Sunday, May 29, 2011
Kissing Bridges... Next time
Friday, February 4, 2011
"On ne peut pas se priver du rêve" Andrée Chedid (Entre Nil et Seine)
Tuesday, February 1, 2011
Topi Tambo
Saturday, January 29, 2011
Let's go to the market
Thursday, November 4, 2010
Yasai miso zuke
Sunday, March 29, 2009
Un truc de filles
Crumble de courgettes
Pour les miettes :
150g de farine semi-complète
100g de boulghour complet
4 c à soupe d'huile d'olive (froide)
2 cà soupe d'eau glacée
1 pincée de Fleur de Sel
30g de parmesan en lamellles
Poivre au moulin
Thym émietté
1 kg de courgettes
3 gousses d'ail
Huile d'olive, Sel, Poivre
Couper les extrémités des courgettes, les rincer, les essuyer. Les râper en très fines lamelles.
Les disposer dans un plat en terre cuite huilé (huile d'olive). Disperser la valeur de trois gousses d'ail pressées. Rectifier l'assaisonnement. Préparer les miettes en mélangeant du bout des doigts tous les ingrédients. Former une fiche couche sur les légumes. Vaporiser d'huile d'olive. Enfourner à 180°C pour 30 à 35 mn. Terminer par 5mn de gril si les miettes ne sont pas assez dorées.
Au début, le croquant du boulghour est surprenant, presque trop ferme. Faudrait-il l'humidifier au préalable? Je ne pense pas car l'ensemble est assez équilibré avec des courgettes fondantes sans être molles ni aqueuses . Préférer le parmesan dont la saveur reste intacte après cuisson . Un essai avec un brebis des Pyrennées (assez ordinaire certes) pas très concluant, donnait à ce crumble un goût de gratin.
Tuesday, March 24, 2009
Dans les malles d'une reine...
Fenouils confits
Retirer la première enveloppe dure. Couper les fenouils en deux. Les disposer sur une plaque. Les enduire d'un mélange d'huile d'olive, citrons, thym, poivre et fleur de sel. Enfourner à150°C pour 1h environ en les retournant à mi-cuisson, délicatement.
Ils se sont régalés... J'ai terminé une moitié.. C'est bien, non.?..
Il n'y a pas de photo..Je ne peux pas cuisiner, photographier et.....me pincer le nez.
Je vous laisse avec Diderot . Sa lecture est réjouissante.
FENOUIL, s. m. foeniculum, (Hist. nat. botan.) genre de plante à fleurs en roses disposées en ombelle, & composées de plusieurs pétales rangées en rond, & soûtenues par un calice qui devient un fruit dans lequel il y a deux semences oblongues, épaisses, convexes & cannelées d’un côté, & applaties de l’autre. Ajoûtez aux caracteres de ce genre, que les feuilles sont découpées par parties fort longues & fort menues, & qu’elles tiennent à une côte. Tournefort, inst. rei herb. Voyez Plante. (I)
Il y a plûsieurs especes de fenouil.
Le fenouil commun, foeniculum vulgare, Off. Ger. 877. Emac. 1032. Park. theat. 884. Raü hist. 1. 457. &c. est ainsi décrit par nos Botanistes.
Sa racine est vivace, & dure plusieurs années ; elle est de la grosseur du doigt, & plus droite ; blanche, d’une saveur aromatique, mêlée de quelque douceur. Sa tige est haute de trois ou quatre coudées, droite, cylindrique, cannelée, noüeuse, lisse, divisée vers le sommet en plusieurs rameaux ; couverte d’une écorce mince & verte, remplie intérieurement d’une moelle fongueuse & blanche. Ses feuilles sont amples, découpées en plusieurs lanieres, ou en lobes étroits ; d’un verd foncé, d’une saveur douce, d’une odeur suave : chaque lobe est cylindrique ; & ceux qui sont à l’extrémité, sont comme des cheveux. Ces feuilles sont portées sur des queues qui embrassent en maniere de gaînes la tige & les branches. Le sommet des tiges & des rameaux porte des ombelles ou parasols arrondis, dont les fleurs sont en rose, à cinq pétales jaunes, odorans, appuyées sur un calice qui se change en un fruit composé de deux graines oblongues, un peu grosses, convexes & cannelées d’un côté, applaties de l’autre, noirâtres, d’une saveur âcre & un peu forte. Cette plante croît parmi les cailloux dans les pays chauds ; cette graine devient douce par la culture, & la plante un peu différente : de-là naissent les variétés de cette espece de fenouil. On le cultive dans nos jardins.
Le fenouil doux s’appelle foeniculum dulce, Off. Ger. 877. Emac. 1032. Park. theat. 884. C. B. P. 147. Raü, hist. 1. 458. Foeniculum dulce, majori & albo semine. J. B. 3. 4. Tourn. inst. 311. Rapp. flor. jen. 224. Foeniculum, sive marathrum vulgatius, dulce, Lob. icon. 775.
A peine paroît-il différent du fenouil commun, si ce n’est en ce que sa tige est moins haute, plus grêle, & ses feuilles plus petites ; mais ces graines sont plus longues & plus étroites, cannelées, blanchâtres, plus douces & moins âcres. Si on seme cette espece de fenouil, elle dégénere peu-à-peu à mesure qu’on la reseme ; de sorte que dans l’espace de deux ans elle devient un fenouil commun : c’est pourquoi Ray
pense que cette graine est apportée des pays les plus méridionaux, peut-être de Syrie, comme Lobel le dit ; ou des îles Açores, comme d’autres le prétendent.
Le fenouil d’Italie, foeniculum italicum vulgare, L. B. & en italien finocchio, ne differe du fenouil doux que par l’extrème agrément de son goût & de son odeur : aussi n’est-il cultivé que pour être servi sur les tables, comme le céleri, en guise de salade. Voyez , (Jardinage.) Article de M. le Chevalier .
Fenouil, (Jardinage.) Le fenouil commun & le fenouil doux sont cultivés dans nos jardins, tant pour les tables qu’à cause de la graine, employée en cuisine & en pharmacie.
Quelques Apicius de nos jours ordonnent d’envelopper le poisson dans les feuilles de fenouil, pour le rendre plus ferme & plus savoureux, soit qu’on veuille l’apprêter frais, ou le garder dans de la faumure.
Les sommités de fenouil vertes & tendres, mêlées dans nos salades, y donnent de l’agrément. Dans les pays chauds on sert les jeunes pousses du fenouil avec la partie supérieure de la racine, que l’on assaisonne de poivre, d’huile & de vinaigre, comme nous faisons le céleri.
La culture du fenouil commun n’a rien de particulier. Quand le plan a six semaines ou deux mois, on l’éclaircit & on le sarcle. Il demande peu d’eau, à moins qu’on ne le destine à être mangé en pié, & alors il faut préférer le fenouil doux. On le repique, comme le céleri, & on l’espace à un pié en tout sens. On ôte soigneusement les mauvaises herbes, on l’arrose, on le butte ; il grossit, il blanchit, forme un pié plus gros que le céleri, & le surpasse même en bonté.
Mais le fenouil d’Italie a bien d’autres qualités que le nôtre, soit que le climat de Paris ne lui soit pas favorable, soit plûtôt que nous ignorlons l’art de le cultiver. Il est certain que la saveur, la finesse & l’odeur du fenouil en Italie, charment le goût & l’odorat : aussi les Italiens en font un grand usage. La pointe des jeunes feuilles entre dans leurs fournitures de salade, & ils mangent par délices les extrémités des jeunes branches avec du sel, ou sans assaisonnement.
Comme cette sorte de sensualité a passé en Angleterre, où elle prend tous les jours plus de faveur, Miller n’a pas dédaigné de s’attacher à la culture du finocchio, & d’en donner les préceptes dans son dictionnaire, j’y renvoye nos jardiniers curieux. Article de M. le Chevalier ."
Encyclopédie de Mr Diderot
Wikisource
Message personnel : LN, les deux derniers sont pour toi...
Monday, March 23, 2009
Hier, au marché
Etonnant, non? Un peu tôt en saison... J'ai des souvenirs de récolte les premiers jours de Juin....
Mais soit....
Oui, je sais, ce ne sont pas des asperges...
Le lendemain, il était passé rive droite, marché de Bastille, soleil, fenouils et artichauts violets , probablement des carciofi... Un air du Sud...
J'ai des recherches à faire...
Jamais cuisiner ces légumes...
Jamais pu aimer le fenouil...
Wednesday, March 11, 2009
Chroniques des temps de grève #33... Tousser! Voilà, C'est fini! C'est grave Docteur?....
Pour en savoir plus : "Avancée décisive dans les négociations" (Cliquer)
Dans quelques semaines, nous pourrons avoir une idée plus juste des conséquences de ce mouvement. Catastrophe économique sans précédent pour les uns, réels changements dans la vie quotidienne des martiniquais pour d'autres... On verra... Je vois déjà que depuis une semaine , les routes sont déjà bien chargées... Cela va de soi avec une reprise de l'activité sur l'île mais est-on obligé de rouler si vite?... Déjà un mort... A peine les zones commerciales débloquées, on voyait les voitures venir se garer devant les supermarchés... Les horaires d'ouvertures supposées commençaient à circuler sur le net... Sans moi... Je ne fais pas ma princesse... mais je préfère attendre... Attendre que les prix baissent... par exemple... Il faudra compter 6 semaines... En attendant, je ferai comme j'ai fait durant ces 34 jours.... Me débrouillant avec ce que j'ai.....
Si tout redevient comme avant, je serais tellement déçue......
On peut avoir envie d'aubergines aux citrons confits comme les prépare Gracianne et manquer d'huile d'olive, de coriandre, d'oignons France même..... Peu importe...
On trouve des aubergines facilement sur les marchés et les citrons confits au sel sont prêts depuis longtemps.
Aubergines aux citrons confits
au temps des grèves
Recette originale ICI
Huile de colza
une poignée d'oignons grelots en saumure
1 poignée d'olives vertes
2 citrons verts confits au sel
4 gousses d'ail
1 kg d'aubergines
2 tomates
1 tige de citronelle
Poivre au moulin
Menthe et Basilic citron du jardin
Dans une poêle, faire chauffer un peu d'huile ordinaire, ajouter les olives hachées finement. Puis les aubergines pelées et coupées en rondelles, les tomates concassées, l'ail pressé. Ajouter les oignons grelots égouttés. Laisser fondre 15 à 20 mn tout doucement puis ajouter les citrons confits rincés (car très salés) et hachés. Poivrer généreusement. Laisser mijoter. Parfumer aux herbes du jardin. Laisser refroidir. Déguster avec des oeufs durs et un filet de vinaigre balsamique.