'Action française, donc il avait une éducation nationaliste, mais sa politique a surtout été proche de ce qu'on appelle aujourd'hui le souverainisme, c'est-à-dire une volonté d'indépendance, mais sans s'isoler totalement et sans intention hostile vis-à-vis des autres pays. Par exemple, de Gaulle était très engagé dans la construction européenne, ce qui n'aurait pas été le cas s'il avait été fondamentalement nationaliste.
En ce qui concerne les formations nationalistes actuelles, elles se sont construites au départ contre le gaullisme, dans le contexte de la décolonisation et notamment des problèmes de l'Algérie (beaucoup des fondements du nationalisme français actuel sont issus de l'OAS et des mouvements similaires, comme Occident). l'Attentat du Petit-Clamart qui visait à tuer de Gaulle a été fait par des nationalistes. Le Pen était très anti-gaulliste dans ses débuts politiques et une partie de l'extrême-droite a voté contre la constitution de 1958 qui a fondé la Ve république. La différence entre le nationalisme actuel et le gaullisme tient essentiellement à la question de l'intégration européenne et à la question de l'immigration. Serein [blabla] 7 avril 2009 à 01:27 (CEST)[répondre]
Oui. Je comprends le sens de nationalisme, et en ce cas, je l’utilise pour signifier ‘promouvoir l’état’ plutôt que signifier explicitement du droite (Le contexte de mon exposé suit nationalisme français de la révolution à nos jours). Mais J’ai pensé si de Gaulles sentiment profond de réforme France en grand nation encore a créé un environnement lequel les groupes de l’extrême droite étaient plus susceptibles de surgir. Pas nécessairement que de Gaulle était du droite. Je suis vraiment désolé si mon français est un problème.
Le fait de « promouvoir l'État » dépasse largement le cadre des options politiques. L'histoire contemporaine est l'histoire du renforcement de l'État dans toutes ses composantes (que ce soit – pour prendre des exemples extrêmes – sous sa forme léniniste ou sa forme reaganienne). DocteurCosmos (d) 7 avril 2009 à 10:48 (CEST)[répondre]
votre français est plutôt bon, travailler quand même vos articles ( mais il manque d'article (eg : "le gaullisme" et non "gaullisme") et n'abusez pas des majuscules (eg : "je", "le nationalisme français").
concernant votre question, je ne suis pas du tout d'accord avec ce qui précède
De Gaulle était un nationaliste pur sucre, on aura d'ailleurs du mal en trouver un militaire français qui ne le soit pas. Et pas un souverainiste, son propos n'était pas de sauvegarder l'autonomie française menacée par les lois venues de l'étranger en général et l'Europe/Bruxelles en particulier, comme nos souverainistes actuels, mais d'assurer un rayonnement et une force autonome de la France (et de ses valeurs) dans le monde.
Quant à cette idée de promouvoir l'état, ça n'a rien de gaulliste. Pour lui c'est la France qui compte, pas l'état, et pour ça il s'appuie d'abord sur des hommes plutôt que sur des structures administratives (d'où sa réticence à l'égard des partis politiques, y compris le parti gaulliste)
gem (d) 7 avril 2009 à 13:01 (CEST)[répondre]
Gem : je ne suis pas tout à fait d'accord pour qualifier de Gaulle de « nationaliste pur sucre » dans le sens où les "valeurs" prônées par les courants politiques qu'on appelle "nationalistes" ne sont pas du tout les mêmes que celles du gaullisme. Là où les nationalistes défendaient bec et ongle la colonisation, de Gaulle décolonise, là où les nationalistes refusent toute relation avec des communistes, de Gaulle discute avec eux, là où les nationalistes hurlent contre l'immigration, de Gaulle n'en parle pas ou du moins n'axe pas sa politique dessus. Il ne défend pas véritablement les valeurs du nationalisme d'extrême droite (religion, etc). Qu'il soit patriote et partisan d'une certaine indépendance, tout à fait (c'est en ce sens que je parlais de souverainisme, d'ailleurs le souverainisme se réclame de lui). Le souverainisme ne se cantonne pas à une européo-phobie, il prône également un certain sens de la patrie, et notamment du rayonnement de la France dans le monde. Il est héritier du gaullisme dans le sens où, comme tu l'as dit, il voit l'action politique non pas forcément en terme d'Etat, de partis etc, mais comme un service du pays. Après, c'est vrai que les acteurs du souverainisme n'ont pas forcément la même "ampleur" que de Gaulle (euphémisme). Mais de toutes façons, tout le monde récupère de Gaulle quand ça l'arrange, une fois pour le côté "indépendance de la France", une fois pour le gaullisme social, une fois pour la fermeté, etc.
Quant aux militaires-tous-nationalistes, je pense que tu ne dois pas trop avoir fréquenté de militaires Émoticône. Ou alors tu confonds patriotisme et nationalisme. Serein [blabla] 7 avril 2009 à 13:14 (CEST)[répondre]
Sur le dialogue avec les communistes, c'est bien évident, et c'est d'ailleurs parfaitement expliqué par un écrivain (je ne sais plus lequel) : les communistes français étaient nationalistes et très malheureux de ne pas pouvoir s'engager dans la résistance avant le feu vert de Moscou, par contre à partir de ce feu vert ils étaient à fond dans le truc. De Gaulle l'avait parfaitement compris, et de toute façon il ne découpait pas la nation en tranches acceptables ou pas, lui il veut rassembler tout le monde, pas se faire élire par 50,1 % contre 49,9% ; dans ces conditions, inimaginable pour lui d'exclure a priori les communistes.
Les souverainistes ont certainement hérité de certaines valeurs du gaullisme, plus que d'autres même, mais l'esprit est très différent. De Gaulle n'était pas un conservateur des idées précédentes, c'était un novateur, et l'idée qu'on applique ses conceptions des années 40 et 60 au monde actuel ne le séduirait pas ; il serait peut-être sorti carrément de l'OTAN (par exemple après la chute du bloc de l'est), ou bien ils aurait déjà réintégré le commandement militaire depuis longtemps, va savoir, mais ce qui est sûr c'est qu'il adaptait la politique aux circonstances, au lieu de faire ce qu'on attendait de lui ou de maintenir coute que coute le statu quo.
Et la décolonisation, contrairement aux apparences, c'était du nationalisme. De Gaulle anticipait l'Algérie à 100 millions d'"arabes", pour lui ça n'était pas concevable, pas compatible avec son idée de la France (chrétienne). Un type qui dirait aujourd'hui ce qu'il disait à l'époque (sur les arabes ou sur les juifs, on se souvient de la polémique sur le "peuple juif sûr de lui et dominateur") serait certainement jugé totalement raciste, pas forcément à tort d'ailleurs si on n'était pas à une autre époque. L'immigration ? là encore, l'idée de la France assiégée par l'étranger ça n'était pas son truc, lui il est dans la France qui rayonne. Si des étrangers viennent en France pour participer, c'est bonnard... mais attention, hein, c'est pas la France qui leur doit quoi que ce soit, ils doivent filer droit et on fait ce qu'il faut pour ça (notamment en les fliquant comme il convient). Comment il gèrerait aujourd'hui la question, là encore, va savoir...
Tu aurait aussi bien pu nous dire que De Gaulle ne défendait pas les valeurs du nationalisme d'extrême gauche (démolition de foyer sonacotra, etc.) , c'est vrai aussi, on aurait pas été plus avancé : De Gaulle n'était pas d'extrême droite (incroyable, non ?).
gem (d) 7 avril 2009 à 14:59 (CEST)[répondre]
De Gaulle voulait rassembler et pour cela il se mettait au-dessus des partis et restait ambigu sur son programme. Il a d'ailleurs réussi, on ne peut pas vraiment classer De Gaulle au-delà du fait qu'il est plutôt de droite, classement déjà réducteur. Apollon (d) 7 avril 2009 à 16:09 (CEST)[répondre]
Il n'a jamais pardonné aux Américains d'avoir libéré la France... ce qui explique pas mal de choses. Félix Potuit (d) 7 avril 2009 à 16:25 (CEST)[répondre]
Quand la crise était sérieuse il se rangeait derrière les Américains. Apollon (d) 7 avril 2009 à 16:28 (CEST)[répondre]
Sur la question, on peut suivre les fines analyses de Dominique Colas. Résumé : de Gaulle est un nationaliste identitaire et substantialiste, mais qui, parce qu'il croit que la France est porteuse de valeurs universelles, est ouvert au monde. Sa catégorie d'analyse fondamentale du monde est la nation : ce sont les nations qui sont les acteurs de l'histoire mondiale, et elles sont l'émanation de l'âme d'un peuple, tout en devant être guidées par l'État. D'où son souhait de voir celui-ci voir l'autorité de celui-ci restaurer.
1. Comme le note Colas, de Gaulle a une vision substantielle de la nation (très loin de la nation intégratrice fondée sur le droit du sol) : il parle de "race", notamment de "race gauloise", "race teutone", "race juive" dans ses écrits d'avant guerre. Après guerre, il parle de "peuple", mais avec le même sens. Il n'est pas raciste : il ne hiérarchise pas les races. Il n'est pas vraiment biologiste non plus : ce qui compte c'est le caractère culturel, plutôt que les traits biologiques. Mais pour lui le peuple français est une entité réelle, et fondamentale.
2. les nations sont les acteurs essentiels de l'histoire. Elles semblent chez lui être comme des êtres vivants, expression de l'instinct national, de son génie substantiel.
3. L'État est le guide et le rempart des nations.
4. La nation française est porteuse de valeurs universelles, qui font sa spécificité, et lui donne une mission. Le peuple français est un peuple libre, qui promeut la liberté dans le monde : "la France et l'Angleterre sont les foyers et les champions de la liberté des hommes. " (discours d'Oxford, 1941). La République, expression des ces valeurs, doit donc être établie dans son entière prééminence.
C'est le dernier point qui fait toute la spécificité du Gaullisme face aux courants nationalistes français de l'époque. Les points 1, 2 et 3 se retrouvent dans tous les courants français nationalistes (le point 1 souvent sous une forme raciste, mais pas toujours), notamment chez Maurice Barrès dont de Gaulle est un admirateur. Mais il en change profondément la signification en faisant du cœur des valeurs française, la République et la liberté, là où Maurras place la royauté et l'ancien régime. gede (dg) 7 avril 2009 à 18:56 (CEST)[répondre]

  Pour répondre plus fondamentalement à vos interrogations. Le nationalisme est de "gauche" au XIXe siècle parce qu'il se confond avec la revendication démocratique face aux anciens régimes : c'est la nation qui doit se gouverner elle même, et le roi n'en est que le chef : on passe du roi de France (le roi est propriétaire du royaume, en quelque sorte) au roi des Français (le roi est l'incarnation de la nation). Être "nationaliste" c'est donc vouloir abolir l'ordre ancien, celui des monarchies absolues et des empires autocratiques. Tout le XIXe siècle est, en fait, nationaliste en Europe : c'est le temps des constructions nationales, au nom de la nation, et celui de la colonisation dont le but est notamment de grandir la nation (comme Jules Ferry l'affirme). Avec la fin du siècle les choses changent, la composition sociologique de la "gauche" se modifiant : les mouvements ouvriers y dominent, et l'internationalisme est pour eux un moyen de contestation du capitalisme. En effet, l'unité nationale implique l'acceptation par les prolétaires de l'exploitation : on ne lutte pas contre son frère, même si c'est son patron. Bref, la gauche affirme que la vraie classification est celle qui oppose patron et prolétaire, au delà des nations, et non celle qui oppose l'étranger au national. Au contraire, pour une partie de l'extrême droite légitimiste, la nation devient une forme de revendication de retour à l'ordre ancien : la nation renvoie à une race. Il faut donc expulser de son corps tout ce qui n'y appartient pas, notamment les « juifs cosmopolites » (affaire Dreyfus) voire les protestants qui promeuvent la République et travaille souterrainement à la mort de la France. C'est un nationalisme de "l'âme du peuple" dont le fondement est censé reposer dans l'ordre de la tradition. C'est pour cela qu'une très grande partie de cette extrême droite (une large majorité des membres de l'action française, notamment) a capitulé et collaboré en 1940 face à l'Allemagne : plutôt que la grandeur et l'indépendance de la France, ce qui leur importait surtout était la restauration de l'ordre ancien, que permettait la défaite et l'occupation allemande. Cela montre toute la complexité de ces questions surtout si l'on se souvient que, du côté des communismes, le nationalisme va, à partir de la défaite, redevenir parfaitement acceptable : les poèmes de Louis Aragon (notamment la La Rose et le Réséda) dont la thématique change alors sont l'expression de cela. gede (dg) 7 avril 2009 à 19:23 (CEST)[répondre]

le meilleur cardiologue

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bonsoir oracle;je voudrai connaitre qui sont les meilleurs ou le meilleur cardiologue sur paris;ou dans quel hopital il est mieux d'aller;pour le coeur pour faire un régime(150kl..si si)faut que je me reprenne en main, refaire sa vie quoi;merci les copains, j'aime bien le soir comme ça discutailler; ça passe bien.merci encore à tous

Bonjour, l'oracle ne donne pas d'avis médicaux et n'est pas un annuaire, surement pas une agence de notation. Je ne peux que vous conseiller de poser votre question sur un forum plus spécialisé tel Doctissimmo.
Et surtout pas de ce genre-ci : si nous indiquions un(e) « meilleur(e) cardiologue » et que vous finissiez comme René Goscinny en vous rendant chez elle ou lui, pour peu que votre parentèle sache que nous avions donné ce conseil elle ne manquerait de nous traîner devant les tribunaux ! D'un point de vue moins terre-à-terre, cette notion de « le meilleur cardiologue sur Paris » est très subjective : la valeur d'une pratique se prouve par la pratique, et il se peut très bien que ledit décrété « meilleur » soit précisément dans une période de sa vie où ses qualités baissent – pour le dire mieux, dans les choses humaines le passé ne peut faire préjuger du futur. Et d'un point de vue de nouveau terre-à-terre, s'il existe un tel sujet que « le meilleur cardiologue sur Paris » il est très probable que son carnet de rendez-vous est rempli jusqu'en 1012, et si vous n'avez pas la notoriété de Goscinny il y a peu de chances qu'il vous trouve une petite place avant la fin de 2009, donc si vous avez vraiment des soucis et inquiétudes pour votre muscle cardiaque ou sa périphérie, je vous conseille de trouver un cardiologue moins « meilleur » mais plus disponible... -O.M.H--H.M.O- 7 avril 2009 à 07:00 (CEST)[répondre]
Le théorème de la méliorité relative d'Olivier Hammam ? Pas mal ! J'achète ^^ . Iluvalar (d) 7 avril 2009 à 17:49 (CEST)[répondre]

Pour faire un régime, je pense qu'il faudrait surtout voir un diététicien conjointement peut être à un cardiologue suivant votre cas. Bonne courage pour la suite. --Kkbs (d) 7 avril 2009 à 07:24 (CEST)[répondre]

Demandez à votre médecin traitant de vous orienter. rv1729 7 avril 2009 à 14:04 (CEST)[répondre]
En tout cas, évitez celui qui se prétendait le meilleur chirurgien esthétique du monde... Félix Potuit (d) 7 avril 2009 à 16:18 (CEST)[répondre]

En/Dans la

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Bonjour, Parcourant la biographie de René Goscinny (à partir d'un lien ici posté), je suis tombé sur la section hommages. J'ai été chagriné par la tournure de certaines phrases, et en particulier celle ci:
La commune de Sainte-Luce-sur-Loire, dans la Loire-Atlantique, abrite la médiathèque René-Goscinny. Habitant en Loire-Atlantique, ce dans la m'a peiné, et m'a paru peu habile. D'où ma question: "en" ou "dans la" ? Merci Pleclown (d) 7 avril 2009 à 14:30 (CEST)[répondre]

Les deux me semblent corrects, mais je privilégierais en. Par contre en Bas-Rhin ou en Creuse fait bizarre. Dhatier jasons-z-en 7 avril 2009 à 15:10 (CEST)[répondre]
les deux me semblent corrects (bis), mais je privilégierais en Loire-Atlantique et dans la Loire. étymologiquement les deux mots proviennent du même in latin et ils ont le même sens, le choix de l'un ou l'autre c'est juste une question de sonorité ou de rythme ou d'autre chose du même genre, pour autant que je sache. Peut-être que je préfère en, mais comme je ne peux décemment pas dire "en la loire" ni "en Loire" (car dans ce cas l'absence d'article est choquante à mes oreilles) ...  ? gem (d) 7 avril 2009 à 15:27 (CEST)[répondre]
La question s'est déjà posée en ce qui concerne les catégories : Naissance en / Décès en opposés à Naissance dans/ Décès dans... (je suis né dans le Gers, j'habite en Isère. Pour mon décès, vous êtes priés d'attendre). Morburre (d) 7 avril 2009 à 16:50 (CEST)[répondre]
Tu mourras en odeur de sainteté. Félix Potuit (d) 7 avril 2009 à 18:12 (CEST) Ou dans la mouise. Morburre (d) 7 avril 2009 à 18:31 (CEST)[répondre]
Le bal de la saint Morburre
l'un n'empêchant pas l'autre ! Mandarine 1 pépin ? 7 avril 2009 à 18:40 (CEST) Une des deux propositions étant plus probable que l'autre. Morburre (d) 7 avril 2009 à 19:31 (CEST) bon d'accord ! alors autant gagner du temps : te préférerais quel jour du calendrier ? on le met où saint Morburre ? on vire qui ? Mandarine 1 pépin ? 7 avril 2009 à 19:47 (CEST) tu vois que t'es pas dans la mouise : t'as la chance folle de décider de ton vivant ![répondre]
Vous êtes bien pressés de vous débarrasser de moi. J'ai toujours fait de la procrastination un art de vivre, pareil pour l'art de mourir. Non mais. Morburre (d) 7 avril 2009 à 20:25 (CEST) et bé mais te fâche pas : qui te parle de mourir ? ça te dit pas d'être sanctifié de ton vivant ? quoi ? ça n'existe pas ? et alors ? c'est pas une raison, ça ! alors ? saint morburre à la place de sainte fêtenat ? le bal de la saint morburre ça sonne bien, non ? Mandarine 1 pépin ? 7 avril 2009 à 20:36 (CEST) Bon d'accord, si tu ouvres le bal avec moi. Morburre (d) 7 avril 2009 à 20:42 (CEST) Santo subito ! rv1729 Allez-y, on vous regarde! Dhatier jasons-z-en 7 avril 2009 à 21:46 (CEST) Accroche-toi, Ginette ! Morburre (d) 7 avril 2009 à 23:00 (CEST)[répondre]

sur l'écran noir de mes nuits blanches...

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Ôracle, ô désespoir : mon angoissante question est restée sans réponse au fond de l'eau rance de la semaine passée ! en la remontant du fond du puits puis-je espérer être enfin rassérénée, ô, racle ?

coucou les pythies ! noir et blanc ! début années 60 ? français ? américain ? deux soeurs ! l'aînée (blonde ?) va se marier ! elle nage en plein bonheur ! la cadette (brune ?) est handicapée ! une route (de provence ?) dans les pins ! l'aînée conduit la voiture ! la petite est derrière ! elle ne veut pas que sa soeur la quitte ! elle passe ses bras autour de la conductrice et lui bande les yeux ! c'est l'accident ! et c'est tout ! cette seule image ! c'est peu ! mais vous êtes si fort(e)s les pythies ! ! ! merci de me réveiller de ce cauchemar ! pitibizou ! Mandarine 1 pépin ? 5 avril 2009 à 23:43 (CEST)[répondre]
« Les demoiselles de Rochefort » avec Françoise Dorléac? (c'est quoi la question?) -- Xofc [me contacter] 6 avril 2009 à 06:30 (CEST)[répondre]
non, ce n'est pas ça (je l'ai vu récemment et beaucoup de choses ne collent pas avec la description). Mais je n'ai pas pour autant la réponse. Seudo (d) 6 avril 2009 à 07:43 (CEST)[répondre]
râââh ! ! ! bouhouhouh Pleure c'est pas marrant ! comment ça c'est quoi la question ? ah, oui, pardon Euh ?... hum... bon, alors :
* de quel film, en noir et blanc, vraisemblablement du début des années 60 (ou de la fin des années 50), peut-être français, peut-être américain, est tirée cette image Émoticône
ben non pas Les demoiselles puisqu'il y a une aînée et une cadette (je ne sais pas non plus sous quel signe celles-ci sont nées Émoticône) !
merci tout de même de vos réponses ! pitibizou ! Mandarine 1 pépin ? 6 avril 2009 à 08:09 (CEST)[répondre]

merci d'avance pour vos précieuses Émoticône ! pitibizou ! Mandarine 1 pépin ? 7 avril 2009 à 14:39 (CEST)[répondre]

Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (What Ever Happened to Baby Jane?), americain, deux soeurs, accident de voiture... si on plisse les yeux ca peut coller ? Eystein (d) 7 avril 2009 à 17:09 (CEST)[répondre]
Émoticône c'est pas bête mais faudrait vraiment plisser les yeux... on serait limite plus proche (question époque) avec Les Demoiselles de Rochefort ! bon en procédant par élimination, on devrait y arriver : pas jumelles, pas vieilles, pas orphelines non plus (Euh ? quoi que...) Mandarine 1 pépin ? 7 avril 2009 à 18:38 (CEST)[répondre]
Néanmoins, dans les demoiselles de Rochefort, y'a pas de mort ? --Serged/ 8 avril 2009 à 09:03 (CEST)[répondre]

Frontières internes de l'Inde

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Bonjour, j'ai beau chercher des informations sur ce sujet, je ne trouve pas beaucoup de résultats. Pouvez-vous me renseigner sur la nature des frontières entre les États fédérés de l'Union Indienne, sont-elles matérialisées, si oui comment, y a-t-il des contrôles, des contentieux frontaliers à l'intérieur même de l'Inde ? Merci de vos réponses.

voir Géographie de l'Inde, Politique de l'Inde et États et territoires de l'Inde, vous trouverez plein de renseignements.--Doalex (d) 7 avril 2009 à 22:25 (CEST)[répondre]
J'avais déjà lu et relu ces articles, merci quand même de m'avoir redirigé sur Politique de L'Inde, quelques éléments m'avaient échappé. Mais il n'y a aucun renseignement sur les 1e questions que j'ai posées, à savoir sur les frontières concrètes, visibles sur le terrain. Merci tout de même et à bientôt.
Je ne comprends pas votre problème, les frontières concrètes c'est quoi? Une ligne pointillée sur une carte faite en partie par les anglais et défaite ensuite? Une rivière, une ligne de crête, une forêt? Si vous avez lu ça Géographie politique et ensuite ouvert chaque article sur chaque état ou territoire, si vous développez Portail:Monde indien et si vous discutez ici Discussion Projet:Monde indien et sans oublier l'article sur en.WP [3] enore plus complet (et pour cause!), il ne vous reste plus que le Guide du routard, Google Maps, National Geographic etc...et les bibliothèques.--Doalex (d) 8 avril 2009 à 10:56 (CEST) [répondre]
Un voyageur attentif a écrit "Un touriste part en Inde, un voyageur revient des Indes". Pour un Européen, a fortiori pour un Français, l'Inde frappe par son immense diversité. A part les timbres, les billets de banque, le réseau ferroviaire, les rickshaws et les camions Tata, (et une récente passion pour les téléphones portables, Internet et les pizzas) les Indiens n'ont pas grand chose en commun. Les langues, les habits, la nourriture, les journaux, les télés, les films, la forme des temples, tout change d'un état à l'autre. Même les hommes politiques. Ainsi Gandhi est un héros dans le Nord, mais les Tamouls se réfèrent plutôt à Thanthai Periyar, et les habitants du Kérala sont toujours prêts à vous expliquer le rôle de Chithira Thirunal of Travancore et de E. M. S. Namboodiripad. A ma connaissance, il n'y a pas de douanes entre états, mais l'ambiance est très différente d'un état à l'autre et l'interdiction de séjour dans un état donné est toujours possible pour un étranger. Le mieux, quand on change d'état, est de considérer que l'on change de pays. Ainsi, le Cachemire, autrefois paradis des touristes est devenu franchement hostile (et déconseillé) depuis une bonne dizaine d'année (nostalgie de Srinagar et du pélerinage des grottes d'Amarnath). A l'autre extrémité du pays, l'Assam est un état instable, longtemps interdit aux touristes et aux journalistes. Sans parler d'une explosion de violence, toujours possible, à peu près partout en Inde (se souvenir, pour en nommer quelques, de Amritsar, Ayodhya, Kargil et Bombay). Conclusion : se renseigner en détail avant de partir (en France, le Ministère des affaires étrangères est à la fois compétent, bien informé et pessimiste), sur place lire la presse locale anglophone, se montrer d'une extrême prudence, être attentif à l'ambiance de la rue et s'éclipser à la première alerte, sauf si on sait devenir invisible. C'est assez facile, car le touriste ne rentre pas dans le système des castes, ou plutôt, il est moins qu'un intouchable, et donc absolument sans importance. Car dans toute l'Inde, il y a deux choses à éviter absolument : les hopitaux et la police. Mais pour qui sait le faire, le voyage en Inde est à la fois très facile et très agréable. A condition d'être "Like a bird on the wire". --Seymour (d) 8 avril 2009 à 00:17 (CEST)[répondre]

A mon sens

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Bonsoir. Pourquoi, sur France-Culture, tous les intervenants disent-ils "à mon sens" au lieu de "à mon avis" ? Merci.

À mon sens, parce qu'ils sont sur France Culture mais cet avis n'engage que moi. Félix Potuit (d) 7 avril 2009 à 22:16 (CEST)[répondre]
C'est le sens de l'avis.--Doalex (d) 7 avril 2009 à 22:27 (CEST) [répondre]
C'est plus raffiné. Apollon (d) 7 avril 2009 à 23:06 (CEST)[répondre]
ça marque leur appartenance au groupe "des intellectuels qui disent à mon sens", mais ont-ils conscience qu'ils sont ridicules pour un observateur extérieur au groupe ? Ma foi, on est tous le ridicule de quelqu'un...
Il me semble que ce n'est pas exactement pareil : "à mon sens" veut plutôt dire "tel que je l'entends, que je le ressens", tandis que à mon avis permet d'émettre une opinion, sous entend un "tel que je le pense". A mon sens, donc, il y a une distinction (certes, subtile) :-) Calame (d) 8 avril 2009 à 21:08 (CEST)[répondre]
+1 "à mon sens" rélève du sentiment, et c'est très à la mode de laisser parler son cœur. Avoir un avis, au contraire, c'est plouc, les "avis de comptoir" c'est pour les autres (et +1 pour Felix au passage)... gem (d) 9 avril 2009 à 10:33 (CEST)[répondre]
Tu aurais dû écouter France Inter ce matin pour entendre Christine Lagarde dire à l'« insu de son plein gré ». Le niveau baisse... --Yelkrokoyade (d) 9 avril 2009 à 13:19 (CEST)[répondre]

Réconfortez-moi !

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J'ai enfin visionné « We Feed the World ». Merci Arte ! Mais après ça... je déprime vraiment. J'aimerais savoir si quelqu'un a contesté ce film et sur quelle bases ? Merci déjà --Égoïté (d) 7 avril 2009 à 23:02 (CEST)[répondre]

1/ [4] Si, et tu as bien fait ! 2/ [5] Non ! les guirlandes habituelles... l'article a évolué depuis... a pu ! gropoutou ! Mandarine 1 pépin ? 8 avril 2009 à 08:31 (CEST)[répondre]
Je me rappelle que cette excellent documentaire (comparé à Notre Pain quotidien ou Le Cauchemar de Darwin par ex.), faisait comprendre que les tares de la massification de l'industrialisation agro-alimentaire était aussi dus aux désirs des consommateurs (avoir tout, trop, tout le temps, à pas cher) et qu'il ne tient qu'à eux de rendre plus acceptable les systèmes productifs. Optimisme identique sur Wikipédia : les bandeaux que tu juges inutiles, placés depuis 1 an sans que rien ne change, tu peux prendre sur toi de les oter et de compléter et rendre le monde Wikipédia plus bucolique... El pueblo, unido, jamás será vencido Émoticône. HaguardDuNord (d) 8 avril 2009 à 13:51 (CEST)[répondre]
Merci à vous. D'accord Haguard, je peux rendre WP plus bucolique, mais je ne pense pas hélàs que mon comportement (ne pas avoir tout, trop, tout le temps, à pas cher) puisse changer le monde...--Égoïté (d) 8 avril 2009 à 16:18 (CEST)[répondre]
Jean Ziegler est un politicien, et ce genre d'œuvre doit être pris pour ce que c'est, à savoir de la propagande (De manière schématique, elles se concentrent sur la manipulation des émotions, au détriment des facultés de raisonnement et de jugement. dixit notre article) ; quand on veut influencer les gens et les amener à certaines action, instiller la mauvaise conscience est une honnête forme de terrorisme intellectuel bien connue (Cf. le fameux péché originel ou Généalogie de la morale#la mauvaise conscience). Une propagande habile n'utilise que des éléments vrais et des bons sentiments et n'est pas criticable, par conséquent je doute que des gens se foule à faire une critique en règle de cette œuvre qui est conçue pour y échapper. De là à dire que tout le monde est d'accord avec cette "analyse", il y a un grand pas que peu de gens vont se risquer à franchir.
Cependant, sachant que les gens sérieux lisent et citent plutôt le rapport cyclope que des films à vocation populiste, un googlage " "We Feed the World"+film+chalmin " m'a ramené http://www.christianpees.com/actualit/page/3/ qui donne une bonne idée de ce que pense (et veut donner à penser !) le milieu agricole français et son élite sur ce genre de question (la faim et la qualité de l'alimentation), et qui est assez différent de l'image qu'en donne ce film...
En revanche, si tu veux du réconfort, ça va être difficile : le principe des êtres vivants, et des humains en particulier, c'est qu'ils se multiplient jusqu'à percuter la limite physique représentée par un prédateur ou un manque de ressource, il en résulte que par définition, sauf à restaurer une prédation (ou équivalent : planification des décès par exemple, plusieurs œuvres de SF évoque ce type de mesures), une partie de l'humanité restera dans le besoin, et ce, paradoxalement, d'autant plus que ça ira bien (car "aller bien" c'est se multiplier).
Mieux encore : sans le gaspillage, il y aurait juste un peu plus de gens sur la terre, mais pas moins de gens qui manquent, et au moindre problème ça serait la catastrophe, alors qu'une société qui gaspille trouve au contraire facilement de quoi passer une mauvaise période juste en réduisant ponctuellement le gaspillage (ex : le commun des mortels européen des deux guerres mondiales n'est pas mort de faim). Le gaspillage est une forme de mise en réserve, il permet/oblige à surdimensionner l'appareil productif, ce qui est parfaitement sain : l'optimisation bien conçue d'un appareil inclut les besoin de pointe ou la résistance à des pannes partielles, et ça implique ce qu'on peut appeler du gaspillage, lorsqu'on ne sait pas stopper la machine (c'est le cas en agriculture et alimentation : c'est pas le jour où tu as faim qu'il faut que tu plantes tes patates, le temps qu'elle poussent -- si elles poussent -- tu seras déjà devenu cannibale ou le repas de ton voisin, au choix ; inversement quand tu les as plantées, il est bien possible que tu n'en ais pas besoin au moment de la récolte...)
gem (d) 9 avril 2009 à 12:41 (CEST)[répondre]
Merci Gem. Oui propagande peut-être, mais vachement bien foutue...
J'ai lu avec intérêt les liens proposés, et en profite pour te demander la « traduction » de L’acharnement scientiste de Freud comme vouloir malade d’une nouvelle religion dans Généalogie de la morale#Impact et post.C3.A9rit.C3.A9 de l.E2.80.99.C5.93uvre ?
Merci encore, --Égoïté (d) 9 avril 2009 à 16:39 (CEST)[répondre]
Euh... je te propose "chaazse qdfg lp qdldll dfllql : mqdmfgm qsdl mmfmlm msd". Plus clair, non ? Sinon, désolé, je ne peux pas faire mieux, je ne connais pas le type dont on cherche à rapporter les propos sur Freud à propos de Nietsche (ça commence à faire beaucoup de d'hommes qui ont vu l'ours...)... gem (d) 9 avril 2009 à 17:05 (CEST)[répondre]
Merci Gem. Je pose la question sur la PdD et au bistro. Peut-être que quelqu'un réagira. Émoticône --Égoïté (d) 9 avril 2009 à 17:08 (CEST)[répondre]
Gem : « sauf à restaurer une prédation (ou équivalent : planification des décès par exemple »
On peut aussi limiter les naissances ! (J'espère que vous ne trouvez pas ça équivalent à tuer des gens... )
Commencer par arrêter de mener des politiques natalistes (avec, souvent, des prétextes bidons comme le financement des retraites, ou pire : pour écraser le pays voisin), puis, éventuellement, mener des politiques anti-natalistes. Encourager le "planning familial" (et lutter contre les religieux qui s'y opposent), voire, si nécessaire, imposer un planning gouvernemental, comme c'est déjà le cas pour 20% de l'humanité qui nous donnent la preuve, malgré les imperfections, que c'est faisable.
Voilà qui me paraît moins cynique, moins fataliste, que de compter sur la guerre, la maladie ou la famine pour limiter la population !
Grasyop 10 avril 2009 à 08:17 (CEST)[répondre]
Beaucoup plus cynique au contraire.
Empêcher les gens d'avoir des enfants n'est pas équivalent à les tuer, mais ça reste un comportement prédateur.
Même si je partage l'idée qu'il faut cesser les politiques natalistes (mais vous êtes près à couper les financement publics des crèches, des cantines, etc., ainsi que les allocations familiales, le quotient familial, etc. ?), le contrôle des naissances n'est pas la panacée : une fois fixé le nombre de naissance, vous n'avez aucune garantie que la nourriture sera suffisante pendant le siècle suivant (ordre de grandeur de la vie humaine). De plus, la population humaine développe naturellement une résistance à vos "bactériostatiques" : les populations qui y résistent pour des raisons quelconques (notamment religieuses) se multiplient quand même, et supplantent les autres. L'histoire n'est pas encore écrite, et nul ne peut dire comment ça tournera, mais en général les plus nombreux ont l'avantage (ce qui ramène un peu plus haut : pourquoi croyez vous que les politiques natalistes trouve toujours des financements ?), et quelques succès locaux ne prouvent pas que les populations qui s'auto-limitent vont forcément l'emporter.
gem (d) 10 avril 2009 à 12:04 (CEST)[répondre]
Et si on lisait transition démographique, plutôt ? rv1729 10 avril 2009 à 12:14 (CEST)[répondre]

Le plus grand nombre possible

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Cher Oracle,

Soit 3 bits, prenant la valeur 1 ou 0, le plus grand nombre représentable par ces trois bits, est 111, et vaut 7.

Soit l'ensemble des particules élémentaires de l'Univers, considérons l'ensemble des états finis qu'ils peuvent prendre. Quel est le plus grand nombre représentable dans l'univers ?

Bonjour. Il n'y a pas de plus grand nombre representable. Si N est celui-ci et existe, N+1 est forcement plus grand... CQFD. Cela ne dépend du nombre d'etats dans l'univers. .melusin (d) 8 avril 2009 à 07:26 (CEST)[répondre]
Melusin tu sembles n’avoir pas compris la question. Je t’accorde qu’il est impossible d’y répondre sans biaiser, mais elle mérite mieux que ça. rv1729 8 avril 2009 à 07:28 (CEST)[répondre]
Ça dépend de votre imagination. Il est plus rentable de coder un programme qui génère un nombre plus grand que la taille de ce programme. Exemple de « programme » simple : 101010. rv1729 8 avril 2009 à 07:28 (CEST)En fait « ça dépend »... ou pas : voir Complexité de Kolmogorov. Les nombres avec une complexité de Kolmogorov très importantes sont plus préoccupants que les très grands nombres. Par exemple, que dire d’un nombre de complexité 101010 ? Tu devrais lire Intuitionnisme 84 et Commentaires sur Intuitionnisme 84. rv1729 8 avril 2009 à 07:32 (CEST)[répondre]
Je pense que la question sous-entendait "sans tricher", c'est à dire sans utiliser la virgule flottante ou des bits d'exposants. Dans le contexte de la question initiale, le "plus grand nombre entier" est donc (2^B)-1, où B est le nombre d'"des états finis que [l'ensemble des particules élémentaires de l'univers] peuvent prendre". Il n'y a plus qu'à comprendre ce qu'est un "état fini que l'ensemble des particules élémentaires de l'univers peuvent prendre", et on a la réponse à la question :-) En tout cas, si j'ai bien compris le fonctionnement de l'hypothétique ordinateur quantique, ce nombre serait proche de l'infini que ça ne m'étonnerait pas. Arnaudus (d) 8 avril 2009 à 10:25 (CEST)[répondre]
Aucun nombre n’est proche de l’infini. rv1729 8 avril 2009 à 12:01 (CEST)[répondre]
Il y a un truc qui m'accroche dans la réponse (2^B)-1 Elle présuppose que les états finis de chaque particule ne peuvent prendre que deux valeurs par exemple: (au repos/excité). Est-ce qu'il n'y aurait pas possibilité qu'il y ait des états non binaires, du genre (au repos/paisible/affairé/énervé/affolé). Dhatier jasons-z-en 8 avril 2009 à 13:13 (CEST)[répondre]
Ce postulat était implicite dans la question posée, non ? rv1729 8 avril 2009 à 13:45 (CEST) Où ça? «l'ensemble des états finis», pas «des états binaires finis» Dhatier jasons-z-en 8 avril 2009 à 14:26 (CEST) Oui, tu as raison. C'est l’introduction avec 3 bits qui me fait penser ça; rv1729 8 avril 2009 à 14:31 (CEST)[répondre]
Aucun nombre n’est proche de l’infini. : pour un matheux, certes, mais pour un empiriste, tout nombre qui est virtuellement infini est relativement proche de l'infini, non? Arnaudus (d) 8 avril 2009 à 21:46 (CEST)[répondre]
« Virtuellement infini » ça veut dire quoi ? rv1729 9 avril 2009 à 00:18 (CEST)[répondre]
Et puis même en maths : en topologie on peut définir un système de voisinages de l'infini, par exemple les intervalles [n,+inf[, non ? --Lo
Oui, et alors ? quel est le rapport avec la proximité ? Il y a des voisinages de l’infini qui contiennent 0, est-ce que 0 est proche de l’infini ? rv1729 9 avril 2009 à 00:18 (CEST)[répondre]
Personnellement oui, si j'utilise un tel intervalle comme voisinage, je me considérerai comme proche de l'infini. Dire que dans certaine situation on considère le O proche de l'infini, c'est bath non ? -lo-88.139.115.251 (d) 9 avril 2009 à 11:30 (CEST)[répondre]
Tout de même un peu moins que le gogolplex Émoticône Félixggenest le 9 avril 2009 à 00:36 (HAE)
Ben non ! rv1729 9 avril 2009 à 11:27 (CEST)[répondre]
Le 111 base 2 reprsénte 7 base 10, mais il y'a 8 possibilités.
Si vous admettez un nombre identique fini d'états ( notée E ) pour un nombre fini de particules ( notée P ), alors votre nombre recherché ressemble au nombre le plus grand écrivable au jeu de cinq dés à dix faces, soit dix états E et cinq dés P. Le plus grand nombre écrivable est dans ce cas 99 999 pour 100 000 combinaisons possibles, soit EP-1 écrivable pour EP combinaisons. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 18:20 (CEST)[répondre]


Répondre à la question présuppose
a) l'univers est discret, plutôt que continu
b) il est fini et borné dans le temps et l'espace (le nombre de particule est toujours borné)
c) le nombre d'état possible d'une particule est toujours fini.
d) la notion de "représentation" d'un nombre est parfaitement défini (ex : tu te vois expliquer à un maya que A20C est la représentation d'un nombre, mais pas & ni A20W ni , toi ?)
Çà commence à faire beaucoup de postulats, dont notamment le dernier me semble a priori assez faux pour vider la question de son sens...
gem (d) 9 avril 2009 à 12:56 (CEST)[répondre]
a) Je crois que la mode actuelle est de voir l'univers comme étant effectivement discret, ou quantifiable, ou quantique.
b) Le nombre de particule semble borné par le gogoplex.
c) Effectivement, sur ce point j'en sais rien.
d) J'ai pas compris l'argument, mais étant donné que l'on a parfaitement défini l'ensemble des entiers naturels, on peut établir une surjection de cet ensemble, à l'ensemble des états possibles des particules (autrement dit l'ensemble des états de l'univers), autrement on donne un numéro à chaque état de l'univers, ce qui est possible puisqu'on supose que cet ensemble est discret. Alors le plus grand nombre représentable, correspond au cardinal de l'image de l'application surjective, et ce cardinal est inférieur ou égal à aleph 0, s'il est égal, c'est que l'application est bijective. Donc pour répondre en partie à ma propre question : Si l'Univers est discret, le plus grand nombre représentable est inférieur ou égal à aleph 0.
Voilà ce que c’est vouloir frimer. Vous vouliez dire inférieur (strict) à ω, n’est-ce-pas ?  ? ℵ0 c’est un cardinal, pas un ordinal. rv1729 10 avril 2009 à 08:26 (CEST)[répondre]
Il me semble, Rv, que là c'est vous qui êtes en train de frimer, ou de couper un cheveu en ℵ0, mais à tort :
  • L'intervenant a bien parlé de cardinal, et non d'ordinal, et c'est logique puisqu'il parle du cardinal d'un ensemble. Ça n'aurait pas de sens de parler de l'« ordinal d'un ensemble ».
  • Il existe bien une relation d'ordre sur les cardinaux : le cardinal d'un ensemble A est inférieur au cardinal d'un ensemble B s'il existe une injection de A dans B (ou ce qui revient au même, une surjection de B sur A, et c'est exprimé comme ça dans le message précédent). Ça a donc bien un sens de dire que le cardinal d'un ensemble est inférieur à ℵ0.
Grasyop 10 avril 2009 à 09:30 (CEST)[répondre]
Mais « le plus grand nombre représentable » c’est bien une notion ordinale, pas cardinale. Et oui, je sais qu’il existe une relation d’ordre sur les cardinaux, merci quand-même ! Émoticône rv1729 10 avril 2009 à 11:33 (CEST) Par contre oui : le cardinal de l’ensemble des nombres représentables est plus petit que ℵ0, c’est l’argument de notre ami. Que (en supposant qu’il n’y ai pas de trou) ce cardinal soit celui d’un unique ordinal fini qui est justement le plus grand nombre représentable ne justifie pas la confusion entre les deux.[répondre]
« Mais « le plus grand nombre représentable » c’est bien une notion ordinale, pas cardinale. »
Pourquoi donc ? Dans le contexte de la question, je ne vois pas l'intérêt des ordinaux. Ce qu'on cherche en fait, c'est le cardinal de l'ensemble des états imaginables de l'univers. Au niveau de la représentation des ordinaux, si je suis capable de représenter tous les ordinaux jusqu'à ω en les associant à des états différents de l'univers, alors quitte à réorganiser ma représentation, je suis capable aussi de les représenter tous jusqu'à ω+1 et en fait jusqu'à n'importe quel ordinal dénombrable (et comme il n'y a pas de plus grand ordinal dénombrable, je peux toujours le chercher... ). Ça n'a pas de sens de faire porter la question sur des ordinaux !
Et en dehors du contexte de la question, je ne suis plus certain de comprendre le sens du terme « représentable », mais je ne pense pas que l'expression « le plus grand nombre représentable » doive nécessairement désigner une notion ordinale. J'aurais envie de dire, par exemple, que 47, ℵ0 et ℵ7 sont les représentations de trois nombres cardinaux, dont le dernier est le plus grand. Grasyop 10 avril 2009 à 17:46 (CEST)[répondre]
Pour moi il est évident que « le plus grand nombre représentable » ne peut désigner qu’un ordinal (il s’agit bien du numéro d’ordre de ce nombre, du dernier point atteint dans une énumération), même si cet ordinal n’est pas forcément sans rapport avec le cardinal de l’ensemble des nombres représentables. C’est une question de sémantique, là... rv1729 10 avril 2009 à 18:15 (CEST) PS Et si on suppose qu’il y a un nombre fini de particules avec un nombre fini d’état, on ne peut pas représenter tous les ordinaux jusqu'à ω... PPS Et quand-bien même : il n’y a pas de plus grand ordinal dénombrable, mais pourrais-tu vraiment atteindre l’ordinal de Church-Kleene, le plus petit ordinal non-récursif ? Je ne le crois pas Émoticône sourire rv1729 10 avril 2009 à 23:33 (CEST)[répondre]
C'est effectivement une question de sémantique. S'il s'agit d'"énumérer" et d'"atteindre", alors sans doute on ne peut pas énumérer et atteindre un ordinal non récursif, mais est-ce qu'on peut même simplement "atteindre" ω ? C'est pour ça que j'ai préféré voir la question d'une manière qui fait sens pour moi : quel est le cardinal de l'ensemble des états possibles de l'univers ? La réponse dépend sans doute du modèle physique de l'univers que l'on choisit (ondulatoire donc continu, ou corpusculaire donc discret).
Pour revenir au propos de notre ami, c'est vrai que lui parle de "numéroter" des états et qu'il a donc vraisemblablement en tête un ordinal quand il parle de « plus grand nombre représentable », mais ce qu'il dit, c'est que ce « plus grand nombre représentable, "correspond" au cardinal de l'image de l'application surjective, et ce cardinal est inférieur ou égal à aleph 0 », phrase qu'il a ensuite résumée un peu brutalement, pas de quoi en faire un fromage à mon avis. Grasyop 11 avril 2009 à 12:27 (CEST)[répondre]

Disons les choses autrement :
On peut parler du cardinal d'un ensemble, et on peut parler de l'ordinal d'un ensemble (bien) ordonné, n'est-ce pas ?
Donc il faut savoir s'il est ici question d'un ensemble (tout court) ou d'un ensemble muni d'un (bon) ordre.
En ce qui me concerne, je veux bien concevoir la notion d'ensemble des états possibles de l'univers, mais je ne vois pas d'ordre naturel à mettre dessus. Donc la notion d'ordinal ne me paraît pas pertinente ici.
Grasyop 11 avril 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]

Four micro-onde

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Bonjour, Pourquoi ai-je l'étrange impression que lorsque je réchauffe un aliment au micro-onde, j'ai le sentiment qu'il refroidit plus rapidement que par un réchauffage traditionnel. Est-ce une illusion? Merci d'avance pour les réponses judicieuses. --Kkbs (d) 8 avril 2009 à 09:07 (CEST)[répondre]

Peut-être parce qu’il n'est pas uniformément chaud. Parfois une partie de l'assiette est brûlante et l'autre encore froide ; on peut aussi observer des récipients d'eau froide avec une ébullition locale... bref, si l’intérieur de tes aliments est froid, pas étonnant qu’ils semblent refroidir plus rapidement. rv1729 8 avril 2009 à 09:36 (CEST)[répondre]
bah... c'est parce que tu t'es laissé distraire par le cri du mâle fourmi Émoticône ! pitibizou ! Mandarine 1 pépin ? 8 avril 2009 à 09:39 (CEST)[répondre]
Je pense que la réponse d'rv est la bonne, et j'ajouterai que ça à très certainement à voir avec la façon de chauffer du micro-onde, qui n'agite que les molécules d'eau, tantdis que dans un four traditionnel, j'imagine que la chaleur dans le four agit de façon plus uniformément et du coup de manière plus durable. Mais ceci dit, le fait qu'un aliment chauffé au micro-onde reste chaud moins longtemps que s'il était chauffé autrement peut n'être qu'une impression car pour ma part, je n'ai jamais constaté de différence. Mais je ne suis pas une référence : je mange toujours très vite sans me laisser perturber par le cro-ondement de la fourmi.--Deva (d) 8 avril 2009 à 12:34 (CEST)[répondre]
En principe, l'aliment, chaud en surface, froid à l'intérieur, ça risque plus d'arriver au four traditionnel, qui chauffe par conduction, de l'extérieur vers l'intérieur, qu'avec les fourmis chères à Deva, qui crohondent directement les molécules d'eau à l'intérieur de l'aliment. En revanche, c'est vrai qu'elles ne se répartissent pas toujours uniformément sur celui-ci. Grasyop 8 avril 2009 à 23:49 (CEST)[répondre]

Merci, je vais tester demain en prolongeant la durée de chauffage.--82.249.53.68 (d) 8 avril 2009 à 20:35 (CEST)--Kkbs (d) 9 avril 2009 à 05:02 (CEST)[répondre]

À mon avis, le problème ne se situe pas au sein de l'aliment, mais autour, dans le contenant :
  • lorsque vous sortez votre plat du four traditionnel, vous avez chauffé à la fois l'aliment et son récipient. Les deux ont grosso modo la même température, et la chaleur du récipient va contribuer à garder l'aliment au chaud ;
  • lorsque vous sortez le même plat du four à micro-ondes, c'est-à-dire lorsque l'aliment atteint la température que vous désirez (normalement, la même que précédemment), le récipient n'est pas à cette température, car, comme le dit Deva, les micro-ondes agissent en faisant vibrer les molécules d'eau, généralement présentes dans l'aliment mais pas dans le récipient. Le récipient est resté froid ou plutôt tiède (c'est l'aliment qui le réchauffe). Il faudra donc moins de temps pour refroidir l'ensemble "récipient + aliment" que si le récipient était chaud.
Grasyop 8 avril 2009 à 23:36 (CEST)[répondre]

Merci, sans avoir déjà testé, je crois que cette dernière réponse est la bonne. Raison : au lieu d'utiliser le récipient de la matière recommandée micro-onde, j'utilise un bol en porcelaine (assez épais). Donc, le liquide chauffe bien dans le temps impartit, mais se refroidit ensuite au contact du bol non réchauffé. J'aurai du y penser, mais c'était trop simple pour ma petite tête --Kkbs (d) 9 avril 2009 à 05:02 (CEST).[répondre]

...de fourmi ? Émoticône pitibizou ! Mandarine 1 pépin ? 9 avril 2009 à 06:13 (CEST)[répondre]
Effet Mpemba ? Nguyenld (d) 10 avril 2009 à 21:08 (CEST)[répondre]

Auto-entrepreneur

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Bonjour à tous, Je souhaiterais savoir s'il est possible de domicilier une entreprise chez soi, sous le statut d'auto-entrepreneur, quand on habite en HLM. Il est précisé dans le bail "Pas d'activité commerciale", mais je voudrais simplement faire des réparations au domicile des clients, c'est à dire que je ne vendrai rien chez moi, et aucun client ne viendra chez moi non plus. C'est juste pour avoir une adresse. J'ai contacté deux fois l'OPAC, on m'a dit une fois oui, une fois non, les deux personnes n'étant pas sûres, aussi si vous aviez un article de loi y correspondant, je serais preneur. Merci beaucoup de votre aide ! Justin L

Je vous encourage à poser la question au Centres interministériels de renseignements administratifs (CIRA ; missions), par courriel via service-public.fr ou par téléphone au 39 39. Bonne recherche. Piero (d) 8 avril 2009 à 19:48 (CEST)[répondre]

Quelques éléments "Vous souhaitez pratiquer un "usage mixte", sans bail commercial, et sans changement d'usage de votre logement. Votre activité ne revêt pas de caractère commercial. Vous ne recevez pas de clientèle à domicile.

Depuis la loi de modernisation de l'économie, une telle activité est possible sans autorisation, cf. l'article L. 631-7-3 du code de la construction et de l'habitation : "Dès lors qu'aucune stipulation contractuelle prévue dans le bail ou le règlement de copropriété ne s'y oppose , l'exercice d'une activité professionnelle, y compris commerciale, est autorisé dans une partie d'un local à usage d'habitation, dès lors que l'activité considérée n'est exercée que par le ou les occupants ayant leur résidence principale dans ce local et ne conduit à y recevoir ni clientèle ni marchandises. Phanou Toshi 13 avril 2009

L'article L. 631-7-5 précise que cette disposition s'applique également dans les HLM.

J'attire votre attention sur le fait que vous ne devez recevoir ni clientèle ni marchandise. Vous n'êtes pas contraint d'avertir préalablement le propriétaire du local.

Avant la loi de modernisation de l'économie, ce n'était pas possible, hors dans des cas très spécifiques dans les zones urbaines sensibles et pour les seuls rez-de-chaussée."

" ce qui différencie la lumière d'une émission de radio est une question de fréquence, autrement dit de temps"

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Madame, monsieur, je vous souhaite le bonjour. Par ailleurs, je serais interessé par des éléments me permettant de commencer une recherche à propos de la phrase que j'ai mentionnée en titre. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 11:21 (CEST)[répondre]

Onde électromagnétique devrait être un bon début. rv1729 8 avril 2009 à 12:00 (CEST)[répondre]

ce serait plutôt le domaine perceptif qui m'intéresseraitFrancis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 12:59 (CEST) Voyez-vous ce que je veux dire? Si la lumière et le son sont en relation, qu'en est il au niveau perceptif?Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 13:05 (CEST) et puis il y a dans la phrase cette question de temps, de fréquence; quel serait le rapport au niveau cognitif de la relation fréquence onde électromagnétique et mécanisme perceptif? Pour le dire plus clairement, la différence entre son et lumière au niveau perceptif serait une question de temps[répondre]

La phrase que vous citez ne parle pas du son, mais de lumière et d’ondes radio. La lumière et le son se traitent mathématiquement de façon semblable, c'est à peu près leur seul point commun. En ce qui concerne la perception de la lumière, les cônes de la rétine ont leur excitation maximale à des fréquences différentes. Je ne comprends pas ce que vous entendez par « le rapport au niveau cognitif de la relation fréquence onde électromagnétique et mécanisme perceptif », mais je pense que c’est un peu comme le percept de couleur dans sa résonance neurologique et cognitive. rv1729 8 avril 2009 à 13:40 (CEST)[répondre]

la phrase dit bien " une émission de radio", parle-t-elle ainsi d'ondes radio? en ce qui concerne la phrase que vous ne comprenez pas, je remarque en effet que je me suis quelque peu emmêlé les pinceaux; je voulais parler de la relation entre son et lumière au niveau cognitif et en fait il y a bien cette question de temps. Est-ce que cela se comprend mieux? je cherche le role du temps dans la différence perceptive entre son et lumière; il semble que cette démarche se réduit à cinq termes : le son, la lumière, le temps, la perception et la relation entre ces éléments

Oui, pour moi il est question d’émission d’ondes radio.
Au niveau perceptif, la lumière c’est avec les yeux (la rétine), le son avec l’oreille (la cochlée). Dans le premier cas une onde électromagnétique interagit avec une cellule pigmentée, dans le second cas des vibrations mécaniques excitent des cellules ciliées, c’est assez différent à ce niveau là. Le temps ne joue pas de rôle particulier dans cette différence. Comment la conscience traite les signaux nerveux générés par les récepteurs en question, c’est une autre paire de manches. rv1729 8 avril 2009 à 14:29 (CEST)[répondre]

La démarche en serait à sept termes, ce qui donnerait tout de même bien du grain à moudre : le temps, le son, la lumière, la perception, la cognition, la conscience et la relation entre ces éléments. Je m'explique : la phrase vient d'un physicien dans un ouvrage " le tao de la physique", ce qui est assez poétique. De là vient l'équivoque entre une émission d'ondes radio et une émission de radio. Passons. Ce qui est remarquable est qu'il fait bien la relation entre la fréquence des ondes électromagnétiques et la différence entre la lumière et ces ondes " radio",disant nettement que la différence entre la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, donc de temps.Peut-on dire que la différence entre le son et la lumière est une question de temps?Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 14:48 (CEST)[répondre]

La lumière est une onde électromagnétique. Si vous n’avez pas encore compris ça après la lecture de ce livre de vulgarisation, laissez tomber la physique.
« Les lois de la physique moderne confirment les concepts qui régissent les mystiques de l'Asie : Hindouisme, Bouddhisme, Taoisme. Le Dr Capra met à notre portée le langage de la physique et nous entraîne dans un fabuleux voyage à travers l'univers des atomes et le monde de la sagesse orientale. Il fait table rase de notre représentation fragmentaire et mécaniste du monde. L'univers devient alors un tout cohérent et harmonieux. Cadre philosophique pour la physique la plus avancée, la spiritualité orientale nous propose un " lieu " dans lequel notre être peut prendre toute sa dimension. »
Ah oui, quand-même. Bon, alors, si c’est sur ces... ce genre de... machins que vous vous interrogez, voyez un forum spécialisé dans l’ésotérisme. rv1729 8 avril 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]
Si notre visiteur s'interroge sur le fait que la locution "émission de radio" parle bien des ondes radio qui convoient le signal jusqu'au récepteur, c'est peut-être parce qu'il envisage aussi la propagation du son issu dudit récepteur jusqu'à son oreille (cochlée + marteau + enclume, etc.) Dans un tel cas, en effet, notre organisme ne capte ni ne décode les ondes radio, c'est clair, et nous n'en percevons que la vibration sonore telle qu'elle est induite par le haut-parleur de notre poste. Celle-ci nous parvient à 340 m/s, alors que la lumière nous parvient, grosso modo, à 299 792 458 m/s. La différence est notable. est-ce cela dont il voulait parler ? En effet, le son n'est pas comparable en cela à la lumière, puisque son vecteur est le milieu dans lequel il se propage et qu'il fait vibrer. Bonne journée. Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 15:02 (CEST)[répondre]

ce n'est pas moi qui ai écrit les lignes en italiques. Je formule ainsi ma question, si vous le voulez bien : peut-on dire que la différence entre son et lumière est une question de temps? Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 15:04 (CEST)[répondre]

C’est la quatrième de couverture de votre livre...
Non, on ne peut pas dire que la différence entre son et lumière est une question de temps.
Les deux sont des ondes : ça, c’est leur mathématisation. Concrètement, le son c’est une pression qui varie ; ça se propage parce que des molécules d'air poussent leurs voisines. C’est un phénomène purement mécanique. L’onde électromagnétique, c’est un champ électrique et magnétique qui varie, c’est-à-dire quelque chose qu’on ne sait pas définir concrètement. Ça n’est pas un phénomène mécanique.
Bref, que tous deux soient des ondes, soient perçus différemment selon leurs fréquences, peut être une raison de les rapprocher ; cela leur donne un vague point commun ; mais ce qui les sépare ce n’est pas le temps, c’est leur nature même. Ce sont des choses très différentes, qui n’ont en commun que le fait d’être des ondes — bref, le temps serait plutôt ce qui les rapproche que ce qui les différencie. rv1729 8 avril 2009 à 15:15 (CEST)[répondre]

Si je comprends bien, personne ne comprend bien. Par exemple : le son est une pression qui varie. Une pression de quoi?Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 15:35 (CEST)[répondre]

Une pression de l’air quand il se propage dans l‘air. rv1729 8 avril 2009 à 15:44 (CEST)[répondre]
ou de l'eau quand le son se propage en milieu aquatique, car ce n'est pas le Monde du Silence. Je cite :Le son est une onde produite par la vibration mécanique d'un support fluide ou solide et propagée grâce à l'élasticité du milieu environnant sous forme d'ondes longitudinales. En revanche, "La lumière désigne les ondes électromagnétiques visibles par l'œil humain, c'est-à-dire comprises dans des longueurs d'onde de 0,38 à 0,78 micron (380 nm (violet) à 780 nm (rouge)" Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]
Ça n’est pas parce qu’on ne sait pas définir un champ électrique ou magnétique autrement que par son interaction avec la matière qu’on ne le comprend pas. Ça n’est pas un objet matériel, c’est tout. Lisez donc l'évolution des idées en physique de Einstein et Imfeld, c’est pas du tao. rv1729
Et le fait que la lumière ait à la fois un comportement corpusculaire (les photons) et un comportement ondulatoire (sa longueur d'onde) ne simplifie pourtant pas la façon dont on peut l'appréhender. Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 16:01 (CEST)[répondre]
Je me demande si à la base de ce questionnement, il n'y aurait tout simplement pas une analogie regrettable entre "onde radio" et "onde sonore"? On désigne généralement par "ondes radios" des ondes électromagnétiques, comme la lumière visible, mais ayant la plage de fréquences usuellement utilisée pour pouvoir être décodée par les postes radios. Elles n'ont donc rien à voir avec les ondes sonores que ces dit postes radio sont capable d'émettre. Les ondes sonores et électromagnétiques sont de nature complètement différentes et ne sont pas comparables. Dans les ondes électromagnétiques, la fréquence diffère les ondes radio et la lumière visible, et la fréquence est effectivement dépendante du temps physique (mais non de la sensation de perception du temps qui passe).
Ai-je commencé à réorienter le débat en fonction de vos interrogations? Amitiés. --Ygonaar (d) 8 avril 2009 à 16:08 (CEST)[répondre]

Je serais intéressé de savoir de quelle façon on peut comprendre cette phrase: "la différence entre la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, autrement dit de temps." Bien à vous. Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 16:23 (CEST)[répondre]

Cette phrase est sur ce site [6], et au cas particulier la seule signification qu'elle ait est que, dans le spectre électromagnétique, la fréquence des ondes radio est différente de celle de la lumière. Ce n'est pas plus compliqué que cela. Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 16:35 (CEST)[répondre]

Pourriez-vous m'éclairer sur le rapport entre la fréquence et le temps dans ce contexte, s'il vous plaît?Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 16:42 (CEST)[répondre]

Simple : la fréquence désigne le nombre d'ondulations de l'onde à la seconde. Pour répondre à votre question en quelques mots : la lumière et les ondes radio sont deux rayonnements électromagnétiques. La fréquence de la lumière visible se trouve aux alentours de 3.1014 Hz (Hertz = nombre d'ondulations par seconde), tandis que les ondes radio ont une fréquence inférieure à 3.107 Hz. Voir l'article Spectre électromagnétique qui en dit plus à ce sujet. --Milena (Parle avec moi) 8 avril 2009 à 17:08 (CEST)[répondre]
Une onde radioélectrique est une onde électromagnétique dont la fréquence est inférieure à 3 000 GHz, c’est à dire moins de 3 milliards d’oscillations par seconde. La lumière visible regroupe les ondes électromagnétiques dont les fréquences sont entre 405 et 750 THz, soit entre 405 et 750 milles milliards d’oscillations par seconde. La lumière visible a donc beaucoup plus d’oscillations par unités de temps (une seconde) que les ondes radios, elle vibre plus vite. En revanche, il ne faut pas confondre une « émission d’onde radio » (où le son n’intervient nullement) et une « émission de radio ». Cette dernière est un programme véhiculé par des ondes radios (imperceptibles par un être humain) entre la station émettrice et votre poste récepteur, lequel décode le signal et le transforme en onde sonore (perceptibles par votre oreille) dont la nature est complètement différente (à part le fait d’être une onde). Dans votre énnoncé « la différence entre la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, autrement dit de temps », la phrase « la différence entre la lumière et une onde radio est une question de fréquence, autrement dit de temps » serait certainement plus rigoureuse. D’autant plus que les instruments électroniques permettant d’émettre une onde radio ne semblent avoir aucune place dans l’histoire. Amitiés. --Ygonaar (d) 8 avril 2009 à 17:25 (CEST)[répondre]

Merci à toutes et à tous. Ne pensez vous pas qu'il reste à parler de ce qui est signifié par " le temps " dans la phrase dont l'énoncé plus juste serait : "la différence entre l'onde radio et l'onde lumineuse est une question de fréquence, donc de temps" ? Nous devrions peut-être nous contenter de dire que la différence entre l'onde lumineuse et l'onde radioélectrique est une question de fréquence. Mais alors apparaît le fait que ce qui nous paraît le plus aisément compréhensible est la notion d'onde lumineuse car on fait tout de suite le rapport avec la lumière qui nous est familière alors que l'onde radio et a fortiori la fréquence sont plus ardues à décrypter. Et je ne parle pas des relations entre ces éléments qui sont bien en jeu ici. En définitive c'est bien le sens du mot "temps" qui est interrogé centralement dans la démarche de l'énoncé, ne pensez-vous pas? En tout cas c'est ce qui y pose question pour moi. J'y reviendrai peut-être et si vous le voulez bien . En attendant je me permettrai un petit poème pour détendre l'atmosphère : dans ma blague en peau ya du tabac et du blé sans compter tout' celles que j' crache. Bonne soirée. Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 19:29 (CEST)[répondre]

Non. rv1729 8 avril 2009 à 22:48 (CEST)[répondre]

Non quoi? Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 23:00 (CEST)[répondre]

Non, je ne pense pas, monsieur. rv1729 9 avril 2009 à 00:14 (CEST)[répondre]
Le Phénomène périodique se trouve dans la formule pour comprendre et représenter l'onde électromagnétique: F=1/T. "fréquence = Oscillations en une seconde", autrement représenté par "temps ( période ) = durée de temps (erreur/entre deux/erreur) d'une oscillation", ce qui nous donne par exemple pour une "fréquence = 10 oscillations en une seconde" --> "temps ( période ) = 1/10 = 0.1 seconde (erreur/entre deux/erreur) durée d'une oscillation". Et si vous prenez une fréquence différente, le temps ( période ) change aussi. De ce point de vue, ce qui différencie une onde lumineuse d'une onde radio est bien le temps ( période ). ViZiT (d) 8 avril 2009 à 23:36 (CEST)[répondre]

Ce qui différencie l'onde lumineuse et l'onde radio est le temps, c'est-à-dire la durée de chaque oscillation de l'onde. Francis MARTIN (d) 8 avril 2009 à 23:53 (CEST)[répondre]

Non. Soit vous êtes bête comme vos pieds, soit vous êtes de mauvaise foi ; dans tous les cas j’ai assez perdu de temps avec vous. rv1729 9 avril 2009 à 00:16 (CEST)[répondre]
Il suffisait juste de nuancer Temps et Temps (physique), dans votre question c'est le sens Phénomène périodique qui semble à retenir Émoticône. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 00:00 (CEST)[répondre]

Le temps c'est court et c'est lent et ça rime en ans Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 00:10 (CEST) le temps c'est court et c'est long et ça rime en tout b(...)on. la phrase exacte est " le temps c'est court et c'est long" et voilà la relation entre le phénomène physique et le phénomène perceptif qui me semblait suggérée par l'auteur de la phrase " ce qui différencie la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, autrement dit de temps", que nous ramenons à " la différence entre une onde lumineuse et une onde radio est le temps, c'est-à dire la durée de chaque oscillation de l'onde." Quelle serait la place de la perception dans la dernière proposition? si l' oscillation de l'onde électromagnétique est courte, nous percevons de la lumière, alors que si l'oscillation de l'onde est plus longue, nous percevons un certain phénomène engendré par l'onde radio ou nous ne percevons rien,ce qui reste à déterminer pour moi ( peut-être pourriez-vous me le dire). Tiens, d'ailleurs, si nous ne percevons pas l'onde radio, comment en avons-nous science? Il y a bien un aspect cognitif ici, et pourquoi pas perceptif? Bien à vous. Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 01:06 (CEST) Je remarque le commentaire de rv et en effet je me prends à réfléchir : j'hésitais à dire " ce qui différencie l'onde lumineuse et l'onde radio est le temps, c'est à dire la durée de chaque oscillation de l'onde" car j'avais lu " la durée de temps entre chaque oscillation" , ce qui, à mon sens, voudrait dire qu'entre chaque oscillation de l'onde il y aurait un temps? J'ai aussi entendu parler de " durée entre chaque pic de l'oscillation de l'onde" mais je ne vois pas ce que ça change. Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 01:38 (CEST) Il y aurait, certes, la classique dualité onde-corpuscule? Chaque pic de l'oscillation de l'onde électromagnétique se traduirait par l'aspect corpusculaire , alors que l'aspect continu de l'onde représenterait ce que nous appelons l'aspect ondulatoire de l'onde, ou quelque chose comme ça? (Dites moi si je me trompe) Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 01:49 (CEST) Serait-il juste de dire : " ce qui différencie l'onde lumineuse de l'onde radio est le temps, c'est-à-dire la durée de temps entre chaque pic de l'oscillation de l'onde? " Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 02:00 (CEST)[répondre]

nous avons science des ondes radios car les mathématiques et certaines machines vont dans ce sens. Dans certains cas, en plus du cognitif, vous pouvez percevoir les ondes en dehors de la gamme lumineuse ( par exemple les micro-ondes ) à vos dépends.
le problème des posts précédents est le sens multiple du mot "temps", et je présente mes excuses pour la mauvaise explication qui vous a induit en erreur. Par exemple " entre chaque oscillation de l'onde il y aurait un temps " est faux ( de mon fait ) parce qu'il n'y a pas de temps entre chaque oscillation, l'oscillation dure un certain temps nommée " période ". Et si cette durée prend place dans le temps courant à un moment précis, elle n'y reste pas éternellement. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 02:22 (CEST)[répondre]

Je comprends que l'oscillation dure un certain temps. D"autre part, on nomme le temps que dure une oscillation " période " parce que cette oscillation se répète, avec la même durée, un certain nombre de fois pendant une autre durée de temps, qui serait, si je ne m'abuse, supérieure à la durée de temps que dure une oscillation isolée. Est-ce juste, s'il vous plaît? Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 03:12 (CEST)[répondre]

Pas toujours, il vaut mieux différencier la période, qui est une construction mathématique supposant que l'onde reste constante, du temps courant. L'exemple qui me vient à l'esprit serait une onde avec une période très longue, de l'ordre de 99 milliards d'années. Ou une onde avec une période inférieure au temps de Planck. Entre ces extrêmes, vous auriez effectivement une succession de durées dont la somme serait une plus longue durée, par exemple 10 oscillations de 0,1s qui donneraient 1s. Cette seconde pouvant s'être écoulé il y'a quatre ans sur Proxima ( dont l'onde n'a pas obligatoirement la même période entre l'émission et la réception du fait des mouvements relatifs de Proxima et vous, voir effet Doppler), actuellement sur l'eau du lac ou demain matin lorsque vous baillerez. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 04:21 (CEST)[répondre]

Merci; pourrait-on dire que l'onde électromagnétique est un ensemble d'oscillations ayant chacune une certaine durée de temps, premièrement, et que, deuxièmement, cette durée de temps que dure chaque oscillation... je vous prie de bien vouloir m'excuser, mais je vais être primaire car je ne vois pas comment faire autrement: que la durée de temps que dure chaque oscillation n'est pas toujours la même " d'une oscillation à l'autre ", pour une onde donnée, s'il vous plaît? En écrivant cette deuxième question sur la variabilité de la durée des oscillations d'une onde électromagnétique, je remarque qu'une erreur est possible mais je ne vois pas bien laquelle. Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 07:47 (CEST) En fait, soyons simples, si vous le voulez bien: il paraît difficile de "percevoir" comment la durée d'une oscillation change d'une oscillation à l'autre, n'est-ce pas? Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 08:05 (CEST) J'essaye seulement de décomposer au maximum la façon d'envisager la chose. Pouvez-vous me dire, s'il vous plaît, si vous voyez une erreur possible, et laquelle alors, ou bien faudrait-il aborder le sujet (l'onde électromagnétique et la durée) autrement?Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 08:11 (CEST) J'avoue que je ne vois pas bien la différence entre ce que vous appelez "le temps courant" et un hypothétique autre temps. C'est pourquoi j'aborde le problème en jouant franc-jeu. De toute évidence, il y a bien plusieurs temps ici, au moins deux si l'on admet la variabilité de la durée des oscillations d'une onde électromagnétique. J'espère m'être bien fait comprendre, sinon je vous prierais de bien vouloir me reprendre. Seulement ces deux temps donnés ne varieraient qu'au niveau de la durée des oscillations d'une onde. Voyez-vous ce que je veux dire? Il n'y aurait pas de différence entre le temps "physique" et le temps "périodique" ou je ne sais quoi encore. Le temps serait une mesure que l'on ferait par rapport à un référentiel quelconque, ici la durée de l'oscillation. et si cette durée change, ce serait au niveau du "calcul" de ce temps ( "quantitativement" )pris au niveau d'un référentiel, puis d'un autre, et non au niveau de la nature du temps lui-même. Je ne vois pas, en effet, comment on peut concevoir une autre façon de... concevoir le temps, "quantitativement" ou "qualitativement". Qu'en pensez-vous? Je vous serais gré de me dire si vous voyez d'autres éléments. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 08:30 (CEST) A me relire, je vois que ce n'est pas encore clair. Je veux dire qu'il y a bien deux temps ici ( au moins ) puisqu'il y aurait le temps que dure une oscillation d'une onde, et puis le temps que durerait une seconde oscillation. Voila, ça y est, je ne peux pas être plus clair. Et le temps ne changerait pas de nature pour ces deux temps donnés puisque ce serait seulement la durée qui changerait. Une oscillation durerait un temps de une seconde, une autre oscillation durerait un temps de deux secondes. Et ce serait le même temps d'une durée à une autre. Qu'en pensez-vous? Francis MARTIN (d) 9 avril 2009 à 08:42 (CEST)[répondre]

Une onde électromagnétique est caractérisée par sa fréquence. Cette fréquence υ est égale à l'inverse de sa période : υ=1/T. La période est égale à la durée d'une oscillation. Pour une onde, cette durée est indépendante de l'oscillation. La première oscillation a la même durée que la deuxième, que la troisième, etc. La différence entre une onde radio et une onde lumineuse n'étant qu'une question de fréquence, ce n'est donc qu'une question de temps de la durée d'une oscillation pour chacune des deux ondes. « La durée des oscillations d'une onde électromagnétique » ne peut pas varier. Si cette durée varie, alors ce n'est plus une onde électromagnétique, mais un signal plus complexe, que l'on peut décomposer sous la forme d'une somme de plusieurs ondes (pour un signal périodique, je vous renvoie à l'article série de Fourier ; pour un signal non périodique, la décomposition n'est plus « discrète » et il faut consulter l'article Transformée de Fourier). GillesC m'écrire 9 avril 2009 à 09:26 (CEST)[répondre]
je trouve que vous vous compliquez bien inutilement la chose. Comme l'a dit à demi-mot rv, le seul temps qui compte est celui que vous perdez et faites peut-être perdre à autrui avec ces considérations. Si je vous parais abrupt dans ma formulation, c'est parce que nous nous échinons ici à vous expliquer que la différence dans le spectre électromagnétique entre lumière et ondes radio est une question de fréquence, or la fréquence est le nombre d'oscillations en une seconde. Compris ? Alors ne vous tracassez pas quant à la différence de perception que notre corps en a. Rien que dans le spectre lumineux, nous ne voyons pas les ultraviolets ni les infrarouges, et par exemple, au niveau sonore, les ultra- et infrasons nous échappent. Nos sens ne perçoivent que des fréquences déterminées, les autres ne nous sont pas particulièrement utiles. Nous n'avons pas de sonar comme certains cétacés (et là c'est assez et bien assez), et nous ne captons pas non plus la bande FM ou les micro ondes sans un appareillage adapté. Mais nos sens ont leurs limtations intrinsèques, et ça, ça ne justifie pas d'épiloguer longuement. Bonne continuation. 195.101.137.28 (d) 9 avril 2009 à 09:43 (CEST)[répondre]
Edith : C'est compliqué pour ce que c'est. Une onde, qu'elle soit électromagnétique, ou autre, peut être décrite a l'aide d'outils mathématiques. Si on prend un cas simple, la houle (les vagues pour simplifier). Pour le cas de la houle theorique, en un point fixe il n'y a pas de mouvement horizontal de l'eau. Simplement un mouvement vertical. En ce point l'eau ne fait que descendre ou monter, mais ne se déplace pas horizontalement. Imaginons une grand feuille de papier que l'on peut plonger dans l'eau et un stylo flotteur. Le dessin qu'on obtiendra est un trait vertical. Imaginons maintenant le même papier mais sur un rouleau qui tourne à une certaine vitesse. par exemple 1 centimètre de papier équivaut à une seconde. Apres quelques vagues on sort le papier et on le deroule. On va obtenir une sinusoide.
Phénomène ondulatoire

C'est une oscillation. Pour décrire la houle on prendre qu'il la période (le temps qui se passe entre deux crête par exemple). Pour simplifier disons que dans ce cas elle est environ de 3 centimètres sur le papier, donc 3 secondes. La fréquence, c'est le nombre d'oscillation dans une seconde. Donc une seconde divisé par trois secondes donne une fréquence de 0,333 Hertz. (1 Hz = 1 oscillation par seconde, 0,33 Hz dans une seconde il y a un tiers d'oscillation.) On peut aussi prendre la longueur d'onde (distance entre deux crêtes). Bah avec le son c'est la même chose sauf qu'au lieu de d'avoir de l'eau qui bouge verticalement et une onde qui se déplace horizontalement, la c'est l'air qui se déplace sur de petites distances et l'onde sur de grandes. Si on observe une peut a la même façon que les houles, c'est en fait des zones ou l'air est plus comprimé et d'autres ou l'air est moins comprimé. Si il n'y a pas de milieu (eau, air, alcool, etc) il n'y a pas d'onde. Dans l'espace pas de son. La seule différence entre une onde type son ou houle, et une onde électromagnétique c'est la propagation d'un champ magnétique et d'un champ électrique. Pour faire simple, (et surement faux), le photon se déplace dans l'espace. Mais en meme temps il vibre de "haut en bas". Si on lui attachait un stylo, on observerai la meme chose que la houle. Sauf que la période serait beaucoup plus faible et la frequence beaucoup plus grande. En gros de l'ordre de 107 pour les ondes radio et jusqu'à 1017 pour les rayons X. Apres c'est juste des noms et des tranches que l'homme a fixé. Donc comparé a la houle le photon a fait 100000000 oscillations en une seconde. Alors oui votre phrase a un sens... si il parle son et lumiere autant que dire "les voitures et les poissons se déplacent à une certaine vitesse, donc comme la vitesse c'est la distance sur un temps, la seule différence entre le poisson et la voiture c'est le temps." ps: Après, je peux comprendre que ca soit des notions pas forcement faciles, mais Rayonnement électromagnétique, Onde, Hertz, Signal sinusoïdal... le sujet est assez bien documenté :). Eystein (d) 9 avril 2009 à 09:52 (CEST)[répondre]

Cette série de question commence à devenir touffue et obscure. Il faudrait songer à la décomposer en petits éléments « indépendants » si vous voulez continuer le processus d’analyse. Pour essayer de synthétiser les exemples de ViZiT, il utilise deux notions de temps :
1)La période d’une onde lumineuse, notion mathématique servant à modéliser un phénomène physique dont la valeur ne jamais si la nature du phénomène ne change pas.
2)Le temps de l’observation du phénomène, qui est à replacer dans un référentiel. Ce temps peut en revanche être exprimé dans la même unité de temps (le seconde par exemple) que le temps mathématique suscité. L’expérimentation démontre normalement que ses unités ont la même valeur (un observateur voit en effet 10 ondes de période 0,1 secondes en une seconde d’observation). On peut donc pas dire qu’il y a au moins deux temps différents, puisque leurs mesures utilisent des unités identiques, mais que le mot temps désigne énormément de notions différentes.
Dans notre cas précis, ce qui complexifie la chose est qu’une onde lumineuse peut changer de nature, notamment sous l’effet Doppler. Sa période change alors, et par conséquent l’observation que l’on en a, la couleur. On dit qu’elle subit un décalage vers le rouge. Mais si la valeur numérique de la période change, l’unité de temps utilisé dans la modélisation (la seconde) ne change pas, c’est une constante. Dire qu’il y a deux temps différents seraient donc alors un abus de langage.
Si l’on sort des domaines de l’impression cognitive, de la philosophie et de la poésie, il n’y a guère que la théorie de la relativité qui admette une variabilité du temps en fonction de la vitesse en « sciences dures ». Mais là, on sort de mon domaine de compréhension, le raisonnement intuitif devant céder la place à de la pure modélisation mathématique, ce qui est malheureusement une affaire d’expert. Mais même dans ce cadre là, je crois que ce serait un abus de langage de dire qu’il y a plusieurs temps. Amitiés.

Bonsoir. Je ne connaissais pas l'animation illustrant le mouvement vertical de l'ondulation. Je me permets, si vous le voulez bien, de vous proposer en remerciement mon dernier poème car j'ai du grain à moudre : " payer c'est faire la pute " ( ne sourcillons pas car il y a bien une représentante de " ni pute ni soumise " au gouvernement, n'est-ce pas ) Bien à vous Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 00:20 (CEST)[répondre]

Faut-il interpréter : « dire merci, c'est être con » ? (quant à poétiser, gardons les vers libres.. ) --Égoïté (d) 11 avril 2009 à 00:38 (CEST)[répondre]

" Pas du tout, bien sûr " Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 01:15 (CEST) La première idée concrète qu'on pourrait trouver dans cette phrase, ce qui m'est venu à l'esprit après avoir pondu le poème serait quelque chose du genre " payer une catin c'est justifier son commerce", voyez-vous. Mais plus simplement le vers signifie : éviter de se compromettre.Rester neutre, quoi. Et j'aime bien ce que j'ai dit : "pas du tout, bien sûr" qui entre plus directement dans le domaine du jeu avec le paradoxe.Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 01:30 (CEST) Il y a bien aussi un paradoxe ici, en effet, à bien y regarder car une putain, pardon, une horizontale, se fait payer, justement et ne paye pas. Or elle fait la pute alors que j'ai écrit : payer, c'est faire la pute; donc faire la pute c'est payer ... Vous me suivez?Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 01:48 (CEST) Et là j'irai jusqu'au bout du cercle ( le bout du cercle, pas mal, non? ) : faire la pute, c'est payer... de sa personne. Tout ceci n'est que du jeu avec les mots,par exemple on peut dire : il y a du jeu dans les mots. Bonsoir. Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 02:02 (CEST) Notons enfin qu'une "courtisane" est aussi parfois appelée une " horizontale" alors que je parlais du " mouvement vertical de l'ondulation", ce dernier sujet ne laissant pas de m'intéresser, ce pourquoi je disais justement que je souhaitais vous remercier car ce "mouvement vertical d'une ondulation",traçant une droite, verticale qui plus est, sur l'animation, me donne "du grain à moudre".Francis MARTIN (d) 11 avril 2009 à 05:18 (CEST)[répondre]

Pardon d'intervenir avec (au moins) un siècle de retard - et néanmoins avec mon ingénuité la plus spontanée (naïve ? :-) - mais ne fallait-il pas comprendre la question d'origine ainsi : la différence de perception humaine entre la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, autrement dit de temps ? Autrement dit, une fois trouvé (un accord sur) le sens des mots, passer à la notion de perception humaine ? Let's keep the faith :-) Polofrfr (d) 19 avril 2009 à 21:11 (CEST)[répondre]

la place des pronoms dans la phrase

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Bonjour, j'ai une question langagière (le français n'est pas ma langue maternelle): est-ce qu'il est faut (en français standard/écrit) de dire "il la [p.ex. l'histoire] raconte à lui" au lieu de "il la lui raconte", c-à-d de mettre le pronom d'objet indirect à la fin de la phrase en tant que pronom tonique? Merci d'avance! -- 78.54.105.244 (d) 8 avril 2009 à 15:17 (CEST)[répondre]

Non, « il la lui raconte » est correct. « Il la raconte à lui » ne l’est pas, sauf cas très particulier où on voudrait insister sur la personne qui écoute l’histoire : « il la raconte à lui ! ». rv1729 8 avril 2009 à 15:19 (CEST)[répondre]
Cependant, pour rebondir sur l'explication d'Hervé "Ta(2)", je dirais que ce placement ne se fait qu'à la forme pronominale, avec l'emploi de "lui". En effet, si la phrase "il lui raconte l'histoire" est la formulation correcte (avec le C.O.I. avant le verbe), en revanche, on dira "il raconte l'histoire à son ami". Si on reprend ton exemple, avec "la", ça donnera "il la lui raconte" mais "il la raconte à Untel". Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 15:34 (CEST)[répondre]
Ceci dit, "il la raconte à lui" est tout à fait compréhensible --Lo
À Lo : Comme « je me l'ai racontée à moi » ? --Égoïté (d) 8 avril 2009 à 23:53 (CEST)[répondre]
Bon alors, "Il la raconte à lui" n'est pas correcte mais compréhensible. De quel point de vue est-ce incorrect? Ou pourrait-on dire que c'est, d'un point de vue descriptif, tout à fait acceptable/normal dans certaines variations du français? -- 78.54.102.42 (d) 9 avril 2009 à 08:30 (CEST)[répondre]
Quand l'usage d'une tournure se répand, puis qu'elle est "validée" un jour par un traité de grammaire ?? Ou par des écrivains régionaux ?? -Lo-88.139.115.251 (d) 9 avril 2009 à 11:27 (CEST)[répondre]
A Egoïté : effectivement, c'est lourdingue et même incorrect... mais c'est compréhensible. Comme dit rv, ça peut aussi traduire une emphase -Lo-88.139.115.251 (d) 9 avril 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]
L'utilisation d'un pronom plutôt que de ce qu'il désigne a une raison et un sens, notamment qu'on est en train de parler d'un élément récurantrécurrent du discours et donc plutôt important, et il me semble que c'est une violation de cette cohérence interne qui rend incorrecte la phrase « Il la raconte à lui » (sauf cas très particulier, justement, mais qui ne prend sa signification que par contraste avec la forme normale, comme l'explique la théorie de l'information). D'une certaine façon, même si on sait que "lui" c'est "jean" et que "la" c'est "l'histoire", les phrases « Il la raconte à jean », « Il la lui raconte » et enfin « Il lui raconte l'histoire » ont un sens différent : la première parle de "la" et dit à qui on la raconte, la deuxième parle à la fois de "la" et de "lui" et deux leur mise en relation, la troisième parle de jean et de ce qu'on lui raconte (voyez la nuance ?). L'usage étant de mettre en avant l'élément important (usage qui peut évidemment changer...), mettre "lui" à la fin est plutôt malvenu : s'il n'est pas important, il ne mérite pas le pronom.
Notez que "lui" est un peu spécial, comme le montre la forme pluriel « Il la leur raconte » (correct) Vs « Il la raconte à eux » (incorrect, quant à « Il la raconte aux eux » on n'en parle même pas ...)
gem (d) 9 avril 2009 à 14:17 (CEST)[répondre]
Une rapide recherche du mot "récurant" dans Wikipédia fr me fait découvrir avec horreur que les 11 résultats retournés constituent tous des fautes d'orthographe. La poudre à récurer (et non : arrêt-curé) est récurante, mais un gag, un thème, un sujet, un rôle sont récurrents. Apparemment, la faute est devenue la norme. Félix Potuit (d) 9 avril 2009 à 15:34 (CEST) Les gens abusent de la poudre. Morburre (d) 9 avril 2009 à 16:03 (CEST)[répondre]
Va pas chercher trop loin, tu es en train confondre les "A si B" et les "B si A". S'il n'y a (avait) que 11 récurant (maintenant 13), c'est que la faute est très loin d'être devenue la norme, c'est plutôt qu'elle est rare, au contraire, et ça reste juste une faute sans importance. Et puis c'est pas poli de rappeler les fèces sur le curé de la matière fait cale.gem (d) 9 avril 2009 à 16:13 (CEST)[répondre]
Sans importance, mais bon, on est censés être sur une encyclopédie. J'ai fait un peu de ménage, mais rassure-toi, j'en ai laissé un peu (se farcir un article chiant pour trouver un mot, hein...) Morburre (d) 9 avril 2009 à 16:24 (CEST)[répondre]

Morburre, ton article sent mauvais !--79.156.81.217 (d) 9 avril 2009 à 18:53 (CEST) Attendons de sentir les tiens, d'articles. Morburre (d) 9 avril 2009 à 19:03 (CEST)[répondre]

J'aime la notion de "faute sans importance". Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 11:24 (CEST) [répondre]

littérature indonésienne

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Bonjour,

Pourriez-vous s'il vous plaît me renseigner au sujet de l'écrivain indonésien Pramoedya Ananta Toer ?

J'ai trouvé un article sur Wikipédia, mais de ces 3 noms quel est son prénom et son nom de famille ? Est-ce que comme en Europe on met le prénom d'abord ?

Je vous remercie d'avance de votre aide soit une réponse directe par votre connaissance, soit me renvoyer sur un lien où je pourrai trouver la réponse.

Cordialement !

Rémy

Il n'y a normalement pas à proprement parler de prénom ni de nom de famille mais tout simplement un nom donné par les parents, chaque élément dans un nom indonésien porte une signification. La première partie est le nom personnel de la personne que l'on peut assimiler au prénom mais seulement parce que c'est le nom que l'on va utiliser couramment, le reste ne constitue pas par opposition le nom de famille mais l'ensemble va constituer le nom complet de la personne. --Olivemrs (d) 8 avril 2009 à 18:28 (CEST)[répondre]
La page anglaise sur [7] nous dit ceci :As it is written in his semi-autobiographical collection of short stories "Cerita Dari Blora", the name was actually Pramoedya Ananta Mastoer. But he felt that the family name Mastoer (his father's name) seemed too aristocratic (traduit à main levée : ainsi que mentionné dans son recueil de nouvelles semi-autobiographiques "Cerita Dari Blora", le nom était en fait Pramoedya Ananta Mastoer. Mais il sentait que le nom Mastoer (le nom de son père) semblait trop aristocratique... Elsaesser (d) 8 avril 2009 à 16:06 (CEST)[répondre]

Merci aux personnes qui ont répondu à ma question !

Luis Suelves

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Bonjour,

J'ai écrit un court article du guitariste Espagnol Luis Suelves. On me demande une référence parce que j'ai écrit qu'il était reconnu comme grand virtuose de la guitare.

Le texte provient d'un disque vinyle que je possède (qui date des années 70). Malheureusement, le texte n'est pas signé et je ne puis donner aucune référence. Ce guitariste (dont on connait très peu de choses il faut le dire), est en effet un guitariste de haute classe dont les interprétations sont magistrales. L'enregistrement n'est pas très bon (MACE)et provoque certaines distorsions à quelques endroits.

Je fais actuellement d'autres recherches à son sujet car on ignore presque tout de cet artiste. J'ajouterai des informations à mesure que j'en trouverai.

De plus, j'aimerais savoir comment je pourrais ajouter la photo de Luis Suelves. Celle-ci apparait au dos de la pochette. Je l'ai numérisée Celle-ci est signée BURT GOLDBLATT et aucune mention n'est faite au sujet d'un COPYRIGHT quelconque.

Je vous remercie

Christian Lavergne Québec, Canada

Déjà, une pochette de vinyle de l'artiste ne me semble pas la source la plus neutre qui soit : je ne vois pas un éditeur mettant sur son dernier album « ce disque n'est pas terrible », quand on cite les critiques sur ce genre de support, on ne cite que les positives. Il faudrait donc effectivement que vous trouviez d'autres informations venant de sources qui ne sont pas dépendantes de l'artiste ou de son éditeur.
Pour l'image, je dirais « ne pas importer » dans l'état actuel des choses. À partir du moment où un photographe signe son oeuvre, il a des droits dessus, qui n'expirent que 70 ans après sa mort. Sauf cas particulier, si ce Burt Goldblatt n'est pas mort depuis plus de 70 ans, cette image est considérée comme non libre, donc non utilisable sur Wikipédia.--Milena (Parle avec moi) 8 avril 2009 à 17:17 (CEST)[répondre]
D'après "Classic Guitar, Lute and Vihuela Discography" de Ronald C. Purcell (index du livre [8]), il a sorti un disque. Si t'arrives à trouver ce bouquin peut-être trouveras-tu plus d'infos ? --Serged/ 8 avril 2009 à 17:28 (CEST)[répondre]
Quels sont les morceaux interprétés et de qui sont-ils ? --Doalex (d) 8 avril 2009 à 20:30 (CEST)[répondre]
Je crois que je suis le poseur du modèle "refnec" dans la phrase "Luis Suelves a été reconnu [réf. nécessaire] comme étant un des grands virtuoses de notre temps". Quand on lit une phrase de ce genre dans un court article qui se veut "encyclopédique", je pense que la bonne question est effectivement : a été reconnu par qui ? Bien entendu, je ne connais pas la réponse. Cela ne retire évidemment rien aux mérites de ce monsieur, ni à l'intérêt de cet article. Pour tout dire, j'ai trouvé que cette phrase sonnait comme un phrase publicitaire. J'espère que nous trouverons des références. Cordialement. --Seymour (d) 9 avril 2009 à 01:16 (CEST)[répondre]

Pièce ancienne

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bonjour, j'ai trouvé une pièce ancienne (1916) et je souhaiterais savoir si elle peut avoir de la valeur. Je ne trouve aucun site qui peut me le dire. Merci par avance .

Avez vous cherché autours de l'article Numismatique ? Piero (d) 8 avril 2009 à 21:36 (CEST)[répondre]
Accessoirement, en publiant la photo de cette pièce sur Commons, vous aurez plus de chance... --Égoïté (d) 8 avril 2009 à 23:51 (CEST)[répondre]

affiches officielles

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Bonjour, j'aimerais savoir s'il est vrai (ou faux) que l'impression en noir et blanc est réservée en France à l'affichage officiel de la république ? J'imagine que si ça a dû être vrai à une époque (genre IIIe République, et encore…) je pense que ça ne l'est plus aujourd'hui. J'ai cherché sans résultat sur Wikipédia (et sur le reste du Net), j'aimerais en être sûr… Merci beaucoup ! camobap

Article 15 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse : fond blanc interdit. Et article R.27 du code électoral, interdiction de la combinaison des trois couleurs bleu-blanc-rouge. Ceci concerne les affiches électorales, mais doit s'appliquer à tout type d'affiche. Je n'ai pas ces articles sous le nez. Morburre (d) 8 avril 2009 à 21:20 (CEST)[répondre]
Le voilà, l'article 15 : Dans chaque commune, le maire, désignera, par arrêté, les lieux exclusivement destinés à recevoir les affiches des lois et autres actes de l'autorité publique. Il est interdit d'y placarder des affiches particulières. Les affiches des actes émanés de l'autorité seront seules imprimées sur papier blanc. Toutefois, est licite l'usage du papier blanc pour l'impression d'affiches publicitaires lorsque celles-ci sont recouvertes de caractères ou d'illustrations de couleur et lorsque toute confusion, soit dans le texte, soit dans la présentation matérielle, est impossible avec les affiches administratives.Toute contravention aux dispositions du présent article sera punie des peines portées en l'article 2.

Toujours en vigueur, mais il y a le Toutefois... qui arrange tout. Morburre (d) 8 avril 2009 à 21:29 (CEST)[répondre]

Àmhc (peut-être nouveauté ? = à mon humble connaissance), il en va de même en Belgique mais j'avoue qu'une longue pratique de la tradition ne m'a jamais poussée à enquêter sur les sources (primaire, secondaire ou tertiaire, cela va de soi, n'est-il pas une fois ?). J'ajoute que tout papillon, en Belgique, doit être pourvu de la mention « Éd.resp. nom, prénom, adresse complète, Ne pas jeter sur la voie publique. » et que les affiches doivent être timbrées – même si x institutions, parfois des plus sérieuses, indiquent « Exempt de timbre, art. » machinchouette. Quant à connaître le montant du timbrage, vous vous adressez au point-poste le plus proche (qui n'en sait rien)... (Que) vive la connaissance ! --Égoïté (d) 8 avril 2009 à 23:45 (CEST)[répondre]

ne comprend pas un elément du film

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bonjour oh oracle!

je viens juste de regarder le dernier film de Nicolas Cages :prédictions.et il y a un truc qui me chiffonne!en fait je ne comprend pas qui sont les personnes qui "chuchotent" je me demandais si c'était des extraterrestres ou autres choses!! alors message à vous qui avez peut être vue ce film de vouloir m'aider merci

à la fin du film ce sont bien des "autre-intelligence-qu'humain-du-XXI". Vu la scène finale rappelant furieusement Eden et l'Arbre, Adam et Eve, j'opte pour néo-anges. ViZiT (d) 8 avril 2009 à 21:49 (CEST)[répondre]

bonjour a tous

tout est une histoire d interprétation, effectivement tout est la pour rappeler l'œuvre de dieu ,les anges , l'arbre , et le fait que ce soit un couple d enfant " même si il y en a plusieurs " n oublions pas les paroles de Jésus dans Matthieu 10:14/15 14 Jésus, voyant cela, en fut indigné et leur dit: Laissez venir à moi les petits enfants; ne les en empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux. 15 En vérité, je vous le dis: Quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera pas.

mais pour d autres qui adore la SF nous retrouvons nos amis les EBE entité biologique extraterrestre info voir les ouvrages de M Jimmy Guieu info d ailleurs dans beaucoup d ouvrage de SF vous retrouverez souvent la semence de l'espèce humaine via les extraterrestres exemples : mission to mars


en fait le film est tourner de maniere a laisser le public choisir d après ces propres convictions . et pourquoi pas non plus des voyageurs temporel.... vi vi vi a vous de choisir ;)

pour ceux qui hésite ou pour les tordus ,lol,la bible dis que dieu ne vis pas sur terre ,donc nous pouvons dire que dieu est un extraterrestre

merci a bientôt Chris

oeufs de poules

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il y en a aussi de toutes les couleurs

Bonsoir à tous,

En cette veille de fête de Pâques une question est posée pour quelles raisons y a-t-il des oeufs de poules bruns et d'autres blancs. Merci de votre aide.

L'article et particulièrement le chapitre Œuf amniotique#La coquille sont à lire. Vous pouvez y ajouter ( PDF ) La coloration de la coquille est d’origine génétique. Elle varie selon la race de la poule mais elle est indépendante de la couleur du plumage et du mode d’alimentation. ViZiT (d) 8 avril 2009 à 23:02 (CEST)[répondre]
Pâques : œufs en chocolat noir, chocolat au lait, chocolat blanc. Morburre (d) 8 avril 2009 à 22:58 (CEST) Prière de mettre la réponse sérieuse avant, merci.[répondre]
(Méchant, excusez-moi d'avance) : Parce qu'un oeuf n'existe pas. Voyez Œ. Et bonne soirée ! --Égoïté (d) 8 avril 2009 à 23:48 (CEST) (Dis-donc mon lapin, c'est pas un peu cloche cette remarque sur les œufs, je crois qu'tu pouss's un peu, c'n'est pas c'qu'Al nous a appris. ton agneau chéri)[répondre]

Poésie flyée

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Bonjour les Pythies! Voyez ce vidéo... j'adore ce genre de poésie! Comment appelle-t-on ça? Ça a surement un nom! Merci! Émoticône Félixggenest le 9 avril 2009 à 01:43 (HAE)

Je ne comprends pas la question. DocteurCosmos (d) 9 avril 2009 à 11:27 (CEST)[répondre]

Bah vous voyez le concept littéraire que c'est? Genre le mec lit quelque chose de pessimiste, pathétique, triste (...) mais arrivé à la fin il dit « Mais attendez un peu! » et là il le relit à l'envers et ça donne un message d'espoir, de joie (...). Cette manière d'écrire a surement un nom, non? Genre un poème réversible ou je ne sais quoi... Merci Émoticône sourire Félixggenest le 9 avril 2009 à 07:07 (HAE)

HoaxBuster avait prévenu d'un texte dans ce style, et dans les commentaires très instructifs vous pouvez relever le mot stéganographie avec quelques exemples. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 14:56 (CEST)[répondre]

Détection des paramètres d'une pellicule photographique

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Bonjour !

L'autre jour, en insérant une pellicule dans mon appareil photo, j'ai remarqué qu'il avait détecté automatiquement la sensibilité. Bien sûr, je l'avais remarqué auparavant, mais cette fois-ci je me suis demandé comment l'appareil fait pour détecter cette sensibilité. Je n'ai pas vu de différence évidente sur les pellicules (boîtier et film), mais elle est forcément mécanique... et donc je l'ai nécessairement ratée. Où est-elle ?

Merci ! GillesC m'écrire 9 avril 2009 à 09:36 (CEST)[répondre]

Sans aucune garantie, la première chose qui me vient à l'esprit c'est que la différence entre un ISO 100 et ISO 1200 c'est la sensibilité, et comme le nom argentique est dedans c'est que le nitrate d'argent présent dans la pellicule réagit à la lumière avec . Après vu que la composition doit varier, la résistance électrique aussi non ? Et donc avec deux petit contact électrique l'appareil mesure la résistance au courant et en déduit par rapport a des normes préétablie l'indice ISO ?Eystein (d) 9 avril 2009 à 10:11 (CEST)[répondre]
Pour auitant que je me souvienne, il y a un code imprimé sur la bobine de pellicule (des parties en gris), et un capteur dans l'appareil photo. Morburre (d) 9 avril 2009 à 11:01 (CEST)[répondre]
Oui c'est le Code DX. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 11:37 (CEST)[répondre]
Merci ! GillesC m'écrire 9 avril 2009 à 13:23 (CEST)[répondre]

Interrogation sur le sens de "personne n'a rien vu"

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Bonjour,


Je m'interroge sur le sens de la phrase "personne n'a rien vu", d'après mes recherche elle semble tout à fait correcte et est entendu comme "personne n'a vu quelque chose", or dans mon esprit (peut-être trop Mathématiques) "quelque chose" étant l'inverse de "rien" ces deux phrases devrait être opposées, et donc si personne n'a rien vu alors tout le monde a vu quelque chose ... En effet si l'on demande qui n'a rien vu ? et que la réponse est personne, on a donc que personne n'a rien vu autrement dit tout le monde a vu quelque chose.

J'ai bien trouvé un semblant de réponse

   Normalement personne est utilisé comme un auxiliare de ne :
   Personne n'est venu.
   On peut parfois l'utiliser deux ou même trois auxiliaires de négation en la gardant :
   Personne n'a rien dit.
   Personne n'a jamais vu cela nulle part.
   Il y a, en réalité, une seule négation, 
   un des deux (ou deux des trois) auxiliaires gardant le sens positif.
   Grevisse § 1019a

vu ici

mais je ne vois pas bien quelle est la règle utilisée.

De même si l'on se penche sur la phrase "personne n'en veut plus"(célèbre interrogation de la ménagère avant d'emporter le plat) à t-on pour moi la même traduction par "tout le monde en veut"

Voila, en espérant que quelqu'un puisse m'expliquer ces subtilités de la langue française ...

Merci --Touxx (d) 9 avril 2009 à 10:48 (CEST)[répondre]

D'autres livres de grammaire classe "personne" comme "pronom négatif" : en tant que tel, le reste de la phrase doit être une négation--88.139.115.251 (d) 9 avril 2009 à 11:22 (CEST)[répondre]
souvenir d'apprentissage: remplacer "personne" par "il" ou "cette personne". ViZiT (d) 9 avril 2009 à 11:26 (CEST)[répondre]
Par ailleurs, une langue n'est pas une construction mathématique. Parfois (souvent ?) la logique en est absente. En passant (d) 9 avril 2009 à 11:28 (CEST)[répondre]
Personne, comme rien ne sont pas des négations. Seul le ne est la négation. « Personne n'a rien vu » peut signifier (en remplaçant personne et rien) « Il n'y a pas quelqu'un qui ait vu quelque chose ». D'ailleurs mon nom est Personne et avec 3 fois rien, on a déjà quelque chose. --Serged/ 9 avril 2009 à 12:00 (CEST)[répondre]
+1 ; "rien", c'est en fait le latin rem qui signifie chose, et personne signifie une personne aussi bien que quelqu'un ou quiconque. Rien n'est donc plus correct Émoticône et clair que "personne n'a rien vu", c'est peut être une relique d'un temps très ancien personne n'aurait posé votre question ...
Vous avez un exemple encore plus évident : le cas de "plus", tout le monde dit courrament "j'en veux plus" pour dire exactement le contraire, simplement en élidant le "s" voire le "l" pour marquer la langue relachée et l'ellipse du "ne". Quand j'étais petit je croyais même que "plus" (prononcé "plu") et "plus" (avec le s bien marqué) c'était deux mots différents avec la même orthographe.
gem (d) 9 avril 2009 à 14:41 (CEST)[répondre]
Quelques infos ici... Félix Potuit (d) 9 avril 2009 à 15:40 (CEST)[répondre]
C'est comme jamais, qui n'a pas toujours le sens d'une négation. J'avais comme ça parsemé un texte de tournures genre S'il a jamais fait ceci ou cela, c'était pour telle raison, et un correcteur consciencieux m'avait tout modifié en S'il n'a jamais, ce qui changeait tout le sens. Morburre (d) 9 avril 2009 à 16:02 (CEST)[répondre]
jamais c'est (comme dans déjà,= dès  : http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/search.exe?23;s=2239417905;cat=0;m=j%85;) renforcé par mais (http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?58;s=2239417905;r=3;nat=;sol=1;).
Je suis sur qu'il nous faudrait un article pour toutes ces particularités similaires, las, onc n'eus-je jà mais idée de l'intitulé lui donner (étant supposé que nous n'ayons pas encore ça quelque part, bien caché...) gem (d) 9 avril 2009 à 16:47 (CEST)[répondre]

Des chiens à la place des matraques ?

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La vidéo des derniers moments du passant anglais mort d'une crise cardiaque après avoir été violemment frappé et poussé dans le dos par un policier londonien montre que certaines équipes de « maintien de l'ordre » sont accompagnées de chiens. Est-ce à dire qu'ils peuvent les lâcher sur les manifestants ? Rien de semblable n'existe en France il me semble (comme la police montée du reste). DocteurCosmos (d) 9 avril 2009 à 11:30 (CEST)[répondre]

Faut bien qu'elles mangent, ces bêtes... Un cuissot de manifestant anti-G20 au petit déjeuner, slurp... Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]
A propos il y a bien des éléments de police montée en France, mais je n'ai pas la référence sous les yeux. Au bois de Boulogne notamment, je crois bien. Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 13:43 (CEST) P.S. J'ai trouvé : "les brigades équestres, c'est autre chose : celles-ci relèvent de la police nationale. Dans les Hauts-de-Seine, l'unique brigade est basée au parc des Chanteraines à Villeneuve-la-Garenne où elle partage les écuries du poney club (sic)". 8 policiers, 4 chevaux (ils doivent monter à 2 par cheval, apparemment). Source : HDS.mag (le magazine du Conseil général des Hauts-de-Seine), avril-mai 2009. Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 18:14 (CEST)[répondre]
On avait bien mieux que ça : les motocyclistes-voltigeurs. Mais cette brillante expérience a pris terme après ça. gede (dg) 10 avril 2009 à 18:35 (CEST)[répondre]
Il paraîtrait (lu sur un site monté à l'occasion des manifestations anti-OTAN à Strasbourg) que Sarkozy les auraient remis à l'honneur... DocteurCosmos (d) 10 avril 2009 à 20:05 (CEST)[répondre]
Il me semble que les "policiers" du bois de Boulogne appartiennent à la Garde républicaine. Apokrif (d) 10 avril 2009 à 21:31 (CEST)[répondre]

le pire que les Etats-Unis a fait dans toute son histoire?

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Bonjour! Dans toute son histoire, quel est le pire que les Etats-Unis a fait (comme, par exemple, pour L'Allemagne c'est bien entendu l'Holocauste)? Merci! Bonne journée,

très subjectif comme question, qui entrainera des réponses subjectives en fonction de la morale, de l'éthique, de la culture de chacun. Si on considère que tuer c'est mal et la guerre pas bien (comme je le pense, on peut parler de l'extermination des Indiens, de la guerre du Vietnam, des actions de la CIA, de Guantanamo, de la peine de mort...). Si on considère que protéger l'environnement c'est bien, on pourra parler des V8 qui consomment 35l aux 100km...Cobra Bubbles Dire et médire 9 avril 2009 à 13:04 (CEST)[répondre]
Le chewing-gum ? Grasyop 9 avril 2009 à 13:08 (CEST) Pardon, je veux dire, la gomme à mâcher.[répondre]
Little Boy parce que cela créé un précédent. Bien sûr c'est un point de vue --Yelkrokoyade (d) 9 avril 2009 à 13:14 (CEST)[répondre]
les soap opreras comme des jours et des vies ou les feux de l'amour?? ou, plus sérieusement, avoir été le premier et seul pays au monde à utiliser la bombe atomique? mon coaur balance...


Dans les toutes premières places, le génocide indien. Et le problème surtout, c'est que son histoire n'est pas terminée... DocteurCosmos (d) 9 avril 2009 à 13:50 (CEST)[répondre]
La carte n'est pas le territoire, et aucun mot ni concept ni entité virtuelle (voir nominalisme) "États-Unis" n'est responsable de quoi que ce soit. Les États-Unis n'existent pas, c'est juste une fiction, comme le père Noël : c'est commode et ça traduit bien un certain nombre d'actes tels que, respectivement, la mort de Sitting Bull ou le dépôt de cadeaux en fin d'année, mais c'est quand même dépourvu de réalité. Au mieux, je peux vous accorder que c'est une métonymie pour une collection d'individu (collection aux contours flous !) dont la pertinence par rapport aux "pires" envisagés est douteuse (exemple : l'esclavage est certainement un des "pires" que des gens peuvent vous citer, pourtant les USA se sont fait une guerre civile à ce sujet, preuve d'un désaccord profond au sein de la collection citée) ; sauf que ça suppose d'admettre la légitimité du concept de responsabilité (et punition) collective, qui justement est une des catégories morales les plus contestées.
Par conséquent votre question est dépourvu de sens.
Mais comme j'ai comme un doute sur le fait que ça imprime, je vous signale quand même au moins deux autres réponse possibles plus dans votre fil
a) le pire, incontestablement et suivant le principe de la langue d'Esope, c'est d'avoir déclaré leur indépendance et donc d'exister (si vous y tenez bien sûr...). Tout le reste en découle.
b) n'oubliez pas les abstentions : si l'Allemagne est responsable de la Shoah selon votre exemple, ne peut-on pas accuser les USA d'avoir une responsabilité majeure dans le contenu du traité de Versailles (la survie d'une Allemagne qui, mécaniquement, aurait la volonté et la force de remettre le couvert -- thèse de Les Conséquences politiques de la paix) et paradoxalement dans sa non application (non ratification du traité et multiples intervention favorable à l'Allemagne dans les plans pour son application) rendant possible la montée du nazisme ? Ceci n'étant qu'un exemple de ce que j'imagine qu'on peut envisager de pire. Suivant le même ordre d'idées, on a fait le reproche aux USA d'avoir inutilement tarder à entrer en guerre et utiliser la bombe atomique, prolongeant la guerre par des moyens classique pour des pertes globales bien plus lourdes.
gem (d) 9 avril 2009 à 15:48 (CEST)[répondre]
Je ne me sens pas convaincu par ton relativisme un peu mou. Il est clair que par "les États-Unis", la question entend "le gouvernement des États-Unis", avec bien entendu tout ce qu'il y a de flou à propos de la définition d'un gouvernement légitime, surtout lors de guerres civiles, ou d'occupation par un autre pays (gouvernement de Vichy). Et il est aussi clair que par "pire" et "a fait", la question porte sur les actes (et donc pas les non-actes), légalement, éthiquement ou moralement répréhensibles. L'exemple cité de l'holocauste semble très clair, puisque ça évoque un crime contre l'humanité dont un gouvernement est activement responsable.
Bien entendu, la question sous-entend également que ces crimes doivent être comparés aux standards actuels. Il est évidement que la notion de crime de l'humanité n'a été conceptualisée qu'àprès l'holocauste, ce qui ne veut pas dire que l'holocauste était moralement acceptable quand il a eu lieu.
Donc la question me semble tout à fait sensée.
Maintenant, les "nominés" me semblent être les crimes majeurs, ceux qui seraient aujourd'hui punis par la justice internationale, et cautionnés en connaissance de cause par le gouvernement des États-Unis (donc exit les crimes contre l'environnement, qui --je l'espère-- relèvent plus de l'ignorance que de l'idéologie active, et qui ne sont pas vraiment directement encouragés par le gouvernement). Ça laisse deux crimes contre l'humanité (le génocide des amérindiens et l'esclavage) et un crime de guerre (les deux bombes atomiques). Ce qui est délicat, c'est que ces deux crimes contre l'humanmité ne sont que la continuité d'une situation préexistante. Avant l'indépendance des USA, ils avaient déja court, et les États-Unis ne sont responsables que de leur continuation, pas de leur initiation. Par contre le crime de guerre est bien réel, mais qui dit crime de guerre dit circonstances exceptionnelles, avec les dilemmes moraux abordés par gem (est-ce que tuer 500000 personnes d'un coup c'était pas mieux que de laisser la guerre continuer pendant 3 ans, etc). C'est donc difficile de répondre, et puis est-il bien nécessaire d'établir un "classement"? Arnaudus (d) 9 avril 2009 à 17:19 (CEST)[répondre]
Tu es plus "relativiste mou" que moi. En ce qui concerne les crimes majeurs, la thèse de la responsabilité collective a été jugée au procès de Nuremberg et écarté. On a écarté la responsabilité du peuple/du pays dans les actes des gouvernants ( et non du gouvernement) , en quelque sorte et au risque d'une certaine fiction, on a fait comme si les grands crimes n'était par définition pas des actes du gouvernement, car fondamentalement illégitimes, illégaux, et quand bien même leurs auteurs utilisent les moyens du gouvernement dont ils disposent.
Pour la même raison le TPI a cité tel ou telle personne, jamais tel gouvernement ou tel pays. Les tribunaux civils font la même chose, quand ils affirment que la corruption n'est jamais un acte normal de gestion d'une société, car ce n'est jamais dans l'intérêt social, quand bien même cela permet d'obtenir un marché qui, sinon, aurait échapper.
Bien entendu on peut contester ce type d'argument, mais il est parfaitement logique et civilisé : si on admet la responsabilité collective et notamment celle d'un pays, alors il est légitime de condamner un pays à la hauteur de son crime, et ça peut aller très loin, trop loin pour la stabilité mondiale...
gem (d) 10 avril 2009 à 16:26 (CEST)[répondre]
Il y a une grande part de mythe dans cette histoire (mille fois répétée) d'abréger la guerre grâce à la bombe. DocteurCosmos (d) 9 avril 2009 à 17:24 (CEST)[répondre]
La première, c’était pour dire « on a réussi à en faire une », la seconde « et on a une technique qui permet d’en faire plusieurs en un temps raisonnable » (ce dernier point n’était pas du tout clair scientifiquement à l’époque, paraît-il). Bref, un avertissement au monde. Bon, il y a aussi une sombre histoire d’accord passé avec l’URSS selon lequel ce dernier n’attaquerait pas directement le Japon avant le mois de septembre : il était donc important de finir en août. rv1729 9 avril 2009 à 19:41 (CEST)[répondre]
Par "avertissement au monde", je suppose qu'il faut comprendre avertissement à Staline. Les japonais atomisés seraient les premières victimes de la guerre dite froide ? Est-ce qu'il y a des historiens de cette période (beaucoup ?) qui pensent ça ? Grasyop 9 avril 2009 à 20:21 (CEST)[répondre]
Et quand vous demandez "le pire", cela amène à poser une grille des valeurs, ou plus schématiquement des sphères concentriques ( comme une cible du jeu de fléchettes en 3D). Vous êtes au centre, votre famille autour, disséminé sur les chiffres, les proches une bulle plus loin, les relations encore une autre bulle...c'est totalement subjectif, mais ça simplifie la vie. Une application journalistique de ce point de vue est "plus c'est loin, plus ce doit être grand".
Pour moi, la pire chose que les USA aient faites, c'est la souffrance infligée à leurs propres concitoyens, dont la crise financière actuelle en est le sommet visible. Et si cela dégénère, cela pourrait bien devenir la pire chose au niveau mondial. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 17:49 (CEST)[répondre]
Gem, si les États-unis ne sont qu'une collection d'individus, aux contours flous, vous n'êtes vous-même qu'une collection de cellules et de molécules, aux contours flous... Comme les États-unis et le père Noël, vous êtes dépourvu de réalité, vous êtes une fiction. N'est-ce pas ? Existe-t-il quelque chose qui ne soit pas dépourvu de réalité de votre point de vue ? Grasyop 9 avril 2009 à 20:49 (CEST)[répondre]
Faites gaffe, qualifier une personne de "collection de cellules et de molécules, aux contours flous" et de "fiction" relève du crime contre l'humanité ; même si on suppose que c'est scientifiquement fondé, c'est réprouvé pour des raisons facile à comprendre (genre : je n'ai pas arraché le rein d'une personne, j'ai juste prélevé un groupe des cellules dans une fiction qui trainait négligemment sur une table ...).
Par ailleurs je doute d'avoir beaucoup de chose à ajouter depuis le temps qu'on s'arrache la tête dessus (voir bouddhisme, nominalisme, Descartes, etc.), et je doute que ça éclaire le sujet.
Rappelons juste que, exactement comme pour la distribution de cadeaux du père Noël, il y a toujours des personnes bien réelles derrière les évènements, et que les journaux sont pleins de "Geoges Bush" et "Barack Obama" qui ont fait ceci ou cela. Après, libre à vous de croire au père Noël, effectivement c'est commode... gem (d) 10 avril 2009 à 13:55 (CEST)[répondre]
Hein, quoi ?! En dix mots et une virgule, j'ai commis un crime contre l'humanité ?! Juste comme ça, par la pensée ? Mais non, c'est pas moi M'sieur, c'est pas ma vraie pensée, je faisais que m'imaginer dans la tête à Gem, c'est lui qu'il faut accuser ! Grasyop 10 avril 2009 à 18:01 (CEST)[répondre]

Je pense comme docteur cosmos : le génocide indien est probablement ce qu'il y eu de pire. Ils ont tout eu. Les USA ont signé des traités qu'ils ont allégrement piétiné. Ils ont fournis aux indiens des réserves des couvertures volontairement infestées de "small pox", inaugurant la guerre bactériologique. Ils ont expérimenté contre les tribus indiennes les premières mitrailleuses (contre des arcs et des flèches, ça décoiffe). Ils ont laissé massacré les bisons et laissé envhir les terres indiennes par des blancs "incontrôlables", suivis immédiatement par des tuniques bleues quand les blancs en question se faisaient massacrer. Etc, etc, etc... Biem (d) 9 avril 2009 à 23:12 (CEST)[répondre]

Sans oublier que tous ces braves gens sont quand même des anciens européens. C'est nous qui avons foutus le bordel un peu partout (colonies etc) pour des motifs que nous n'admettons plus aujourd'hui. Avons nous des leçons à donner? Si Napoléon, Charlemagne, Alexandre ou César (pour ne citer qu'eux) avaient disposés de notre armement actuel, auraient ils hésité pour s'en servir afin de réaliser leurs ambitions. J'ai beaucoup de respect pour le peuple indien, et c'est malheureusement vrai qu'ils ont été massacrés par ces aventuriers et leurs descendants venus d'Europe (l'Angleterre là comme ailleurs n'a pas été un exemple). --Kkbs (d) 10 avril 2009 à 07:50 (CEST)[répondre]

« des anciens européens. C'est nous [...] »
Objection, votre Honneur ! Je ne m'identifie pas à mes ascendants, quels qu'ils puissent être. Grasyop 10 avril 2009 à 08:27 (CEST)[répondre]

Correction : au lieu d'anciens européens, il faut lire originaires d'Europe. --Kkbs (d) 10 avril 2009 à 12:11 (CEST)[répondre]

En plus, ce ne sont même pas nos ascendants, par définition ils sont partis et nous descendons de ceux qui sont restés. gem (d) 10 avril 2009 à 13:55 (CEST)[répondre]
Le pire est sans doute la violation des traités contre les Indiens et sa conséquence. Ensuite, pour être polémique, on pourrait se demander si l'entrée dans la première guerre mondiale ne fut pas une sacrée faute : de quel droit le pouvoir envoyait-il ses citoyens se faire tuer dans cette guerre absurde qui ne les concernait en rien, sans cause morale ? D'autant plus que les USA ne tirèrent pas les conséquences de leur intervention et se sont retirés dans leur isolement, laissant de fait le rôle de policier de l'Europe à un pays qui avait gagné la guerre saigné à blanc.
On peut aussi citer la ségrégation et l'esclavage. Dans les doctrines politiques ne manquons pas le néoconservatisme. On peut encore penser à quelques doctrines sociologiques. Apollon (d) 10 avril 2009 à 14:28 (CEST)[répondre]
Et une fois que nous aurons fait le tour des crimes des Américains, nous nous intéresserons à ceux des autres peuples, notamment de tous ces innocents "bons sauvages" qui vivaient si harmonieusement et pacifiquement entre eux avant que les vilains Blancs ne viennent leur apporter l'alcool, la rougeole et le goût du lucre. I love Ségolène Félix Potuit (d) 11 avril 2009 à 08:13 (CEST)[répondre]

Bonjour chers bénévoles,

Merci pour tout ce que vous faites pour nous les lecteurs de votre encyclopédie. Je vous écris pour vous solliciter d'ajouter, si cela vous est possible, une version (originale) en grec du texte sur le périple de la mer erythrée. Pour pouvoir comparé les deux textes. Merci de votre compréhension et de votre dévouement.

Charle Stones

Ancien ou moderne ? Vous pouvez toujours poser la question ici [9] ou aller là Portail:Grèce/Kafeneion --Doalex (d) 9 avril 2009 à 16:38 (CEST)[répondre]
Vous avez l'édition grecque et une traduction latine de Karl Müller publiées en 1855, en pdf dans la base gallica. Bonne lecture. Piero (d) 10 avril 2009 à 01:42 (CEST)[répondre]

Billion et Trillion

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Bonjour,

Est-ce que les canadiens francophones utilisent billion lorsque les canadiens anglophones utilisent trillion. Si oui alors il faut faire du ménage : Titrisation et ailleurs. Si c'est non alors je pense qu'il faut bannir ce terme ambigü de l'encyclopédie.

Cordialement Drongou (d) 9 avril 2009 à 19:22 (CEST)[répondre]

Oui, on utilise billion, hélas. Mais je suis bien d'accord pour ne pas utiliser de terme de ce genre pour les valeurs plus grandes que 'milliard'; on devrait plutôt utiliser des puissances de 10. Dhatier jasons-z-en 9 avril 2009 à 19:46 (CEST)[répondre]
On peut mettre tout le monde d'accord en redonnant vie au très étrange milliasse, pour mille milliards. C'est féminin. J'ai une milliasse de choses à faire. La guerre d'Irak a coûté quelques milliasses de dollars. Tiens, encore un étranger qui ne parle pas bien la France. --Seymour (d) 10 avril 2009 à 00:03 (CEST)[répondre]
Il y a aussi les tétrachiées (féminin également). Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 18:15 (CEST)[répondre]
Merci pour vos réponses. Il y a un article Particule de Planck où trillion est utilisé à bon escient (traduction de l'anglais quintillion) mais pour lever l'ambiguité on peut maintenant y lire : la particule de Planck vaut 13 tétrachiées de milliasses de fois la masse du proton. Je crois que c'est plus clair comme ça. Émoticône Drongou (d) 10 avril 2009 à 20:42 (CEST)[répondre]

Permanence phénoménale

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Bonjour,

Etudiant en histoire de l'art, je travaille entre autre sur le statut de l'objet ethnographique. J'ai à plusieurs reprise croisée la notion de "Permanence phénoménale" mais je n'arrive pas à l'éclaircir. Il semble que cela soit un concept de psychologie étudié par Albert Michotte (psychologue belge, 1881-1965). Quelle est la théorie ? Quelqu'un pourrait-il m'aider ?

Merci beaucoup par avance. Cordialement Riopelle (d) 9 avril 2009 à 20:47 (CEST)[répondre]

Premiere réponse de Google: permanence phénoménale, "c'est-à-dire le maintien de l'apparence de l'identité de l'objet quand ses propriétés changent". Ce doit être un peu comme glace-->eau-->vapeur. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 21:44 (CEST)[répondre]

question sur les licenciements en masse

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bonjour je voudrais savoir pourquoi, alors qu'un groupe a fait une opa sur des societes françaises qu'il procède aux licenciements en mas(s)e après acquisition des sociétés et que ces licenciements vont faire des drames dans la société européenne, je voudrais savoir pourquoi alors que ces licenciements ont démarré avec une opa hostile, pourquoi l'etat ne fait il pas à son tour une opa hostile pour reprendre les sociétés et éviter ces licenciements.

pour simplifier méchamment, il est toujours possible d'optimiser une entreprise, et particulièrement automatiser ou sous-traiter. Si une OPA a eu lieu, c'est pour faire des bénéfices ( empocher les bénéfices, virer un concurrent, prendre sa clientèle, prendre ses outils, ne pas dépendre, s'opposer à un concurrent autre, prendre les brevets...). Virer les cadres et y mettre sa propre administration fait aussi partie des options.
Et dans cette petite jungle l'état pose les règles du jeu, et les respecte lui-même. Ces règles font la différence et les nuances entre capitalisme et communisme ( trop simplifié, pour le moment çà pencherait plutôt keyserisme, un mi-chemin ). Si l'état devait intervenir systématiquement à chaque OPA, autant qu'elle nationalise tout tout de suite.
Et puis ces règles du jeu, il faudrait aussi les rappeler lorsque les sociétés françaises font des OPA sur d'autres sociétés, qu'elles soient françaises ou pas. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 22:09 (CEST)[répondre]
Les mots optimiser une entreprise de sieur Vizit ne doivent pas être pris de façon positive. De mémoire un article de Newsweek que j'avais lu laissait entendre que seulement 1/3 des fusions ou rachats étaient des bonnes opérations financières. Il faut plus assimiler cela a un dépeçage. Cela ne se passe bien que quant les sociétés sont de type holding et que l'on ne regarde que les bénéfices des holdings qui prennent des sortes de commissions au passage. Pour certaines filiales cela ne se passe généralement pas bien. Il y a des gens qui différencient arbitrairement (dogme) les interventions de l'état et les interventions de capitaux dit privés. Les fonds de l'état sont aussi les fonds de personnes privées, les concitoyens... Ces mêmes gens n'acceptent pas que les états fassent la même chose qu'eux. On dit parfois que Le libéralisme c'est privatiser les gains et nationaliser les pertes... dans certains cas. Pour les subprimes on est dans le cas ou quelques centaines de personnes dans le monde ont fait n'importe quoi et on les sauvent! .melusin (d) 10 avril 2009 à 08:45 (CEST)[répondre]
Ben oui mais c'est justement des copains de ceux qui sont au gouvernement, faut comprendre, aussi... Si on ne peut plus donner un coup de pouce à se potes, alors où va-t-on ? Et la solidarité, alors ? Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 13:40 (CEST)[répondre]
Une OPA sert pour une entreprise à prendre le contrôle d'une entreprise contre le gré des dirigeants de cette dernière. Ce sont ces dirigeants qui doivent craindre pour leur job, pas les salariés. Si la première société procède à l'OPA, c'est qu'elle y gagne. A priori elle va conserver l'outil de production, en le mettant sous sa coulpe. Elle va cependant rationaliser les activités cad supprimer les redondances, les fonctions identiques occupées par des personnes différentes. Rarement, mais cela arrive, l'OPA a pour but d'absorber un concurrent plus efficace avant qu'il ne vous détrône. C'est bien sur extrêmement critiquable.
Quoi qu'il en soit, une OPA a priori n'engendre pas des licenciements massifs. Au contraire les licenciements vont toucher les cadres et la direction plutôt que le petit personnel. Apollon (d) 10 avril 2009 à 13:59 (CEST)[répondre]
+ 1 avec Félix, et contre Apollon. Dans un système capitaliste, l’OPA vise à augmenter les revenus des propriétaires de l’entreprise acheteuse ; un des meilleurs moyens est de diminuer les revenus salariaux, donc de licencier. Et l’État n’intervient pas, car pour l’instant le chômage massif n’entraîne pas de bouleversement politique et entre dans l’ordre des choses. Il ne bougera qu’à 4 ou 5 millions de chômeurs, ou après une révolution. Après le krach de 29, il a fallu attendre 1934 pour que la Cour Suprême américaine valide certaines mesures du New Deal de Roosevelt, et 1936 pour qu’en France une véritable politique sociale soit mise en place, sous la pression de la rue (par exemple les congés payés n’étaient pas dans le programme du front populaire). Épiméthée (d) 10 avril 2009 à 14:03 (CEST)[répondre]
Décidément il est difficile de ne pas passer en mode café du commerce sur ce genre de sujet, on se retrouve vite fait avec la démonologie anticapitaliste qui ne comprend rien à rien, assortie de sa mythologie des luttes sociales et du grand soir.
Une OPA et la pression sur les salaires sont deux choses différentes qui n'ont rien à voir. L'intérêt du capitaliste c'est de faire du profit, et pour faire du profit il faut produire, et pour produire, il faut des salariés. Le plus on a de salariés, le plus on produit, le plus on s'enrichit. Mais on ne peut pas produire infiniment, il faut tenir compte du prix et de la demande et il arrive qu'il faille diminuer la production et donc les emplois. Un tel phénomène ne profite pas tant au patron qu'au consommateur en bout de chaine cad à l'intérêt général. Apollon (d) 10 avril 2009 à 14:19 (CEST)[répondre]
Ce qui est amusant, c'est que ta réponse est probablement la plus idéologique de toutes :-) Disons que l'avis que tu exprimes est dérivé d'une théorie économique et politique en vogue actuellement, mais que la qualité des arguments vaut bien celle des propos de bistro que tu dénonces (on peut aussi fait le pilier de bar dans des hotels de luxe avec un scotch à la main, la Kro n'est pas la seule marque du beauf). En particulier, définir l'intérêt général par la consommation, c'est pas seulement teinté idéologiquement, c'est presque caricatural. Arnaudus (d) 10 avril 2009 à 14:37 (CEST)[répondre]
Non ce qui est idéologique c'est ce soi-disant pragmatisme selon lequel toutes les théories économiques ne sont que des spéculations qui se vaudraient toutes, qu'il est inutile de les discuter etc. Ensuite la théorie que je défends n'est certainement pas en vogue, mais alors vraiment pas. Et enfin, bien évidemment je ne définis pas l'intérêt général par la consommation, je relève que l'intérêt du consommateur est un intérêt général, tandis que l'intérêt du producteur d'une chose particulière est une intérêt particulier. Apollon (d) 10 avril 2009 à 14:45 (CEST)[répondre]
Apollon, pour gagner de l’argent, ce n’est pas la production qui est importante, c’est la différence entre le coût de cette production et le chiffre d’affaires. Le meilleure façon d’accroître cette différence, c’est d’augmenter la productivité de chaque salairé. Si les gains de productivité sont partagés entre salariés et patrons/actionnaires, on réduit les profits des derniers. Si on ne partage pas, on les maximise. Si on ne peut augmenter la productivité, on diminue la masse salariale de différentes manières : pas d’augmentations de salaires (avec l’inflation = une diminution) ; on délocalise ; on licencie. Et merci de t’abstenir d’attaques basses, cela convaincra de ton sérieux. Épiméthée (d) 10 avril 2009 à 16:29 (CEST)[répondre]
Qu'est-ce qui te fait croire que la masse salariale serait le principal domaine ou on peut obtenir des gains de productivité ? Il existe plein d'autres façons : trouver des matières premières moins chères, mécaniser, travail à la chaine etc. Il n'y a absolument aucune raison de croire que diminuer les salaires est la formule magique de la productivité. Bien au contraire, des entreprises paient leurs salariés au-dessus du prix du marché pour se les attacher doublement : par la carotte (meilleure salaire) et le bâton (payer ses salariés au-dessus du smic génère du chômage et donc la peur du chômage).
Ton raisonnement sur le partage du gain de productivité est faux parce qu'il ne fonctionne que pour un monopole ou avec un complot des patrons. Dans un espace concurrentiel, les prix sont tirés à la baisse. Lorsqu'une entreprise réussit à abaisser ses couts de production, elle peut baisser ses prix et griller ses concurrents. Celles-ci s'adaptent ou disparaissent. Ce phénomène profit au consommateur, aux salariés de l'entreprise la plus performante et à ses dirigeants. Le conflit n'est pas entre les patrons et les salariés, il est entre les salariés des différentes entreprises, entre les différents patrons, et entre les producteurs et les consommateurs. Apollon (d) 10 avril 2009 à 16:56 (CEST)[répondre]
Cette question présuppose que l'État est doté de vertus assez extraordinaires : capacité financière sans limite, vision parfaite de la société présente et future, science profonde de la gestion économique globale, capacité d'action rapide, bienveillance, etc.
Faut pas se tromper de paroisse, quand même, l'État n'est pas le bon dieu ni le père noël (quoi qu'il en partage des caractères, notamment, dans les trois cas, on peut douter de leur réalité...)
L'État fait parfois ce que vous évoquez, on appelle ça une nationalisation, et c'est vrai que c'est toujours bien plus confortable et même rentable pour les salariés de la boite (besoin d'exemples ?), en revanche et malheureusement ce sont les autres qui payent, et globalement le peuple y perd. Pour 1 emploi apparemment sauvé, il y en a plus d'1 cassé sans bruit, et à la longue ça finit par mettre la société tout entière par terre.
Bref, ce genre d'intervention, c'est une connerie, et c'est un fait empirique, pas un choix idéologique.
Il y a sans doute des exceptions, évidemment.
Cependant les exceptions sont aussi une tentation, à trop voir des exceptions on finit par intervenir tout le temps sur tout et globalement ça ne marche pas mieux, mais moins bien. Alors on finit par se donner pour règle de ne pas faire ça.
gem (d) 10 avril 2009 à 14:59 (CEST)[répondre]
Pourquoi l'Etat ne fait pas une OPA hostile ?
1. Parce que nous ne vivons pas dans une économie communiste.
2. Parce que, dans le cadre d'une économie capitaliste, ce que vous suggérez comme solution s'appelle une nationalisation.
3. Qu'aujourd'hui personne (ou presque) d'important ne pense qu'une entreprise privée puisse être gérée correctement par l'État. Personne d'important n'accepte donc l'idée d'une nationalisation, hormis dans le cas de certains monopoles dit naturels et, c'est tout à fait nouveau, des banques en détresse.
4. Parce que si même l'État le souhaitait, il est très probable que la commission européenne s'y opposerait, y voyant une entrave à la concurrence libre et non faussée sur laquelle repose le marché unique.
5. Et que cela créerait un fâcheux précédent le jour où une entreprise française souhaitera acheter une entreprise du pays en question.
6. Ce qui ne veut certes pas dire que l'État n'a rien à faire : il lui appartient en particulier d'organiser un système d'aide aux chômeurs digne de ce nom, avec des allocations chômage dignes de ce nom. Aucune des contraintes que j'ai évoquées ne lui interdit de le faire : et pourtant il ne le fait pas. De cela, en particulier, il est coupable.
7. Il va de soi que mon propos est général, ne connaissant pas le cas précis qui a suscité votre interrogation. Il est toujours possible que des délits ait été commis, par exemple. gede (dg) 10 avril 2009 à 16:59 (CEST)[répondre]

je vous remercie pour ces reponses. je trouve que l'etat quand il s'agit de licenciements de masse suite à une opa hostile a tout interet à repondre de la même manière. 1000 chomeurs après une opa c'est plus grave pour l'etat que tout. je trouve que ce n'est pas au salarie de se soucier des accords entre les nations et les opa.

Ça dépend, si l'époque est propice au travail, une partie des 1000 va retrouver du travail ( je me souviens du vieux qui disait que tu sortais du boulot pour aller manger et tu commençais ton nouveau métier après le café ), donc ne seront pas une charge pour l'état. Et même si aucun ne retravaille, ceux là ont déjà cotisés et d'autres vont cotiser pour eux. Sans compter que si l'acquéreur fait plus de bénéfices, il payera plus d'impôts...Et surtout l'état doit gérer 70 000 000 de personnes, plus les avis du monde qui dépasse les frontières. N'oubliez pas que l'état ne nous connait pas individuellement, nous ne sommes que des nombres. 1000Chomeursx4parfamillex100/70000000population= 0.006% de mécontents ViZiT (d) 11 avril 2009 à 02:29 (CEST)[répondre]
Je suis peut-être un affreux crypto-trotskyste qui ne comprend rien à rien, mais j'ai des yeux pour voir où nous ont conduits les théories capitalistes et libérales au service du bien-être commun (cela va sans dire). Félix Potuit (d) 11 avril 2009 à 08:25 (CEST)[répondre]
Et où donc nous auraient-elles menées... D'abord le monde n'est pas dirigé par des théories, "capitalistes et libérales" ou non. Ensuite, il faut rappeler que nous vivons une période d'abondance sans commune mesure au regard de l'histoire de l'humanité. Un paradoxe de l'opulence matérielle engendrée par le capitalisme est la diffusion de la croyance selon laquelle cette richesse serait naturelle et nécessaire, sans que le capitalisme ait rien à voir là-dedans. Apollon (d) 11 avril 2009 à 14:05 (CEST)[répondre]
Laisse tomber... Il semble que nos chantres préférés de ces théories surannées n’ont jamais dépassé la page 14 de leur manuel, et les théorèmes d’Arrow et Debreu. Dommage, trois pages plus loin, il y avait les équilibres de Nash. Pour ma part j’abandonne le terrain. rv1729 11 avril 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Qu'est-ce qui vous fait croire que nous sommes dans une situation décrite par Nash ? Apollon (d) 11 avril 2009 à 14:05 (CEST)[répondre]

Dans mes souvenirs Nash était avant Arrow, il est tellement plus basique....
C'est confortable et rassurant de croire (ou plutôt faire semblant !) que ceux avec qui tu n'es pas d'accord sont forcément des ignorants qui "n’ont jamais dépassé la page 14 de leur manuel", mais c'est déraisonnable, imprudent, et irrespectueux. Et indigne de l'Oracle, en plus.
gem (d) 14 avril 2009 à 12:07 (CEST)[répondre]

L'Etat a en effet intérêt à intervenir pour protéger l'emploi de ces salariés, s'ils existent, car ainsi il apparait généreux nonobstant le fait qu'il a en réalité servi l'intérêt particulier contre l'intérêt général. On peut remarquer incidemment que le transfert d'argent organisé par l'Etat (l'Etat ne crée par d'argent, il taxe et emprunte) de la société en général vers l'entreprise qui périclite conduit en réalité à financer ce qui ne marche pas avec l'argent dégagé par ce qui marche. L'Etat fait la même chose quand il taxe internet pour payer la télé. En protégeant à tout prix l'ordre social dans sa forme actuelle, l'Etat ralentit le processus de destruction créatrice schumpéterien. On a oublié que la destruction des emplois les moins qualifiés et des activités obsolètes est le pendant du progrès. Apollon (d) 11 avril 2009 à 14:14 (CEST)[répondre]
Puisqu'on parle de Schumpeter, je crois qu'il est utile de le citer pleinement. Ce qu'il dit est en effet infiniment plus nuancé, subtil et, au final, sage dans ses recommandations, que certaines interprétations qui peuvent circuler de lui. Schumpeter soutient l'idée qu'il faut aider les entreprises dans un certain nombre de situations, dont celle des entreprises victimes de la destruction créatrice, de manière temporaire, pour les raisons suivantes :
« Cependant notre argumentation ne vaut pas seulement pour les branches, méthodes et entreprises nouvelles. Les branches établies de longue date et les vieilles affaires, qu'elles soient ou non directement attaquées, n'en sont pas moins constamment plongées au sein de l'ouragan perpétuel. Le processus de destruction créatrice engendre des situations où risquent de succomber beaucoup de firmes qui seraient pourtant capables de continuer à vivre vigoureusement et utilement pour peu qu'elles réussissent à surmonter telle ou telle tempête spécifique. Abstraction faite de telles crises ou dépressions généralisées, des situations localisées surviennent dans lesquelles le changement rapide des données (lequel caractérise le processus de destruction créatrice) désorganise momentanément une branche jusqu'à lui infliger des pertes anormales et à engendrer du chômage évitable. Enfin, il n'existe certainement aucune raison pour essayer de maintenir indéfiniment des branches désuètes, mais il existe d'excellentes raisons pour essayer d'éviter qu'elles ne s'effondrent d'un seul coup et pour tenter de convertir une déroute (susceptible de devenir un centre de dépression à effets cumulatifs) en une retraite ordonnée. », Capitalisme, socialisme et démocratie, p. 100.
Par ailleurs, la question de notre questionneur n'est pas : l'État devrait-il le faire, mais pourquoi ne le fait-il pas ? Ce qui appelle une réponse factuelle, et non normative : il ne s'agit pas de donner notre opinion sur ce que l'État devrait faire, mais d'expliquer quelles sont les rationalités qui le guident. Ce me semble. Je dis ça comme ça : tout le charme de l'Oracle est que l'on y répond ce qu'on veut, et que se développent des discussions dans des sens imprévisibles. gede (dg) 11 avril 2009 à 23:31 (CEST)[répondre]
Content d'apprendre que cet ouvrage de Schumpeter est disponible gratuitement et en ligne, une chose de plus à lire. La prescription de Schumpeter qui prend le contre-pied des clichés m'en rappelle une autre, de Milton Friedman, dont on ignore souvent qu'il estimait qu'il revenait à l'Etat de prendre en charge les situations délicates engendrées par la crise de 1929 [10].
Un mot sur la question. Je la comprends comme une demande d'appréciation de l'opportunité de faire intervenir l'Etat pour prévenir le phénomène putatif de licenciements massif consécutifs à une OPA. En ce sens la question n'appelle ni fait ni norme mais évaluation, appréciation. Apollon (d) 12 avril 2009 à 00:38 (CEST)[répondre]

question sur le terme " Jeu vidéo d'action"

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Salutations, cybernétique Pythie!

J'ai été tentée de poser ma question dans la page de discussion de l'article Jeu d'action, mais je me suis dit qu'une question du style n'avait peut être pas trop de rapport avec la construction d'un article, alors me voila...

Si la définition du jeu d'action est vraiment ce qu'il semble qu'elle soit(ouh la), à savoir un sur genre de jeu de sport, de course de plate formes, de labyrinthe ECT.), quel jeu n'est pas un jeu d'action??? On doit pouvoir les compter sur les doigts de la main non?? En gros les jeu à la Silent Hill: Play Novel, et c'est tout... non??? Et encore... du moment ou le joueur fait utilisation de contrôles, cela doit pouvoir dire qu'il agit, et agir = action. Donc...je cherche vainement depuis 20 minutes un jeu qui ne rentre pas dans cette catégorie, et je ne trouve pas . Le Solitaire?? Le Démineur?? Mais même là, le joueur agit sur des éléments du jeu, afin d'en déterminer la conclusion.

L'article WP sur le terme place le jeu Pong comme premier jeu d'action de l'histoire du jeu vidéo... ca remonte déjà a pas mal loin, et tous nos jeux actuels découlent de cet ancêtre. Sauf que Pong est lui même le digne héritier de Tennis for two, et que pour y jouer les concepteurs se sont bricolé des ancêtres de pads permettant d'agir sur le petit point faisant office de balle. Mais OXO, sorti 6 ans auparavant, avait été conçu et développé dans le but de démontrer la pertinence de sa thèse sur l’interaction homme-ordinateur. Soit le premier phénomène de jeu d’action.

Ce qui revient a poser la question suivante: si tout( ou presque...a démontrer du coup) les jeux vidéos sont des jeux d'action, alors pourquoi le préciser comme étant un des différents "genres" du produit jeu vidéo, alors qu'en définitive, le terme de jeu vidéo est indissociable de celui de jeu d'action. A la différence du classement des "sous-genre", qui lui est plus pertinent puisque il apparait comme flagrant qu'un jeu de tir est différent d'un jeu de foot, sans mauvais jeu de mot sur les tirs au but... ^_^

Je vous remercie de l'éclairage que vous pourrez m'apporter! Amicalement, Ei2ko ◭spikmi◭ 9 avril 2009 à 21:36 (CEST)[répondre]

Fils, c'est quoi jeu d'action? ..Ben c'est quand je bouge plus mon persona ..Que quoi ? ..Que si je reste assis...
Bref mon spécialiste maison fait une confusion entre réalité et virtuel, mais j'en retire que l'"action" dans un jeu virtuel doit être supérieur à un comportement normal et moyen dans la réalité. ViZiT (d) 9 avril 2009 à 22:21 (CEST)[répondre]
Euh, je ne suis pas certaine d'avoir compris, mais merci quand même à votre fils! Émoticône.A mon humble avis, dans un jeu de casse brique, on est un peu loin d'un niveau d'action supérieur a un comportement dit de réalité, et pourtant, il est classé comme tel puisque nécessitant une action tout de même. Donc on en revient à dire que cette classification est liée a une action dans la réalité donnant lieu a une modification de l'espace virtuel. Ce qui ramène a ma question initiale, pourquoi le préciser alors que c'est le lot de tous les jeux vidéos ? Amicalement, Ei2ko ◭spikmi◭ 9 avril 2009 à 23:29 (CEST)[répondre]
Je pense qu'il voulait dire : "je joue au foot, au tennis de table, aux gendarmes et aux voleurs, je conduis une bicyclette...Mais en virtuel je fais plus que ça". Maintenant que j'y pense, il est fort possible qu'un jeu d'action soit un jeu dans lequel vous ne pouvez conclure qu'en déplaçant un persona ( quel que soit sa forme :palette, arme, vaisseau...) en y consacrant une attention soutenue, alors qu'un jeu de réflexion peut se contenter de la réponse directe avec des pauses. ViZiT (d) 10 avril 2009 à 01:04 (CEST)[répondre]
Mmmh, c'est intéressant ça... ca pourrait expliquer certaines catégorisations redondantes, du coup. Pour marquer une différence avec les jeux de réflexion, malgré le fait qu'on agisse quand même... Je ne suis pas encore tout a fait convaincue- convaincue, mais c'est déjà un grand pas et un sérieux début de piste... Merci beaucoup!!! ^_^ Ei2ko ◭spikmi◭ 10 avril 2009 à 04:22 (CEST)[répondre]
@ViZiT : dans les STR ou dans un casse-brique, qui ne sont pas des jeux d'action, si tu fais une pause autrement qu'en appuyant sur la touche ad hoc, tu perd.
suis pas sur qu'il faille se prendre la tête.
Les gens qui font les catégories de jeux ne le font pas pour des raisons philosophico-théorique, ils le font empiriquement et à la va-comme-je-te-pousse, en gros pour dire que tel jeu ressemble à tel(s) autre(s) déjà connu(s) (mais en mieux... enfin de préférence), et inversement n'est pas comme tel autre qui appartient à un autre genre. Dans ce cadre, on sait tous plus ou moins ce qui est un JDR, un STR, un shoot', un jeu d'arcade, un jeu d'action, etc. et c'est en général bien suffisant. Après faut voir le truc...
gem (d) 10 avril 2009 à 15:18 (CEST)[répondre]
C'est clair que je ne me prend pas la tête, ^^ mais cette histoire de "va comme je te pousse" comme tu dit si joliment devient ridicule, a l'heure ou les jeux sortent comme des croissant chez le boulanger, il ont tous cette catégorisation absurde. Alors que ce n'est juste pas la peinde de repreciser trente six fois la même chose. Enfin bref. Merci beaucoup pour ces reponses, Oracle(s). Je vous souahaitent une jolie journée!! Ei2ko ◭spikmi◭ 11 avril 2009 à 08:25 (CEST)[répondre]

Un jeu video d'actions ? Trader simulator ? Grasyop 11 avril 2009 à 19:46 (CEST)[répondre]

Articles définis

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Bonjour cher Oracle,

Une question me turlupine : Alors que le latin n'a pas (à ma connaissance) d'articles définis, comment se fait-il que toutes (à ma connaissance) les langues romanes en soient pourvues ? Quand ont-ils été inventés ?

Merci pour tout, Bien le bonjour à vos Pythies

Le besoin instinctif et irrépressible de tout un chacun de renforcer ce qu'il dit, comme quand on dit je lui dis à lui, en rajoutant des mots a priori inutiles. Donc le bas peuple qui causait latin dans les cités à l'époque a commencé à rajouter à chaque nom le démonstratif ille (masculin) ou illa (féminin), celui-ci, celle-ci, qui à la longue ont fini (parce qu'en plus les gens sont feignants, ils raccourcissent) par donner le ou la, ou les au pluriel. Morburre (d) 9 avril 2009 à 22:43 (CEST)[répondre]
Parmi les curiosités : le roumain accole l'article derrière le substantif, de même d'ailleurs que le norvégien (qui lui, n'est pas une langue latine). Par ailleurs, les Grecs, avant les Romains, utilisaient l'article défini. Félix Potuit (d) 10 avril 2009 à 13:35 (CEST)[répondre]

Truite de couleur orange et rouge

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Bonjour, une truite (?) de couleur orange vif avec une bande rouge sur le coté qui part 2/3 cm après les ouies, le dessous de la machoire est grisatre, a été pêché ce jeudi 9 avril dans l'étang de fontaine la soret 27. Ce poisson qui ressemble fortement à une truite (à part la couleur) mesure environ 35 cm. Pêcheur depuis plus de 40 ans je n'aie jamais vu de tel poisson. De quel espèce sagit-il? Une truite, un hybride? Merci d'avance pour votre réponse.

Si vous avez une photo, on vient de parler de Projet:Zoologie/Quel est cet animal ? dans le Bistro du 9 avril. -- Xofc [me contacter] 10 avril 2009 à 07:24 (CEST)[répondre]
Oui, prenez des photos ! Ou bien avez-vous relâché le specimen ? Ou l’avez-vous déjà cuisiné ? J’espère que non ! rv1729 10 avril 2009 à 08:12 (CEST)[répondre]
Un salmonidae sans aucun doute, y'a plus qu'à cliquer sur tous les liens :-) Arnaudus (d) 10 avril 2009 à 10:25 (CEST)[répondre]
Il s'agit très probablement de la variété mutante de la truite arc-en-ciel qui est surnommée (dans ma région, en Lorraine) la japonaise. --doc103 (d) 10 avril 2009 à 11:52 (CEST)[répondre]
« Mutante » ?! rv1729 10 avril 2009 à 18:10 (CEST)[répondre]

Bonsoir (ou bonjour, avez-vous bien dormi?).
Je viens de trouver dans un article (Lanton) le terme 'ornicole. Un petit coup de Google me fait croire que ça a rapport aux oiseaux (ornithos?), une recherche dans mes dicos et dans CNRTL de donne rien du tout. Hors Nicole, quelqu'un a-t-il la définition exacte du mot? Merci. Dhatier jasons-z-en 10 avril 2009 à 02:57 (CEST)[répondre]

Quelqu'un qui vit dans l'Orne ? Bon, j'aurai essayé. Morburre (d) 10 avril 2009 à 03:16 (CEST)[répondre]
Deuxième essai : . Premier résultat Gougueul. Morburre (d) 10 avril 2009 à 03:21 (CEST)[répondre]
Comment peut-il se faire que tu l'as en premier, et que je l'ai à la 4e page? Dhatier jasons-z-en 10 avril 2009 à 03:27 (CEST)[répondre]
J'ai des relations chez eux. C'est comme pour tout, sans le piston, t'as plus rien. Morburre (d) 10 avril 2009 à 03:32 (CEST) En fait, j'en sais rien.[répondre]
cela est encore plus visible selon que l'on change de langue du navigateur, ou de pays/proxy, .fr ou .ca, le filtre enclenché,...l'algorithme gougeul est assez amusant comme ça ViZiT (d)
Bein coudonc, un autre mystère de la vie... Dhatier jasons-z-en 10 avril 2009 à 03:40 (CEST)[répondre]
Hors Nicole aurait pensé à une coquille, donc sans aller lire l'article, à cornicole (lat. cornum, « cornouille »), adj. « Qui vit, qui croît sur le cornouiller » (Ac. Compl. 1842)... Bonjour à tous !

J'ai trouvé ceci : http://orniculture.site.voila.fr/ branche de l'ornithologie qui s'occupe plus spécialement des oiseaux domestiques (plusieurs sites en parle sur gogole) --Kkbs (d) 10 avril 2009 à 11:59 (CEST)[répondre]

✔️Article modifié.--Doalex (d) 10 avril 2009 à 16:25 (CEST) en tenant compte de cet autre article Domaine de Certes[répondre]

Que vaut en Euros 1 franc de 1850 ???

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Excuses plates à nos oracles subtils qui ont dû répondre 100 ou 1000 fois à ce genre de question. Mais je la pose quand même en remerciant par avance . jbdepradines (d) 10 avril 2009 à 10:15 (CEST)[répondre]

Bonjour. On peut voir dans Les Mystères de Paris, chapitre "le budget de Rigolette", un budget d'ouvrier à 45 F par mois (100 sous = 5F) qui donne plein d'équivalences. En termes de pouvoir d'achat, on peut estimer en gros que pour Rigolette, un sou vaut à peu près un euro moderne, et qu'elle vit avec un budget de l'ordre de 900€/mois. Ce qui fait une équivalence de 1F-1850 = 20€-2010. Bonne lecture. Biem (d) 10 avril 2009 à 11:11 (CEST)[répondre]
la conversion est difficile, car en fait à l’époque, une fois payé le pain et le loyer, il restait moins de 25 % du salaire de l’ouvrier. Je dirais donc qu’avec 45 F, on payait un loyer + 30 pains de 400 g soit un budget de 450 € environ. Le niveau de vie n’était pas le même. Épiméthée (d) 10 avril 2009 à 13:57 (CEST)[répondre]
Les pythie précédentes vous ont causait Parité de pouvoir d'achat, ce qui est parfaitement légitime (quoi que délicat, comme le démontre leur estimation variant de simple au double)
Voyez aussi Évolution du pouvoir d'achat du franc français : selon ce tableau, le franc de l'époque (c'est le même tout le XIX siècle) vaut 3,2 €
Autre façon de compter : sachant que l'or est un très bon indicateur des prix de par son utilisation continue comme monnaie, qu'un franc germinal (celui de l'époque) pèse 0,32225 g d'or et que l'or vaut aujourd'hui (http://gold-quote.net/index.php?lang=fr) 31 $ le gramme, ça met le franc à 10 $, soit environ 7 €.
Enfin, si vous trouvez un paquet de pièces de 1 F de l'époque, leur valeur sur le marché de la numismatique sera encore autre chose.
Comme vous le voyez, on peut vous donner toute une gamme de valeurs de 3,2 à 20 €, toutes parfaitement légitimes, selon le contexte et la question posée. gem (d) 10 avril 2009 à 15:48 (CEST)[répondre]


Merci beaucoup. jbdepradines (d) 10 avril 2009 à 23:56 (CEST)[répondre]

Champion du monde de Jeu de Go

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Bonjour Oracle de Wikipédia!

Je n'ai pas trouvé la réponse à cette question qui parait pourtant simple: Qui est champion du monde du Jeu de Go? est-ce un Chinois, un Japonais, ou autre? D'ailleurs y a t'il un championnat du monde? J'ai bien trouvé différents tournois, un championnat du monde amateur, un World Mind Sports Games, mais le titre mondial professionnel est-il décerné? -- Speculos (d) 10 avril 2009 à 11:21 (CEST)[répondre]

Peut-être une réponse ici : en:List of professional Go tournaments ? - Mu (d) 10 avril 2009 à 14:00 (CEST)[répondre]
Bonjour. Il n’y a pas de championnat du monde au jeu de go. Mais trois tournois prestigieux (Meijin, Kisei et surtout Honinbo peuvent en tenir lieu. En passant (d) 10 avril 2009 à 15:06 (CEST)[répondre]
Merci pour vos réponses, cela confirme bien mes suppositions. -- Speculos (d) 10 avril 2009 à 17:30 (CEST)[répondre]

Pourquoi , bien souvent, ajoutez-vous entre parenthèses "[modifier]" après le titre d'un chapitre ou d'un article? L'emploi de l'infinitif me pertube totalement! L'infinifif d'un verbe est sa forme nominale..... et n'implique ou suggère aucune action...... Merci pour la justification de l'emploi cette forme nominale Pierre Guimbretière

Il faut indiquer la fonctionnalité de la façon la plus lapidaire possible pour ne pas troubler la lecture. En un mot, je ne vois pas mieux que l'infinitif. Apollon (d) 10 avril 2009 à 19:58 (CEST)[répondre]
C'est l'abrégé de [veuillez cliquer ici pour modifier le paragraphe] qui serait un peu longuet tel quel. Dhatier jasons-z-en 10 avril 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]
Je ne suis pas du tout d'accord sur L'infinifif d'un verbe [...] n'implique ou suggère aucune action; c'est justement très couramment employé dans tout ce qui est manuel d'instructions ou recettes de cuisine : "Visser le panneau A tout en maintenant la planche B", "Mettre le lapin à bouillir", "Ne pas traverser les voies"... C'est donc une forme de convention, et je suis très surpris qu'elle vous perturbe (si c'est le cas, alors les recettes de cuisine doivent vous angoisser énormément :-) ). Arnaudus (d) 10 avril 2009 à 20:20 (CEST)[répondre]

Bien au contraire l'infinitif suggère l'action mais par contre ne la concrétise pas. Que cela soit dans une recette de cuisine ou sur les bouton de WP l'action n'a pas lieu mais elle est bien suggérée, montrée et posée. Elle se concrétisera que quand vous mettrez en œuvre votre recette de cuisine ou quand vous cliquerez sur le bouton de WP. Si on utilise le participe passé ou un autre temps au passé, cela voudrez dire que c'est déjà modifié (et pas forcement modifiable) ; un impératif signifie que vous avez l'obligation de le modifier ;hors c'est vous le maître de l'action, l'impératif n'est là que parce qu'il attend d'être mis en œuvre. --Olivemrs (d) 10 avril 2009 à 20:43 (CEST)[répondre]

L'infinitif désigne quelque chose à l'attention de l'interlocuteur, c'est (fonctionnellement) l'équivalent d'un nom, tout à fait. De même que l'on peut mettre "sel" sur une salière, on met "modifier" sur le bouton qui permet d'accéder aux modifications, parce que ça désigne la fonction du bouton. On a juste besoin de désigner l'action, de la référencer en l'identifiant par une étiquette. Il n'est pas nécessaire de la rendre effective, de l'évoquer en conjuguant, ce qui serait créatif de quelque chose : une forme conjuguée provoque dans l'esprit de l'auditeur l'activation de l'action qu'elle désigne (suivant la modalité, dans le présent, l'hypothétique, ... mais quelque part), ce qui n'est pas nécessaire ici. Que le lecteur ait ou non envie de modifier c'est son problème, finalement, l'important est juste qu'il sache comment faire. Biem (d) 10 avril 2009 à 23:26 (CEST)[répondre]
J'adhère aux réponses qui vous ont été données ci-dessus et me réjouis de constater l'importance de la cuisine dans ces explications ! Quand le concret se révèle utile pour expliquer la linguistique... Émoticône --Égoïté (d) 10 avril 2009 à 23:32 (CEST)[répondre]
De nos jours, la différence entre l'infinitif et l'impératif (2e personne du pluriel) est de moins en moins comprise, témoins ces nombreux panneaux d'injonction ou de défense qui parfois les mélangent allègrement dans la même phrase. Qui sait encore qu'on écrit "Ne marchez pas sur la pelouse", mais "Ne pas marcher sur la pelouse", et comprend pourquoi ? Je serais curieux de faire un test sur des lauréats du Bac. Félix Potuit (d) 11 avril 2009 à 08:17 (CEST)[répondre]
D'un autre côté, la langue change, et si des nuances disparaissent, elles sont sans aucun doute remplacées par d'autres. Pour les panneaux de ce type par exemple, j'ai l'impression que la tendence est à la voie passive, avec des mots qui font peur comme "interdire". "Il est interdit de marcher sur la pelouse", avec éventuellement "sous peine de poursuites" (quand j'étais gamins, je mimaginais être coursé par quelqu'un :-) ). Arnaudus (d) 11 avril 2009 à 10:55 (CEST)[répondre]
A la voix passive, ça pourrait donner : "La pelouse ne tient pas à être piétinée par vos croquenots". Mais pour moderniser, on pourrait envisager par exemple : "Zyva, la louzpeu, tchu marches djessus et j'tche niqu'la teuteu, bouffon" ? Félix Potuit (d) 11 avril 2009 à 14:10 (CEST)[répondre]
Pour être franc, j'ai du mal à m'imaginer ce locuteur moderne s'intéresser à l'état de sa pelouse (mais ça dépend de ce qui y pousse, évidemment). Arnaudus (d) 11 avril 2009 à 18:30 (CEST)[répondre]

Nouvelles dimensions

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Pourquoi Dimension de Hausdorff dit-il que cette dimension doit-elle un nombre réel positif ? Ne serait-il pas amusant d'étendre la définition aux réels négatifs, ou aux nombres complexes, par exemple ? Apokrif (d) 10 avril 2009 à 21:49 (CEST)[répondre]

La première étape serait de définir ce que pourrait bien être un cardinal négatif ou complexe, donc un rang négatif ou complexe . Ensuite, ça ira tout seul... Émoticône Bonne chance! Dhatier jasons-z-en 10 avril 2009 à 22:21 (CEST)[répondre]
On définit la dimension de quelque chose. On n'a pas étendu la notion de dimension des entiers naturels aux réels positifs, mais, comme c'est écrit dans l'article, des espaces vectoriels aux espaces métriques. Et il se trouve (vous pouvez le vérifier sur la définition) que la dimension de Haussdorff de tout espace métrique est un nombre réel positif ou +∞ (ça tient aussi à ce qu'on n'a pas défini cette nouvelle dimension n'importe comment mais de manière à rester cohérent avec la conception classique d'une dimension). On n'a pas introduit des dimensions non-entières pour le plaisir, mais parce que c'était nécessaire. Mais rien ne vous empêche de définir d'autres dimensions, qui prendront les valeurs que vous souhaitez... Grasyop 11 avril 2009 à 18:28 (CEST)[répondre]

Qu'est-ce qui est pudique ?

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Bonsoir et merci : je connais [11] et [12], [13] et même... (désolée mais vous devrez taper vous-même « pudique » !) [14] ! Je me demande que qui « pousse » un journaliste à citer « des photos en noir et blanc, ou plus pudiques » ([15]) ? Question morale encyclopédique... --Égoïté (d) 11 avril 2009 à 00:50 (CEST)[répondre]

Décent, réservé, qui ne dit ou ne montre pas les choses brutalement. Cela semble approprié dans le contexte, non ? Ou, si le sens de la réflexion est de savoir quelle relation directe le journaliste fait entre le mot pudique et le noir et blanc, il n'en fait pas directement. Le journaliste compare, d'une part, les photos publiées avec des photos qui, bien qu'explicites, seraient en noir et blanc et, d'autre part, les photos publiées avec des photos qui, bien qu'en couleurs, seraient moins explicites. Pour lui, l'une ou l'autre alternative aux photos publiées constitue une modalité différente d'atténuation par rapport à celles-ci. -- Asclepias (d) 11 avril 2009 à 01:43 (CEST)[répondre]

En noir et blanc, on ne voit pas si la tache est de sang ou de café. Le noir et blanc c'est magique, la moindre photo de cul devient érotique. Pour peu que la photo soit un poil floue, pardon : avec un peu de soft focus, en noir et blanc l’art est à la portée des caniches. rv1729 11 avril 2009 à 07:09 (CEST)[répondre]

Relisez l'article : « d'autres journaux ont préféré des photos en noir et blanc, ou plus pudiques » il n'est pas dit que le N&B soit pudique. Sinon, en photo, le N&B donne une distance abstraite par rapport au sujet, on a plus l'impression d'une « représentation », pas de « la vérité ». Et, pour des photos d'un sujet ensanglanté, le rouge du sang disparaît pour ne plus apparaître que comme une tache noire. Biem (d) 11 avril 2009 à 08:13 (CEST)[répondre]
Merci à vous. --Égoïté (d) 13 avril 2009 à 07:13 (CEST)[répondre]

Bonjour

Dans notre ville une " place Coqueche" existe. Les services minicipaux restent muets sur l'origine. Je n'ai pas trouvé sur WIKIPÉDIA. Quelqu'un aurait une piste (homme "célèbre {!!}, patois, etc. .).

À l'avance tous mes remerciements,

Bonjour, Vous savez, pour ce genre de questions, déjà si vous donniez un indice comme le nom de votre ville, de votre région ou au moins de votre pays, ce serait un début et ça risquerait d'aider. -- Asclepias (d) 11 avril 2009 à 08:16 (CEST)[répondre]
… visiblement à Saintes. Et beaucoup d'adresses indiquent "place de Coqueche", certaines "place de Coquèche" — Hautbois [canqueter] 11 avril 2009 à 09:16 (CEST)[répondre]


Re-bonjour; c'est effectivement à SAINTES; désolé. J'y habite depuis un an & cela (et les gens autour de moi) m'interroge.

Parités monnaies en 1887

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Je suis en train d'incorporer pour Wikisource La Religion du Capital de Paul Lafargue (publié en 1887). À un moment on peut lire :

« Un million de francs ou de marks me semble une somme bien misérable, je propose un million de dollars. »

Quelle était (à peu près) à cette époque la parité franc / mark / dollar ? --Serged/ 11 avril 2009 à 11:40 (CEST)[répondre]

Je me réponds à moi-même. Sachant que :
  • 1 franc valait 0,3225 gr d'or
  • 1 Goldmark valait 0,35842 gr d'or
  • 1 dollar valait environ 1,7 gr d'or
On en conclura que 1 M = 1,1 F et 1$ = 5,28 F. Les liens donnent les articles où j'ai trouvé l'information.--Serged/ 11 avril 2009 à 14:50 (CEST)[répondre]

Bonjour,

Le 31 mars 1959 était-il le mardi de Pâques ? Cdlt, VIGNERON * discut. 11 avril 2009 à 14:12 (CEST)[répondre]

Qu'entend tu par, mardi de Pâques ? Si c'est celui après Pâques, alors selon ici, oui. -- Kyro Tok To Mi le 11 avril 2009 à 14:15 (CEST)[répondre]
Sinon, il y a aussi un article 'Calcul de la date de Pâques'. (Je ne connaissais pas le 'mardi de Pâques', mais Google en a entendu parler...)-- Xofc [me contacter] 11 avril 2009 à 16:20 (CEST)[répondre]

Lautréamont, Isidore Ducasse: Origines familiales ?

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Salut Oracles des origines.... Isidore Ducasse comte de Lautréamont, est né en 1846 à Montevideo, Uruguay, où son père était commis chancelier. " François Ducasse, quatrième des huit enfants de Bernard-Louis Ducasse, surnommé «Le professeur», cultivateur est né à Bazet. Il était le père d'Isidore Ducasse dit "Comte de Lautréamont" (pseudonyme qui signifierait, selon certaines sources, l'autre est à Montevideo ! ) Sa mère était de Sarniguet (65) Isidore Ducasse a séjourné plusieurs fois dans sa famille de Bazet " ( Wikipedia -Bazet ). Il est revenu à Tarbes à l'âge de 13 ans et a fait ses études pendant six ans au Lycée impérial, aujourd'hui Théophile Gautier.. Il a fait ses études à Tarbes, en France. Sait-on quelles étaient les origines de sa famille paternelle ? Ce que sont devenus les frères et soeurs de son père ? Que faisaient-ils ? Où ? Seraient-ils parents, cousins, d'un Ducase, notaire à Bruch ( Lot et Garonne ) vers la fin du XIXème siècle? Merci. jbdepradines (d) 11 avril 2009 à 14:42 (CEST)[répondre]

« pseudonyme qui signifie l'autre est à Montévidéo »... euh... tu es sérieux là ? rv1729 11 avril 2009 à 16:31 (CEST)[répondre]

Sérieux, oui. Natürlich !!. Isidore Ducasse, un grand poète français, ( " Les chants de Maldoror ") s'appellait Isidore Ducasse et se faisait appeler Lautréamont. Le reste, je voudrais le savoir... Pourquoi ta question? jbdepradines (d) 12 avril 2009 à 08:55 (CEST)[répondre]

Oui, merci, je l’ai lu en boucle quand j’avais 16 ans, et je me suis farci toutes les bios qu’on trouvait à la bibliothèque municipale de Belfort...
Bon, c’est la première fois que je lis cette explication (qui me laisse pour le moins dubitatif) sur son pseudonyme. En général on fait plutôt le rapprochement avec Latréaumont.
Je me souviens d’un bouquin (un peu racoleur) qui affirmait produire une photo du jeune Isidore, « tirée de l’album de famille ». Le livre contenait sans doute des précisions sur cette famille, mais enfin ça remonte à plus de 20 ans, je ne me souviens ni de ces précisions, ni du titre de ce livre.
Je suppose que tu as fait des recherches en bibliothèque. Peut-être devrais-tu inclure plus de bibliothèques dans ton champ de recherches. rv1729 12 avril 2009 à 09:48 (CEST)[répondre]

J'ai trouvé l'explication (?!) dans Wikipedia, à Bazet: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bazet#Personnalit.C3.A9s_li.C3.A9es_.C3.A0_la_commune Elle n'est pas sourcée. jbdepradines (d) 12 avril 2009 à 19:24 (CEST)[répondre]

Le catalogue de la bibliothèque mentionnée supra suggère ce titre, qui me paraît tout indiqué pour votre recherche. N’hésite pas à taper « Lautréamont » dans le moteur de recherche d’Amazon, par exemple, aussi. rv1729 12 avril 2009 à 23:51 (CEST)[répondre]

Gracias... pero hay un Problemo ! Thanks, but it's problematic ! Danke, aber es geht nicht allein ! Le lien m'envoie sur une connexion expirée. Et lorsque sur le site de la bibliothèque je recherche Lautréamont, la réponse est très multiple... Merci de me préciser quel titre serait le plus recommandable. ( J'ai mon idée au demeurant ). jbdepradines (d) 13 avril 2009 à 12:58 (CEST)[répondre]

Et bien oui, c’est celui-là ; j’ai fait comme vous, vous savez, j’ai cherché « Lautréamont » dans le catalogue. rv1729 13 avril 2009 à 13:13 (CEST)[répondre]

Merci. jbdepradines (d) 13 avril 2009 à 14:23 (CEST)[répondre]

Ben Harper est-il chinois?

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bonjour à vous, chers amis. En regardant "Les Trois Royaumes" de John Woo, je suis tombé sur un instrument bizarre. C'est à la 55ème minute (à peu près) du premier film, Zhou Yu et Zhuge Liang jouent de cet instrument qui ressemble étrangement à la Weissenborn de Ben Harper. C'est un instrument à cordes (8 je crois), qui se joue donc à plat. Il me semble qu'ils appellent ça "Qin", mais j'ai pas trouvé d'article correspondant. L'un de vous aurait-il la réponse? Merci d'avance à tous.

A priori la en:Weissenborn est une Lap slide guitar apparentée à la guitare hawaïenne. Hawaï est à mi-chemin des États-Unis et de la Chine, donc... --Serged/ 11 avril 2009 à 17:08 (CEST)[répondre]

en 208 après JC? c'est pas un peu tôt?

Le film n'a pas été tourné en 208 après JC, et il y a lieu de croire que parfois, les réalisateurs prennent des libertés avec la chronologie. Morburre (d) 13 avril 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]

Ouais, mais c'est un histoire importante pour la chine, j'aurais pensé qu'il aurait fais gaffe à se genre de truc, mettre un objet créé plus de 1700 ans après l'évenement raconté, ça me semble un peu gros. mais enfin...

La stéganographie en pratique

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Bonsoir !
Je voudrais savoir comment obtenir le codage bit par bit d'une image BMP et le modifier, comme c'est indiqué dans l'article sur la stéganographie.
Merci d'avance.

Le format .bmp est (vaguement) décrit dans l'article 'Windows bitmap'. Après, c'est une question de programmation... L'intérêt du format .bmp est qu'il est simple ( pixel = bits) (voir aussi 'Tatouage numérique' et 'Image matricielle') -- Xofc [me contacter] 11 avril 2009 à 17:58 (CEST)[répondre]
Il y des explications plus consistantes dans 'comment ça marche' Dhatier jasons-z-en 11 avril 2009 à 18:02 (CEST)[répondre]
Le format de sauvegarde bmp est proposé par un bon nombre de logiciel en commençant par .... Microsoft Paint Émoticône -- Kyro Tok To Mi le 11 avril 2009 à 19:38 (CEST)[répondre]

Instrumentral de Encore une nuit

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Salut Émoticône sourire

Pour une production théâtrale d'envergure (ou pas - c'est entre amis) j'aurais besoin de la piste instrumentale de la chanson Encore une nuit de Marie Mai Bouchard, mais je ne trouve pas. Peut-être ne cherchai-je pas aux bons endroits? Si vous avez 5 minutes pour cherchez cette chanson sans les paroles et ainsi contribuer au bon succès du spectacle, ce serait fort apprécié. (Le fait est que je n'ai pas accès à aucun logiciel de P2P même si j'ai à peu près la certitude que j'y trouverais ce que je cherche...)

Merci énormément, Félixggenest le 11 avril 2009 à 12:29 (HAE)

Prisons militaires pour femmes.

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Bonjour. Je voulais tout simplement savoir si, aux États-Unis, il existait des prisons militaires pour femmes, ou si des sections de ces pénitenciers était réservées aux femmes. De plus, j'aimerais savoir à quant remonte la dernière exécution d'un militaire condamné à mort dans une cour martiale. Merdi d'avance.

La prison Brig de Miramar est décrite comme étant la seule prison ayant une section pour femmes militaires du Département de la Défense des États-Unis.
Aux USA, le Private First Class John Bennett fut en 1961 la dernière personne exécutée par décision d'un tribunal militaire. A noter que George W Bush avait validé l'exécution du SPC Ronald Gray, mais que la mise en application fut reportée.
L'article Peine de mort aux États-Unis peut vous donner plus d'informations. ViZiT (d) 12 avril 2009 à 02:02 (CEST)[répondre]

au sujet d'elkahina

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bonjour je désire attirer votre attention sur un seul point Pourquoi ne pas parler franchement de cette reine , et quand on dit reine ya surement un royaume , une ancienne civilisation ? Je vous suggere de vous rendre sur les lieux avec une équipe spécialisée dans le domaine et permettez-moi aussi de vous signaler qu'il ya presence de ruine enterrer jusqu'à ce moment même sous terre sur d'autre sites proche de Baghai là ou il ya son palais .Je vous parle de Mtoussa et de Tebrouri " sur la route de Ain Touila " et pour le plus amples des information contactez moi. Sachez messieur qu'en ce moment même une association de protection des ruines est en justice pour la seule raison et de preserver ces terrains qui cachent encore ces trésors historique dont le colonialisme français les a codé code 4 . J'attends de vos nouvelles .

Si vous me payez le voyage, je viens tout de suite. Émoticône Grasyop 11 avril 2009 à 22:59 (CEST)[répondre]
Mais il y a une reine Kahena. Cette reine prénommée Dihya, a été surnommée Kahena ou Kahina du mot "Kâhin" qui est l'équivalent de "Oracle". ViZiT (d) 12 avril 2009 à 00:23 (CEST)[répondre]

Art deco : l'inconnu Menneville

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Bonjour cher Oracle,

J'ai acquis une sculpture d'inspiration art déco, en régule et ivoirine, signé d'un certain Menneville. Les œuvres du sculpteur semblent connues dans les hôtels des ventes. Malheureusement je n'ai pu trouver aucune référence sur cet artiste (sa vie, ses inspirations, ses influences...). Qui est donc ce singulier personnage ?

Pourriez vous m'éclairer ? Merci !

André De Menneville ? Trois liens: lien 1 , lien 2, lien 3. ViZiT (d) 12 avril 2009 à 00:59 (CEST)[répondre]

A moins d'avoir su maitriser le hochet et le marteau avec une grande virtuosité, il ne s'agit pas d'andré, puisque le malheureux n'aurait eu que 8 ans au moment de sculpter la composition du premier lien (qui est en effet de la même pâte que ma sculpture). Ce qui permet sans doute de situer l'époque de la composition à 1920-1930+, donc probablement une naissance au siècle précédent (compte tenu du nombre d'œuvres réalisées et de la maitrise technique de l'artiste). Il est a noter une influence de l'art nouveau (plis des robes) dans son travail, peut être que cela permettrait de dater plus précisément cet objet.

Dans le troisième lien, les dates n'indiquent pas nécessairement la naissance et le décès d'André de Menneville, mais plutôt une période de l'histoire du vignoble. Donc André de Melleville aurait été président du conseil d'administration à partir de 1922. Les noms des autres intervenants et des lieux peuvent vous inciter à contacter ce site pour obtenir de plus amples informations, vu que Menneville (Aisne) et Épernay, la ville du troisième lien, sont proches. ViZiT (d) 12 avril 2009 à 02:12 (CEST)[répondre]

Vietnam, fondement

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Bonsoir!

Ô Divin racle...

J'aurais besoin de précision quand au terme utilisés pour évoquer l'art traditionnel Vietnamien, en réalité j'en parle brièvement durant un oral que je suis en train de préparer, et je me manque de temps pour commencer une recherche livresque... Attention, je ne vous demande pas un commentaire complet sur l'art traditionnel Vietnamien, qui, en réalité est bien plus que cela puisque il s'agit des bronzes et objets traditionnels, soit les tambours et les vasques, mais un résumé plus que succinct m'indiquerait vers où me tourner pour des recherches Internet plus concluantes.

Un énorme merci, surtout dans le cas où vous ne me mettez pas le bandeau concernant votre non-collaboration aux devoirs étudiants...


Lolita

fondation hazelden

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bonjour,

Je me demandais s'il était possible d'avoir la version francaise de l'article hazelden Foundation . Cette association traite les problèmes lié aux adiction tel que: droques,alcool,etc.

merci

Bonjour. J'ai relayé votre demande au bistro, ce matin. Mais vous pouvez faire ce genre de demande sur Wikipédia:Demander un article. Bien à vous, --Égoïté (d) 13 avril 2009 à 07:08 (CEST)[répondre]

notations anglaise et française du solfège

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Bonsoir. Il est communément admis que le " do " serait la première des sept notes de la gamme. Pour ce qui est de la notation dite "anglaise", la première note serait apparemment le " la " , du fait que cette note est notée (pardon pour la répétition) "A", la notation anglaise allant de "A" à "G" pour les sept mêmes notes. Je suis à la recherche d'éléments permettant d'expliquer ce qui motive la notation anglaise "A" pour la note de musique notée "la" dans la notation française, correspondant à 349,2 hertz si je ne m'abuse, cette notation "A" qui ferait du "la" la première note de la gamme dans la notation anglaise, alors que la note "do" est couramment prise pour la première note dans la notation française. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 12 avril 2009 à 23:14 (CEST)[répondre]

Bonsoir, la réponse à la question que, si je comprends bien, vous semblez vous poser et donc nous la poser, pourrait bien se trouver dans l’article qui porte le titre explicite Origine du nom des notes de musique. Bien à vous. rv1729 12 avril 2009 à 23:44 (CEST)[répondre]


« la note de musique notée "la" dans la notation française, correspondant à 349,2 hertz si je ne m'abuse »
Je crains que vous ne vous abusiez effectivement : 349,2 Hz, c'est un fa ! Vous trouverez un la à 440 Hz par exemple (c'est le la de référence).
Grasyop 13 avril 2009 à 01:14 (CEST)[répondre]

Merci. Je suis encore un peu débutant ordi et toile et j'avoue que je ne parviens pas encore à trouver de réponse directe à cette question précise : pourquoi y a-t-il une différence entre la notation française des notes de musique, où "do" est la première note, et la notation anglaise où "A" valant "la" est la première note? Je serais intéressé de savoir si un utilisateur plus expérimenté que moi sur wiki pourrait répondre à ma question plus facilement que moi, ou trouver un emplacement où la réponse apparaîtrait ou enfin une méthode de recherche. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 13 avril 2009 à 00:54 (CEST)[répondre]

Extrait d'ici: "Le lettrage anglais provient du moyen-âge, avant la solemnisation. La première note la plus grave, un LA était nommée A et ainsi de suite. Avec Guido d'Arezzo on est passé à la solemnisation qui était simplement un moyen mnémotechnique. (Voir à ce propos l'excellent livre guide théorique de la musique d'Abromont). Les anglo-saxons ont gardé l'ancien système, tandis que le monde latin a pris le nom des notes de ce cher Guido (à l'exception du Ut devenu la plupart du temps Do)". Vous pouvez observer ici un clavier commençant par A0 ( 27.5 Hz ) et allant jusqu'à C8 ( 4186 Hz ), et même écouter certains sons correspondants. Et si vous maitrisez l'anglais, le texte me semble tres intéressant. ViZiT (d) 13 avril 2009 à 02:53 (CEST)[répondre]

Voir Origine du nom des notes de musique et Solmisation. On peut le trouver en surfant sur wikipédia par un chemin détourné passant par notation musicale et Guido d'Arezzo. Bonne lecture. Biem (d) 13 avril 2009 à 07:58 (CEST)[répondre]

En fait, l'article Solmisation est faux dans ses explications sur ce qu'est la méthode de Solmisation (section "Le nom des notes", deuxième paragraphe), ou du moins gravement incomplet au point d'être incompréhensible. Qu'est-ce qu'il faut faire dans ces cas là? Biem (d) 13 avril 2009 à 08:05 (CEST)[répondre]
Corriger ?
Si c’est impossible, n’hésite pas à amputer. rv1729 13 avril 2009 à 08:13 (CEST)[répondre]

Bonjour. Ma recherche progresse. A présent je me demande quelle serait la note de musique qu'on pourrait prendre comme "première note" du solfège, en fonction de la voix humaine ou d'un référentiel pertinent, voyez-vous ce que je veux dire? En effet, il est vrai que certaines personnes peuvent produire vocalement des notes plus hautes ou plus basses que d'autres personnes, cette amplitude varie d'une voix à l'autre, de même que l'amplitude de la "hauteur" ( sons plus ou moins aïgus ou graves ) des sons que les gens, les animaux, les palntes , etc... entendent, car les plantes entendent aussi, paraît-il (?). En fait il s'agirait de savoir quelles notes de musique ont été choisies et déterminées empiriquement par rapport aux sons produits et perçus par les divers récepteurs que je viens de nommer, et pourquoi pas étendre cela aux machines, qui aujourd'hui ont des performances ( capacités ) qui ne seraient plus si lointaines de celles des humains, notamment, des vivants, quoi. Cela me rappelle un de mes anciens poèmes : " on ne peut éviter l'inanimé " . cela tournerait autour des rapports entre le "vivant" et le "non vivant", que j'aborde par le biais des notes de musique, des sons et des fréquences sonores. En bout de course, j'envisage toujours la correspondance, voire l'équivalence, des fréquences sonores et lumineuses, équivalence qui me semble intuitivement abordable dans les domaines de l'acoustique et de l'optique, par les relations que l'on pourrait établir entre ces deux champs de recherches ( acoustique et optique ) et leurs applications . Je préciserai peut-être la chose. Je vous propose pour terminer, en remerciement, la dernière chanson que j'ai faite à la guitare (je ne sais pas encore aller à la ligne) : " il y a un bloc en face de ma maison - ils me paraissent bien bons - les habitants de ce cube de béton " Amitié Francis MARTIN (d) 13 avril 2009 à 09:15 (CEST)[répondre]

Oh là là...
Il ne peut pas y avoir de « première note » de musique, et les notes sont elles-mêmes souvent de hauteur arbitraire. Bon, alors, pour revenir à l'origine, les noms « Do, Ré, Mi,... » ont été inventés par d'Arezzo comme moyen mnémotechnique pour retrouver à l'oreille l'endroit où le demi-ton est placé dans la gamme utilisée par une mélodie donnée : à l'endroit du demi-ton, on a soit le saut entre Mi et Fa, soit celui entre Si et Do ; et ensuite on monte ou on descend pour trouver de quel côté est la quarte juste par rapport à la quarte augmentée : si la quarte augmentée est en haut, le demi-ton trouvé est le Mi-Fa, et si elle est en bas, c'était le Si-Do (et dans les deux cas, la clef de Fa ou d'Ut était mise au dessus du demi-ton). C'est très exactement cette recherche qui s'appelait autrefois la solmisation : c'est un truc de chanteur qui n'a pas besoin de la hauteur absolue, juste des intervalles relatifs. Une fois que toutes les notes de la gamme sont identifiées sur la mélodie, on peut la retranscrire simplement, mais attention ! ça suppose que toutes les transpositions se font en Do Majeur / La mineur, puisqu'avec cette méthode il n'y a jamais d'altération (sauf de temps en temps un Sib / Fa#). Donc, la gamme « Do, Ré, Mi,... », étymologiquement, ne désigne que des intervalles relatifs les uns par rapport aux autres, pas des fréquences absolues. Ca n'a donc pas de sens de dire qu'une note sera la première, parce que la transcription dépend en réalité de la modulation appliquée. (c'est ça qui est incompréhensible dans l'article Solmisation.)
De même, les notes « absolues » généralement désignées par A, B, C... désignaient à l'origine les notes jouées par un instrument, mais la hauteur réelle dépendait de l'accord de l'instrument, qui pouvait être très variable. On partait d'un "A", parce que c'est la tonique des modalités mineures, qui généralement est la note la plus basse d'un morceau mineur ; et on a rajouté le "Gamma" (G grave), parce que dans quelques morceaux on a besoin de la sous-tonique en mineur. Dans la même logique, on peut dire que toutes les flûtes ont un doigté Majeur, parce que quand on bouche tous les trois on a la tonique d'une gamme majeure obtenue en débouchant les trous un à un - à une transposition près ; on peut noter la note la plus grave d'un flûte par un "Do" (et pour un saxophone, instrument transposeur, ce "Do" est en réalité un Mib). Mais en réalité, on peut faire des instruments qui descendent aussi bas que l'on veut, donc cette limite n'est qu'une question de jeu de l'instrument, pas tellement une limite physique.
Biem (d) 13 avril 2009 à 10:14 (CEST)[répondre]
Bah, techniquement, on pourrait définir une limite arbitraire : prendre la limite absolue de l'audition (pour un humain moyen, il y a évidemment de la variabilité) et choisir la note immédiatement supérieure avec un la à 440 Hz. Évidemment il y a des chances pour que ça soit une note à la con, genre Sol#... Arnaudus (d) 13 avril 2009 à 16:26 (CEST)[répondre]

Bonsoir. Votre réflexion me donne à penser, Arnaudus. Où commence le son? A la fréquence de 0 Hertz (ou un peu après)? Cela me fait penser à un physicien qui parlait des infrarouges comme étant "le passage où la chaleur devient lumière"... c'est dans ces domaines et leur articulation que se situe ma recherche actuelle. Il me semble , intuitivement, qu'au niveau de l'acoustique, de l'optique, de leurs relations, on peut envisager la correspondance, voire l'équivalence, des ondes sonores et lumineuses, et, au-delà, de toutes les ondes électromagnétiques, tant il est "admis" que l'"état minimal du système physique" serait le vide, dans lequel, comme disait Michel Cassé, directeur de recherches au CNRS , "resterait la gravitation", ou bien l' "énergie du vide"... A partir de ce vide "quantique" seraient apparues les forces fondamentales telles l'électromagnétisme (etc.) puis les particules, la matière et la conscience.On envisage que toutes les forces fondamentales ( gravitation,électromagnétisme, intéractions forte et faible) étaient confondues à l'état originel, et ainsi elles se seraient différenciées progressivement, notamment le rayonnement électromagnétique dont on pourrait ,ne serait-ce qu'intuitivement,supposer qu'il se serait déployé en une "série" d'ondes, acoustiques, lumineuses, etc. , qui ne différeraient pas de "nature" mais différeraient "en apparence", c'est à dire au niveau de la "forme", des formes qu'elles prendraient. Poème( en un vers, la poésie minimale est aussi à la mode) : " l'illusion ou apparence est la manière (l'art) qu'a trouvé la réalité pour exister".Je m'empresse de signaler, car je crois qu'on comprend mieux ainsi, que j'ai été inspiré pour ce vers par ceci : " la poule est le moyen qu'a trouvé l'oeuf pour exister", que j'ai trouvée récemment, bien que je ne me rappelle plus de sa forme exacte, cela tourne autour de ça.C'est en ce sens que je dis souvent, actuellement, que l'art et la science seraient, à mon sens, les deux extrêmes de l'éventail des possibilités de la "compréhension" et de l' "action" humaines, aux frontières du "vivant" et du "non vivant",du "matériel et du "spirituel", de l"être" et du "néant", de la "chose" et du "mot", mais je reconnais que ceci est encore à vérifier, approfondir et développer ( je fonde simplement cette hypothèse sur la classique opposition entre art et science ), et que cet éventail, cet espace, cet "état minimal du système" serait "cyclique", en boucle, bouclé sur lui-même, en quelque sorte, qu'au bout de la boucle ( "au bout du cercle" ) les deux extrêmes se rejoindraient. Ce serait à ce niveau, où art et science se joindraient, se rejoindraient, que "les choses se passeraient", et moi je vois ça dans les domaines de l'acoustique et de l'optique( en tant que science et dans leurs applications, leur utilisation pour science ou art, par science et art), qui seraient les champs de recherche où l'on pourrait trouver quelque chose, je ne sais quoi, à voir... Plus clairement , ce serait peut-être par les moyens actuels des instruments utilisés dans l'optique et l'acoustique actuels ou à venir que l'on pourrait trouver la synthèse dont je parle, qui serait en finalité quelque chose comme la "fusion des ondes sonores et lumineuses, entre son et lumière "... aux niveaux scientifique et artistique, par exemple. Cela me fait penser à la personne qui disait il y a peu sur wiki qu'elle "voyait des sons". Ce serait une chose assez connue et étudiée. A noter au passage que l'expression " état minimal du système " peut être interprétée sous deux sens: "état minimal du système physique" au sens de l"état minimal du système de la science physique" comme au sens de l' "état minimal du système de la"réalité" ou de la "matière physique"telles qu'elles "existeraient" dans les domaines théorique et pratique"... Ainsi, comment peut-on mesurer le son? par la perception humaine, certes, mais on sait aussi que des animaux entendent des fréquences plus basses ou plus hautes que les humains... on dit aussi que les plantes seraient sensibles à la musique(comment? Quels sont les récepteurs ou mécanimes sensibles?). On utililiserait donc des instruments pour mesurer le son au-delà de notre propre perception. Il serait ainsi envisageable de mesurer, d' "instrumenter",tant au niveau de la réception que de l'émission, le son à ses limites . Si vous avez des renseignements sur tous ces sujets, celà m'intéresserait. D'ailleurs vers les années 95 j'ai entendu sur MTV ( "Chill out zone" ou une autre émission de ce genre ) ou sur Radio Nova, je ne sais plus, un morceau du genre "techno dance", à peu près, avec des basses extrêmes, qui roulaient aux limites des fréquences basses audibles par l'oreille. Je vais chercher quels instruments sont capables de celà car c'est musicalement très intéressant et je crois bien que c'est le seul morceau que j'ai entendu avec ces "hyperbasses". Si quelqu'un connaît ce genre de morceaux, je lui serais reconnaissant de me dire où je peux les trouver. Je termine, si vous le voulez bien, avec un poème en un mot (qui a deux sens): "nature". Bien à vous. Francis MARTIN (d) 14 avril 2009 à 20:30 (CEST)[répondre]

Audition humaine : entre 20 et 20 000 hertz. En-dessous : infrasons, au-dessus : ultrasons.
Voir Synesthésie, particulièrement Synesthésie musique → couleurs. Franz Liszt, Alexandre Scriabine, Nikolaï Rimski-Korsakov, Jean Sibelius, Olivier Messiaen, György Ligeti, Duke Ellington… étaient des synesthètes confirmés. — Hautbois [canqueter] 15 avril 2009 à 07:16 (CEST)[répondre]
Vaste programme. Malheureusement pour vous, « on peut envisager la correspondance, voire l'équivalence, des ondes sonores et lumineuses » est... inenvisageable en l'état actuel des connaissances. Le son est une onde mécanique de pression, longitudinale. La lumière est une onde électromagnétique (donc liée aux oscillations du champ électromagnétique), transversale. Cela fait un peu trop de différences pour envisager une équivalence. Les seuls points de rapprochement sont leur nature d'ondes, et ce que cela permet (interférence, diffraction...). En parlant d'interférence, quand vous déciderez-vous à participer aux articles du projet ? En dehors de cette intervention, je ne vois absolument rien. Vous avez certainement des connaissances à partager ? GillesC m'écrire 15 avril 2009 à 09:39 (CEST)[répondre]

Il y aurait peut-être correspondance, voire "équivalence" (globale) entre ondes sonores et lumineuses, comme pour tout ce qui existe, au niveau de la perception? "Nihil est in intellectu quod non prima in sensu" (rien n'est dans l'intellect qui ne soit d'abord dans les sens", "l'homme est la mesure de toute chose" (Protagoras). Car au fond, qu'est-ce que la couleur? Quelle est la réalité physique d'une couleur et de sa perception? N'hésitez pas, je vous prie, à me donner toute idée correspondant à la question. Et l'on m'a dit dans l'article récent de l'Oracle " la différence entre la lumière et une émission de radio est une question de fréquence, donc de temps" (quel est le support physique du temps et de sa perception?) que l'on ne percevrait en rien les ondes radio. Je me permets d'en douter. Pour en revenir à nos moutons, actuellement, une chose en entraînant une autre, je suis en train de régler la question du langage. Voici le protocole (démarche): le sens du sens (des mots, mais aussi de toute chose)est une répétition, donc une irréductibilité. Cela rejoint le concept d'incomplétude. Aucune chose, aucun élément ne semble isolé, isolable, défini, définissable . Démonstration: si vous considérez n'importe quel élément ( terme couvrant toute chose existante ), force est de constater que cet élément ne sera jamais isolé, isolable, "prenable" en tant que tel et de façon isolée puisque vous êtes là pour le considérer ( thème de l' "observé " et de "l'observateur"). Et si vous vous dites que vous pourriez alors vous prendre vous-même comme sujet d'observation, il reste à admettre que cette observation (de vous-même) est encore une opération, donc un élément différent de votre "être" "en lui-même". Ce serait le principe traité par Deleuze ( "différence et répétition" ). Conséquence : Nulle chose, nul élément ne seront donc jamais "certains" ni "complets", ni "vraiment" "réels", strictement déterminés. La certitude, la réalité, la vérité, nulle chose, nul élément, ne seront jamais "atteints","vraiment", réllement, "finalement", de façon définitive. le mouvement vers la chose ne cessera jamais et le but ne sera jamais atteint. Comme on dit : "tout se passe comme si rien ne pouvait se passer sans qu'il y ait quelqu'un pour en parler". c'est évidemment l'idée de la dualité. Pourtant, la dualité est une unité. Paradoxe, couple. Opposition, opposés, comme les pôles négatif et positif de l'"électricité". Voir : énergie et matière. Francis MARTIN (d) 15 avril 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]

Les ondes sonores font vibrer dans l'oreille des cils sensibles à certaines fréquences. Ces vibrations mécaniques sont transformées en signal électrique, qui parvient au cerveau. Les ondes lumineuses parviennent au fond de l'œil. Là, c'est par un processus photo-chimique que l'énergie lumineuse est transformée en énergie électrique. La phrase « tout se passe comme si rien ne pouvait se passer sans qu'il y ait quelqu'un pour en parler » renvoie aux discussions sur le principe anthropique. Nous ressentons les ondes radio (au moins certaines), mais sans les percevoir de manière consciente. Par exemple, si nous entrions dans un four micro-ondes géant, nous ne pourrions pas isoler la perception de ces ondes, mais nous en subirions indubitablement les effets. La différence est que nous pouvons choisir de concentrer notre attention sur tel ou tel son, ou tel ou tel phénomène optique, telle ou telle odeur, tel ou tel goût ou tel ou tel contact tactile, car nous avons des récepteurs qui sont spécialisés dans ces fonctions, et qui se doublent par un traitement par le cerveau. En revanche, les autres stimuli ne peuvent pas être traités par le cerveau, car aucune « chaîne de traitement » n'existe pour cela, du récepteur au circuit neuronal. Cela n'empêche pas d'en ressentir les effets (les micro-ondes ont des effets très désagréables, ce qui excite les circuits de la douleur... mais cela n'excite pas de zone du cerveau qui serait spécialisée dans le traitement de ce genre d'information). GillesC m'écrire 16 avril 2009 à 09:41 (CEST)[répondre]

Bonjour. En effet, la conscience elle-même comme toute chose, comme je viens d'en parler plus haut, est relative et incomplète. Donc, de plus, nulle chose n'est seule et ainsi tout est lié. Perception, son, lumière, radiations, rayonnements, ondes mécaniques ou électromagnétiques, tout est lié et interdépendant, matière, énergie, être, néant. Peut-être pourrait-on envisager que ce protocole (démarche) se réduirait à la base, au minimum, pour commencer, quoi, à deux éléments: l'élément considéré, puis le fait qu'on "prenne en compte" que le simple fait de "considérer" cet élément est un second élément, rapporté. Ensuite tout découlerait: on reviendra là-dessus en se "disant" que cette dualité "de base" est une "unité", etcétéra. "Un est le premier chiffre du nombre qui ne se termine jamais". Bien entendu, le zéro n'échappe pas à la "règle". Tout se déploie par-après, néant, être, origine, univers, espace, temps, énergie, matière, conscience, science, art. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 16 avril 2009 à 10:31 (CEST)[répondre]

Bonjour tout le monde,

Je recherche un index de l'ensemble des articles wikipédia.

Sauriez-vous s'il existe une sorte de liste de ce genre ?

Merci pour vos infos :)

Bonjour. Vous y avez accès par Index alphabétique dans la colonne de gauche, section Navigation. Bien à vous, --Égoïté (d) 13 avril 2009 à 07:01 (CEST)[répondre]
Exact, ici Émoticône Félixggenest le 13 avril 2009 à 11:21 (HAE)