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lundi 3 novembre 2008

If the moon was made of green cheese

Long time no see...

Regarde, au bout de 2'22", c'est ce qu'il m'est arrivé jeudi en sortant de chez ma merveilleuse nouvelle dentiste :



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La date du 1er rendez-vousdu ciné-club est fixé, le film aussi, reste le nom. Si tu as une dernière géniale de dernière minute, vas-y, c'est le moment, parce que pour l'instant on n'a rien de fou.
Je te remercierai jamais assez.
Et si, pour le flyer, une bonne âme maitrisant Photoshop pouvait se manifester, je lui en serais infiniment reconnaissant, à tel point qu'une invitation à vie au ciné-club lui serait offerte...

jeudi 23 octobre 2008

Regarde ce qu'ils nous ont laissé, de vieux restes d'idéologies qu'on a toutes vues se planter

J'ai trouvé un bon dentiste, enfin ! Enfin qui a l'air. C'est la première fois que je vais chez un (une en l'occurence) dentiste qui est plus jeune que moi. Enfin qui a l'air.
Ca méritait bien un billet.

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Je réécoute beaucoup Expérience en ce moment, qui est un peu la demi-suite de Diabologum (l'autre étant Programme, que j'aime moins). Parfois c'est un peu maladroit, limite Saez, mais ça bouleverse à chaque fois. J'y pensais justement en t'écrivant un mail sur youknowwho.

Deux (two lovers ?)


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Pour ceux qui aiment le jazz

Découvrez Experience!


Pour toi qui, je crois, ne connais pas Diabologum (une de mes 5 chansons préférée) :

De la neige en hiver

Découvrez Diabologum!


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Je n'aime pas beaucoup le film d'Alan Ball, tu sais. L'archétype d'un cinéma américain adulte, finaud, psychologique, à grand sujet, arrogant ("arrogance cotoneuse" a dit un jour OJ à propos de Six Feet Under), surjoué, un peu cynique sous prétexte d'être satirique (ah, la passion française pour les films qui "écornent le rêve américain"). OJ, encore : "Une haine trop douce maquillée en verdeur buñuelienne traverse SFU. Chaque personne, ultra-typé [ici, on pourrait dire : le métèque plus blanc que les blancs, le prick patriote], n'existe que pour remplir les cases d'une radiographie bien mesurée de la "société en crise". Le film me rappelle celui, bien pire soyons justes (car très mal filmé alors que Ball s'en sort pas mal, malgré sa tendance au chromo) de Paul Haggis : Crash. Tu vois ? Le film de salon, en somme. Le film qui fera bien dans les dîners mondains. Pendant ce temps, Pineapple Express et Step Brothers vont faire, c'est confirmé, une sortie technique...
Reste quelques très bons acteurs : Maria Bello, Toni Colette, l'adolescent noir (qui a un visage incroyable, sorti d'un clip de boy's band 90's), la gamine (monocorde mais fascinante) et surtout Aaron Eckhart que j'aime décidemment beaucoup et qui arrive à rendre aimable son personnage pourtant rabaissé de bout en bout par le scénario. Le père libanais, en revanche, est très mauvais (c'est Oliver dans SFU, et je ne l'aimais déjà pas).