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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
02.03.2025
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La Chine aide la Russie à procéder à « sa plus importante expansion militaire depuis l’ère soviétique et à un rythme plus élevé que ce que nous pensions possible » au début de la guerre en Ukraine, selon un haut fonctionnaire américain, cité vendredi par l’Agence France-Presse et sa consœur américaine Associated Press.
En guise d’exemples du soutien de Pékin au complexe militaro-industriel russe, une autre responsable américaine a cité des achats massifs par la Russie de composants électroniques, de machines-outils et d’explosifs chinois, en ajoutant que des « entités chinoises et russes travaillaient ensemble à produire des drones » sur le sol russe.
Les renseignements à la disposition de l’administration américaine montrent qu’au cours du premier trimestre 2023 « plus de 70 % des importations russes de machines-outils provenaient de Chine », ce qui a permis d’augmenter la production de missiles balistiques, selon les deux hauts fonctionnaires qui ont requis l’anonymat.
Ils ont cité l’entreprise chinoise Dalian Machine Tool Group, les groupes Wuhan Global Sensor Technology, Wuhan Tongsheng Technology et Hikvision, qui fourniraient des systèmes optiques utilisés notamment dans les chars russes, ainsi qu’iRay Technology and North China Research Institute of Electro-Optics.
La Chine livre également à la Russie des moteurs de drones et des systèmes de propulsion pour missiles de croisière, ainsi que de la nitrocellulose, un matériau utilisé pour fabriquer des munitions d’artillerie, et « des images de reconnaissance à la Russie pour sa guerre contre l’Ukraine », ont-ils poursuivi.
« L’une des manières les plus décisives d’aider l’Ukraine aujourd’hui est de convaincre la Chine d’arrêter d’aider la Russie à reconstituer sa base militaro-industrielle », a commenté l’un d’eux.
L’accord de paix avorté d’avril 2022 entre la Russie et l’Ukraine pourrait servir de base à de nouvelles négociations mais rien n’indique que Kiev est prêt à ces discussions, a déclaré vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, cité par les agences russes.
Selon les affirmations du président russe, Vladimir Poutine, la Russie et l’Ukraine ont failli conclure il y a deux ans à Istanbul un accord pour mettre fin à leur conflit, moins de deux mois après le début de l’invasion déclenchée par Moscou, mais l’Ukraine a renoncé après l’échec de l’offensive russe sur Kiev.
Ce pacte aurait contenu des clauses par lesquelles Kiev aurait renoncé à sa neutralité géopolitique, se serait engagé à ne pas intégrer l’OTAN, à limiter la taille de ses forces armées et à accorder un statut spécial à l’Est ukrainien… autant de conditions rejetées par Volodymyr Zelensky.
Jeudi, Vladimir Poutine a de nouveau évoqué la possibilité de pourparlers, se disant ouvert à des négociations « réalistes » mais hostile aux discussions que l’Ukraine tente d’organiser sans l’agrément de Moscou, comme la conférence que la Suisse compte accueillir à la mi-juin.
Interrogé à ce sujet, Dmitri Peskov a déclaré que la situation en Ukraine avait beaucoup évolué en deux ans, en faisant notamment allusion à l’annexion par Moscou – non reconnue par la communauté internationale – de quatre régions de l’est de l’Ukraine.
Le porte-parole du Kremlin a estimé que l’accord d’Istanbul pourrait encore constituer la base de nouveaux pourparlers, assurant que Moscou était prêt à cela, tout en « n’ayant pas le sentiment » que l’Ukraine soit disposée à discuter.
Kiev réclame le rétablissement de son intégrité territoriale, y compris la restitution de la Crimée annexée par Moscou en 2014, et le retrait des troupes russes de son territoire.