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ou trouves tu trouves ces rimes ?????
la demoiselle doit se croire au frais au groënland !!!!!!!
hier, 47° .
Par Pat, le 26.06.2025
de : chelmico
a : moi
très jolie poème ma sœurette bonne journée gros bisous http://birikin e.centerblog
Par birikine, le 25.06.2025
laposte.net
a : moibonsoir gabrielle
jolie demoiselle, je fais comme elle j'écoute le moins possible les
Par birikine, le 25.06.2025
elle a bien raison
Par Anne, le 25.06.2025
coucou gabrielle !!!!!!!!!!!!!!
la demoiselle est bien imprudente ainsi vétue dans les hautes herbes !!!!!
Par Marcel, le 24.06.2025
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Date de création : 18.10.2014
Dernière mise à jour :
25.06.2025
2970 articles
Mes gouaches s’en donnent à cœur joie
À peindre les fleurettes aux pétales de soie
Ainsi que miss esquisse qui à l’air pantois
Est ravie que son portrait ait tant d'éclats
Voilà donc la miss esquisse ravigotée
De voir enfin son image toute enluminée
Et ses fleurs aussi jolies que dans la réalité
Qu’elle en oublie frustration et morosité
Et la miss esquisse hier avec le mouron
Pose à présent gaie près de sa floraison
Qui resplendit en cette agréable saison
Sur mon dessin par ses charmants tons
Tandis que les bouquets sont à l’honneur
Enfin aujourd’hui de toutes les couleurs
Miss esquisse ne ressent que du bonheur
Oubliant le gris cliché de ces dernières heures
C’est ainsi que miss esquisse au chapeau
Lequel décoré d’œillets ou de coquelicots
Admire les charmants coloris de mon tableau
Qui le rendent en ce jour encore plus beau
Mes gouaches s’en donnent à cœur joie
À peindre les fleurettes aux pétales de soie
Ainsi que miss esquisse qui à l’air pantois
Est ravie que son portrait ait tant d'éclats
Sans désavouer son premier jet toutefois
Gabrielle
Voilà miss esquisse qui s’ennuie
Elle qui s’était agréablement fleurie
Car sont absents les beaux coloris
Lui apportant de l’entrain dans sa vie
Et miss esquisse un peu s’embête
Car son effigie est plutôt tristounette
Or en espérant des tons en palette
Son esprit prendrait un air de fête
Miss esquisse n’est pas d’humeur
Elle qui attendait un grand bonheur
En cueillant de magnifiques fleurs
Mais si mornes sans aucune couleur
Cependant miss esquisse attend
Malgré son manque d’engouement
Que sur son tableau la peinture venant
Son moral reviendrait joyeusement
C’est ainsi que la miss est confiante
Pour qu’elle ait enfin l’âme chantante
De voir son esquisse qui un jour représente
Les teintes de sa floraison si charmante
Alors oui patiente gentiment la miss
Quoiqu’elle subisse ce petit préjudice
Il sera réparé par des coloris en coulisse
Se préparant pour la plus bariolée des esquisses
Gabrielle
Malgré sa pâleur mon petit dessin
Aimerait illustrer quelques quatrains
Et si sa coloration sera pour demain
Il n’est pas vraiment honteux de son teint
C’est ainsi que le blême dessin ose
Mais oui sur mon document il se pose
Et même en manque de vert ou de rose
Il est heureux de représenter ma prose
Et le drôle de petit dessin tout pâlot
Installé délibérément sur mes mots
Un tantinet grisâtre mais plutôt beau
Se fiche de ne pas avoir un ton bordeaux
Voilà ce petit dessin entreprenant
Néanmoins au cœur un peu palpitant
Car il espère que poème sera indulgent
En se contentant que de son noir et blanc
Tandis que mon petit dessin est ravi
De se voir accepté par ma poésie
Il rayonne en la rendant encore plus jolie
Comme s’il était doté de coloris
Malgré sa pâleur mon petit dessin
Illustre enfin mes quelques quatrains
Non il n’est pas honteux de son teint
Toutefois se dit-il de la couleur demain
Lui permettrait d’avoir un succès sans fin
Gabrielle
Aux beaux jours le coquelicot pousse où il peut
Un brin de terre et il se l’approprie courageux
Même à l’étroit sa floraison se fait au mieux
Afin que l’on apprécie ses pétales merveilleux
C’est ainsi que çà et là apparaît le coquelicot
Plutôt sensible au cœur souvent en trémolo
Quand le mistral souffle sur son frêle dos
Pourtant il résiste comme un drôle de héros
Pas facile pour le coquelicot de cohabiter
Parmi toutes les herbes folles sans pitié
Parce que fragile malgré sa grande beauté
Juste qu’il est bien déterminé à l’exposer
Et le coquelicot sur le bord du chemin
Digne il s’adapte aux nombreux va-et-vient
Jalousant à peine les fleurs dans les jardins
Tout en aimant sa liberté et son train-train
Voilà donc un coquelicot au rouge passion
Sur ma petite route au milieu des buissons
Et en se distinguant presque fier tel un apollon
Il mérite mon attention et mes félicitations
Aux beaux jours le coquelicot pousse où il peut
Un brin de terre et il se l’approprie courageux
Même à l’étroit sa floraison se fait au mieux
Afin que l’on apprécie ses pétales merveilleux
Alors si vous le voyez envers lui n’ayez que d’yeux
Gabrielle
Ce matin je fais appel à mes doigts
Car l’inspiration est loin de moi
J’écris j’efface je n’ai pas d’idée
Je me creuse les méninges sans succès
Alors mes doigts prennent le relais
Alertes les voilà tapoter sur le clavier
Pas vraiment besoin de ma tête
Sur les touches ils sont en fête
À leur rythme sans se presser
Mes doigts malins inventent un sujet
Sans qu’ils ne subissent la pression
De la part de mon espiègle imagination
Heureux sont mes doigts habiles
Ils sont à l’aise et bien volubiles
Racontant tout ce qui ne me vient pas
Les jolies choses qu’ils voient ça et là
Mes doigts devant les genêts tout jaunes
Décrivent la garrigue sauvageonne
Et la colline maintenant recouverte
D’un manteau verdoyant d’herbette
Mes doigts exposent les primes-cerises
Sur le bel arbre à la charmante mise
Orné de ses fruits rouges gémellaires
En avance pour la saison printanière
Pour conclure mes doigts vont conter
Qu’à l’aube le coucou m’a réveillée
De son chant particulier et subtil
Devançant toujours les autres volatiles
Et oui en faisant appel à mes doigts
Je dois donc les remercier ma foi
M’ôtant la peur de poésie en l’absence
Sur une page qui resterait blanche
Gabrielle
Oui mon éphéméride est agonisante et pourtant
Elle m’accompagna active et dévouée tout l’an
Or aujourd’hui ne lui reste qu’un feuillet tremblant
Celui de la Saint-Sylvestre qu’elle redoutait tant
Pourtant au tout début où son boulot commence
Mon éphéméride était combative et insouciante
Ne pensant qu’à effeuiller son anatomie charmante
Sans se douter que la vie passe à une vitesse étonnante
C’est ainsi que pendant les saisons qui ont défilé
Aussi promptes que des éclairs dans la voie lactée
Mon ingénue éphéméride prit conscience du danger
Et pensa à sa triste fin au dernier mois de l’année
Néanmoins a bien du caractère mon éphéméride
Plutôt coquette elle cacha son ventre presque vide
Tandis qu’elle affichait des jours à l’horizon splendide
Juste un pied de nez à l’existence hélas trop rapide
Toutefois à mi-décembre se rendit à l’évidence
L’éphéméride un peu lasse de ses performances
Celles de ne montrer que joliesse et indifférence
C’est donc sage qu’elle fût prête à tirer sa révérence
Maintenant l’éphéméride se conforme à la raison
Parce qu’est bien annuelle sa drôle de fonction
Et elle en accepte gentiment les strictes conditions
Comme tout ici-bas de ne faire qu’une courte apparition
Tout en étant heureux d’avoir bien accompli sa mission
Gabrielle
C’est le temps de protéger les délicieuses cucurbitacées
Alors dans la famille des épouvantails est tout désigné
Un jeune gars qui devra se former à ce drôle de métier
Lequel préfère mieux parcourir le monde et l’explorer
Mais hélas le petit garçon n’a pas vraiment le choix
Car les épouvantails appliquent leurs éternelles lois
Lui qui aime l’aventure il restera sur un piquet de bois
À protéger courges et courgettes malgré son désarroi
Or le jeunot contrarié se met en place dans le jardin
Sous ses pieds les belles citrouilles qui le valent bien
À ce qu’un gentil et honnête protecteur en prenne soin
Et tant pis s’il ne peut plus rêver de partir au loin
Cependant le blanc-bec est installé aux quatre vents
Sa mine est déconfite et fulmine de temps en temps
Toutefois il ne doit pas décevoir ses potirons mûrissants
Et enlever de sa tête ses envies de grands déplacements
Néanmoins à être en permanence avec ses potimarrons
Si beaux et attachants que le gamin n’a plus le mouron
Après tout c’est une bonne expérience cette formation
Qui le mènera peut-être voir plus tard d’autres horizons
C’est le temps de protéger les délicieuses cucurbitacées
Alors dans la famille des épouvantails a été désigné
Un jeune gars qui enfin s’est formé sans en être motivé
Parce qu’hier il préférait parcourir le monde et l’explorer
Pourtant aujourd’hui il est fier de cet indispensable métier
Gabrielle
Il y a des anges aux cheveux tout blonds
Mais d’autres venant de tous les horizons
Et celui-ci accroché à son énorme lumignon
Est un des plus jolis avec sa couleur marron
Dans le ciel les anges ont le même boulot
Qu’ils soient colorés ou blancs de peau
Et chacun avec la lumière de son flambeau
Apaise et protège le monde sans distinguo
C’est ainsi que l’ange charmant tout crépu
Défend contre l’adversité certains individus
Autant que son frère à l’image d’un jésus
Avec leur précieuse lumière bien entendu
Vont dans l’univers munis de leur bougie
Les anges bienfaisants de tous les coloris
Ils apportent leur soutien aux plus démunis
Faisant fi des différents cultes ou ethnies
Peu importe leur aspect ou leur noir visage
Les anges viennent après un long voyage
Apporter sur notre terre leur utile éclairage
Afin que les hommes en fassent bon usage
Il y a des anges aux cheveux tout blonds
Mais d’autres venant de tous les horizons
Et celui-ci accroché à son énorme lumignon
Est un des plus jolis avec sa couleur marron
Qui illustre et veille sur ma composition
Gabrielle
Voilà jeune fille aujourd’hui colorée
Et si son esquisse en est frustrée
C’est qu’elle aurait aimé rester grisée
Mais les pinceaux y ont mis leur nez
Oui dit la fille ce fut une grande bataille
Entre l’esquisse qui dans la grisaille
Tenait à y demeurer vaille que vaille
Et les coloris voulant faire leur travail
C’est que même l’immense ombrelle
Souhaitait voir enluminer la demoiselle
Sur son esquisse telle une aquarelle
Qui paraîtrait alors bien plus naturelle
Ainsi l’esquisse prête à lâcher du mou
Voyant toutes les couleurs prêtes à tout
Afin que miss retrouve ses jolies joues
Décorées de ses longs cheveux roux
Et ce qui devait enfin arriver arriva
L’esquisse plutôt récalcitrante capitula
Devant la peinture qui joliment habilla
L’adolescente telle une star de cinéma
Voilà jeune fille aujourd’hui colorée
Et si son esquisse en est frustrée
Toutefois le résultat lui paraît parfait
Même si elle aurait aimé rester grisée
Grâce aux pinceaux qui y ont mis leur nez
Gabrielle
Voilà une demoiselle en noir et blanc
Sur son esquisse qui met du temps
À céder aux pinceaux si impatients
D’appliquer leurs coloris étincelants
Car l’esquisse n’est pas pour déplaire
À la jeune-fille qui en est plutôt fière
De ses traits épurés qu’elle trouve super
Donc attendront les teintes de lumière
Ainsi à l’origine l’esquisse du dessin
De la miss aux tracés sobres et fins
Se dit qu’elle a priorité sur les teints
Qui devront hélas ronger leur frein
Elle est comme ça la coquine esquisse
Sur son croquis si des tons s’immiscent
Rien ne va plus et comme par avarice
La voici les chasser avec belle malice
Toutefois l’esquisse sait qu’un jour
Elle devra enfin capituler par amour
Du portrait de la fille à la peau de velours
Afin que les colorants œuvrent à leur tour
Voilà une demoiselle en noir et blanc
Sur son esquisse qui met du temps
À céder aux pinceaux si impatients
D’appliquer leurs coloris étincelants
Lesquels bientôt se mettront au travail évidemment
Gabrielle