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samedi 30 août 2025
vendredi 18 octobre 2024
mercredi 29 mars 2023
Le dessin du jour
C'est pour présenter le concours de déguisement du festoche de début juin (dont l'affiche est d'Alfred, qu'est vraiment partout, sauf trop devant sa planche bon sang).
Alcala et Choine pour Lyon BD
Alcala et Choine pour Lyon BD
lundi 7 février 2022
Eclipse
Sailor Moon apparait en février 1992... Et j'ai envie de dire : quest-ce qu'on en a à fiche ?
Arnold, da Luz et Cunha
Meunier, Zerocalcare et Quiles
Arnold, da Luz et Cunha
Meunier, Zerocalcare et Quiles
samedi 8 juin 2019
vendredi 26 mai 2017
mercredi 15 mars 2017
samedi 5 septembre 2009
Sales petits mangas
Le manga !
Je ne dois pas avoir lu les bons (litote pour dire que je me suis bien gavé de daubes, jusqu'à l’écœurement). J’exagère à peine. Heureusement, je me suis plongé dans la collec dirigée par Boilet, et honnêtement, j'ai quand même aimé quelques trucs. Petite forêt, et puis Kaikisen ou Blue. Dômu d'Otomo. Et puis forcément Tanigushi... un petit peu. Parce qu'Un homme qui marche : c'est hypra chiant (mais il est quand même de bon ton de louer cette prouesse dans les couloirs de télérama, quand on est fatigué d'étayer le piédestal de Sfar).
Mes enfants lisent les Shonen, voila : c'est un truc d'ado. De l'aventure à 2 balles... sans doute pas pire que ce que je lisais dans tintin... finalement...
Bon, tout ça pour dire que dans Sales petits contes, Yann massacre les manga !
Et pour frapper fort, il s'acharne dessus en détournant ses adaptations des contes de Perrault.
Et pour frapper encore plus fort, il se sert du nippophyle Michetz, dessinateur de Kogaratsu, série bon, ouaif...
Le reproche que Yann fait au manga (où faut aller vite) est étrange. Je trouve au contraire que si les mangakistes pouvaient découvrir l'ellipse, ça serait bénéfique pour le récit !
Glénat est l'inventeur du manga en France. Et Yann, avec son "sale caractère", se jette dessus :
Je n'ai jamais su ce que représentait le logo de Glénat (un bête G ?)... et tiens ! le logo de Dargaud non plus...
Yann se jette aussi sur Camano, Glénaïste confirmé, et amateur de manga. Il est étrange de voir dans ce recueil, une histoire dessinée par Zep (fidèle de Camano).
Yann et Hermann glissent des références nippones (mais pas que) à tire-larigot :
Dans l'histoire de Hermann, on peut lire les noms des mangaka "Otomo", "Miyazaki", "Kansaki", "Toriyama", "Hagi Wara", "Tezuka", "Takeuchi", "Ikegami", "Fumimura".
On lit aussi "Otaku" (dingue fou de manga), "Kamagochi", "Mishima" (un petit seppuku) et "Shirashi" (un petit plat).
Dans ce bouquin, on a finalement un peu de mal à savoir quel conte est adapté. L'adaptation emmène Yann assez loin de l'idée d'origine, et c'est dommage. Souvent poussé par cette haine démesurée du manga. Tiens, Cendrillon est perturbé par Les misérables et le petit chaperon rouge... et même par Radiguet. C'est tout Yann. Y peut pas s'empêcher.
Je ne dois pas avoir lu les bons (litote pour dire que je me suis bien gavé de daubes, jusqu'à l’écœurement). J’exagère à peine. Heureusement, je me suis plongé dans la collec dirigée par Boilet, et honnêtement, j'ai quand même aimé quelques trucs. Petite forêt, et puis Kaikisen ou Blue. Dômu d'Otomo. Et puis forcément Tanigushi... un petit peu. Parce qu'Un homme qui marche : c'est hypra chiant (mais il est quand même de bon ton de louer cette prouesse dans les couloirs de télérama, quand on est fatigué d'étayer le piédestal de Sfar).
Mes enfants lisent les Shonen, voila : c'est un truc d'ado. De l'aventure à 2 balles... sans doute pas pire que ce que je lisais dans tintin... finalement...
Bon, tout ça pour dire que dans Sales petits contes, Yann massacre les manga !
Et pour frapper fort, il s'acharne dessus en détournant ses adaptations des contes de Perrault.
Et pour frapper encore plus fort, il se sert du nippophyle Michetz, dessinateur de Kogaratsu, série bon, ouaif...
Le reproche que Yann fait au manga (où faut aller vite) est étrange. Je trouve au contraire que si les mangakistes pouvaient découvrir l'ellipse, ça serait bénéfique pour le récit !
Glénat est l'inventeur du manga en France. Et Yann, avec son "sale caractère", se jette dessus :
Je n'ai jamais su ce que représentait le logo de Glénat (un bête G ?)... et tiens ! le logo de Dargaud non plus...
Yann se jette aussi sur Camano, Glénaïste confirmé, et amateur de manga. Il est étrange de voir dans ce recueil, une histoire dessinée par Zep (fidèle de Camano).
Yann et Hermann glissent des références nippones (mais pas que) à tire-larigot :
Dans l'histoire de Hermann, on peut lire les noms des mangaka "Otomo", "Miyazaki", "Kansaki", "Toriyama", "Hagi Wara", "Tezuka", "Takeuchi", "Ikegami", "Fumimura".
On lit aussi "Otaku" (dingue fou de manga), "Kamagochi", "Mishima" (un petit seppuku) et "Shirashi" (un petit plat).
Dans ce bouquin, on a finalement un peu de mal à savoir quel conte est adapté. L'adaptation emmène Yann assez loin de l'idée d'origine, et c'est dommage. Souvent poussé par cette haine démesurée du manga. Tiens, Cendrillon est perturbé par Les misérables et le petit chaperon rouge... et même par Radiguet. C'est tout Yann. Y peut pas s'empêcher.
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