Mostrar mensagens com a etiqueta georges moustaki. Mostrar todas as mensagens
Mostrar mensagens com a etiqueta georges moustaki. Mostrar todas as mensagens

segunda-feira, 16 de dezembro de 2019

Danse Avec Moustaki

Original released on LP Polydor 2473 017
(FRANCE, 1972)


Rien n'a changé et pourtant tout est différent
Rien n'est pareil et pourtant tout est comme avant
Où es-tu si loin mon amour
Pourquoi es-tu si loin

Au café de nos rencontres je m'assieds à la terrasse
J'y vois les mêmes amis les mêmes gens
Poliment je les écoute je souris à leurs grimaces
Mais c'est toi que je vois c'est toi que j'entends

Rien n'a changé et pourtant tout est différent
Rien n'est pareil et pourtant tout est comme avant
Où es-tu si loin mon amour
Pourquoi es-tu si loin

Je m'arrête à la vitrine de la librairie d'en face
Puis je repars les mains vides nez au vent
Et je continue de vivre parmi les ombres qui passent
Et ramènent mes souvenirs au présent

Rien n'a changé et pourtant tout est différent
Rien n'est pareil et pourtant tout est comme avant
Où es-tu si loin mon amour
Pourquoi es-tu si loin

J'ai fait rentrer quelques bûches j'ai changé le lit de place
Et j'ai fait repeindre les murs tout en blanc
Mais les nuits semblent bien longues la solitude me glace
Et le lit est devenu beaucoup trop grand

Rien n'a changé et pourtant tout est différent
Rien n'est pareil et pourtant tout est comme avant

sábado, 23 de setembro de 2017

"Je Déclare L'état de Bonheur Permanent"

Original released on LP Polydor 2473 019
(FRANCE, 1973)

Arrangements et Direction Musicale: Hubert Rostaing
Direction Artistique: Jacques Bedos
Prise de Son: Claude Ermelin – Maurice Valensi
Dessins originaux de Georges Moustaki
Photo: P. Reinhard

DÉCLARATION (Georges Moustaki)

Je déclare l'état de bonheur permanent
Et le droit de chacun à tous les privilèges.
Je dis que la souffrance est chose sacrilège
Quand il y a pour tous des roses et du pain blanc.

Je conteste la légitimité des guerres,
La justice qui tue et la mort qui punit,
Les consciences qui dorment au fond de leur lit,
La civilisation au bras des mercenaires.

Je regarde mourir ce siècle vieillissant.
Un monde différent renaîtra de ses cendres
Mais il ne suffit plus simplement de l'attendre:
Je l'ai trop attendu. Je le veux à présent.

Que ma femme soit belle à chaque heure du jour
Sans avoir à se dissimuler sous le fard
Et qu'il ne soit plus dit de remettre à plus tard
L'envie que j'ai d'elle et de lui faire l'amour.

Que nos fils soient des hommes, non pas des adultes
Et qu'ils soient ce que nous voulions être jadis.
Que nous soyons frères camarades et complices
Au lieu d'être deux générations qui s'insultent.

Que nos pères puissent enfin s'émanciper
Et qu'ils prennent le temps de caresser leur femme
Après toute une vie de sueur et de larmes
Et des entre-deux-guerres qui n'étaient pas la paix.

Je déclare l'état de bonheur permanent
Sans que ce soit des mots avec de la musique,
Sans attendre que viennent les temps messianiques,
Sans que ce soit voté dans aucun parlement.

Je dis que, désormais, nous serons responsables.
Nous ne rendrons de compte à personne et à rien
Et nous transformerons le hasard en destin,
Seuls à bord et sans maître et sans dieu et sans diable.

Et si tu veux venir, passe la passerelle.
Il y a de la place pour tous et pour chacun
Mais il nous reste à faire encore du chemin
Pour aller voir briller une étoile nouvelle.

Je déclare l'état de bonheur permanent.


«J’ai envie d’ajouter quelque chose, comme ça pour le plaisir de parler. Et aussi pour ne pas livrer ces dix chansons à leur sort sans un mot d’explication. Pour remercier mes amis brésiliens, Vinicius de Moraes, Toquinho et Tom Jobim qui m’ont si bien accueilli chez eux et de chez qui, je suis reparti les oreilles pleines de musique et le coeur plein de Saudade. Pour saluer les musiciens, les techniciens et mes différents collaborateurs qui ont peuplé les nuits blanches des studios d’enregistrement: Capon, Charvet, Gaudry, Batailley, Lubat, Rostaing, Bedos, Ermelin, Gérard et les Autres Santorio, Troc et les choristes de Christiane Legrand, Guerin, Bellest, etc. Pour rendre hommage, à mes muses, à la jeune fille d’ Epinal qui m’a donné le premier vers de “Déclaration” et au chef d’ Etat qui m’a donnée involontairement le premier vers de “l’ Apolitique”: Pour vous rappeler que l’ humour est la politique du désespoir et que je suis trop sérieux pour me prendre au sérieux.»

Amicalement votre
moustaki


P.S.: S’il y a des fautes d’anglais dans “Why” que SHAKESPEARE et BOB DYLAN me pardonnent.


Avec sa gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec, de voleur et de vagabond, Georges Moustaki n’en est pas moins une des grandes énigmes de la chanson française et internationale. Comment celui qui reste une éloge de la paresse à lui tout seul est-il un des auteurs compositeurs interprètes les plus prolifiques de ces dernières années? La carrière de Moustaki pose une vraie question en forme de casse tête. Est-il possible d’être paresseux lorsqu’on passe sa vie à chanter la paresse? Yussef Mustacchi naît à Alexandrie, en Egypte, le 3 mai 1934. Ses parents qui tiennent une librairie, sont très attachés à la culture française. Raison pour laquelle ils inscrivent leur fils dans une institution scolaire française. C’est dans une ambiance cosmopolite que débute la vie du jeune Yussef. A la maison, on parle italien, dans la rue les enfants parlent arabe, et à l’école, on parle français.
En 1951, le bac en poche, il obtient de son père l’autorisation d’aller vivre à Paris où il sera hébergé par sa sœur et son beau-frère, lui aussi libraire. Quant il n’est pas occupé à gagner de l'argent en vendant des livres au porte-à-porte, il s’essaie à la musique, sur la guitare que sa mère lui a offerte. Et un soir, sur la scène du cabaret Les Trois Baudets, il assiste au tour de chant de Georges Brassens. Cette rencontre constitue le premier grand choc artistique de sa vie. Il fait écouter quelques chansons à son aîné qui le pousse à persévérer. Yussef Moustacchi devient alors Georges Moustaki, en hommage au maître. Par hasard, les deux hommes se recroisent très peu de temps après dans la boutique du beau-frère de Moustaki. Fort de ces encouragements, il va réussir à placer quelques une de ses chansons dans des cabarets parisiens.

quinta-feira, 12 de janeiro de 2017

MOUSTAKI: LES DEUX PREMIERS LPs


LE MÉTÈQUE
Original released on LP Polydor 184851
(FRANCE, 1969)


Vinha do tempo em que os animais falavam, se quisermos perceber a doçura que há nesta expressão e na ideia quando olhamos a música popular. Significa que era um dos pilares, um dos últimos guardiões de uma época em que as palavras em francês ainda tinham – passe a redundância – uma palavra a dizer na definição das regras da canção antes da hegemonia esmagadora do império anglo-americano. Mais: o homem era um dos exemplos da disponibilidade gaulesa para aceitar gente de fora entre os seus maiores. Basta lembrar que Henri Salvador veio da Guiana, Jacques Brel e Adamo eram belgas, Serge Reggiani e Yves Montand nasceram em Itália, Charles Aznavour pertence a uma família da Arménia, Dalida nasceu no Egipto. Tal e qual como o homem que aqui nos traz, filho de gregos judeus [de língua italiana], mais um dos talentos descobertos por Edith Piaf, admirador incondicional de Georges Brassens ao ponto de lhe ter pedido emprestado para sempre o nome próprio, a que juntou depois uma adaptação do apelido. Símbolo do Maio de 68, vagabundo incorrigível das canções: é de Georges Moustaki [de seu verdadeiro nome Giuseppe Mustacchi] que aqui se fala, ao mesmo tempo que nos lembramos de "Le Métèque" ou de "Ma Liberté", de "Milord" ou de "Il Faudra Mourir un Jour"E voltamos a concluir que este parceiro de barba e cabelos soltos, tantas vezes fotografado com a viola que o seguia para toda a parte, personificou o lado bom da globalização ao assumir sem preconceitos, e com todas as vantagens para quem o ouvia, a sua miscigenação cultural.


IL Y AVAIT UN JARDIN
Original released on LP Polydor 2393.019
(FRANCE, 1971)


Gravou em, pelo menos, meia-dúzia de idiomas – francês, italiano, castelhano, português, grego e árabe – e teve oportunidade de completar os cinquenta anos de carreira, até que uma insuficiência respiratória ditou o irreversível e amargo adeus aos palcos e aos estúdios. Antes de oferecer "Milord", um clássico, a Edith Piaf [1958], já tinha mergulhado nas causas e nas boémias parisienses, tendo chegado à cidade em 1951. Tinha dezassete anos. Acabaria por ser cantado por muitos dos grandes: de Salvador a Herbert Pagani, sem esquecer Barbara, Montand, Reggiani, Françoise Hardy ou a eterna Juliette Gréco, a mesma que sobre a sua morte deixou justas sentenças: «Georges possuía uma doçura infinita e imenso talento. Era, como todos os poetas, alguém diferente, porque acaba sempre por ser essa diferença que conduz ao talento». Colaborou com alguns dos seus músicos de eleição, de Astor Piazzolla a António Carlos Jobim. Deixa cerca de trezentas canções como bandeiras de um património em que a simplicidade sempre andou de braço dado com a convicção, tendo igualmente assinado adaptações memoráveis como, por exemplo, a do "Fado Tropical", de Chico Buarque, a que chamou simplesmente "Portugal". Usou-a para festejar a Revolução Portuguesa. Despediu-se de nós na última digressão em 2008, quando lançou o espantoso disco "Vagabond". Com ele, morto aos 79 anos, desaparece provavelmente o último de um grupo, mais do que de uma geração, de geniais autores, daqueles que usamos como faróis de nevoeiro nos dias cinzentos como os de agora. Dele disse Leo Ferré: «Georges sussurra onde eu grito, mas é a mesma coisaFerré sabia o que dizia: depois de "Avec le Temps" não há canção maior sobre a erosão e o desgaste do amor do que 'La femme qui est dans mon lit / N'a plus vingt ans depuis longtemps' [canção "Sarah"]. É de Georges Moustaki, um daqueles que parte mas fica para sempre. (João Gobern, 2013).

segunda-feira, 14 de novembro de 2016

A TRIBUTE TO LORCA

Original released on LP CBS 450307 1
(ESPAÑA, 1986)


"Poetas en Nueva York" es el título del disco que vamos a escuchar y comentar hoy. Se trata de un homenaje internacional al gran poeta Federico García Lorca. Todos los temas fueron grabados, en distintas ciudades del mundo (París, Madrid, Roma, Londres, Nueva York, Río de Janeiro, Atenas y Berlín), en 1986, año en que se conmemoraba el 50 aniversario del asesinato del poeta. Están cantados en distintos idiomas (inglés, catalán, italiano, hebreo, portugués, griego, alemán y castellano), pero siempre sobre la base de algún poema de Lorca contenido en el libro “Poeta en Nueva York”, escrito entre 1929 y 1930. García Lorca se fue en 1929 a impartir unas conferencias en Cuba y Nueva York. Pero el viaje fue quizá un pretexto para cambiar de aires y huir del ambiente que le rodeaba y que le oprimía. Debido a un fracaso sentimental y al dilema interior que sentía por su sexualidad, Lorca padeció en esa época una profunda depresión. Federico García Lorca conoció la ciudad de Nueva York en la época de la gran depresión y el crack bursátil del 29. 


El paradigma del sueño americano, ese que consiste en que todos somos iguales y podemos llegar a lo más alto gracias a las oportunidades que nos ofrece la maravillosa sociedad americana, abierta, plural y libre. El poeta se encuentra con una ciudad inhumana que simboliza lo peor de nuestra civilización, el capitalismo salvaje y desaforado. Es una ciudad con vida propia, sucia, gris, fea, desalmada, caótica, ruidosa, que actúa como un vampiro que chupa la sangre y la vida de las personas. Al mismo tiempo, frente a la ciudad-monstruo se alza la masa sin nombre ni rostro, que representa lo humano, lo cálido, la alegría, el baile, la música, las ganas de vivir pese a todo”. "Poeta en Nueva York" fue para Lorca un grito de horror, de denuncia contra la injusticia y la discriminación, contra la deshumanización de la sociedad moderna y la alienación del ser humano, al tiempo que reclamaba una nueva dimensión humana donde predominase la libertad y la justicia, el amor y la belleza.


Es por ello por lo que puede ser considerada una de las obras poéticas más importantes y relevantes de la historia de este arte. Una crítica poética en un momento de cambios económicos y sociales de una magnitud única en toda la historia de la humanidad, que convierte esta obra en una profunda reflexión pesimista y hace que sea un nexo de unión entre el modernismo y la nueva era tecnológica. Una de las principales influencias que se notan en "Poeta en Nueva York" fue la del surrealismo: esta corriente pretendía renovar radicalmente la literatura, fomentar la libertad creadora del escritor a través de la libre expresión del subconsciente, abandonando cualquier tipo de convencionalismo ya fuese moral, social o artístico. Pretendían trascender la realidad accediendo a un nivel superior de conciencia, a una «sobre-realidad» – de ahí el nombre del movimiento – en la que el autor pueda expresar sin ningún tipo de ambages su visión del mundo y de la vida.



"Poeta en Nueva York" é o mais profundo e maduro livro nova.iorquino, onde Lorca incorpora magistralmente o surrealismo trágico com uma visão social aguda e fria. O que teria escrito Lorca aos cinquenta anos, ou mesmo aos sessenta? É completamenre imprevisível. Porém, tudo se poderia esperar de um homem que aos trinta anos publicou o seu "Romancero Gitano" e as suas três grandes tragédias entre os trinta e cinco e os trinta e seis... Contava apenas mais dois anos quabdo a morte o levou - fez em 1986 cinquenta anos. Nascera em 1898, em Fuente de Vaqueros, província de Granada, em Espanha. Aí viria a ser assassinado, em 1936, poucas semanas depois da Guerra Civil Espanhola ter começado. Cantores e autores de todo o mundo escolheram esse 50º aniversário para, através do seu livro "Poeta en Nueva York" lhe prestarem uma justa homenagem, musicando os seus poemas, adaptando-os às sua línguas - grego, catalão, italiano, alemão, hebreu, inglês ou português - e cantando. A poesia é uma linguagem universal. A música também. Quando ambas se unem, e quem escreveu as palavras foi Federico Garcia Lorca, nasce uma obra discográfica como esta, que sobreviverá ao longo dos anos.



Credits:
Executive-Producer – Rafael Alvero
Lyrics By – Federico García Lorca
Artwork [Front Cover Original Painting] – Eduardo Urculo


Notes:
All the tracks have been recorded in 1986, the year of commemoration of the 50th anniversary of the death of Federico García Lorca. The album includes a leaflet that has lyrics to all of the songs and the original poems of Federico García Lorca both in Spanish and in English. 

A1. "Take This Waltz" is based on the poem "Pequeño Vals Vienes" (Little Viennese Waltz), performed in English by Leonard Cohen. Produced by Michel Reusser. Recorded at Montmartre Studios in Paris.

A2. "Els Negres (Norma I Paradis)" is based on the poem "Norma y Paraiso de los Negros" (The Blacks of this World and the Next), performed in Catalan, by Lluis Llach. Produced by Lluis Llach. Recorded at Eurosonic Studios in Madrid. 

A3. "Grido A Roma" is based on the poem "Grito Hacia Roma" (Cry To Rome), performed in Italian by Angelo Branduardi. Recorded at Forum Studios in Rome. 

A4. "Nacimiento De Christo" is based on the poem of the same name (The Birth of Christ), performed in Castillian by Victor Manuel. Produced by Geoff Westley. Recorded at Marcus Music, Eel Pie and Parsifal Studios in London.

A5. "‏ילדותך במנטון‎" is based on the poem "Tu Infancia En Menton" (Your Childhood in Menton), performed in Hebrew by David Broza. Produced by Louis Lahav. Recorded at The Ranch Studios in New York. 

A6. "Asesinato" is based on the poem of the same name ("Murder"), performed in Castillian by Paco y Pepe De Lucia. Produced by Miguel Ángel Arenas. Recorded at Circus Studios in Madrid. 


B1. "A Aurora" is based on the poem "La Aurora" ("Dawn"), performed in Portuguese by Raimundo Fagner e Chico Buarque. Produced by Trinaldo Areas. Recorded at Sigla Studios in Rio de Janeiro. 

B2. "Φεύγω Για Το Σαντιάγο" is based on the poem "Son de Negros de Cuba" (Blacks Dancing to Cuban Rhythms), performed in Greek by Georges Moustaki y Mikis Theodorakis. Produced by Mikis Theodorakis. Recorded at Zeta Studios in Athens. 

B3. "Unsleeping City" is performed in English by Donovan. Recorded at Eurosonic Studios in Madrid. 

B4. "Kleines Unendliches Gedicht" is based on the poem "Pequeño Poema Infinito" (Little Infinite Poem), performed in German by Manfred Maurenbrecher. Produced by Hubert Henle. Recorded at Thomas Funk Studios in Berlin. 

B5. "Oda a Walt Whitman" is based on the poem of the same name (Ode to Walt Whitman), performed in Castillian by Patxi Andión. Recorded at Circus Studios in Madrid.


terça-feira, 15 de abril de 2008

MOUSTAKI A BOBINO, 1970

Georges Moustaki regressa a Portugal no próximo mês de Maio para dois concertos: dia 17 na Casa da Música do Porto e dia 19 no CCB em Lisboa. O objectivo primeiro será a apresentação do último album, “Vagabond”, gravado em parte no Brasil com a chancela de Francis Hime. Mas como a edição deste album ocorreu já há quase três anos, em Setembro de 2005, é natural (e desejável) que este eterno viajante de 73 anos nos brinde com alguns dos seus temas mais carismáticos, como “Le métèque”, “Ma solitude”, “Joseph”, “Ma liberté”, “Chanson pour elle” e tantos outros. E, já que estará em Portugal, talvez nos recorde também a versão homónima que fez do tema de Chico Buarque e Ruy Guerra (na origem “Fado Tropical”) em 1974, a propósito da Revolução de Abril. E ainda porque estaremos em Maio espero que nos faça recuar 40 anos no tempo, até um outro Maio, o de 1968, durante o qual compôs uma das mais belas canções de amor de que tenho memória, a lindissima “Le Temps de Vivre” («...nous prendrons le temps de vivre / d’être libre mon amour / sans projects et sans habitudes / nous pourrons rêver notre vie»).
Aqui o Rato tenciona estar dia 19 nas primeiras filas do CCB a aplaudir ao vivo e pela primeira vez, este vagabundo da canção francesa. Até lá deixo-vos com este concerto no Bobino de Paris, gravado em 1970, quando o métèque tinha apenas 35 anos e acabara de ser finalmente reconhecido como intérprete, depois de mais de dez anos a compôr para outros grandes nomes da canção francesa: Piaf, Montand, Barbara, Regianni...

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...