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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
20.01.2025
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Le premier ministre Gabriel Attal, est seul en lice pour présider le groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, a-t-on appris auprès du groupe, un vote formel étant prévu samedi matin. Vendredi 12 juillet à 12 heures, date butoir prévue pour le dépôt des candidatures, Gabriel Attal était l’unique candidat.
Le chef du gouvernement était à la mi-journée à l’Élysée pour une réunion autour d’Emmanuel Macron et des principaux chefs de file de Renaissance, dont le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, un temps pressenti comme candidat à la présidence du groupe mais qui pourrait briguer celle du parti.
Gérald Darmanin quant à lui a estimé dans un message aux députés Renaissance, que l’élection de Gabriel Attal ne réglait ni « la ligne politique » ni « le fonctionnement du parti », alors que les leaders de Renaissance sont réunis à l’Élysée autour d’Emmanuel Macron.
« Les élections au sein du groupe ne règlent cependant en aucun cas les deux problèmes majeurs qui sont les nôtres : notre ligne politique, notre projet pour les Français et l’examen critique de notre action, de notre méthode et de notre bilan », et « le fonctionnement du parti et la nécessaire représentation des territoires et des sensibilités », écrit, selon plusieurs sources, le ministre de l’intérieur, réélu député dans le Nord.
► Cinquième jour de tractations à gaucheUn cinquième jour de tractations débute pour les leaders du Nouveau front populaire, qui ne se hasardent plus à promettre un nom d’ici à la fin de semaine.« Je préfère ne pas fixer de deadline » car « il peut y avoir plus de temps nécessaire pour la discussion », a admis Manuel Bompard sur TF1.
Le calendrier pourrait même s’étirer jusqu’au 18 juillet, quand les députés reviendront à l’Assemblée pour élire leur président, a indiqué le coordinateur de la France insoumise, pour qui Emmanuel Macron a « imposé à tout le monde (cette) date limite » car il aura « besoin de faire démissionner le gouvernement » sortant avant cette échéance.
En attendant, « ce n’est pas parce que la question du premier ministre n’est pas tranchée que rien n’avance », a assuré Marine Tondelier sur BFMTV/RMC. « C’est normal que ça prenne un peu de temps », a ajouté la cheffe des écologistes, tout en exposant des divergences au sein de l’alliance : « tout le monde revendique d’être le plus grand groupe », cela « montre que c’est pas un critère évident » pour le choix du futur premier ministre.
► « L’Après » : les dissidents de LFI lancent leur mouvementLes dissidents de La France insoumise, qui leur avait refusé l’investiture aux législatives, ont annoncé la création de leur mouvement politique et négocient avec écologistes et communistes pour éventuellement siéger avec eux à l’Assemblée nationale.
Ces députés ou ex-députés – dont Clémentine Autain, Alexis Corbière, Danielle Simonnet ou encore Raquel Garrido – lancent l’Association pour une république écologique et sociale (L’Après), en gestation avant les élections européennes, mais dont la mise en place a été précipitée par les législatives anticipées. Le député de la Somme François Ruffin n’a pas souhaité rejoindre l’association pour le moment.
► Attal veut « protéger les Français de tout gouvernement » comportant des ministres RN ou LFIGabriel Attal s’est engagé à « protéger les Français de tout gouvernement »comportant des ministres du Rassemblement national ou de La France insoumise, dans sa profession de foi pour la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale.
« Avec la dissolution et les élections législatives anticipées, nous avons frôlé la disparition », reconnaît également le premier ministre dans ce texte, à la veille de son élection probable à la tête du groupe Renaissance qu’il proposera de rebaptiser « Ensemble pour la République ».
► Attal ira siéger l’Assemblée une fois sa démission acceptée« Je souhaite revoir intégralement nos méthodes et notre organisation, en tirant toutes les leçons acquises depuis 2017 et plus encore depuis 2022 », affirme également le chef de campagne du camp présidentiel, dans une profession de foi qui ne mentionne jamais Emmanuel Macron.
Gabriel Attal assure à ses collègues que leur groupe devra être « incontournable » et aura « vocation » à « contribuer à l’émergence de majorités de projets et d’idées », après des élections qui n’ont offert la majorité absolue à aucun des trois blocs de l’hémicycle.
« J’assumerai mes fonctions de premier ministre tant que le devoir l’exigera. Je pourrai siéger sur vos bancs dès lors que le président de la République aura accepté ma démission et qu’avec mon gouvernement, nous expédierons les affaires courantes », a par ailleurs écrit Gabriel Attal dans le message adressé à ses collègues.
► Le RN « censurera tout gouvernement » avec des ministres LFI ou écologistesMarine Le Pen a promis jeudi que le Rassemblement national « censurera tout gouvernement » comprenant des ministres issus de La France insoumise ou des écologistes, dans une clarification de la position de son parti après les élections législatives.
« Il y a une chose qui est sûre : le groupe RN censurera tout gouvernement où des LFI et des écologistes auraient des responsabilités ministérielles », a affirmé la présidente du groupe RN sur X, fustigeant le « bourbier » institutionnel consécutif au vote de dimanche.
Cette prise de position intervient alors que le secrétaire général du groupe Renaud Labaye avait jeté le doute sur les intentions du parti à la flamme en cas de mise en place d’un gouvernement du Nouveau Front populaire. Celui-ci avait en effet indiqué que le RN « ne censurerait pas » un potentiel gouvernement de gauche si celui-ci proposait « des mesures consensuelles », dans une déclaration au Figaro.