Le vagabond arrive dans le 1er numéro de Circus, le 1er avril 1975.
Brunel, Bec et Clarke
Solé, Ghib et Thiebaut
Affichage des articles dont le libellé est Gimenez. Afficher tous les articles
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mardi 1 avril 2025
jeudi 27 juin 2024
lundi 8 janvier 2024
Guy l'éclair
Flash Gordon est apparu il y a 90 ans, tiré des doigts d'Alex Raymond.
Bertail, Biancarelli et Bouilhac
Cestac, Druillet, Gimenez et Sécheresse
Goossens, Larbier, Meynet et MoCDM
Pixel, Raynal, Rob-vel et Séverin
Bertail, Biancarelli et Bouilhac
Cestac, Druillet, Gimenez et Sécheresse
Goossens, Larbier, Meynet et MoCDM
Pixel, Raynal, Rob-vel et Séverin
dimanche 26 novembre 2023
L'Odyssée à contre-temps
Juan Gimenez, disparu en plein Covid, aurait eu 80 ans.
R.E. González (Edgonrod), S. Cnudde et P. Espinosa
Jagielski, M. Montllo et X.G. Penalta
A. Unzueta, S.B. Nahuel et San Julian
R.E. González (Edgonrod), S. Cnudde et P. Espinosa
Jagielski, M. Montllo et X.G. Penalta
A. Unzueta, S.B. Nahuel et San Julian
on y cause de
Cnudde,
Edgonrod,
Espinosa,
Evangelisti,
Gimenez,
Gimenez J.,
Jagielski,
Montllo,
Nahuel,
Penalta,
San Julian,
Unzueta
mardi 11 juillet 2023
Flash !
Dan Barry est né il y a 100 ans.
Gimenez : Les professionnels
Parmi les madeleines de mon enfance, y avait 2 bouquins de chez Hachette : un Mandrake et un Guy l'éclair de Barry. J'adorais.
Gimenez : Les professionnels
Parmi les madeleines de mon enfance, y avait 2 bouquins de chez Hachette : un Mandrake et un Guy l'éclair de Barry. J'adorais.
samedi 1 octobre 2022
Des contes calculés pour vous rendre fou
Mad a donc 70 ans. Je ne suis pas sûr que le magazine fut aussi bien diffusé que ça en Europe, même s'il y laissa une trace notable.
Aymond, Di Sano, Gimenez et Guarnido
Libon, Liniers, Morvandiau et Obion
Otto T, Pixel, Pétillon et Van der Zuiden
Aymond, Di Sano, Gimenez et Guarnido
Libon, Liniers, Morvandiau et Obion
Otto T, Pixel, Pétillon et Van der Zuiden
mardi 9 novembre 2021
mardi 16 mars 2021
mardi 9 février 2021
Destination : hier !!!
Dani Futuro apparait dans le 6ème tintin belge de l'année 1971, le 9 février.
Lecteur de tintin à partir de 75, j'en garde un souvenir indélébile... en particulier cette scène de suicide. Marqué à jamais.
Le dessin est magnifique. Je n'ai fait le rapprochement avec le Gimenez en noir & blanc du Fluide de mon adolescence que bien plus tard... Etonnant. Carlos est un grand auteur !!!
Craenhals, Dupont et Brenders
Lecteur de tintin à partir de 75, j'en garde un souvenir indélébile... en particulier cette scène de suicide. Marqué à jamais.
Le dessin est magnifique. Je n'ai fait le rapprochement avec le Gimenez en noir & blanc du Fluide de mon adolescence que bien plus tard... Etonnant. Carlos est un grand auteur !!!
Craenhals, Dupont et Brenders
lundi 16 mars 2020
lundi 2 décembre 2019
Détournements
Il y a 95 ans, naissait Jack Davis à Atlanta.
On le retrouve ici avec Goscinny :
Catel, Grand et Severin
et ici chez quelques européens :
Van Der Zuiden, Toulon et Gimenez
On le retrouve ici avec Goscinny :
Catel, Grand et Severin
et ici chez quelques européens :
Van Der Zuiden, Toulon et Gimenez
mercredi 20 novembre 2019
Barrio
Il y a 40 ans, dans Fluide glacial, Carlos Gimenez débutait une nouvelle série (après Paracuellos)... On y est plus dans la bandessinées que dans l'umour.
dans les carnets de Daniel Goossens
dans les carnets de Daniel Goossens
mercredi 2 octobre 2019
samedi 30 mars 2019
L'homme chauve souris
Batman a 80 ans.
C'est devenu un produit dont on fait des films, des déguisements
Maester, Gimenez et Raynal
des copies de batmobiles
Clowes, Berthet et Verron
des comics tout pourris
Berthet, Deliège et Elder
des objets dérivés idoines
Clerc, Elder et Schwartz
C'est devenu un produit dont on fait des films, des déguisements
Maester, Gimenez et Raynal
des copies de batmobiles
Clowes, Berthet et Verron
des comics tout pourris
Berthet, Deliège et Elder
des objets dérivés idoines
Clerc, Elder et Schwartz
dimanche 20 janvier 2019
L'enfance de l'art
Paracuellos débute sa carrière française grâce à Gotlib. La série détonnait vraiment avec les blagues de cul du mensuel... et pourtant...
C'est dans le #32 de Fluide glacial que la série de Carlos Gimenez débute, c'était le 20 janvier 1979.
Guarnido, Solé et ?
C'est dans le #32 de Fluide glacial que la série de Carlos Gimenez débute, c'était le 20 janvier 1979.
Guarnido, Solé et ?
mardi 9 octobre 2018
Le fort de la pierre rouge
La 9ème aventure de Jerry Spring débute dans Spirou #1069 en kiosque le 9 octobre 1958.
Hardy et Cauvin : Pierre Tombal #8 p14
Juillard, Gimenez et Kichka
Hardy et Cauvin : Pierre Tombal #8 p14
Juillard, Gimenez et Kichka
mercredi 17 janvier 2018
Hardy les gars et les filles de notre âge
Françoise Hardy entre dans sa 75ème année.
Cabu, Mézi et Gotlib in Pilote
Leconte, Grammat et Goussé
Peellaert : Pravda
Terreur, Dutreix et Gimenez
Cabu, Mézi et Gotlib in Pilote
Leconte, Grammat et Goussé
Peellaert : Pravda
Terreur, Dutreix et Gimenez
mercredi 8 novembre 2017
Delon en large
Le cinéma s'arrête un instant, le temps de souffler les bougies d'Alain Delon.
Ah oui : on reste dans les années 60, hein ?
Boucq, Blutch et Clavé
Goussé, Got et Gimenez
Maester, Isa et Morchoisne
Morchoisne, North et Parras
Poppé et Rabaté
Ricord, Roussin et Tibet
Ah oui : on reste dans les années 60, hein ?
Boucq, Blutch et Clavé
Goussé, Got et Gimenez
Maester, Isa et Morchoisne
Morchoisne, North et Parras
Poppé et Rabaté
Ricord, Roussin et Tibet
vendredi 25 août 2017
Lecture de 2017 -19
Antico : America (2017 - Glénat / 1000 feuilles)
Une jeune femme désœuvrée mais libérée, s'envole vers l'Amérique pour... Pour rien. Des vacances. Déjà qu'on se fait chier en vacances, alors si c'est pour suivre celles des autres !
C'est bien foutu, Nine Antico a du talent... vivement (comme c'est arrivé avec Vivès) qu'elle ait un truc à dire (euh, pas juste des gros questionnements sur la couleur de son chemisier, ou la baisabilité d'un mec).
Boilet : Elles (2006 - Ego comme X)
Des photos plus ou moins retravaillées pour raconter des rencontres sensuelles, ou possiblement sexuelles. Là où Antico est dans une adolescence qui traine un peu, Boilet est dans une adolescence qui traine carrément. Il veut baiser.
Il a dessiné un jour : il s'en souvient quand il s'agit de mettre en place ses photos maquillées, et c'est plutôt bien foutu (là ou Antico reste trop dans des plans qui nous tiennent éloignés de ses personnages). J'ai quasiment toute sa biblio, mais je n'avais pas acheté cet opus, qui compile des trucs vus ici et là... mais qui m'avait agacé dans son éloignement du dessin.
Cattelain et Bourgeade : Le poulpe #18 - Tuez Diana (2008 - 6 pieds / céphalopode)
Le style graphique de Rémi Cattelain est ardu, mais j'y suis habitué, et je le déchiffre facilement. L'histoire de ce Poulpe est carrément étrange, également. Je n'en ai pas lu beaucoup, mais il me semblait qu'on était en plein réalisme... Ici on ressuscite Diana et on lui rend justice en foutant le bordel au Royaume... mouais.
Dethan : Tante Henriette (2000 - Delcourt / encrages)
Je gardais un bon souvenir de Eva aux mains bleues, alors, un peu désœuvré dans cette grande bibliothèque, je suis allé vers ce bouquin qui ne m'attirait pas. Sans intérêt : Dethan nous raconte sa grand-mère avare... nous explique l'avarice (!). Ce qu'il manque, c'est l’interaction entre elles : le bonus de l'auteur, son point de vue, ses sentiments profonds, ce qui change. Sinon, c'est juste une BD pour sa famille.
Gauthier : Justin (2016 - Delcourt)
Un petit doc sur le mal-être d'un jeune transsexuel qui effectue sa transition. Un peu court pour qu'on ai le temps de s'impliquer, de partager, de sentir... un petit doc seulement, et c'est dommage.
Tanx : Des croûtes aux coins des yeux #2 (2017 - 6 pieds / Monotrème - mini)
J'adore ce qu'elle fait, ce qu'elle dit, comment elle l'écrit. Je regrette juste qu'elle ne montre pas son talent sur un long récit.
L'éprouvette #2 (2006 - L'association)
Ce pavé regroupe à travers plusieurs dossiers, une bande d'intello de la BD plus ou moins honnête, plus ou moins intéressants, mais souvent passablement abscons. Je pense à Pacôme Thiellement, qui ferait bien d'apprendre à écrire pour les autres (c'est dommage, mais le dossier Gébé se lit tout de même bien). Ou Christian Rosset. On enfonce parfois des portes ouverte en ayant bien pris soin de ne pas dire "porte", mais "équipement circulatoire de liaison".
La critique de la critique est un très bon sujet, et laisser la critique (du premier degré) aux auteurs est un truc à développer. Il est freiné, à mon avis, par tous les réseaux d'amitié qui empêcheront un auteur de "dire du mal" du travail d'un de ses amis. Et c'est déjà visible dans ce numéro (la mauvaise fois de Menu peut rapidement se mettre en branle). J'ai découvert Schwartz et Kaplan (mais c'est que je n'ai pas lu assez attentivement le #1). Je n'ai vu aucun intérêt aux collages de Deloule, et à l'article qui s'y consacre, et zappé celui de Benoit Jacques.
Surcouf et Porcel : Mars horizon (2017 - Delcourt / octopus)
Avec ses remerciements à la communauté scientifique et ses ptits shémas, ça avait des airs de truc pédagogique... finalement, ce ptit récit se lit comme une aventure humaine. Assez chouette. Ouf (marre de ces revues/collec qui dévoient la BD).
Carlos Gimenez : Pepe #1 (2012 - Les échappés)
C'est un genre de suite de ses professionnels, et toujours à tiroir : les auteurs, cette fois à l'exception de Pepe (Jordi Perez dans Les professionnels), sont présentés sous de faux noms ! Pas bien compris l'explication.
Le dessin de Gimenez n'a pas pris une ride. La petite histoire espagnole, des années Franco, se comprend en filigrane de celle d'une grand dessinateur, dont les images nous sont hypra-connues (Vampirella, Marilyn, Garbo).
Une jeune femme désœuvrée mais libérée, s'envole vers l'Amérique pour... Pour rien. Des vacances. Déjà qu'on se fait chier en vacances, alors si c'est pour suivre celles des autres !
C'est bien foutu, Nine Antico a du talent... vivement (comme c'est arrivé avec Vivès) qu'elle ait un truc à dire (euh, pas juste des gros questionnements sur la couleur de son chemisier, ou la baisabilité d'un mec).
Boilet : Elles (2006 - Ego comme X)
Des photos plus ou moins retravaillées pour raconter des rencontres sensuelles, ou possiblement sexuelles. Là où Antico est dans une adolescence qui traine un peu, Boilet est dans une adolescence qui traine carrément. Il veut baiser.
Il a dessiné un jour : il s'en souvient quand il s'agit de mettre en place ses photos maquillées, et c'est plutôt bien foutu (là ou Antico reste trop dans des plans qui nous tiennent éloignés de ses personnages). J'ai quasiment toute sa biblio, mais je n'avais pas acheté cet opus, qui compile des trucs vus ici et là... mais qui m'avait agacé dans son éloignement du dessin.
Cattelain et Bourgeade : Le poulpe #18 - Tuez Diana (2008 - 6 pieds / céphalopode)
Le style graphique de Rémi Cattelain est ardu, mais j'y suis habitué, et je le déchiffre facilement. L'histoire de ce Poulpe est carrément étrange, également. Je n'en ai pas lu beaucoup, mais il me semblait qu'on était en plein réalisme... Ici on ressuscite Diana et on lui rend justice en foutant le bordel au Royaume... mouais.
Dethan : Tante Henriette (2000 - Delcourt / encrages)
Je gardais un bon souvenir de Eva aux mains bleues, alors, un peu désœuvré dans cette grande bibliothèque, je suis allé vers ce bouquin qui ne m'attirait pas. Sans intérêt : Dethan nous raconte sa grand-mère avare... nous explique l'avarice (!). Ce qu'il manque, c'est l’interaction entre elles : le bonus de l'auteur, son point de vue, ses sentiments profonds, ce qui change. Sinon, c'est juste une BD pour sa famille.
Gauthier : Justin (2016 - Delcourt)
Un petit doc sur le mal-être d'un jeune transsexuel qui effectue sa transition. Un peu court pour qu'on ai le temps de s'impliquer, de partager, de sentir... un petit doc seulement, et c'est dommage.
Tanx : Des croûtes aux coins des yeux #2 (2017 - 6 pieds / Monotrème - mini)
J'adore ce qu'elle fait, ce qu'elle dit, comment elle l'écrit. Je regrette juste qu'elle ne montre pas son talent sur un long récit.
L'éprouvette #2 (2006 - L'association)
Ce pavé regroupe à travers plusieurs dossiers, une bande d'intello de la BD plus ou moins honnête, plus ou moins intéressants, mais souvent passablement abscons. Je pense à Pacôme Thiellement, qui ferait bien d'apprendre à écrire pour les autres (c'est dommage, mais le dossier Gébé se lit tout de même bien). Ou Christian Rosset. On enfonce parfois des portes ouverte en ayant bien pris soin de ne pas dire "porte", mais "équipement circulatoire de liaison".
La critique de la critique est un très bon sujet, et laisser la critique (du premier degré) aux auteurs est un truc à développer. Il est freiné, à mon avis, par tous les réseaux d'amitié qui empêcheront un auteur de "dire du mal" du travail d'un de ses amis. Et c'est déjà visible dans ce numéro (la mauvaise fois de Menu peut rapidement se mettre en branle). J'ai découvert Schwartz et Kaplan (mais c'est que je n'ai pas lu assez attentivement le #1). Je n'ai vu aucun intérêt aux collages de Deloule, et à l'article qui s'y consacre, et zappé celui de Benoit Jacques.
Surcouf et Porcel : Mars horizon (2017 - Delcourt / octopus)
Avec ses remerciements à la communauté scientifique et ses ptits shémas, ça avait des airs de truc pédagogique... finalement, ce ptit récit se lit comme une aventure humaine. Assez chouette. Ouf (marre de ces revues/collec qui dévoient la BD).
Carlos Gimenez : Pepe #1 (2012 - Les échappés)
C'est un genre de suite de ses professionnels, et toujours à tiroir : les auteurs, cette fois à l'exception de Pepe (Jordi Perez dans Les professionnels), sont présentés sous de faux noms ! Pas bien compris l'explication.
Le dessin de Gimenez n'a pas pris une ride. La petite histoire espagnole, des années Franco, se comprend en filigrane de celle d'une grand dessinateur, dont les images nous sont hypra-connues (Vampirella, Marilyn, Garbo).
mercredi 16 mars 2016
Gimenez dans Fluide
Carlos Gimenez a posé ses valises dans Fluide glacial... pas pour nous faire rire.
Edika in expo QDB 2015
Dans Fluide, les BD autobio de son enfance sont terribles, celles de sa jeunesse assez débridées... des grosses fesses assez bien vues dans le mensuel d'Umour et Bandessinées.
Hugot, x et Mo/CDM
Edika in expo QDB 2015
Dans Fluide, les BD autobio de son enfance sont terribles, celles de sa jeunesse assez débridées... des grosses fesses assez bien vues dans le mensuel d'Umour et Bandessinées.
Hugot, x et Mo/CDM
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