Orville (Pas-de-Calais)
Orville | |||||
La mairie-école. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Campagnes de l'Artois | ||||
Maire Mandat |
Alain Débureaux 2020-2026 |
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Code postal | 62760 | ||||
Code commune | 62640 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Orvillois | ||||
Population municipale |
360 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 08′ 04″ nord, 2° 24′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 64 m Max. 148 m |
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Superficie | 11,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-le-Comte | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | orville.fr | ||||
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Orville est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Orvillois. La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud du département du Pas-de-Calais et limitrophe du département de la Somme, Orville est une commune rurale de la vallée du fleuve côtier l'Authie située à 7 km au sud-est de la commune de Doullens et à 35 km au sud-ouest de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes, dont deux, Beauquesne et Terramesnil, dans le département de la Somme. Les communes limitrophes sont Halloy, Amplier, Famechon, Pommera, Sarton, Thièvres, Beauquesne et Terramesnil.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 11,95 km2 ; son altitude varie de 64 à 148 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par l'Authie, cours d'eau naturel de 108,18 km, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[10].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu », dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70 % en culture[11].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 ha et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[12].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Orville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[Insee 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[Insee 3],[Insee 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), forêts (13,8 %), prairies (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Audriaca villa en 769 ; Audrei villa, Autrei villa en 867 ; Andrei villa [lire : Audrei villa, Odriaca villa en 875 ; Odreia villa en 877 ; Villa Auriacum au IXe siècle ; Orevilla en 1096 ; Orivilla en 1106 ; Orrivilla en 1112 ; Orinvilla en 1129 ; Orrevilla en 1142 ; Aurivilla en 1155 ; Ovrivilla en 1180 ; Horrida villa en 1185 ; Oriville, Horrivile au XIIe siècle ; Orrevile vers 1207 ; Aurea villa en 1219 ; Horrevilla en 1241 ; Horreville en 1246 ; Oreville en 1294 ; Orreville en 1559[15] ; Orville en 1793 et depuis 1801[1].
Selon Maurits Gysseling, Orville viendrait d'un anthoponyme germanique, Ōþilarik, formé de ōþila (patrimoine) et de rīkja (puissant, riche)[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Anciennement Audriaca villa (cité en 769)[15] est une résidence royale dépendant des comtes de Saint Pol, des seigneurs d'Aubigny, des Crequis et des Brandt de Marconne. Au Ve siècle, elle devint une des sept châtellenies.
Avant de surprendre Amiens en 1597, l'armée espagnole s'était rassemblée à Orville.
En 1758, la seigneurie de Galametz, relevant du château d'Hesdin, est érigée en comté, associées à celles de Marconne, Amplier et Quint-d'Orville, sous la dénomination de comté de Brandt, du nom du seigneur qui bénéficie de cette promotion[17].
Seigneurs d'Orville
[modifier | modifier le code]Alexandre François Ignace de Brandt, seigneur de Galametz, Marconne, Amplier, Quint-d'Orville, à la moitié du XVIIIe siècle, a pris part à la plupart des batailles de Flandre et s'est distingué à la bataille de Lauffeld et autres, où il a été employé comme cornette dans le régiment de Royal-Cravatte. Il bénéficie en mars 1758, par lettres données à Versailles, de la promotion de la seigneurie de Galametz associée à celles citées en comté. Il est le fils de Louis François de Brandt, mayeur (maire) de la ville d'Aire, place que Philippe et François de Brandt, ses aïeux ont également occupée. Sa mère Marie Agnès Ptolomey était fille de Paul Gabriel Marie comte Ptolomey, d'une noble famille d'Italie; un de ses parents Charles de Brandt nommé en 1666 capitaine de soixante hommes d'armes, sous le duc d'Havré, a rempli ce poste jusqu'à sa mort. Il est d'une ancienne famille noble alliée aux Salperwick, marquis de Grigny, de Fléchin, Wamin, de la Ferté, de le Vacque[17].
XXe siècle
[modifier | modifier le code]Au début du XXe siècle, le village d'Orville abritait plus de mille habitants, parmi eux de nombreux Belges qui avaient été attirés par la présence dans le sous-sol de mines de phosphate. La découverte des poches de phosphate orvillois aurait pu être comparée à l'époque, toute proportion gardée, à la ruée vers l'or de l'Amérique du Far West. D'une part, le sable phosphaté qui était extrait des poches en forme d'entonnoir était d'une couleur jaune assombrie identique à celle du sable aurifère ; d'autre part, son rapport était aussi très intéressant : la tonne de minerai était vendue 70 F. de l'époque alors que le coût de revient de son extraction était de 10 F. à 15 F.. La population d'Orville est passée en quatre ans de 461 habitants à 1 503. Celle d'Amplier, la commune voisine, est passée pendant la même période de 340 à 724 habitants. On comptait jusqu'à 30 carrières d'extraction de ce sable phosphaté à Orville dans lesquelles travaillaient plus de 500 ouvriers belges. Ces mines de phosphate qui avaient été découvertes en 1887 ont été exploitées jusqu'au début du XXe siècle, au moment où les relations commerciales avec le Maroc et la Tunisie ont favorisé les importations de phosphate à un prix bien inférieur à celui de l'extraction locale et avec un minerai beaucoup plus riche. Le nom actuel de ce site est « les buttes d'Orville ». Il est actuellement occupé par un parcours de ball-trap de renommée internationale.
Il existait également à Orville des sablières qui étaient encore exploitées en 1970 d'une façon tout à fait artisanale ; les veines de sable n'étaient pas suffisamment importantes pour rentabiliser une exploitation industrielle. Ce sable d'une excellente qualité était remonté du fond de la carrière à la pelle par paliers successifs. Les ouvriers devaient, suivant la profondeur de la veine, manier plusieurs fois le même mètre cube pour le remonter à la surface où il était chargé dans des wagonnets ou des remorques agricoles.
Les belles maisons en pierre que l'on peut voir en traversant la commune témoignent de la richesse de ce passé.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 5].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et totalise 33 141 habitants en 2021[Insee 5].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte[Insee 5].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[18].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Orvillois[25].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2021, la commune comptait 360 habitants[Note 6], en évolution de −10,67 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'histogramme de la population met particulièrement bien en évidence l'impact de la découverte et de l'extraction des phosphates locaux.
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 194 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La ferme de Caumesnil, datant de 1763.
- Le pigeonniers carré à colombages.
- Le moulin à eau sur l'Authie.
- La ferme, datant de 1830.
- L'église Saint-Martin du XIXe siècle, fondations et pan de muraille romans, souterrains- refuges ; la maison jouxtant l'église présente un fronton triangulaire sculpté de deux anges tenant une couronne entre lesquels devait se trouver un écu royal supprimé, et la date 1833.
- Les maisons du XVIIIe siècle.
- Les petits pigeonniers, dont un de 1829.
- Le monument aux morts, inauguré le [30].
- Le faubourg Saint-Antoine.
-
L'église Saint-Martin.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Cabaret d'Orville (XVe siècle) dit Cabaret, peut-être originaire d'Orville, chroniqueur du XIVe siècle, auteur de La chronique du bon duc Loys de Bourbon ; écrite en 1429, publiée en 1876 pour la Société de l'Histoire de France, par A.-M. Chazaud (sujet : Louis II de Clermont, (1337-1410 ; duc de Bourbon)[31].
- Oscar Archain (1863-1904), conseiller municipal de Paris et conseiller général de la Seine, est né à Orville.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au créquier d'or; vêtu d'argent[32]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Dossier de la commune sur la base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 7], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 8], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Orville (62640) », (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Authie (E5500570) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Orville et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- (nl + fr + de) Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Nord-Frankrijk en West Duitsland (vòòr 1226), Antwerpen, , 1406 p. (lire en ligne), p. 772.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 88, lire en ligne
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Nicolas André, « Le bilan des maires – Orville – Yves Debureaux : « Le conseil municipal a mené à bien tous les projets de mon dernier mandat » : Yves Debureaux attaque la fin de son dernier mandat, le cinquième ! Il ne se représentera pas. Son conseil municipal et son premier adjoint, Freddy Leroy, qui se sont parfois mis eux-mêmes à la tâche, peuvent se féliciter d’avoir accompli tout son programme et il n’était pas mince dans cette commune de près de quatre cents âmes, accolée à la Somme. Plus proche de Doullens que de Pas-en-Artois. Entretien avec le maire et ses collaborateurs », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Orville: des tensions lors de l’installation du conseil municipal : L'installation du conseil municipal vendredi 28 mars a été animée », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Orville (Projets des Maires) : « Le marais sera inauguré au printemps » : Premier mandat pour Freddy Leroy. Mais ce n’est pas une découverte pour celui qui fut déjà adjoint lors du précédent mandat, et c’est dans la continuité mais avec des méthodes de travail nouvelles que le nouveau maire entend poursuivre l’aménagement du marais et les autres projets », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112212p/f3.image.r=Orville%20Pas-de-calais.langFR
- Armorial de France, p. 15827