(je précise, pour ceux qui pensent qu'il s'agit d'un remake de Stress, que les deux passants, à la fin, n'ont, à ma connaissance rien à voir avec le feu)
***
Moi je m'en fous, j'écoute Fleet Foxes, peinard.
Découvrez Fleet Foxes!
***

Découvrez Nas!
***
***
***
***
A priori Amy Winehouse ne vient pas.The Wackness est très décevant. Jonathan Levine ne transforme pas l'essai d'All the boys love Mandy Lane, se contentant, le plus platement du monde, d'exécuter son petit programme de wannabeinsundance : psychologie appuyée (double récit d'apprentissage balisé), surex' à gogo, mise en scène chichiteuse, cabotinage... Une biche apparaît même dans un plan de coupe lors d'une scène d'amour !
1994, Josh Peck a 18 ou 19 ans, les problèmes existentiels des gens de son âge (wannagetlaid, des parents chiants), un gros paquet de weed sous son lit et, alors qu'il passe à New-York son dernier été avant l'âge adulte, il tombe amoureux d'une jolie fille.
1994, Ben Kingsley a 50 ans, les problèmes existentiels des gens de son âge (wannagetlaid, une femme chiante), un gros bang dans son tiroir et, alors qu'il passe à New-York un été banal, à enchaîner les patients dans son cabinet de psy (dont Josh Peck), sa fille chérie tombe amoureuse d'un wancker. Devinez qui ?
Et devinez quoi : les deux hommes auront plein de choses à s'apprendre mutuellement : l'âge et la maturité ne vont pas toujours de pair, "carpe diem", "fluctuat nec mergitur" et tout ça... Reste une chouette B.O. composée du fleuron east coast de l'époque (Nas, Notorious B.I.G., A tribe called quest, Wu Tang Clan).
1994, Josh Peck a 18 ou 19 ans, les problèmes existentiels des gens de son âge (wannagetlaid, des parents chiants), un gros paquet de weed sous son lit et, alors qu'il passe à New-York son dernier été avant l'âge adulte, il tombe amoureux d'une jolie fille.
1994, Ben Kingsley a 50 ans, les problèmes existentiels des gens de son âge (wannagetlaid, une femme chiante), un gros bang dans son tiroir et, alors qu'il passe à New-York un été banal, à enchaîner les patients dans son cabinet de psy (dont Josh Peck), sa fille chérie tombe amoureuse d'un wancker. Devinez qui ?
Et devinez quoi : les deux hommes auront plein de choses à s'apprendre mutuellement : l'âge et la maturité ne vont pas toujours de pair, "carpe diem", "fluctuat nec mergitur" et tout ça... Reste une chouette B.O. composée du fleuron east coast de l'époque (Nas, Notorious B.I.G., A tribe called quest, Wu Tang Clan).
Découvrez Nas!
Gus, revient ! (à ce propos, t'as as la B.A. de Milk ? 'Fait flipper Sean Penn en politicien gay wannawinanoscar)
***
Chrome lui aussi est très décevant, tu ne trouves pas ? Outre l'histoire de non-respect de la vie privée, auquel Google nous a habitué depuis longtemps, on peut se contenter de constater que la gestion de la mémoire est catastrophique. C'est 30Mo de RAM par page ouverte, cash. Dix pages, c'est 300 Mo, donc l'explosion en vol.
***
Je ne sais qui essaie de faire croire qu'Annie Leibovitz est une bonne photographe, mais ne les crois pas. C'est le plus souvent insignifiant (là et là), parfois très moche (là, là et là : que nous apprend-elle sur ces personnalités qu'on ne sache déjà, qui ne soit pas, précisément, déjà, du cliché ?), et quelques fois réussis (la reine d'Angleterre dans Silent Hill, la Bush team saisie dans son essence fictionnelle). Elle aura surtout eu de la chance d'être là au bon moment.
***
L'article de JPT et SD dans les cahiers de juillet 2005 (spécial acteur avec Asia Argento en couv'), sur le "jeu des hommes creux" (les hollow men, donc), analyse du jeu de Ben Stiller, Owen Wilson et Johnny Depp, ne serait-il pas un magnifique exemple de pratique marrane au sein des Cahiers ? Les convertis de force n'aurait-il pas, en adoptant le style (un poil abscon) de leurs oppresseurs et choisissant de dresser l'éloge des "hommes creux", cherché à dénoncer leur délicate condition par la flagornerie ironique ?
***
D.Chou découvre la musique, c'est touchant.
***
J.S., 21:29:13, 29/08/2008