samedi 30 novembre 2024

Le monde nazi : anatomie d'une dictature (1933-1939) , avec Johann Chapo...

Lancement par les Editions du Puy-du-Fou d'un magazine destiné aux adolescents : Le Panache...

 

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Sous la direction de Gwenaële Barussaud, autrice à succès de la série « Célestine, Petit rat de l’opéra », Puy du Fou Éditions dévoile son tout premier magazine jeunesse.
Des fictions illustrées, une bande dessinée originale suivie d’un numéro à l’autre, des rubriques mises en images sur la nature, l’histoire, la géographie…
Chaque mois, recevez un magazine grâce auquel vos 8-13 ans reprendront goût à la lecture ! Rempli de récits légendaires, plein de surprises et d’émotions, Le Panache leur fera découvrir les splendeurs françaises ! 
Disponible à la précommande via le lien en bio !

Les Romains premiers chasseurs de baleine ?

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(…)
Les Basques, qui harponnaient les cétacés il y a 1.000 ans au large des côtes de Biarritz, d’Hendaye, d’Anglet et de Saint-Jean-Pied-de-Port étaient jusqu’à aujourd’hui considérés comme les premiers chasseurs de baleines. Mais la découverte de ces ossements près du détroit de Gibraltar “dans des sites archéologiques d’usines romaines de salage de poisson ouvre la possibilité d’une industrie baleinière”, explique la chercheuse. Cette industrie “peut avoir contribué à leur disparition”, ajoute-t-elle.

De très bons pêcheurs, mais… Les Romains étaient “extrêmement efficaces pour exploiter les ressources marines, y compris de grands poissons comme les thons”, rappelle Dario Bernal-Casasola de l’université de Cadiz en Espagne. Ils n’avaient cependant pas “la technologie nécessaire pour capturer les grandes baleines, les espèces de haute mer, toujours présentes aujourd’hui en Méditerranée”, explique Ana Rodrigues. Mais la découverte de la présence des baleines franches et les baleines grises dans les eaux méditerranéennes à cette époque, change la donne car ces deux espèces “sont côtières et très visibles dans leurs zones de reproduction”, précise la chercheuse. Les Romains ont donc pu les chasser à l’aide de petits bateaux à rames et des harpons à main, comme l’ont fait plus tard les chasseurs basques.

Europe1

https://www.fdesouche.com/2018/07/11/les-romains-premiers-chasseurs-de-baleine/

vendredi 29 novembre 2024

[LIVRE] L’enfant est l’avenir de l’homme : plaidoyer d’une jeune mère engagée

 

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Un plaidoyer vibrant pour l'enfantement, une défense passionnée de la famille "matrice de notre civilisation".

Jeudi 14 novembre, l’INSEE sortait son rapport annuel sur le nombre de naissances de l’année passée : l’année 2023 représente « une baisse d’une ampleur inédite depuis la fin du baby-boom », « les naissances reculent de 6,6 % entre 2022 et 2023 ». Comment expliquer cet effondrement ? Aziliz Le Corre, dans son ouvrage, paru aux Éditions Albin Michel en septembre dernier, a tenté d’abord d’expliquer ce non-désir d’enfant en France et en Occident, d’en contrer ensuite les arguments fallacieux et surtout de montrer que L’enfant est l’avenir de l’Homme.

Aziliz Le Corre est philosophe de formation et tout son livre garde la profondeur de ses études. En s’appuyant sur la mythologie antique, sur la Bible et sur toute la culture philosophique occidentale, la journaliste montre comment notre époque subit une « inversion des valeurs » et que « tout l’Occident est victime de ce déclin ».

Soumission aux diktats consuméristes

L’auteur commence par analyser tout ce qui, aujourd’hui, freine voire empêche ces naissances. Toutes les dérives ou idéologies postmodernes sont passées au crible et expliquent ce non-désir ou plutôt cette non-volonté d’enfanter : néo-malthusianisme, société de consommation, société narcissique, société instable, néo-féminisme : tout est fait pour dégoûter les couples de devenir parents. Se servant de prétextes dans l’air du temps comme celui de l’écologie, de la lutte anti-patriarcale ou encore au nom du sacro-saint épanouissement personnel, l’homme et la femme ne veulent plus avoir d’enfants, se condamnant ainsi à ne plus être : « Les No Kids nient l’humanité en ne la faisant pas advenir. Mais, pire encore, ils la déconstruisent en désavouant ce qui la fonde : l’altérité homme-femme, la famille comme entité naturelle dans laquelle l’enfant est l’aboutissement de l’amour conjugal. » Elle montre ainsi comment, loin de s’affranchir de « l’injonction hétéronormée » à avoir des enfants, voire d’une « logique culturelle hétéronormative », les femmes et les hommes se soumettent aux nouveaux diktats d’une société consumériste avides d’avoir plutôt que d’être. Poursuivant un tonneau des Danaïdes de désirs matériels, les couples qui se font et se défont trouvent « une manière de revêtir des apparats de la vertu le refus de devenir père ou mère ».

Pourtant, Aziliz Le Corre démontre comment, loin de ne concerner que les individus, ce refus d’enfanter met en danger toute la société : la vie de famille est le premier apprentissage de la vie en communauté, elle enseigne comment construire la « maison commune ». Ainsi, comme le dit l’auteur de ce plaidoyer pour l’enfant : « Anthropologiquement, la cellule familiale est la matrice de notre civilisation. » C’est un serpent qui se mord la queue.  S’il n’y a plus de commun, il n’y a plus rien à construire ni rien à transmettre. En effet, quand « le collectif a disparu et [que] des individus errent au gré de la consommation ou de leurs intérêts personnels », comment avoir un enfant, qui exige abnégation, sacrifice, responsabilité et oubli de ce soi ? Et surtout, à quoi bon ? « Que peut-on transmettre en tant que parents à ce nouvel être si nous n’avons plus d’héritage commun ? » Aziliz Le Corre déplore cette société qui ne veut plus jouer le jeu du « bien commun » mais qui, en courant derrière le bien particulier, finit par se nier et se condamner à s’autodétruire. Ainsi, ce livre est celui d’une jeune mère qui cherche à montrer que « la maternité n’est pas une aliénation », qu’être parent, biologiquement, spirituellement ou d’adoption, est à la fois un bien commun, une loi naturelle, un grand bonheur et surtout essentiel à l’humanité.

Ce livre est un plaidoyer vibrant, philosophique et sociologique pour les femmes, pour les hommes, pour les mères, pour les pères et pour ceux qui, enfants aujourd’hui, le seront demain s’« ils ne rest[ent] pas au seuil de leurs existences ».

Sybille Riquetti

Les États-Unis ont été à deux doigts d’utiliser l’arme nucléaire pendant la guerre du Vietnam

 

par Marjorie Cohn.

Nous nous étions dangereusement rapprochés de la guerre nucléaire alors que les États-Unis combattaient au Vietnam, a déclaré le lanceur d’alerte du Pentagon Papers Daniel Ellsberg lors d’une réunion du Mouvement anti-guerre du Vietnam de Stanford en mai 2014. Il a déclaré qu’en 1965, les généraux avaient assuré le président Lyndon B. Johnson que la guerre pourrait être gagnée, mais qu’il faudrait au moins 500 000 à un million de soldats.

Les chefs d’État-Major avaient recommandé de bombarder des cibles situées à la frontière sino-vietnamienne. Ellsberg soupçonne que leur véritable objectif était d’inciter la Chine à réagir. Si les Chinois étaient directement intervenus, les chefs d’État-Major tenaient pour acquis que nous aurions attaqué la Chine en utilisant des armes nucléaires pour anéantir les communistes. L’ancien président Dwight D. Eisenhower avait également recommandé à Johnson d’utiliser des armes nucléaires au Nord et au Sud du Vietnam.

En effet, lors de la campagne présidentielle de 1964, Le candidat républicain Barry Goldwater a lui-aussi plaidé pour des attaques nucléaires. Johnson craignait que les chefs militaires démissionnent et fassent des déclarations publiques s’il ne suivait pas au moins certaines de leurs recommandations et il avait besoin d’un soutien républicain pour la « grande société » et la « guerre contre la pauvreté ». Heureusement, Johnson a résisté à leurs propositions les plus extrêmes, même si les chefs d’État-Major les considéraient comme essentielles pour gagner. Ellsberg ne conclut pas que le mouvement anti-guerre a raccourci la guerre, mais il affirme que le mouvement a modéré les prises de décisions du président sur la guerre. Si le président avait fait ce que recommandaient les chefs d’État-Major, le mouvement se serait encore élargi, mais la guerre aussi et serait devenue beaucoup plus globale qu’elle ne l’a jamais été.

« L’homme le plus dangereux d’Amérique »

Ellsberg, ancien analyste militaire américain et ex-Marine au Vietnam, a travaillé pour la RAND Corporation et le Pentagone. Il a risqué des décennies de prison pour avoir divulgué 7 000 documents top-secrets au New York Times et à d’autres journaux en 1971. Les Pentagon Papers ont montré comment cinq présidents ont constamment menti au peuple américain au sujet de la guerre du Vietnam qui a causé la mort de milliers d’Américains et de millions d’Indochinois.

L’action courageuse d’Ellsberg a conduit directement au scandale du Watergate, à la démission de Nixon, et a contribué à mettre fin à la guerre du Vietnam. Henry Kissinger, le conseiller à la Sécurité nationale de Nixon, a qualifié Ellsberg d’« homme le plus dangereux d’Amérique », qui « devrait être arrêté à tout prix ». Mais Ellsberg n’a pas été arrêté. Faisant face à 115 ans de prison pour espionnage et complot, il a riposté. L’affaire contre lui a été classée en raison d’une faute grave de l’administration Nixon. L’histoire de Ellsberg a été décrite dans le film nominé aux Oscars, « The Most Dangerous Man in America » (L’homme le plus dangereux d’Amérique, un film documentaire sorti en 2010 et non diffusé en France, peut-être suite au véto du président de l’époque, Nicolas Sarkozy).

Le mouvement du 3 avril

Le 3 avril 1969, 700 étudiants de Stanford ont voté pour occuper le Laboratoire d’Électronique appliquée (AEL), où des recherches classifiées (secrètes) sur la guerre électronique (brouillage radar) étaient menées à Stanford. Cela a donné naissance au Mouvement du Trois Avril (A3M), qui tient des réunions tous les cinq à dix ans. Le sit-in à AEL, soutenu par une majorité d’étudiants de Stanford, a duré neuf jours, pendant lesquels une presse à imprimer dans le sous-sol produisait des documents liant les administrateurs de Stanford aux entrepreneurs de la défense. Stanford a déplacé la recherche répréhensible hors du campus, mais l’A3M a continué avec des sit-in, des enseignements et des confrontations avec la police dans le parc industriel de Stanford.

De nombreux militants de cette époque continuent à faire un travail progressiste, en s’inspirant de leurs expériences pendant l’A3M. Cette année, nous avons discuté de l’économie politique du changement climatique, et la relation entre la contre-culture des années 60 et le développement de la Silicon Valley. Les temps forts du week-end comprenaient trois discours principaux – Ellsberg ; une donnée par le professeur de science politique de Stanford, Terry Karl ; et une conférence du professeur d’études anglaises et américaines de Rutgers, H. Bruce Franklin.

« Responsabilité pour les crimes de guerre : du Vietnam à l’Amérique latine »

Terry Karl

Terry Karl est une professeure de Stanford qui a publié de nombreux articles sur l’économie politique du développement, la politique pétrolière, l’Amérique latine, l’Afrique et les droits de l’homme. Elle témoigne également en tant que témoin expert dans des procès contre des dictateurs latino-américains et des officiers militaires qui ont torturé, disparu et tué des civils dans les années 1970 et 1980, lorsque leurs gouvernements étaient soutenus par les États-Unis. Les témoignages de Terry Karl ont aidé à établir la culpabilité et la responsabilité pour les meurtres de l’archevêque Romero d’El Salvador, le viol et les meurtres de quatre femmes d’église américaines et d’autres cas importants.

Terry Karl a cité le président George HW Bush, qui a annoncé fièrement après la première guerre du Golfe en 1991 : « Le spectre du Viet Nam a été enterré à jamais dans les sables désertiques de la péninsule arabique ». Néanmoins, observe Terry Karl, nous avons été impliqués dans une « guerre permanente » depuis le Vietnam, en partie parce qu’il n’y avait pas eu de responsabilité, à l’étranger ou au pays, pour chacune de nos guerres passées. La présence militaire mondiale des États-Unis dans le monde, selon elle, n’est pas là pour la défense, mais plutôt pour maintenir les États-Unis « au sommet ». Aucune défense ne peut être basée sur la présence de soldats dans 150 pays.

À partir du Vietnam, nous avons cessé de payer des impôts pour les guerres que nous menions, a déclaré Terry Karl. La guerre de Corée a été financée par les impôts, mais la guerre du Viet Nam a été payée par l’inflation. Cela a contribué à produire la récession qui a servi de base à l’élection de Ronald Reagan en 1980. Les guerres en Amérique centrale, en Irak et en Afghanistan ont été « payées » par la dette. À cet égard, une guerre permanente menace non seulement notre démocratie, a souligné Terry Karl, mais aussi notre avenir économique. Dans un exemple, elle a noté que les États-Unis mènent des guerres pour sécuriser le pétrole et le gaz ; Pourtant, le plus grand consommateur de pétrole au monde est le ministère de la Défense à cause de ces mêmes guerres.

Terry Karl a également observé que nous n’avons pas « gagné » toutes ces guerres non rémunérées – si on les mesure par rapport à leurs objectifs d’origine. Les États-Unis se sont battus au Viet Nam pour empêcher la réunification communiste du pays ; pourtant c’est exactement ce qui s’est passé. L’administration Reagan a décidé de « tracer la ligne » au Salvador pour empêcher les rebelles du FLMN d’arriver au pouvoir ; pourtant le FMLN est le gouvernement aujourd’hui. Et l’administration Reagan a soutenu les  contras au Nicaragua pour empêcher les sandinistes de gouverner ce pays ; les sandinistes sont désormais aux commandes. Elle a prédit que nous verrions des « victoires » similaires en Irak et en Afghanistan.

« La mémoire culturelle de la guerre du Viet Nam à l’époque de Forever War »

1950. Bruce Franklin a été le premier professeur titulaire à être licencié par l’Université de Stanford et le premier à être viré par une grande université depuis les années 1950. Franklin, qui était un marxiste et un membre actif de l’A3M, a été licencié en raison de choses qu’il a dites lors d’un rassemblement anti-guerre, des déclarations qui, selon l’ACLU, équivalaient à un discours protégé du premier amendement. Franklin, un expert renommé de Herman Melville, d’histoire et de culture, enseigne à l’Université Rutgers depuis 1975. Il a écrit ou édité 19 livres et des centaines d’articles, y compris des livres sur la guerre du Vietnam.

Avant de devenir militant, Franklin a passé trois ans dans l’US Air Force, « volant », a-t-il témoigné, « dans des opérations d’espionnage et de provocation contre l’Union soviétique et participant à des lancements pour une guerre thermonucléaire à grande échelle ». Franklin a parlé des mythes promulgués par les États-Unis depuis la guerre du Vietnam. « Un fantasme culturel largement répandu sur la guerre du Vietnam accuse le mouvement anti-guerre d’avoir fait perdre la guerre, forçant l’armée à “se battre avec un bras attaché dans le dos” », a déclaré Franklin. « Cela permet de déformer la réalité », affirme-t-il. Franklin a cité l’opposition considérable du peuple américain à la guerre. « Comme le reste du mouvement pour que les boys rentrent à la maison », a-t-il noté, « l’A3M a été inspiré et habilité par notre indignation contre la guerre et tous ces mensonges nécessaires sur la guerre venant de notre gouvernement et des médias, ainsi que la participation trompeuse d’institutions qui faisaient partie de notre vie quotidienne, comme l’Université de Stanford ». La guerre s’est finalement terminée, pensa Franklin, à cause du mouvement anti-guerre, en particulier de l’opposition à la guerre au sein de l’armée.

Les deux autres mythes que Franklin a démystifiés sont, premièrement, que les vrais héros seraient les prisonniers de guerre américains qui auraient été maintenu en détention au Vietnam après la fin de la guerre (il a été prouvé depuis qu’aucun Américain n’a été détenu au Vietnam après 1975) et deuxièmement, que de nombreux anciens combattants de la guerre du Vietnam auraient été dénigrés par des manifestants anti-guerre à leur retour chez eux. Le drapeau noir et blanc POW/MIA (manquant au combat) a survolé la Maison Blanche, les bureaux de poste américains et les bâtiments gouvernementaux, la Bourse de New York, et apparaît sur la manche droite de la robe officielle du Ku Klux Klan, comme l’explique Franklin.

« Le drapeau en est venu à symboliser la vision dominante de notre culture de l’Amérique en tant que guerrier héroïque victime du ‘Vietnam’ comme dans le film de propagande « Rambo II » ou le fameux guerrier vient libérer des prisonniers américains au Vietnam bien après que la guerre se soit terminée », a-t-il déclaré.

Après avoir discuté avec plusieurs chercheurs japonais rencontrés lors d’un voyage au Japon, Franklin s’est rendu compte qu’il avait raté « l’aspect le plus essentiel et le plus révélateur » du mythe POW/MIA. Les savants lui ont dit : « Lorsque le militarisme était dominant au Japon, la dernière personne qui aurait été utilisée comme icône du militarisme était le prisonnier de guerre. Qu’a-t-il fait qui soit héroïque ? Il ne s’est pas battu jusqu’à la mort. Il s’est rendu ». Franklin a déclaré à la réunion : « Le prisonnier de guerre et l’ancien combattant dénigré par les anti-guerres deviennent des incarnations de l’Amérique, en particulier de la virilité américaine, en tant que victime du ‘Vietnam’, qui n’est pas un peuple ou une nation mais quelque chose de terrible qui nous est arrivé ». Il a également déclaré qu’il n’y avait absolument aucune preuve qu’un l’ancien combattant ait été dénigré par un manifestant anti-guerre. « Ces deux mythes ont fait du ‘Vietnam’ la base culturelle de la guerre pour toujours », a déclaré Franklin. Il a cité George HW Bush qui a proclamé en 1991 : « Par Dieu, nous avons éliminé le syndrome du Vietnam une fois pour toutes ».

L’héritage de la guerre du Vietnam

Mais, comme l’ont observé Terry Karl et Bruce Franklin, nous sommes maintenant engagés dans une « guerre permanente » ou « pour toujours ». En effet, le gouvernement américain a mené deux guerres majeures et plusieurs autres interventions militaires dans les années qui ont suivi le Vietnam. Et dans une de ses déclarations sur la politique étrangère américaine, l’ancien président Barack Obama a déclaré : « Les États-Unis utiliseront la force militaire, unilatéralement si nécessaire, lorsque nos intérêts fondamentaux l’exigent – lorsque notre peuple est menacé; lorsque nos moyens de subsistance sont en jeu ; lorsque la sécurité de nos alliés est en danger. Obama n’a jamais mentionné la Charte des Nations unies, qui interdit toute intervention « unilatérale » ainsi que l’utilisation ou la menace de la force militaire à moins qu’elle ne soit menée en état de légitime défense ou avec le consentement du Conseil de Sécurité.

L’armée américaine, a noté Karl, enseigne que la guerre du Vietnam a été un succès. Et, en effet, au cours des prochaines années, qui mèneront au 50ème anniversaire de cette guerre, le gouvernement américain continuera à dresser un faux récit de cette guerre.

Heureusement, Veterans for Peace a lancé un mouvement de contre-commémoration pour expliquer le véritable héritage du Vietnam. Ce n’est que grâce à une compréhension précise de notre histoire que nous pouvons lutter contre l’utilisation de la force militaire par notre gouvernement comme première ligne de défense plutôt que comme dernière.

Marjorie Cohn est professeure émérite à la Thomas Jefferson School of Law et ancienne présidente de la National Lawyers Guild. Elle écrit sur les droits de l’homme et la politique étrangère américaine. Son livre le plus récent est « Drones and Targeted Killing : Legal, Moral, and Geopolitical Issues ». Visitez son site Web à marjoriecohn.com et suivez-la sur Twitter à @marjoriecohn.

source : https://www.counterpunch.org

via http://lagazetteducitoyen.over-blog.com

https://reseauinternational.net/les-etats-unis-ont-ete-a-deux-doigts-dutiliser-larme-nucleaire-pendant-la-guerre-du-vietnam/

Comment vivait le peuple vénitien au quotidien ?, avec Claire Judde de L...

jeudi 28 novembre 2024

Le monde nazi : le terreau d'un régime, avec Johann Chapoutot [1/3]

Il y a 62 ans s’ouvrait le concile Vatican II

 

Capture écran INA
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Le concile Vatican II s'est ouvert le 11 octobre 1962. Mais il semble qu'il ne soit pas totalement achevé, à en juger par les actions du pape François durant son pontificat.

Le concile Vatican II, sous l’autorité des papes Jean XXIII puis Paul VI, a marqué un tournant décisif dans l’histoire moderne de l’Église catholique. Ce concile œcuménique avait pour ambition de moderniser l’Église afin de l’adapter aux nouvelles réalités du monde contemporain. Bien que considéré comme l'un des événements religieux les plus marquants du XXe siècle, il semble pourtant que ce concile ne soit pas encore totalement achevé, à en juger par les actions du pape François durant son pontificat.

Objectifs et réformes principales

Le concile Vatican II, convoqué en 1959 par Jean XXIII, fut une surprise pour beaucoup. Ce pape âgé, auquel on ne prêtait pas l’intention de bousculer l’Église, relança pourtant un projet de réforme inachevé, celui du concile Vatican I, interrompu en 1870. Ainsi, le 11 octobre 1962, le concile Vatican II s’ouvrit à Rome, réunissant plus de 2.500 évêques de toutes les parties du monde afin de réfléchir à des thèmes essentiels à l’avenir de l’Église tels que la liturgie, la place des laïcs et les relations de l’Église avec le monde moderne. Une des réformes majeures fut la révision de la liturgie, avec la constitution Sacrosanctum concilium qui permit l’usage des langues vernaculaires pendant la messe, rendant les célébrations plus accessibles. Cette décision contribua, néanmoins, au long déclin de l’usage du latin, à la fois dans la sphère religieuse et la sphère culturelle. Vatican II prôna également une plus grande participation des laïcs dans la vie de l’Église, notamment à travers la création de conseils paroissiaux.

L'Église et le monde

Le concile a également abordé les relations de l'Église avec le monde moderne, notamment à travers la constitution Gaudium et spes. Ce texte prônait une approche plus ouverte aux enjeux sociaux, économiques et politiques du monde contemporain, affirmant que l'Église devait s'engager activement dans les questions de justice sociale et de paix. Vatican II a aussi renforcé l'idée de liberté religieuse avec la déclaration Dignitatis humanae, soutenant que chaque individu devait avoir le droit de choisir sa religion sans contrainte. Un autre aspect crucial fut l'œcuménisme, avec la déclaration Unitatis redintegratio, qui encourage le dialogue et la réconciliation avec les autres confessions chrétiennes. De plus, la déclaration Nostra aetate a redéfini les relations avec les autres religions, en particulier le judaïsme, en rejetant toute forme d'antisémitisme et en soulignant les racines communes entre le christianisme et le judaïsme. Cela reprenait ainsi les propos du pape XI : « En tant que catholiques, nous sommes spirituellement des sémites ».

Un pontificat aux airs de concile

Le concile Vatican II, qui s’est conclu le 8 décembre 1965, se voulait une ouverture au monde moderne, et il semble que le pontificat de François poursuive cette dynamique. Néanmoins, certaines décisions du pape ont suscité des réactions partagées de la part de certains catholiques. Par exemple, le motu proprio de 2023, visant à limiter l’usage de la messe en latin, a déclenché l’indignation des milieux catholiques traditionalistes, distincts, rappelons-le, des intégristes comme les lefebvristes, en rupture avec Rome depuis 1988. Le souverain pontife a également accentué l'ouverture de l’Église au monde contemporain en abordant des sujets tels que l'inclusion des personnes divorcées et homosexuelles. Il souhaite aussi renforcer le rôle des laïcs, thème central du synode en cours à Rome, qui examine notamment la place des femmes dans l'Église, bien que le pape ait exclu la question du diaconat féminin.

Ainsi, le pontificat du pape François s’apparente à un très long concile Vatican III orchestré à travers des synodes et parfois en tension avec la tradition. Pourtant, ces réformes semblent éviter d’aborder deux défis cruciaux pour l’avenir de l’Église : la perte du sens du sacré dans la liturgie et la crise des vocations, qui restent des enjeux

Eric de Mascureau

mercredi 27 novembre 2024

QUI VEUT LA PEAU DES AGRICULTEURS ?

La mort d’un stalinien gris et froid : André Lajoinie

 

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Michel Festivi

Les moins de 40 ou de 50 ans, ne s’en souviennent sans doute pas ou plus, on vient d’apprendre la mort d’André Lajoinie, communiste stalinien pur et dur, un apparatchik qui dans l’ombre de Georges Marchais, avala et fit avaler toutes les couleuvres du communisme stalinien.

Le PC dit français par l’intermédiaire de son Secrétaire national, Fabien Roussel, s’est fendu d’une larme, le même Fabien Roussel qui n’a guère remis en cause la volonté des LFI de supprimer le délit d’apologie du terrorisme. « Nous perdons un homme d’une grande humanité », a cru énoncer Fabien Roussel, c’est à se tordre de rire si l’Histoire n’avait été tragique, par les cent millions de morts du communisme.

Sa mort a aussi été saluée par de nombreuses personnalités de gauche, comme l’inévitable François Hollande, qui n’en rate jamais une dans la débilité politique, osant ajouter « il a grandi dans l’esprit de la Résistance », faisant sans doute allusion à la Résistance du PC « F », qui de 1939 à 1941 a sciemment trahi la France et les Français, pour ensuite ne combattre que pour la prise de pouvoir des moscovites. JL Mélenchon a souligné, lui, « son dévouement absolu au communisme ». Ian Brossat, le sénateur communiste qui insulte ceux qui osent critiquer les fumeux 75 000 fusillés du Parti qui n’ont jamais existés, ou si peu,  y est allé aussi de son couplet louangeur, comme le député PS, Emmanuel Grégoire.

Mais ce que ne vous dirons pas, tous ces chantres du communisme international, c’est que la campagne électorale pour les élections présidentielles de 1988, que mena André Lajoinie, fut financée à 100% par l’argent de l'URSS, par l’argent d’un pays totalitaire qui mettait encore ses dissidents dans les goulags ou les hôpitaux psychiatriques, beaucoup feignent de l’oublier.

Dans mon livre publié cette année chez Dualpha, « La désinformation autour du Parti communiste « français » cliquez icije reviens sur cette séquence de l’histoire. Pierre Lorrain et Victor Loupan, deux soviétologues qui parlaient le russe, avaient déniché dans les archives de Moscou, de multiples documents qui prouvaient que de 1921 à 1991, le PC « F » avait été entièrement sponsorisé par la IIIème internationale, ou par Moscou. Cf L’argent de Moscou publié en 1994 par Plon.

Dans les annexes du livre de ces deux éminents historiens, on y trouve une lettre d’Anatoly Dobrynine adressée à Mikhaël Gorbatchev en date du 29 juin 1987, et on peut y lire ceci : « Gaston Plissonnier a fait savoir que Georges Marchais lui avait demandé de solliciter auprès de vous une aide supplémentaire pour le PCF. Cette demande concerne l’élection présidentielle en France qui aura lieu en 1988...nous nous tournons vers notre frère, le PCUS, comme c’était la coutume dans le passé, pour qu’il nous accorde une aide supplémentaire de 10 millions de francs... Pour information, le PCF a déjà reçu en 1987, deux millions de dollars du fonds d’aide international aux organisations ouvrières de gauche... ». Quatre jours plus tard, l’argent de Moscou, parvenait au PC « F ».

André Lajoinie était un triste personnage et un personnage triste et gris comme tous ces sbires staliniens qui appliquaient à la lettre les ordres venus de la Place Rouge, que ce soit pour la RDA en 1953, la Hongrie en 1956, la Tchécoslovaquie en 1968, la Pologne en 1981 etc.. Sa campagne électorale de 1988 fut un désastre, tant il n’avait aucun charisme, ni aucune empathie pour quiconque. Il fit à peine plus de 6,70%, soit la moitié moins que Georges Marchais en 1981. La dégringolade électorale du PC avait déjà commencé. Aujourd’hui le PC « F » aimerait faire ce score ou s’en rapprocher. Son journal l’Humanité, qui n’a quasiment plus aucun lecteur, ne survit que par la manne financière gouvernementale payée par les impôts des français. Ses quelques députés ne sont élus que par qu’ils bénéficient de l’apport des islamogauchistes de LFI. Mais l’idée désastreuse communiste n’a pas disparu, loin s’en faut, elle est toujours présente dans notre histoire politique et nationale. Comme l’a écrit François Kersaudy, dans Les dix faces cachées du communisme : « qu’une idéologie aussi mortifère puisse exercer un tel attrait et susciter autant de dévouements fanatiques, voilà qui restera sans doute, l’une des plus grandes énigmes de ces cents dernières années », Editions Perrin 2023.

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2024/11/26/la-mort-d-un-stalinien-gris-et-froid-andre-lajoinie-6524658.html

Les 8 familles qui gouvernent le Monde

 

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain » ~ Napoléon Bonaparte,  – 1769-1821

Le contrôle du monde par la mondialisation, le pouvoir de l’argent, de la finance et de la création monétaire appartient à une élite internationale juive et protestante.

« C’est un fait indiscutable, de rappeler que tous les juifs et protestants ne sont pas des financiers… Il n’y aurait de mal à en parler, faisons donc totale transparence, les faits étant les faits et il n’y a pas d’amalgame possible, on a affaire à une élite mondialiste qui se fout éperdument des peuples, des nations, ne pensant qu’à la domination par le pouvoir.

Nous ne sommes que du bétail, des esclaves, nous sommes tous concernés, chrétiens d’en bas, musulmans d’en bas, juifs d’en bas, nous avons tous les mêmes ennemis, nous devons nous unir, nous les peuples d’en bas, face à cette oligarchie mondialiste juive et protestante de la finance qui ne représente même pas 1% de la population mondiale.

Nous n’allons pas faire de la propagande anti-juive, mais anti oligarchie financière juive et protestante, nous n’allons pas utiliser les méthodes de manipulation de masse comme le fait la propagande des médias-menteurs-sionistes pour stigmatiser les musulmans. Nous ne sommes pas aussi cons…mais sachez que les médias-menteurs-sionistes n’hésiteront pas à accuser toutes recherches et toutes critiques sur la finance internationale comme étant de l’antisémitisme, mais paradoxalement, jamais ils ne diront que c’est de l’anti-protestantisme.

Nous ne pouvons pas les laisser diriger nos vies à ce point, c’est fini, maintenant c’est fini parce que nous serons de plus en plus nombreux à nous réveiller ».

Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of AmericaJP Morgan ChaseCitigroup et Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent.

Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la commission boursière des contrôles , le « shériff » de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500.

Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques centralisant l’argent ?

Cette information est gardée secrète  de manière ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur la liberté de l’information, qui aux États-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”.

Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monuments de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan ChaseRichard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley.

J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux États-Unis.

Ce sont les familles :

– Goldman Sachs, (élite financière juive ashkénaze)
– Rockefellers, (élite financière protestante)
– Lehmans et (élite financière juive ashkénaze)
– Kuh Loebs de New York, (élite juive ashkénaze)
– les Rothschild de Paris et de Londres, (élite juive ashkénaze)
– les Warburg de Hambourd, (élite juive ashkénaze)
– les Lazards de Paris et, (élite juive ashkénaze)
– les Israëliens Moses Seifs de Rome. (élite juive ashkénaze)

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale.

Il nomme :

– N.M Rothschild de Londres, (banque juive)
– Rotshschild Bank de Berlin, (banque juive)
– la banque Warburg de Hambourg, (banque juive)
– la banque Warburg d’Amsterdam, (banque juive)
– Lehmans Brothers de New York, (banque juive)
– Lazard Brothers de Paris, (banque juive)
– la banque Kuhn Loeb de New York, (banque juive)
– la banque Israel Moses Seif de Rome, (banque juive)
– Goldman Sachs de New York et (banque juive)
– la banque JP Morgan Chase de New York. (banque protestante)

Schauf également cite William RockefellerPaul WarburgJacob Schiff (élite juive ashkénaze) et James Stillman (élite juive ashkénaze) comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale.

Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.
Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre « Les secrets de la réserve fédérale », dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles RothschildWarburgRockefeller et autres.

Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une « théorie du complot ». Pourtant, les faits demeurent.

La maison Morgan (protestante)

La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody (protestant) la fonda à Londres.

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds « …préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co« .

L’écrivain Gabriel Kolko écrivit « Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild ».

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du mondeMorgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.

La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, GuggenheimsVanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et BaringsMorgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds.

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame « Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque ». J. Pierpont Morgan qui déclara un jour « la compétition est un pêché » se réjouissait maintenant, « pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes ».

Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne.

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT : traduction la plus proche pour « US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans.

La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.

Plusieurs états de l’ouest des États-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les États-Unis étaient en train de tomber dans le piège de « l’esclavage financier au capital britannique ». Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.

En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.

Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les États-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans « L’Amérique s’en va en guerre » : « Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux États-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains ».

La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés.

Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929.

Le président du comité bancaire du parlement américain Louis McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression : « ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus ».

Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les États-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essort de l’industrie de l’armementNye produisit plus tard un document dont le titre était « La prochaine guerre », qui réferrait cyniquement au « truc de le vielle déesse démocratie », par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’Intérieur Harold Ickes, mit en garde de « l’influence des 60 familles américaines ». L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria « l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui ».

Jack Morgan répondit en rapprochant les États-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse.

La maison Rockefeller

La BIS (Bank for International Settlements) est la banque la plus puissante du mondeune banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller, Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédéraleMcGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans « Les enfants de la matrix », que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des « prête-noms » pour les Rothschilds.

La BIS est une propriété de la Réserve fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, Banque du Canada, Banque de Suisse, Banque de Hollande, Banque fédérale allemande et la Banque de France…

L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre « Tragédie et Espoir » que la BIS faisait partie d’un plan, celui de « créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets ». Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la Banque mondiale. Le banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994.

La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au mondedu FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du trafic de drogue global.

Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum économique mondial (Davos NdT), la Conférence monétaire internationale et l’Organisation mondiale du Commerce (OMC).

Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la Banque mondiale étaient centrales à ce « Nouvel Ordre Mondial ». En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear « la bête ». Bruxelles sert de QG pour la nouvelle Banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnéeMorgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.

John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la Banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la Banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque national City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux États-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio.

Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan ChaseDeux des filles Stillman marièrent deux des fils de William RockefellerLes deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également.
Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des États-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux États-Unis.

Les compagnies d’assurance, la première aux États-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.

La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico.

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIAassista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés.

Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré.

Les Rockefellers furent les instruments pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission TrilatéraleLa famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.

John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort.

Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon : « Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée… »

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la Banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iranle régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre « Le dossier Rockefeller » en 1973 : « David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS ».

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller.
[à suivre…]

source : http://endettementdesnations.blogspot.fr/2011/08/le-cartel-de-la-fed-les-8-familles-les.html

Pour conclusion, méditons sur leurs propres écrits

Rothschild :

« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois ».

James A. Garfield, Président des États-Unis, assassiné :

« Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent ».

Woodrow Wilson, Président des États-Unis – 1913-1921

(après avoir déplacé le pouvoir financier de l’État aux banques privées) :

« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants ».

Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque) :

« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits ».

Charles A. Lindbergh :

« Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi« .

Henry Ford :

« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin ».

Louis McFadden :

« Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des États-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde« .

Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie :

« Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi ».

1924US Banker’s Association Magazine :

« Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de partis politiques, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli ».

Lord Acton,Lord Chief Justice of England, 1875 :

« Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques ».

Phillip A. Benson, Président de l’American Bankers’ Association8 juin 1939 :

« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire) ».

Andrew Gause, historien de la monnaie :

« Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants ».

Irving Fisher, économiste et auteur :

« Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas ».

En fallait-il plus…

source : http://21decembre2012.over-blog.com

via https://numidia-liberum.blogspot.com/

https://reseauinternational.net/les-8-familles-qui-gouvernent-le-monde/