Pressy (Pas-de-Calais)
Pressy | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Bernard Malle 2020-2026 |
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Code postal | 62550 | ||||
Code commune | 62669 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
304 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 70 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ 32″ nord, 2° 23′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 158 m |
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Superficie | 4,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Pernes (banlieue) |
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Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Pressy, parfois appelée Pressy-lès-Pernes, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Ferté, cours d'eau naturel non navigable de 5 km, qui prend sa source dans la commune de Valhuon et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Pernes[1]. Un affluent de La Ferté, qui prend sa source dans la commune de Bours, le Marest[2], traverse également la commune de Pressy.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espace protégé et géré
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9].
Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie d'un espace protégé : le marais de Pernes d’une superficie de 4,919 hectares. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pressy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pernes[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,5 %), prairies (28,8 %), zones urbanisées (6,6 %), forêts (4,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Percetum (XIe siècle) ; Preci (1145) ; Perchi (XIIIe siècle) ; Préchi (1400) ; Préchy (1429) ; Précy-lez-Pernes (1415) ; Persy (vers 1152) ; Présy (1542) ; Pressy-lès-Pernes (1720)[17].
Selon Maurits Gysseling, le nom viendrait d'un anthroponyme gallo-romain, Priscius[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Pressy est avant la Révolution française, le siège d'une seigneurie, détenue au XVIe siècle par Adrien Le Josne puis au début du XVIIe siècle par Jean de Verloing (présentation plus bas)
Pressy est le nom d'une famille noble, probablement originaire du village dont plusieurs membres ont fait une belle carrière sous les ducs de Bourgogne puis rois d'Espagne, de qui relevait la région jusqu'au rattachement à la France[19]. La famille sans doute détentrice de Pressy à ses débuts est retrouvée sur d'autres possessions au fil de son histoire.
Jean Ier de Pressy, chevalier, seigneur du Maisnil, a été chambellan de Philippe, duc de Bourgogne (soit Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi mort en 1404, soit Philippe le Bon mort en 1467). Il a eu une fille mariée au seigneur de Miraumont et un fils Philippe.
Philippe de Pressy, fils de Jean Ier, a été échanson du même duc de Bourgogne, a épousé l'héritière de Flencques[19]. Il a eu trois enfants :
- Georges de Pressy, chevalier seigneur du Maisnil.
- Catherine de Pressy, s'est mariée au fils aîné de messire Engrand de Recourt, seigneur de Licques et de Recourt, châtelain de Lens.
- Michel de Pressy, seigneur de Flencques, père de Jean II. Il a été député de la noblesse des États d'Artois et a participé à plusieurs expéditions militaires.
Jean II de Pressy, fils de Michel, chevalier, a participé à plusieurs actions militaires. Il est issu du côté maternel de la maison de Halloy dont il est l'héritier par la mort de Maximilien de Gosson, seigneur de Halloy, mort au siège de Bergues-Saint-Winoc, lieutenant de la compagnie d'hommes d'armes du duc d'Arschot. Il a épousé Catherine de Gosson. Ils ont eu deux enfants au moins :
- Charles de Pressy, écuyer, seigneur de Flencques, Halloy, Esterpignie, Ligni, Ambrines, Hondescotte-es-Saint-Nazaire, est fait chevalier par lettres faites à Madrid le 29 décembre 1625. Il a servi dans la compagnie de 300 hauts bourguignons du seigneur de Werp, gouverneur des villes de Maestricht et de Wicq. Puis il a été alfère (porte-drapeau) au tercio (unité militaire) de feu le comte de Solre, avec lequel il a participé au siège de Cambrai, au siège d'Ardres, au siège de Calais, à l'attaque des château et ville de Doullens. En ce lieu, entrant le premier, il a conservé au péril de sa vie le dépôt des munitions. Il a continué de servir en la compagnie du comte de Solre avec 5 ou 6 chevaux à ses frais.
- Eustache de Pressy, frère puîné de Charles, a été tué au siège de Verseilles, après avoir servi au régiment du comte de Bossu, et avoir été honoré par l'archiduc Albert (Albert d'Autriche (1559-1621), oncle du roi actuel (Philippe IV (roi d'Espagne), du commandement d'une compagnie de deux cents musquettiers (porteurs de mousquets) sous le seigneur de Coing, mestre de camp[19].
Adrien Le Josne, seigneur de Pressy, est reconnu noble le 27 octobre 1589. Il est frère de Jean Le Josne, seigneur d'Estourelle, également reconnu noble le même jour. Les deux avaient le précédent, perdu leur procès contre les collecteurs et les habitants du village de Pressy. Ils ont pour armes « De gueules fretté d'argent semé de fleurs de fleurs de lys d'or »[20].
Jean de Verloing, licencié-es-lois, seigneur d'Esquires (Équirre) et de Pressy, originaire de Saint-Pol, demeurant à Arras, est reconnu noble le 25 mai 1604. Il a pour armes « De sinople à la bande d'argent »[21]. Il est probablement le fils de Jean de Verloing, seigneur d'Équirre, mort le 21 juillet 1589 et dont une plaque commémorative, classée monument historique, située dans l'église d'Équirre conserve la mémoire[22].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Pendant la Première Guerre mondiale, lors de l'été 1915, des troupes ont séjourné sur Pressy en cantonnement de repos après de durs combats sur le front de l'Artois[23].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [24] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25]. À l'initiative des intercommunalités concernées[26], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[27] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [28],[29].
La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [30].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2021, la commune comptait 304 habitants[Note 5], en évolution de −0,98 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, ce qui est égal à la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 164 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 51,74 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Sachin, Marest, Pressy et Bours. À la rentrée 2016, il accueille 162 élèves, dont les 32 du CM2, dont la classe est à Pressy[42]
Économie
[modifier | modifier le code]Le village compte trois exploitations agricoles en 2016, ainsi que des artisans (Pernes Chauffage, Garage Beugin), JMB Attractions (locations de structures gonflables aux particuliers et aux collectivités) et le Groupe Carré (spécialisé en produits phytosanitaires, agricoles et achats de céréales)[42].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin, datée de 1863, qui fait l'objet en 2016 d'un programme de travaux qui a concerné la cloche, le porche et la façade[42].
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pernes comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « Fiche cours d'eau - la Ferté (E3641250 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Marest (E3641260 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pressy et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « espace protégé FR4506013 - Marais de Pernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pernes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pressy ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 307.
- « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 809 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 31-32, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 11, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 20, lire en ligne.
- « Plaque commémorative », sur Ministère de la culture- Monuments historiques Notice Palissy.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
- no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Aline Chartrel, « Dernier chantier à Pressy, « on attaque la rénovation de l’église » : Voilà un premier mandat de maire qui s’achève pour Bernard Malle. L’heure n’est pas encore à l’annonce d’une candidature, mais le premier magistrat jette volontiers un coup d’œil dans le rétro », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Alexis Degroote, « Pressy : la façade de la mairie va se refaire une beauté : Des projets et des idées, le conseil municipal de Pressy n’en manque pas. Mais ces derniers dépendront « des disponibilités financières », martèle le maire Bernard Malle. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pressy (62669) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Christelle Dourlens, « L'Abeille de la Ternoise se pose... à Pressy », L'Abeille de la Ternoise, nos 8600-1649, , p. 24.