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samedi 18 octobre 2025

Champagne

Jacques Higelin aurait eu 85 ans.

Lefeuvre, Bourhis et Lolmède

Snug, Placid et Wens

mardi 1 juillet 2025

L'ambassadeur des ombres

La 6e aventure de Valerian débute dans Pilote mensuel #14, il y a 50 ans.
Apparaissent dans cette aventure : les Shingouz.

Gazeau et Ghib

Wens, Max et Rouvin

mercredi 1 janvier 2025

AaarzaK

La série débutait dans Métal il y a 50 ans.

Bosschaert, Brocal, Cho et de Crecy

de Heij, Edika, Eisner et Goossens

Hennebaut, Liberatore, Lolmède et Loup

Margerin, Pixel, Vuillemin et Wens

mercredi 24 novembre 2021

Made in Heaven

The show must go on ? A quoi bon ! Freddie Mercury nous a quitté il y a 30 ans.

Wens

dimanche 26 janvier 2020

Paulette n'est pas une sainte

Je suis fan de Pichard. Pas les trucs porno, les trucs rigolo.
Sa Paulette débute dans le Charlie #12 de janvier 1970.

Wens, Moge et Blutch

samedi 29 août 2009

Le truc du bain, c'est son dada

Ingres dessine des femmes à poil !

Bon, on va pas s'en plaindre...

Celle de droite est la sienne, Madeleine Chapelle. Oh ! Cool ! Un clin d’œil !!

Dans leurs œuvres, les dessinateurs de BD nous y re-plongent !

dans ce bain rempli à ras-bord de gonzesses !

les images en entier :

samedi 15 décembre 2007

Lectures de décembre -2

Voila. J'ai terminé la saga des Peter Pan. Hum.
Loisel abuse largement de renvois ("voir le #1"). De manière assez stupide, pour des détails sans importance, ou au contraire inoubliables...
Pour le principal, Peter n'a aucune profondeur, il reste un être de papier, assez antipathique. Clochette est énervante au possible... Faut vraiment s'accrocher à quelque chose pour terminer le cycle. Malgré tout, la fusion entre le diablotin Pan et Peter est une bonne idée. Le parallèle entre Crochet et Peter Pan dans Crochets est amusant. Le dernier album nous montre des monstres, une Clochette criminelle, des enfants loin de l'innocence qu'on leur donne à priori... Et la fin n'est franchement pas claire... Le lien entre Jack l'éventreur et Peter est étrange, flou, sans aucun sens... Au final, on a vécu une hécatombe de personnage, on ressent un mal-être.
Je n'ai eu aucun plaisir à lire cette série. 
 
Le dernier tome d'Odilon Verjus est meilleur que le précédent. Verron prend un peu plus de temps pour les décors, Yann démêle le fil rouge des 10 petits nègres. C'est amusant, sans plus.

Achevé d'imprimer est un polar étrange, où l'écrivain semble vivre finalement ce qu'il a écrit. C'est noir et violent. Le second degré sauve un peu le récit.
Un autocollant publicitaire annonce que Le gardien des ténèbres est "une histoire complète 100% fantastique". Mais il ne s'agit pas vraiment d'une histoire complète car c'est la suite du diptyque Mort London, des mêmes Wens et Rodolphe. Je l'ai lu il y a quelques mois, donc je ne m'en souviens plus guère... et je n'arrive plus à caler cette histoire de carnet secret dans ce mic-mac (qui sait quoi).
Il y a une ambiance particulière dans les livres de Rodolphe. Dans Marie la noire, L'autre monde, Trent, Les écluses du ciel... Un rien nous entraine très vite dans un autre univers. Et je n'arrive pas à comprendre comment il s'y prend. C'est fait en douceur, à l'insu même de l'intrigue. J'ai été séduit tout de suite par les aventures de Mort London, mais Le gardien est guidé sur la piste de Darwin, Bram Stocker, HP Lovecraft. Et ces personnages historiques tombent comme des cheveux sur des soupes. On sent le fil, que Rodolphe tient absolument à les caser... C'est, au final, très artificiel.
Wens utilise tellement bien sa documentation, qu'il décalque des photos, il en place même carrément dans la BD... Comme Yslaire qui se photocopie, je trouve ça nullissime.

Tiens, Wachs aussi utilise les photos, sans trop se soucier que le lecteur voit la supercherie. La série Secrets bancaires tiens du même principe que la série Secrets de Giroud. Giroud ! Encore un auteur tombé sur le champ de la surproduction (que je regrette ses collaborations avec Lax, ou son anarchisme déroulé avec Dethorey !). L'éditeur veut aller vite, inonder le marché, être visible... En page de garde du #1, on peut connaitre le planning de sortie des 8 prochains albums (ils marchent par 2, comme les Largo Winch tiens !), de mars 2006 à juin 2009... C'est triste, sans surprise, mais signe que l'éditeur croit en cette série. Pauvre Wachs qui a fait les frais de ce cruel manque de confiance, avec sa série Chiens du bord du monde , pourtant démarrant bien, mais étouffée dès le #1... Chez Glénat aussi. Secret bancaires, ordonné par Richelle, se place sur le chemin ouvert par Van Hamme, saturé par Black op, IR$, Tosca, Alpha... C'est une banale série B, comme Richelle sait en pondre...
Bon.

Le jour du loup est un manga de la collection Sakka, dirigée par Boilet chez Casterman. Donc, on dit une manga. C'est l'histoire de deux soeurs, Louves-garouves. Comme d'habitude, dans la manga, l'ouverture d'une porte dure 4 pages. L'histoire n'est pas claire. Comment arrive le couple tueur de loup-garou, comment meurt le mort ?? Bof.

mercredi 8 novembre 2006

Pour quelques petits Mickeys

J'ai fait quelques files d'attente pour un petit dessin, jusqu'à en être dégouté.
Beaucoup de stands délivrent des tickets, donnant une place dans la file d'attente pour la dédicace, à l'achat d'une BD. Donc, quand on a déjà la BD, et qu'on veut un dessin, il faut la racheter... Je m'étais promis de ne pas le faire, mais j'ai craqué une fois (pour Bravo). Le stand Futuropolis était géré par la librairie Album (les ceux-ce qui ont racheté Ty-Bull et Ici-même de Rennes) mais un responsable de Futuro a permis qu'on amène nos propres livres.
Ces deux dédicaces viennent de BD éditées par Gallimard dans la collection Bayou, dirigée par Yoann Sfar. Les auteurs de cette collection sont très peu connus, et débutent dans la BD (mais pas dans l'illustration).

Au stand Ego Comme X, j'ai acheté la BD de Poincelet, sur les conseils de David Prudhomme. Il ne fait pas de dessin, juste il recopie un passage d'un poème de Gide. A coté de lui se trouvait Boilet, qui ne sait pas dessiner, et fait des dédicaces toutes moches (les BD de Boilet sont parmi mes livres préférés). A un jeune client hésitant, il fit la promotion d'Aurélia Aurita (sa cops du moment), en disant que si on veut un joli dessin, c'est là qu'il faut aller (pas chez Poincelet qui recopie un texte, ni lui qui crobarde un truc moche vite fait). Aurita a réalisé une petite histoire dans le collectif Japon, que j'avais trouvé drôle et émouvante. En janvier dernier, je l'avais dit à Boilet, qui était content que l'histoire de sa copine plaise à quelqu'un. Elle a réalisé dernièrement un livre très 'hot', sur sa relation avec Boilet. C'est rigolo, parcequ'elle est toute timide... On a discuté un peu de ce qui fait, qu'elle comme moi, nous soyons détourné du 'mainstream'.

J'ai regardé les dessins que Prudhomme a réalisé en dédicace, ils étaient splendides, le mien était un peu en dessous des autres (sob !). Il a amené un crayon de couleur, qu'il avait oublié à Bédélire. Certains de ses dessins en deviennent éclatant. Il y avait encore très peu de monde pour cet auteur de talent d'une BD qui sort du lot, haut la main !! A coté de lui, il y avait Davodeau et Kris, les auteurs d'Un homme est mort. L'expo sur le livre avait drainé une foule importante, mais heureusement, il dessine vite. Mais du coup, il est moins accessible. Je me souviens qu'il y a 7-8 ans, je lui ai fait dédicacé des wagons de BD à offrir... il n'y avait personne (tiens, comme pour Rabaté d'avant Ibicus).

Les Jules de Bravo sont des BD pour ados, qui parlent de la théorie de la relativité, de génétique, de mort. Ce sont des BD réalisées avec beaucoup d'intelligence, et sont très très drôles. Encore un de mes auteurs favoris. J'ai découvert Wens récemment avec un histoire de Jack l'éventreur scénarisée par Rodolphe. J'ai bien aimé le ton de cette petite série, j'aime bien Rodolphe, en particulier ses 2 séries réalisées par Florence Magnin. Les livres de Wens parus chez Mosquito sont des oeuvres de jeunesse, où on ne retrouve rien de ce qu'il fait actuellement...

Tout ça fait beaucoup de dessins, beaucoup de rencontres, souvent gentilles, parfois expédiées... Les festivals ne sont pas vraiment des lieux de où on peut discuter avec les auteurs, alors je savoure ces instants quand ils se produisent.