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mardi 17 avril 2012

à quatre feuilles

Je reviens comme promis sur une des architectures les plus étonnantes mais aussi les moins connues de notre paysage français et provincial : la Faculté des lettres de Reims Croix-Rouge par l'architecte Dubard de Gaillarbois.
C'est en se rendant en visite à cette faculté que Claude et moi avions découvert l'incroyable mais disparu centre commercial de La Rafale qui était un chef-d'œuvre français brutaliste.
Mais, subjugués par La Rafale, nous en avions sans doute oublié cette autre belle construction.
Voici donc à nouveau la carte postale :


et un détail :

L'édition Iris titre amphithéâtre du campus universitaire de la Croix-Rouge mais ne nomme pas l'architecte.
Ce qui fait la qualité de cette architecture c'est qu'elle sait faire de sa fonction son signe. La lisibilité des salles dans chacune des coquilles donne ainsi à l'ensemble à la fois une reconnaissance immédiate mais aussi une certaine, oui j'ose, forme de poésie. A la fois aveuglé et organique, ce trèfle à quatre feuilles sait rendre sa structure visible et d'une grande beauté plastique.
Sans doute que la faiblesse vient du contact avec le sol moins spectaculaire mais sans doute aussi que ce "socle" plus anonyme laisse toute la chance expressive aux coquilles en lamellé-collé.
Je trouve dans la revue Bois d'aujourd'hui de 1974, une publicité pour UHALDE-BERNIER S.A Engineering qui réalisa la structure. On trouve deux images superbes de l'amphithéâtre en construction.



Et voici ce que notre Guide d'architecture contemporaine en France de Monsieur Amouroux nous en dit :





Aujourd'hui la construction a reçu le Label Patrimoine du XXème siècle. Si vous allez à Reims voir la Cathédrale et acheter du Champagne, n'oubliez pas une visite à cette architecture !
Malheureusement ce trèfle à quatre feuilles n'a pas porté bonheur ni à La Rafale aujourd'hui détruite ni au centre commercial de Claude Parent à Reims Tinqueux aujourd'hui défiguré.
Espérons que cet amphithéâtre sera être protégé définitivement.
Je vous donne également quelques clichés pris par Claude au moment de notre visite :





lundi 13 octobre 2008

carte postale en rafale

Si vous êtes fidèle à ce blog, vous connaissez mon attachement pour "La Rafale" de Reims Croix-Rouge détruite depuis peu.
Ce magnifique exemple de brutalisme à la française n'a pas résisté à la puissance politique de la restructuration des quartiers dits difficiles. L'architecture est coupable, on le sait c'est la théorie française, cela permet de ne rien penser d'autre...
Bien.



Voici une carte postale multiple éditée par La Cigogne qui nous montre le magnifique bâtiment au temps de sa gloire. Il est entouré d'autres vues du quartier et notamment de la faculté pour laquelle nous nous étions déplacés et qui nous permit de découvrir "La Rafale". On peut aussi percevoir la place très dessinée et les extraordinaires jeux-sculptures du quartier. La place doit aujourd'hui être détruite également. Pour ce qui est des jeux, ils n'existaient déjà plus lors de notre visite.
N'oubliez pas d'aller revoir les articles du 27 août 2007.
Pour les rémois, je suis à la recherche de cartes postales du supermarché de Reims-Tinqueux dessiné par... Claude Parent !

dimanche 28 septembre 2008

du vrac

Un peu mélangées, un peu comme on les trouve dans les boîtes à chaussures, je vous propose quelques cartes sans rapport entre elles sauf d'être maintenant dans ma collection.
Je commence avec deux piscines dont une d'un type que vous connaissez bien : la piscine Tournesol de Monsieur Schoeller. En voici une nouvelle édition, celle des Abrets (Isère). La carte postale nous informe bien du type (Tournesol) et du nom de l'architecte qui est nommé. C'est sérieux parce que c'est une édition Combier datée par le correspondant de 1984. La prise de vue est un peu ombragée mais la forme est là toujours aussi étonnante. Je ne m'en lasse pas. L'autre piscine est aussi magnifique et en fait il s'agit d'un complexe avec lycée climatique (quid ?) et sa piscine. C'est puissant, dessiné, massif et d'une grande pureté plastique. Normal c'est une œuvre de Roger Taillibert dont il faudra un jour faire un article complet. J'ai tout de suite aimé cette carte aux éditions Iris, en Mexichrome sans nom d'architecte et sans date. L'ensemble date de 1966. Je trouve une autre carte postale du même bâtiment et quasiment du même point de vue dans un de mes classeurs, cette fois c'est animé de baigneurs et c'est une édition Mar sans date. Voyez ce qu'en dit notre guide préféré.
Poursuivons avec la tour Aurore à la Défense (c'est écrit dessus!). On connaît bien cette tour dont Ionel Schein nous dit dans son livre "Paris construit" : Les "astuces " formelles pour se distinguer du voisinage sont, sur ce bâtiment, plus volontaristes que sur d'autres ! La micro-échelle des subtilités est délibérement abandonnée pour caractériser -en bien ou en mal- le bâtiment, globalement ! Les allèges inclinées et les angles arrondis y contribuent.
C'est un peu dur et moqueur, ce que ne méritent pas les architectes Damery, Wetter et Weil. Je vous rappelle, oui encore, que Monsieur Weil est l'architecte de La Rafale à Reims une de mes icônes architecturales. La carte postale ne possède pas de nom d'éditeur mais nous indique celui du photographe Monsieur Salomon pour un document E.R.AD (?). Carte promotionnelle ?

La photographie du guide est due à Monsieur Thomas Cugini de Zürich en Suisse et les photographies de ce guide sont superbes, bravo.

mardi 9 septembre 2008

la voile de béton, un modèle international ? 1






Pour rebondir en quelque sorte encore un peu sur les vele di Scampia vues dans Gomorra et pour rebondir d'une manière un peu formelle uniquement, je vous propose des rapprochements entre plusieurs bâtiments qui semblent vouloir jouer sur la même ligne constructive (celle de la coque et non de l'interne) en adoptant la courbe, le gradin, la masse.
En France on connaît bien Marina-baie des Anges de l'architecte Minangoy, qui est souvent l'argument fort des anti-bétonnage de nos traits de côtes. Je veux dire que Thalassa déteste. On peut tout dire sur ce type d'architecture, sa massivité, l'impossibilité d'y échapper, le mur dressé entre la terre et la mer. C'est le type même de bâtiment dont on peut faire de ses défauts des qualités et vice versa. Il semble qu'ici seul le jeu assez subtil des courbes bien dessinées et l'alternance des percées comme opposition à la droite et la verticalité soient les éléments qui en font un ensemble moderne (!). C'est un peu court. Mais il est indéniable que l'ensemble se vrillant sur lui-même, cherchant à offrir à chaque appartement un point de vue sur la mer ou sur lui-même (effet de miroir) provoque un effet assez extraordinaire. Les terrasses en gradins font envie, gigantesques balcons sur la mer pour les plus chanceux. Le bâtiment semble vouloir être le spectacle en lieu et place du spectacle de la mer. On évoque ici des termes maritimes, voiles blanches, paquebots, et même collines sculptées par la mer et le vent. J'imagine d'ailleurs qu'au pied de ces immeubles des courants d'air doivent être bien forts. Mais cela est, c'est présent, fort, un rien brutal donc. Nous verrons ce qu'en pense notre guide un peu plus loin et c'est salé !!
Mais reprenons le modèle formel. Voici un autre bâtiment brutal posé sur la plage. Un bâtiment fort dont je rêve la visite. Il s'agit du magnifique V.V.F Chambre d'Amour à Anglet dont je vous ai déjà parlé. Ici aussi nous avons la pyramide et même le pyramidion en façade, ici aussi nous avons l'étagement en terrasses mais qui ne semblent pas occupées, ici aussi ça se courbe pour épouser la côte (ça se plie est plus juste). Je ne peux rien dire d'autre que ma passion pour ce type de brutalisme à la française. C'est énorme, c'est la Rafale de Reims au bord de mer. L'echelle est bien plus modeste que Marina-baie des Anges et le dessin est plus complexe également. Des volumes jouent de manière juste sous le soleil... Le matériau est choisi, la couleur également, l'ensemble bien qu'en opposition dure avec l'environnement semble en même temps en émaner. C'est égyptien, aztèque et babylonien. C'est somptueux. Les architectes sont Messieurs Hebrard, Gresy, et Percillier pour le groupement Aquitaine Architectes Associés.

Nous allons maintenant en Espagne à Cullera voire l'édifice "fleur d'oranger". Cette carte fut envoyée pour l'anecdote par ma Tante Gisèle en 1980 et nous dit : les beaux immeubles faits sur la côte. Horreur !!
Oui c'est vrai. On dirait que l'étagement en terrasse ne pouvait pas descendre jusqu'au sol ! C'est un écran. Sur le côté du bâtiment on devine une mosaïque laide. Au loin, le même type de construction au bord de mer.


Finissons avec le Hua Ting Sheraton Hotel de Shanghaï, dont la carte postale nous dit en légende : building of modern Shanghaï style. C'est quoi le style moderne de Shanghaï ?
La correspondante nous renseigne un peu : nous sommes arrivés à Shanghaï, ville moderne et évoluée, ancien comptoir elle a subi la colonisation anglaise et française. Les villes explosent. Ils rasent leurs maisons pour construire des buildings...
Voilà qui est dit, c'est sûrement les restes de la colonisation destruction et mauvais goût. On admirera ici la tour de transport, la courbe voluptueuse et la couleur saumon très chic. C'est moche. J'ai étrangement trouvé les deux cartes postales, celle du projet et celle de la réalisation à des endroits différents. Les cartes postales de projets architecturaux sont rares et je suis toujours heureux d'en trouver. On remarque souvent dans celles-ci la difficulté à contextualiser les bâtiments à moins qu'il ne s'agisse d'une manière de resserrer l'intérêt sur le projet. Voyez le traitement du fond par exemple.
Pour ce qui est des éditeurs et par ordre d'apparition :
Villeneuve-Loubet vue aérienne pour Rion en Lyon color
Villeneuve-Loubet Marina baie des anges aux éditions Azur même point de vue mais construction de la dernière barre visible. Carte postée en 1986.
Villeneuve-Loubet Marina Baie des Anges architecte M.A. Minangoy, édition Combier expédiée en 1979.
Anglet Chambre d'Amour V.V.F édition Elcé en Elcécolor, couleurs naturelles.
Cullera (valencia) édifice "fleur d'oranger", pas de nom d'éditeur, expédiée en 1980.
Hua Ting Sheraton Hotel Shanghaï Cao Xi Bei Lu (? architecte?) people's republic of China. (projet)
the Huating Sheraton Hotel (Building of Modern Shanghaï Style).

samedi 16 août 2008

La rafale sur Tournesol 1





Notre passion pour la Rafale de Reims nous emmena, suite à un coup de téléphone à Monsieur Weil son architecte vers un centre commercial et une école par lui construits à Nangis en Seine-et-Marne. Mais notre guide nous emmena aussi à Nangis pour une autre merveille : une piscine Tounesol de Monsieur Schoeller. (voir article samedi 13 octobre 2007 et suivants)
Ce matin, je reçois une carte postale expédiée en 1976 rassemblant les deux architectures dans une vue aérienne des éditions Guy. Même si la piscine est mise en avant, on devine bien le centre commercial au fond de l'image. Lors de notre visite à cette ville on nous informa que cette piscine était le prototype du genre et dans le même temps qu'elle serait bientôt détruite...
Cela a-t-il eu lieu ? Le centre commercial était lui en parfait état. Même s'il n'a pas la puissance brute de La Rafale à Reims, il constitue un bel ensemble, rythmé, dynamique et parfaitement original qui mérite qu'on s'y attache.
Je vous donne deux articles publiés dans notre guide d'architecture contemporaine en France page 337 où la ville de Nangis a droit à deux articles :
Piscine architecte Bernard Schoeller 1972
Piscine découvrable bassin de 25X12m Diamètre 35m 1000m2 couverts au sol. Fondation béton armé. Coupole polyester (munie de 126 hublots) sur charpente métallique. Coût : 1 300 000 F. Construite par la SERI (filiale Renault)
Pour tenter d'atténuer le sous équipement considérable en France en matière de piscine (1M2 de plan d'eau pour 185 habitants), il faut doubler la surface des plans d'eau tous les 7 ans. Dans ce but le VIème plan a fixé la construction de 1000 piscines, dont la conception a fait l'objet d'un concours. C'est le prototype dit "Piscine Tournesol" de l'un des cinq architectes lauréats qui est ici construit.
groupe scolaire "les rossignols"
architecte C.Damery, P. Vetter, G.H. Weil, I. Rouveau
1970
L'unité de conception de ce groupe scolaire est affirmée par la structure composée de poutres-chéneaux reposant sur des poteaux rectangulaires.
A proximité immédiate un centre commercial a été conçu par les mêmes architectes à partir des mêmes éléments structuraux.

La rafale sur Tournesol 2





Voici quelques photographies prises par Claude Lothier lors de notre visite de Nangis. On regrettera cette couleur saumon insupportable qui recouvre tant de bâtiments aujourd'hui. On regrettera aussi la possible destruction du prototype des piscines Tournesol.

La rafale sur Tournesol 3





Toujours aussi magnifiques ces soucoupes volantes. Merci Monsieur Schoeller.
Quelques vues de détails intérieurs prises par Claude Lothier. Si le sujet vous intéresse ne pas oublier de lire "les années ZUP architectures de la croissance , 1960 1973" aux éditions Picard.

mardi 26 février 2008

Reims, la Rafale et des photographies

Ce message s’adresse tout particulièrement à la personne qui m’a contacté à propos de photographies de la Rafale de Reims il y a quelques jours et qui m’a laissé son e-mail au téléphone. Je n’ai malheureusement pu le déchiffrer et j’essaie de téléphoner en vain au numéro enregistré par mon répondeur.
Contactez-moi soit à mon adresse postale : David Liaudet Rue du Reposoir Voie Privée 76320 Saint Pierre lès Elbeuf ou laissez-moi à nouveau des coordonnées téléphoniques plus claires sur mon répondeur. (épelez mieux votre adresse e-mail).
Je serais très heureux de vous communiquer des photographies et de parler avec vous de La Rafale de Reims qui fut un chef-d’œuvre de l’architecture brutaliste.
Merci et à bientôt.

samedi 17 novembre 2007

Aillaud c'est beau, c'est important.





Voici Emile Aillaud.
Voici la couleur qui serpente et s’étend dans le ciel.
Voici ce qu’il faut défendre.
Cette carte exceptionnelle nous montre avec sa vue aérienne un bel exemple de tapis urbain .
Au premier plan de cette vue de Bobigny un superbe bâtiment en brique qui semble être une école ou un lycée. je n’ai pas réussi à l’identifier mais les volumes sont superbes.
Juste à l’arrière-plan la cité d'Aillaud avec ses tours rondes et la barre souple. Et un peu loin, au coin à gauche de la carte postale, on peut apercevoir les tours de Lods à Drancy. Si je ne me trompe pas la prise de vue est orientée nord-est.
Je vais vous montrer un peu mieux ces immeubles mais d’abord il est temps d’évoquer la polémique autour des Courtillières de Pantin dessinées également par Aillaud et menacées de restructuration (un bien gentil mot). Il est temps de dire qu’il ne faut rien toucher de cet ensemble parce qu’il s’agit d’un ensemble, il est temps de dire qu’il y en a marre de cette France qui n’aime pas son architecture et qui la condamne de tous les maux parce qu’elle a le tort d’être visible. Cette visibilité de la misère n’est pas la raison de la misère.
Qu'il faille entretenir les bâtiments et les restaurer c'est la moindre des choses, les détruire, les saccager une fois de plus et de manière institutionnelle ne redonnera pas par contre à la population qui y vit du travail. Est-ce que les habitants de la Croix-Rouge de Reims vivent mieux depuis la destruction de la Rafale, ont-ils de meilleurs contrats de travail, et plus de considérations de la part des institutions, ont-ils plus de liens sociaux ? La politique qui considère que détruire est une manière d’agir et surtout de faire croire à une action politique est une énorme bêtise. C’est de l’image et c’est surtout de l’image pour élection municipale. Le patrimoine n’est pas seulement une journée par an où l’on traîne les enfants voir l’artisanat à la française dans des constructions qui sentent bon la pierre et le bois de charpente. C’est inouï ce que la France devient. Et ceux qui ont dans la bouche “les gens, les gens, les gens” devraient se demander qui est responsable de l’abandon de ces bâtiments, qui les a laissé dépérir depuis 30 ans ? Monsieur Aillaud ? Et qui a intêret aujourd’hui soudain de se réveiller et de pointer un doigt accusateur ?
Sauvons les Courtillières. Sauvons les Lods de Rouen. Il est malheureusement trop tard pour la Rafale et c’est un chef-d’oeuvre de moins pour notre patrimoine. Soyez vigilants. Soyons vigilants. Soutenons l'association DOCOMOMO.
La carte postale est une édition Combier (les meilleures) distribuée par Raymon.
Elle n’est pas datée.

mardi 25 septembre 2007

pour de vrai






C’est la rentrée et je reviens de Bordeaux.
Bien évidemment si vous suivez ce blog (vous êtes donc entre deux et trois personnes) vous connaissez mon goût et mon attachement pour la caisse d’épargne de Monsieur Lay construite à Mériadeck un quartier sur dalle de Bordeaux.
J’ai enfin pu mettre le point vue de la carte postale et le mien en écho. Quelle jubilation la réalité, quelle jubilation les images !
D’abord il y a toujours ce petit courant électrique qui passe dans la colonne vertébrale lorsque j’arrive devant un bâtiment que je ne connais (et parfois très bien) que par son image. Puis les étonnements : la taille gigantesque de la construction, la matière incroyable de l’appareillage de pierres de la surface et le très bon état de l’ensemble. Et surtout surtout, a contrario de la Rafale de Reims il existe encore, majestueux.
Quelle puissance et quelle ambition !
C’est vraiment pour moi une icône.
Nous sommes entrés dans la banque et malheureusement des aménagements ont réduit l’amplitude des espaces mais je crois que même si c’est laid c’est sans dommage pour la construction. La caisse d’épargne est bizarrement au pied de la dalle Mériadeck qui est un endroit merveilleux. Des canyons d’immeubles bien dessinés, des aménagements de jardins, des sculptures et fontaines un peu oubliées et partout à midi des bordelais qui sous le soleil profitent de l’espace sans voiture pour manger et se détendre. J’adore les dalles.
Je vous affiche quelques photographies qui ne sont donc pas des cartes postales mais reportez-vous au mois de juin pour faire la comparaison.
N’oubliez pas à Bordeaux la cité Frugès de Le Corbusier et celle pas très loin et parfaitement restaurée de Lèges. Et puis également le palais de justice de Rogers.

mardi 28 août 2007

Claude Lothier aime la Rafale





Pour compléter l’information sur la Rafale à Reims voici des clichés réalisés par Claude Lothier. C’est un petit écart au blog puisqu’il ne s’agit pas de cartes postales mais je crois que ce chef-d’œuvre mérite bien un léger fléchissement.
Le château d'eau est bien une architecture des architectes de la Rafale mais construite dans un autre quartier de Reims. Les bancs en ciment sont le point de vue d'où a été prise la photographie de la carte postale.
Claude Lothier a aussi son propre blog que je vous invite à visiter, il est consacré à son travail d’artiste prolifique et perspectiviste ; laissez-lui des commentaires, il est comme moi, il adore ça.
http://leblogdeclaudelothier.blogspot.com